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Editum die 26. Junii 1911.
Megjelent 1911. junius 26 -án.
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“ANNALES
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- HISTOEICONATUBALES
MUSEI NATI0NA1IS HUNGARICI
YOL. IX. 1911. — PARS PRIMA.
A MAGYAR NEMZETI MUZEUM
TERMÉSZETRAJZI OSZTÁLYAINAK FOLYÓIRATA.
IX. KÖTET. 1911. — ELSŐ RÉSZ.
A MAGYAR TUDOMÁNYOS AKADÉMIA TÁMOGATÁSÁVAL
KIADJA
A MAGYAR NEMZETI MUZEUM.
SZERKESZTI
HORVÁTH GÉZA.
BUDAPEST
1911
CONSPECTUS MATERIARUM. — TARTALOMJEGYZÉK.
Dr. G. Horváth,
Th. Becker,
Pag.
Nomenclature des familles des Hémiptères.™ ™ 1
Chloropidæ. Eine monographische Studie. III. Teil.
Die indo-australische Region. (Taf. I — IL) ~~ 35
Dr. A. Griffi ni,
Nuovi studi sopra diversi Grillacridi del Museo
Nazionale di Budapest.™ ™ .... ™ .... .... ™ 171
E. V. Méhely,
Systematisch-phylogenetische Studien an Vipe-
riden. (Taf. Ili — V. und 6 Textfiguren.) .... 186
A. E. Montandon,
Zimányi Károly,
Deux genres nouveaux d’Hydrocorises. .... ™ 244
Újabb adatok a nagybányai pyrargyrit kristály¬
tani ismeretéhez. , (Öt ábrával.) — , Neue Beiträge
zur krystallographisen Kenntniss des Pyrar-
gyrites von Nagybánya. (Mit 5 Textfiguren.) .,,, 251
Dr. S. Boîkay,
Descriptions of some new Brenthidae. (With 4
Friedrich Hendel,
textfigures.),. . .... ..... .... — .... .... >... 263
Über die Sepedon-Arten der æthiopischen und
indo-malayischen Region. ™ .... .... .... 266
ToborfFy Géza,
A vaskői diopsidok kristálytani és optikai tekin¬
tetben. (VI. tábla.) — Les éléments crystallo-
graphiques et optiques dós diopsides de Vaskő.
(Planche VI.) .... .... . . ™ .... .... ™ 278
Dr. E. Soós,
Degeneration and phagocytosis of the egg-cells of
the Gastropods. (Plate VII and 1 textfigure.) .... 283
J. D. Alfken,
Desid. Kuthy,
Eine neue ungarische Andréna-Art. .... ,™ 292
Orthoptefa nova in Museo Nationali Hungarico
Dr. Gaál István,
asservata. ' .... A .... .... .... ..„ .... . _ .... 294
Újabb adatok a zsilvölgyi rétegek elterjedéséhez.
(Vili, tábla.) — Neuere Beiträge zur Verbreitung
der Zsiltaler Schichten. (Tafel VIII.) — . . 297
Alex. Mocsáry,
Insectorum messis in insula Creta a Lud. Biro
Eoczka József,
congregata. IL Hymenoptera : Chrysididae. .... 316
A nagybányai pyrargyrit chemiai elemzése. I. —
Chemische Analyse des Pyrargÿritès von Nagy¬
bánya. I. .... .... ™ .... .... .... .... .... .... 318
Alex. Pongrâcz,
Insectorum messis in insula Creta a Lud. Biró
Dr. G. Horváth,
congregata. III. Pseudoneuroptera et Neuroptera.
(Cum figura una.) .... ™ .... .... ™ A . 324
Miscellanea hemipterologica. I — V. (Tab. IX.) 327
Dr. J. V. Madarász, Nene Vögel aus Afrika. .... ’ L d-r — — 339
Dr. Ed. Zavattari, Une nouvelle Guêpe sociale polygame du Brésil. 343.
Dr. E. Soós, On a collection of Land Shells from New Guinea.
(With 10 textfigures.) „„ ... _ .... ™ 345
I
ANNALES
HISTORICO NATURALES
Vi
MUSEI NATIONALS HUNGARICI
voij. ix. 1911.
A MAGYAR NEMZETI MUZEUM
TERMÉSZETRAJZI OSZTÁLYAINAK FOLYÓIRATA.
IX. KÖTET. 1911.
TIZENHAT TÁBLÁVAL.
A MAGYAR TUDOMÁNYOS AKADÉMIA TÁMOGATÁSÁVAL
KIADJA
A MAGYAR NEMZETI MUZEUM.
SZERKESZTI
HORVÁTH GÉZA.
BUDAPEST
1911
2 Z 0^3(8
FRANKLIN-TÁRSULAT NYOMDÁJA.
CONSPECTUS MATERIARUM, — TARTALOMJEGYZÉK.
Ali kén J. D.,
Becker Tli.,
Bolkay S. Dr„
Brues Charles T„
« « «
Csíki Erii.,
Gaál István Dr.,
Ori Ifi ni A. Dr.,
« « «
Hendel Friedrich,
Horváth G. Dr.,
« « «
« - « «
« « «
Koch Antal,
Krober O.,
Kuthy Desid.,
Loczka József,
liUndström Carl,
Pag.
Eine neue ungarische An drena- Art. _ 292
Cliloropidæ. Eine monographische Studie. III. Teil.
Die indo- australische Kegion. (Taf. I — II.) ™ 35
Descriptions of some new Brenthidae. (With 4
textfigures.).... _ .... „„ . . 263
New Diptera of the family Phoridae from Paraguay. 436
The Phoridae of Formosa collected by Mr. H.
Sauter. (With 19 textfigures.) . 530
Coleoptera nova in Museo Nationali Hungarico. IV. 611
Újabb adatok a zsilvölgyi rétegek elterjedéséhez.
(Vili. tábla.) — Neuere Beiträge zur Verbreitung '
der Zsiltaler Schichten. (Tafel VIII.) . . 297
Nuovi studi sopra diversi Grillacridi del Museo
Nazionale di Budapest . _ ™ ài _ „„ 171
Stenopelmatidi raccolti da L. Biro nella Nuova
Guinea. .... „„ . ... _ 560
Über die Sepedon-Arten der æthiopischen und
indo-malayischen Region. .... _ .. . . 266
Nomenclature des familles des Hémiptères. 'U' 1
Miscellanea hemipterologica. I — V. (Tab. IX.) 327
Révision des Leptopodides. (Avec 5 figures.) 358
Miscellanea hemipterologica. VI- - VII. (Cum figuris
duabus.) . ... _ .„. .... „ . 423
Hemiptera nova vel minus cognita e regione
palaearctica. II. (Cum figuris duabus.) . . 573
Rhinocerida ősemlős maradványai a Kolozsvár-
vidéki középoligocén rétegekből. (A X. táblával
és egy szövegközti ábrával.) — Rhinoceriden-
Reste aus den mitteloligocenen Schichten der
Gegend von Kolozsvár. (Taf. X. und eine
Textfigur.) .... . ™ .... .... .... 371
Die Thereviden Süd- und Mittelamerikas. (Mit 2
Textfiguren.) .... .... .... .... .... .... ... 475
Orthoptera nova in Museo Nationali Hungarico
asservata. .... .„ .... .... .... .... .... .... 294
A nagybányai pyrargyrit chemiai elemzése. I. —
Chemische Analyse des Pyrargyrites von Nagy¬
bánya. I. „. .... .„ .... .... .... .... „.. .... .... 318
Neue oder wenig bekannte europäische Myceto-
philiden. (Taf. XI— XV.) _ .„ .... ™ ^ 390
Pag.
Madarászd. v. Dr., Neue Vögel aus Afrika. , ^ ... . „„ 339
« « « «
Über Thalurania venusta (Gould) und Colibri
cabanidis (Heine) als selbständige Formen. ; 357
« « « «
Description of some new Birds from Ceylon. (Plate
XVI. and 3 textfigures.) w 420
Méhely L. v.,
Systematisch-phylogenetische Studien an Vipe-
riden. (Taf. Ill — V. und 6 Textfiguren.) Jg 186
Mocsáry Alex.,
Insectorum messis in insula Creta a Lud. Biro
congregata. II. Hymenoptera : Chrysididae. 316
« «
Montandoli A. L.,
Pongrácz Alex.,
Species Chrysididarum novae. I _ _ 3 „„ 443
Deux genres nouveaux d’Hydrocorises. ™ 244
Insectorum messis in insula Creta a Lud. Biro
congregata. III. Pseudoneuroptera et Neuroptera.
(Cum figura una.) ...... .... : „„ ™ .... 324
Soós L. Dr.,
Degeneration and phagocytosis of the egg-cells of
the Gastropods. (Plate VII and 1 textfigure.) .... 283
« « «
On a collection of Land Shells from New Guinea
and adjacent islands. (With 10 textfigures.) _ 345
Thal hammer Joaun., Empidideicus hungaricus, Dipteron novum ex
To bo rí ‘fy Géza,
Hungária. .... ..„ .... .... „„ „„ .... 388
A vaskői diopsidok kristálytani és optikai tekin¬
tetben. (VI. tábla.) — Les éléments crystallo-
graphiques et optiques des Diopsides de Vaskő.
(Planche VI.) .... .... ™ .... 3 „. .„ „„ 278
Zavattari Ed. Dr.,
Ziniáiiyi Károly,
Une nouvelle Guêpe sociale polygame du Brésil. 343
Újabb adatok a nagybányai pyrargyrit kristály¬
tani ismeretéhez. (Öt ábrával.) — Neue Beiträge
zur krystallographischen Kenntniss des Pyrar-
gyrites von Nagybánya. (Mit 5 Textfiguren.) 251
Pars prima (pag. 1 — 352) edita die 26. Junii 1911.
Pars secunda (pag. 353 — 612) edita die 20. Decembris 1911.
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICL
1911.
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HEMIPTERES.
Par le Dr. G. Horváth.
Les Règles Internationales de la Nomenclature Zoologique, adop¬
tées par les Congrès internationaux de Zoologie, fixent la formation
des noms de familles et de sous- familles en deux articles dont le
premier est conçu en ces termes :
«Art. 4. Le nom de la famille est formé en ajoutant la désinence
idae, celui de la sous-famille en ajoutant la désinence inae au radical
du nom du genre servant de type».
Donc, le nom de la famille comme celui de la sous-famille doivent
être formés toujours du nom du genre typique. Mais quel genre doit-on
prendre pour le type d’une famille ou d’une sous-famille? Les Règles
Internationales de la Nomenclature Zoologique (publiées en 1905) ne
l’indiquent pas.
Nous voyons cependant que depuis une dizame d’années beau¬
coup de zoologistes commencent à adopter et à suivre le principe
d’après lequel le genre le plus anciennement décrit doit être toujours
considéré comme le genre typique d’une famille ou d’une sous- famille.
Ce principe paraît assez juste et séduisant, mais si on l’applique
dans toute sa rigueur, il en résultera de graves inconvénients. Nous en
avons déjà l’exemple dans la nomenclature des Hémiptères qui, par
suite de l’application du dit principe, se trouve actuellement dans une
déplorable confusion. Et cette confusion qui se répétera bien sûrement
aussi dans les autres groupes du Règne animal, m’a fait rejeter ce
principe et m’a déterminé à le remplacer par un autre principe, celui
de la loi de priorité.
Les raisons qui militent contre le principe du plus ancien genre
et en faveur de la loi de priorité, sont en partie théoriques, en partie
pratiques.
Je me demande d’abord pourquoi on devrait prendre pour type
d’une famille ou d’une sous-famille justement le genre le plus ancien¬
nement décrit. Quant aux types de genres, il n’est encore venu à per¬
sonne l’idée que le type d’un genre soit toujours l’espèce la plus an¬
ciennement décrite ; au contraire tout le monde accepte sans le moindre
scrupule la règle d’après laquelle l’auteur qui établit un genre nouveau,
1
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX.
O
m G. HORVÁTH
peut désigner comme espèce typique, n’importe quelle espèce incluse
dans le genre.
Si le genre le plus anciennement décrit était aussi au point de
vue phylogénétique le plus ancien, on se verrait vraiment obligé de le
prendre pour genre typique. Mais il n’en est pas ainsi puisque c’est
par le plus pur hasard qu’un genre est décrit plus tôt ou plus tard.
Il n’y a donc aucune raison de considérer comme genre typique d’une
famille ou sous- famille toujours le genre le plus anciennement décrit.
A l’heure qu’il est, on n’admet la loi de priorité que pour les
genres, les espèces et les variétés. Pourquoi ne pourrait-on étendre da¬
vantage la portée de cette loi? Il me paraît vraiment plus juste et plus
logique d’adopter aussi la loi de la priorité pour les familles et pour
toutes les catégories au-dessus du genre.
Mais toutes ces considérations ne sont que des raisonnements pu¬
rement théoiiques; il y a cependant aussi des raisons pratiques qui
nous amèneront à la même conclusion.
La division du Règne animal en familles a commencé il y a bien
un siècle. Ce siècle plein d’activité a créé les bases du système zoolo¬
gique et nous a dotés d’une prodigieuse série de travaux devenus clas¬
siques, de véritables chefs d’œuvres et de monographies fondamentales.
On trouve dans ces travaux systématiques plusieurs centaines de familles,
sous-familles et autres subdivisions que les autorités les plus compé¬
tentes de notre science ont établies et dont les noms sont à présent
universellement connus et répandus, en partie même au-delà des limites
de la zoologie, en horticulture, sylviculture, médecine etc. En adoptant
le principe du plus ancien genre, il faudrait bouleverser tout cela,
chercher partout le genre le plus anciennement décrit et changer une
grande quantité des noms qui nous étaient familiers depuis de longues
années. Par ce procédé assez radical, nous rendrions la tâche bien plus
dure et plus pénible non seulement à nous-mêmes, mais aussi à nos
successeurs, car les travaux zoologiques de tout un siècle — et c’est
précisément le siècle le plus fertile au point de vue de la zoologie sys¬
tématique — seraient dorénavant souvent inintelligibles ou du moins
ambigus.
On pourrait objecter qu’avec le temps, dans un avenir heureux
tout le monde s’habituera aux nouveaux noms. Admettons que cela ne
soit pas tout- à-fait impossible. Mais les difficultés pour comprendre Fan-
cienne nomenclature des familles et des autres subdivisions ne dispa¬
raîtront jamais; elles persisteront tant qu’on aura à consulter la litté¬
rature zoologique du XIXme siècle.
Cependant il y a encore un autre grave inconvénient qui serait
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
3
inévitable et qui se conserverait à perpétuité. Cet inconvénient consiste
en ce que les nouveaux noms que l’on devrait donner d’après le prin¬
cipe du plus ancien genre, ne sont pas toujours tout- à- fait nouveaux,
mais ont déjà été employés antérieurement pour d’autres groupes. Ainsi
p. ex G. W. Kirkaldy, un fervent partisan du principe du plus ancien
genre, qui a bouleversé avec une véritable passion toute la nomen¬
clature des Hémiptères, a remplacé le nom des Pentatomidae par
Cimicidae tandis qu’il a nommé les Cimicidae des auteurs d’abord
Cacodmidae, puis Clinocoridae. Il a changé le nom des Coreidcte en
Lygaeidae, en donnant aux Lygaeidae des auteurs successivement les
noms Myodochidae, Geocoridae et finalement de nouveau Myodochidae.
Plusieurs Hémiptéristes se sont empressés d’adopter ces nouvelles dé¬
nominations, mais d’autres ont conservé l’ancienne nomenclature. La
conséquence en est maintenant qu’on trouve depuis quelques années
dans les travaux hémiptérologiques sous le nom Cimicidae deux famil¬
les bien différentes et qu’on entend sous le nom Lygaeidae deux famil¬
les diverses.
Le double emploi du même nom restera la source permanente
d’une regrettable, mais inévitable confusion. On en a une bonne preuve
dans le dernier volume du «Zoological Eecord (1908). Le savant rédac¬
teur de la partie entomologique de ce recueil a déjà remarqué qu’à
présent il est souvent très-difficile, sinon impossible de savoir si un
Hémiptère indiqué comme appartenant à la famille des Lygaeidae , est
réellement un Lygéide ou bien Coréide. C’est pourquoi il a réuni dans
le «Record» pour l’année 1908 les Coreidae, Lygaeidae et Pyrrho-
coridae sous un chapitre commun, en déclarant que «à cause de la
confusion qui existe actuellement, il vaut mieux traiter ces familles
ensemble» (owing to the confusion now existing, it is better to treat
these families in combination).
Nous voyons donc bien qu’il y a, outre les considérations théoriques,
des raisons pratiques qui peuvent justifier l’application de la loi de la
priorité aussi dans la nomenclature des familles, sous-familles et des
autres subdivisions au-dessus du genre. En étendant à ces categories
supérieures la loi de la priorité, on agit non seulement d’une manière
plus logique, mais on introduit dans la nomenclature zoologique
plus d’uniformité et on respecte en même temps la continuité et la
tradition, tandis qu’en adoptant le principe suivant lequel les noms de
familles, sous-familles etc. doivent être dérivés toujours du genre le
plus anciennement décrit, on arriverait à un résultat tout- à- fait opposé :
au lieu d’assurer la stabilité de la nomenclature, on finirait par assurer
la stabilité regrettable de la confusion.
1*
4
Dl G. HORVÁTH
Comme conclusion de tout ce qui précède, j’ai fait au Vili“1*
Congrès international de Zoologie, réuni en août 1910 à Gratz (Au¬
triche), les propositions suivantes :
1° La loi de la priorité est à appliquer aussi dans la nomencla¬
ture des familles, sous-familles et des autres groupes au-dessus du
genre ; toutes ces catégories doivent porter le nom qui leur a été donné
le plus anciennement.
2° Ce nom doit être formé du nom d’un genre, pourvu que ce
genre soit inclus dans la catégorie respective et que son nom y soit
valable (non un synonyme).
3° Le nom de famille, sous-famille et d’autres subdivisions, dérivé
du nom d’un genre, a la priorité même dans le cas où sa désinence,
pourvu qu’elle soit latine, n’est pas en idae, inae etc. ; mais dans ce
cas il faut corriger la désinence et ajouter au radical la désinence con¬
venable et arrêtée dans les Eègles Internationales de la Nomenclature
Zoologique (Art. 4.).
J’espère que ces propositions seront accueillies favorablement par
la Commission internationale permanente de la Nomenclature zoolo¬
gique et qu’elles seront adoptées par la plupart des zoologistes. Je suis
tellement convaincu de la justesse de mes propositions que je n’ai pas
hésité à les appliquer déjà pratiquement dans la nomenclature des
Hémiptères.
Dans ce but, j’ai fait une révision soigneuse de tous les noms
qui ont été donnés jusqu’à présent aux familles des Hémiptères. Con¬
formément au sens de ma 3me proposition, j’ai dû omettre un certain
nombre des noms employés par Laporte, Brulle, L. Dufour, Spinola,
Blanchard, Rameur, Signorét, Mulsant et Rev, comme : Coréites, Ani-
soscélites, Lygéites, Hydrométrites, Réduvites, Scutelleriens, Corét ns,
Lygéens, Véliens, Réduviens, Miriens, Leptopodiens, Galguliens, Népiens,
Aphidiens, Scutellérides, Coréides, Lygéides, Réduvides, Népides etc. Ces
noms, quoique dérivés de noms génériques valables, ne sont pas latins,
mais sont devenus, avec leur orthographe et leurs désinences françai¬
ses, des noms français. Ils sont par conséquent inadmissibles dans la
nomenclature zoologique qui est latine. — Il en est de même pour les
noms de familles employés par Blanchard dans l’ouvrage: Historia
fisica y politica de Chile, Zoologia YII (1852). Aussi ces noms (Penta-
tomitos, Ligeitos, Coreitos, Capsitos, Fimatiteos, Reduviteos, Pelogoni-
teos, Cicaditos, Centrotiteas, Tetigoniteos etc.) ne sont plus latins ou
latinisés, mais bien espagnols.
En ce qui concerne le nombre des familles et leur arrangement
systématique dans mon présent travail, j’ai suivi, avec quelques modi-
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
5
fications, pour les Hétéroptères la nouvelle classification de Reuter
(Neue Beiträge zur Phylogénie und Systematik der Miriden, Helsingfors
1910) et pour les Homoptères celle de Kirkaldy (Report of work of
the Experiment Station of the Hawaiian Sugar Planters’ Association. I.
1906. Pt. 9. p. 295—296).
Les noms latins ou latinisés que les familles ont reçus de divers
auteurs et que j’ai réunis sur les pages suivantes, y sont cités pour
chaque famille dans l’ordre chronologique. Cela permettra à tout le
monde de juger si les noms que j’ai fixés ainsi pour chaque famille,
sont bien choisis. Je pense que, en admettant la loi de la priorité
aussi pour les noms de familles, on pourra les adopter définitivement.
HETEROPTERA.
1. Plataspididæ.
Plataspidae Dall. List Hem. I. p. 61. (1851).
Megapeltidae trib. Plataspides Baer. Cat. Hem. Eur. p. 2. (1860).
Arthropteridae Fieb. Eur. Hem. p. 27. (1861).
Arthopterida St al Hem. Afr. I. p. 1. (1864).
Plataspidina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 611.
Pentatomides subfam. Arthropteridae Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 7. (1875.)
Pentatomidae subfam. Plataspina Stal Enum. Hem. Y. p. 3. (1876).
Pentatomides subfam. Plataspidae Put. Cat. Hém. ed. 3. p. 5. (1886).
Pentatomidae subfam. Plataspinae Dist. Trans. Ent. Soc. Lond. 1887.
p. 342.
Pentatomidae subfam. Plataspidae Leth. Sev. Cat. Hém. I. p. 1. (1893).
Pentatomidae subfam. Plataspidinae Dist. Faun. Brit. Ind. Rhynch.
I. p. 3. (1902).
Cimicidae subfam. Coptosominae Kirk. Cat. Hem. I. p. 316. (1909).
Genre typique: Plataspis Westw. 1837.
Kirkaldy a pensé que Plataspis Westw. n’est qu5un simple syno¬
nyme de Brachyplatys Boisd., il a donné par conséquent au genre
Plataspis des auteurs un nouveau nom, Libyaspis. La conséquence en
était qu’il se voyait obligé de changer aussi le nom de la famille pré¬
sente qu’il a considérée, d’accord avec la plupart des Hémiptéristes
récents, seulement comme une sous* famille des Pentatomides; il a
proposé le nom Coptosominae.
Cependant le Dr. E. Bergroth (Wien. Ent. Zeit. XX. V. 1906. p. 9)
a fait remarquer avec raison que Plataspis n’est pas identique à Bra-
ehyplatys, mais qu’il est un genre valable. On peut donc conserver à
juste titre aussi le nom, dérivé de Plataspis, que Dallas a imposé à
6
m G. HORVÁTH
cette famille et que les auteurs ont employé dès lors tantôt comme un
nom de famille, tantôt comme un nom de sous-famille.
2. Cydnidæ.
Cydnides Billberg Emim. Ins. p. 70. (1820).
Longiscuti trib. Coniscuti 2. Spinipedes Am. Serv. Hist, des Hém. p.
87. (1843).
Rhizocorisiae Kol. Mel. Ent. IV. p. 62. (1846).
Cy duini Schiödte Nat. Tidsskr. (2) II. p. 454. (1849).
Pentatomitae subfam. Cydnoideae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 30..
(1850).
Cydnidae Dall. List Hem. I. p. 109. (1851).
Scutelleridae subfam. Cydnini Costa Cim. Neap. TTL p. 72. (1852).
Megapeltidae trib. Cydnides Baer. Cat. Hem. Ear. p. 2. (1860).
Cydnida Stal Hem. Afr. I. p. 18. (1864).
Cydnina Stal Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1870. p. 614.
Pentatomides subfam. Pentatomidae trib. Cydnini Put. Cat. Hém. ed-
2. p. 9. (1875).
Pentatomidae subfam. Cydnina Stal Enum. Hem. Y. p. 17. (1876).
Corimelaenidae Uhl. Bull. U. S. Geol. Geogr. Surv. III. p. 365. (1877).
Pentatomidae subfam. Cydninae Dist. Biol. Centr.-Am. Bhynch. I. p..
1. (1880).
Pentatomidae subfam. Corimelaenidae Leth. Sev. Cat. Hém. I. p. 11.
(1893).
Pentatomidae subfam. Cydnidae Leth. Sev. Cat. Hém. I. p. 60. (1893).
Cimicidae subfam. Cydninae Kirk. Fauna Hawaiiens. HI. 2. p. 172.
(1902).
Thyreocoridae Eire. Canad. Ent. XL. p. 364. (1908).
Genre typique: Cydnus Fabr. 1803.
Le plus ancien genre de cette famille est Thyreocoris Schrk-
1801, c’est pourquoi Kirkaldy a proposé pour elle le nom Thyreo¬
coridae.1 Mais d’après la loi de la puorité, il faut conserver l’ancien
nom Cydnidae.
3. Pentatomidæ.
Corisiae Latr. Hist. nat. XII. p. 174. (1804).
Cimicides Fall. Spec. nov. Hem. disp, method, p. 3 et 4. (1814).
Pentatomides Leach Edinb. Encycl. IX. p. 121. (1815).
1 C’est probablement Mr. E. P. Yan Duzee qui a introduit la première fois;
le nom Thyreocoridae. (Bull. Buffalo Soc. Nat. Sc. VIII. 1907. No. 5. p. 5.)
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
7
Tetyraedes Billberg Enum. Ins. p. 71. (1820).
Geocorisae trib. Longilabra Latr. Fam. nat. p. 419. (1825).
Pentatomidae Steph. Cat. Brit. Ins. II. p. 837. (1829).
Aspidotae Burm. Revue ent. IL p. 11. (1834).
Scutati Burm. Handb. II. 1. p. 343. (1835).
Scutelleridae Westw. Cat. Hem. I. p. 2. (1837).
Scutellerini Costa Cim. Neap. I. p. 55. (1838).
Longiscuti Am. Serv. Hist, des Hém. p. 19. (1843).
Pentatomitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 26. (1850).
Megapeltidae Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Pachycoridae Dall. List Hem. I. p. 3. (1851).
Eurygastridae Dabl. List Hem. I. p. 43. (1851).
Podopidae Dall. List Hem. I. p. 51. (1851).
Odontoscelidae Dall. List Hem. I. p. 54. (1851).
Oxynotidae Dall. List Hem. I. p. 74. (1851).
Asopidae Dall. List Hem. I. p. 75. (1851).
Sciocoridae Dall. List Hem. I. p. 130. (1851).
Phloeidae Dall. List Hem. I. p. 149. (1851).
Halydidae Dall. List Hem. I. p. 150. (1851).
Edessidae Dall. List Hem. I. p. 316. (1851).
Phyllo cephalidae Dall. List Hem. I. p. 350. (1851).
Megymenidae Dall. List Hem. I. p. 362. (1851).
Scutelleroides St al Freg. Eug. resa, Ins. Hem. p. 219. (1859).
Scutelleridea Costa Add. Cim. Neap. p. 33. (1860).
Scutata Flor Rhynch. Livi. I. p. 63 et 66. (1860).
Megapeltidae Baer. Cat. Hem. Eur. p. 1. (1860).
Disco cephalidae Fieb. Eur. Hem. p. 26. (1861).
Tetyrae Fieb. Eur. Hem. p. 27. (1861).
Pentatomida St al Hem. Afr. I. p. 32. (1864).
Aeliidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 14. (1865).
Rhaphigastridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 16. (1865).
Cimices Schiödte Nat. Tidsskr. (3) YL p. 265. (1869).
Cimicina Stal Enum. Hem. I. p. 4, 21, 60 et 79. (1870).
Acanthosomidae Verhoeff Yerh. Nat. Yer. Preuss. Rheinl. (5) X. p.
372. (1893).
Tetyridae Yerhoefe Yerh. Nat. Yer. Preuss. Rheinl. (5) X. p. 372. (1893).
Cimicidae Kirk. Entomologist XXXII. p. 220. (1899).
Genre typique: Pentatoma Ol. 1789.
Le nom de cette grande famille dépend du choix de l’espèce que
l’on veut considérer comme type du genre Cimex Linn. Depuis Fabri¬
cius et Latreille les opinions sont partagées. Fabricius a réservé
le nom Cimex pour les Pentatomides des auteurs, Latreille au con¬
traire pour la fameuse Punaise de lit. En appliquant dans toute sa
8
DE G. HORVÁTH
rigueur la loi de la priorité, on devrait adopter la manière de voir de
Fabricius, mais mes savants collègues Reuter et Bergroth ont démon¬
tré que, dans ce cas, il vaut mieux suivre Latreille et prendre pour
le type du genre Cimex Linn, la Punaise de lit. (Y. pag. 17.)
Il en résulte que Kirkaldy avait tort de ressusciter pour cette
famille le nom Cimicidae et que c’est le nom Pentatomidae qui doit
rester.
4. Urostylidæ.
Urostylidae Dall. List Hem. I. p. 313. (1851).
Cimicina subfam. Urostyllna Stal Ôfv. Yet. Ak. Fërh. 1870. p. 641.
Pentatomidae subfam. Urolabidina St al Enum. Hem. Y. p. 115. (1876).
Pentatomides subfam. Pentatomidae trib. Urolabidini Put. Cat. Hém.
ed. 3. p. 15. (1886).
Pentatomidae subfam. Urolabidinae Dist. Trans. Ent. Soc. Lond. 1887.
p. 356.
Pentatomidae subfam. Urolabidae Leth. Sev. Cat. Hém. I. p. 247. (1893).
Pentatomidae subfam. Urolabina Uhl. Proc. U. S. Nat. Mus. XIX. p.
259. (1896).
Pentatomidae subfam. Urostylinae Dist. Faun. Brit. Ind. Rhynch. I.
p. 303. (1902).
Urolabididae Kirk. Canad. Ent. XL. p. 364. (1908).
Genre typique : Urosiylis Westw. 1837.
5. Coreidæ.
Coreides Leach Edinb. Encycl. IX. p. 121. (1815).
Cor eidae Steph. Cat. Brit. Ins. H. p. 340. (1829).
Coreodes Burm. Handb. II. 1. p. 299. (1835).
Coreini Costa Cim. Neap. I. p. 25. (1838).
Anisoscelini Costa Cim. Neap. I. p. 36. (1838).
Supericornes Am. Serv. Hist, des Hém. p. 183. (1843).
Coreitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 26. (1850).
Coreodea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Spartoceridae Dall. List Hem. II. p. 369. (1852).
Mictidae Dall. List Hem. H. p. 376. (1852).
Homoeoceridae Dall. List Hem. IL p. 437. (1852).
Anisoscelidae Dall. List Hem. IL p. 449. (1852).
Alydidae Dall. List Hem. II. p. 467. (1852).
Steno cephalidae Dall. List Hem. IL p. 480. (1852).
Rhopalidae Dall. List Hem. IL p. 520. (1852).
Mictididae Dohrn Cat. Hem. p. 23. (1859).
Coroidea Costa Add. Cim. Neap. p. 16. (1860).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
9
Coreida St al Hem. Afr. II. p. 1. (1865).
Corizidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 17. (1865).
Chorosomidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 17. (1865).
Corei Schiödte Nat. Tidsskr. (3) VI. p. 266. (1869).
Coreina Stal Emim. Hem. I. p. 125. (1870).
Nematopidae Scott Arm. Mag. Nat. Hist (4) XIV. p. 290. (1874).
Syromastidae Scott Ann. Mag. Nat. Hist. (4) XIV. p. 290. (1874).
Acantho cor idae Scott Ann. Mag. Nat. Hist. (4) XIV. p. 290. (1874).
Lygaeidae Kirk. Entomologist XXXII. p. 220. (1899).
Genre typique: Coreus Fabr. 1794.
Kirkaldy a pensé que le plus ancien genre de cette famille était
Lygaeus Fabr. Cette pensée l’a déterminé à remplacer le nom Coreidae
par Lygaeidae. Mais le Dr. E. Bergroth (Canad. Ent. XLI. 1909. p.
405.) a fait remarquer à juste titre que la première description de
Coreus Fabr. se trouve dans le même ouvrage (1794) quelques pages
avant celle de Lygaeus Fabr. et que le premier genre est par consé¬
quent plus ancien que le second ; il n’y a donc aucune raison de chan¬
ger l’ancien nom de cette famille, même si on admettait avec Kirkaldy
le principe du plus ancien genre.
6. Pyrrhocoridæ.
Caecigenae Am. Serv. Hist, des Hém. p. 265. (1843).
Lygaeidae subfam. Astemmini Costa Cim. Neap. IH. p. 69. (1852).
Coecigeni H.-Sch. Wanz. Ins. IX. p. 84 et 173. (1853).
Cecigenae Stal Freg. Eug. resa, Ins. Hem. p. 253. (1859)..
Pyrrhocoridae Dohrn Cat. Hem. p. 36. (1859).
Largidae Dohrn Cat. Hem. p. 37. (1859).
Coecigena Flor Rynch. Livi. I. p. 64 et 209. (1860).
Pyrrhocorida Stal Hem. Afr. III. p. 1. (1865).
Lygaeidae A. Pyrrhocorides Put. Cat. Hém. ed. 1. p. 11. (1869).
Pyrrhocorina Stal Enum. Hem. I. p. 90. (1870).
Lygaeidae subfam. Pyrrhocorina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1872. p. 40.
Lygaeides trib. Pyrrhocorini Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 27. (1875).
Pyrrhocorides Voll. Hem. Het. Neerland. p. 8. (1878).
Pyrrhocoridea Voll. Hem. Het. Neerland. p.' 85. (1878).
Genre typique: Pyrrhocoris Fall. 1814.
D’après ce qui précède, c’est le nom Astemmini de Costa qui
aurait ici la priorité. Cependant le genre Astemma Lep. Serv. n’étant
qu’un synonyme de Pyrrhocoris Fall., il ne peut pas servir à la dé-
nomination de la famille et le nom plus récent de Pyrrhocoridae doit
prévaloir.
10
Dì G. HORVÁTH
7. Lygæidæ.
Lygaeides Schill. Beitr. I. p. 35 et 37. (1829).
Lygaeodes Burm, Handb. II. 1. p. 279. (1835).
Lygaeini Costa Cim. Neap. I. p. 38. (1838).
Lygaeidae Westw. Introd. II. p. 122. (1840).
Infericornes Am. Serv. Hist, des Hém. p. 248. (1843).
Lygaeitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 26. (1850).
Lygaeodea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Lygaeidea Costa Add. Cim. Neap. p. 16. (1860).
Rhy paro ehr omidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 20. (1865).
Phygadicidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 21. (1865).
Henestaridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 22. (1865).
Cymidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 22. (1865).
Lygaeida Stal Hem. Afr. H. p. 120. (1865).
Lygaei Schiödte Nat. Tidsskr. (3) YI. p. 266. (1869).
Lygaeina Stal Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1870. p. 659.
Blissidae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 19. (1876).
Myodochidae Kirk. Entomologist XXXII. p. 220. (1899).
Geocoridae Kirk. Jonrn. Bombay Nat. Hist. Soc. XIY. p. 306. (1902).
Genre typique: Lygaeus Fabr. 1794.
Cette famille avait depuis 1829 son nom que personne n’a con¬
testé jusqu’en 1899. C’est cette année que Kirkaldy a commencé la
publication de ses recherches sur la nomenclature des Hémiptères et
une des premières victimes de son zèle de réformateur a été le nom
de la famille des Lygaeidae.
Reuter a émis déjà en 1882 (Wien. Ent. Zeit. I. p. 303) l’opi¬
nion que le type du genre Lygaeus Fabr. est le Lygaeus valgus Fabr.,
une espèce du genre actuel Hoplopterna Stal qui appartient aux Co¬
réides. Reuter s’est borné alors à signaler ce fait sans en tirer de
conséquences ultérieures. Il a déclaré au contraire (Revisio syn. Hem.
pal. 1888. p. 179) que le nom Lygaeus ne doit pas être rapporté aux
Coréides, mais qu’il faut le conserver dans le sens généralement admis.
Kirkaldy était moins scrupuleux et s’est empressé de faire cette trans¬
position. La conséquence naturelle en fut que la famille des Coréides
reçut le nom Lygaeidae et que celle des anciens Lygéides est restée
sans nom. Le vaillant réformateur de la nomenclature des Hémiptères
se voyait ainsi obligé de créer pour la pauvre famille devenue anonyme
un nouveau nom. Dans ce but il s’est mis à la recherche du genre le
plus anciennement décrit de la famille. Cependant il faut constater
qu’il n’eut pas beaucoup de chance dans cette quête, car dans le
courant de dix ans (1899 — 1908) il a dû changer six fois la dénomi-
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
11
nation dé la famille. Ainsi il nous a présenté successivement les noms
Myodochidae (1899), Geocoridae (1902), Pyrrhocoridae (1903), Myodo-
chidae (juillet 1907) et Geocoridae (octobre 1907) pour revenir à la fin
de nouveau aux Myodochidae (1908). Le nom de cette famille serait
donc d’après Kirkaldy, à l’heure qu’il e fi, Myodochidae.
Je regrette bien de ne pouvoir me joindre à cette manière de
voir quoique elle soit adoptée déjà par plusieurs Hémiptéristes parmi
lesquels se trouvent aussi les deux autorités les plus compétentes en
cette matière, mes amis Bergroth et Reuter. La remarque de ce der¬
nier (Neue Beiträge zur Phylogénie und Systematik der Miriden 1910.
p. 2) est parfaitement juste que ce serait une absurdité de nommer cette
famille Lygaeidae malgré que Lygaeus est un genre des Coréides. Mais
est-ce que c’est vraiment à un genre des Co réides qu’il faut appliquer
le nom Lygaeus 2
Pour résoudre la question, examinons d’abord si le genre Lygaeus
Fabr. appartient aux Lygéides ou bien aux Coréides et si c’est en effet
L. valgus qui en est le type.
Nous savons que Fabricius et ses contemporains n’avaient pas en¬
core indiqué «expressis verbis» Ls types de leurs genres. Ils n’avaient
pas encore une notion de l’espèce typique ou du moins pas telle
que nous la comprenons aujourd’hui. Pour les Hémiptères c’est seu¬
lement en 1832 que Laporte a commencé dans le sens actuel la fixa¬
tion des types. Ceux des genres décrits avant 1832 n’ont été fixés que
postérieurement. Ne connaissant pas les intentions des anciens auteurs,
les successeurs ont eu le droit d’agir à leur gré et de désigner comme
type n’importe quelle espèce du genre. Quant aux types génériques de
Fabricius, on a pensé en avoir trouvé un bon indice dans le fait
qu’il y a dans la plupart de ses genres une espèce dont la description
contient aussi certains caractères morphologiques (génériques). Mon
collègue Reuter croit que ces espèces sont bien sûrement les types des
genres respectifs. Je dois avouer que je suis un peu sceptique. Il me
semble assez arbitraire d’attribuer à un auteur une idée qui n’a pris
corps que 30 ans plus tard.
Mais admettons que Fabricius ait voulu désigner par l’addition
des caractères morphologiques peut-être les types génériques. Comment
peut-on expliquer alors que dans quelques genres il n’ait distingué de
cette manière aucune espèce? Pourquoi aurait-il laissé ces genres sans
types ?
Une autre objection que l’on peut faire particulièrement au sujet
du genre Lygaeus, justifie encore davantage notre scepticisme. En 1794
c’était le Lygaeus valgus auquel Fabricius conférait la distinction des
Dl G. HORVÁTH
12
caractères morphologiques, tandis qu’en 1803 ce n’est plus cette espèce,
mais le Lygaeus tenebrosus qui obtient cet honneur. Fabricius aurait
donc changé au bout de 7 ans le type du genre. Gela serait vraiment
fort curieux et nous causerait un nouvel embarras, car il resterait à
résoudre, si c’est le genre Hoplopterna Stíl ou bien Midis Leach qui
doit porter légitimement le nom Lygaeus Fabr. Voilà un cas qui n’est
pas si simple et qui me paraît du moins douteux.
Au lieu d’attribuer aux anciens auteurs des intentions qui leur
étaient peut-être bien étrangères, je pense qu’il vaut mieux ne pas se
laisser entraîner par des suppositions plus ou moins vagues et rester
sur le terrain des faits authentiques. Dans ce cas spécial nous ignorons
l’intention de Fabricius; mais il est de toute certitude que c’est le
Lygaeus familiaris Fabr. ( leucopterus Goeze) qui a été fixé en 1832 la
première fois expressément comme l’espèce typique du genre Lygaeus
Fabr. et que c’est le même genre qui a donné à cette famille son nom
généralement connu et non contesté pendant 70 ans. Il serait vraiment
peu justifié de sacrifier au fantôme de la théorie ces vérités pratiques.
La question du nom générique Lygaeus est un de ces cas exceptionnels
où la loi de la priorité à outrance doit céder le pas au simple bon sens.
Il en résulte en même temps que la présente famille doit con¬
server son ancien nom légitime qui lui a été imposé déjà en 1829 par
Schilling.
Encore deux mots sur le nom Myodochidae.
Kirkaldy a dérivé ce nom du genre Myodochus Ol. qu’il a pris,
comme plusieurs auteurs précédents, pour un genie des Lygéides quoiqu’il
appartienne incontestablement aux Coréides. Cette confusion provient
de la supposition erronnée que Myodochus Ol. est un genre différent
de Myodocha Latr. Cependant je vais démontrer que les deux genres
sont tout-à-fait identiques et qu’aucun d’eux ne peut rentrer dans la
famille des Lygéides.
Le genre Myodocha a été établi en 1807 par Latreille pour
trois espèces: tipuloides De Geer, trispinosa De Geer et fulvipes De
Geer dont les deux premières sont des Coréides (Leptocorisa, Cydamus)
et la troisième un Lygéidé (Ischnodemus) . Olivier a décrit en 1811
de nouveau ce genre (Enc. Méth. VIII. p. 104 et 105), mais le hasard
a voulu que le nom générique qui est indiqué dans la description
(p. 104) comme Myodocha Latr., se soit transformé dans la diagnose
(p. 105) en Myodochus Latr. On sait qu Olivier a donné pour tous
les genres décrits dans l’Encyclopédie Méthodique d’abord une descrip¬
tion plus ou moins longue et à la page suivante une courte diagnose
suivie de la description des espèces. Aussi le genre Myodocha n’y fait
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
13
pas exception, et il est de tonte évidence que c’est le plus pur hasard
qui seul a causé la fatale métamorphose du nom Myodocha en Myo-
dochus. Amyot et Serville (Hist, des Hém. p. 257) ont déjà reconnu
l’identité de ces deux genres ou plutôt de et s deux noms, mais ils
ont commis la faute de suivre Laporte et de prendre pour le type
du genre justement M. serripes Ol., une espèce qui ne fait pas partie
du genre original de Latreille, mais qui n’y a été placée que par
Olivier. C’est bien un Lygéide et qui appartient au genre Chiroleptes
Kirby.
11 est donc certain qu’il faut rapporter Myodochus Ol. aussi bien
aux Coréides que son original Myodocha Latr. Ce nom n’a rien à
chercher parmi les Lygéides et ne peut pas servir à la dénomina¬
tion de leur famille. Je ne doute guère que si la mort n’avait pas
enlevé prématurément notre collègue Kirkaldy, il se serait trouvé bien¬
tôt dans la nécessité de débaptiser encore une septième fois cette famille
qu’il a voulu priver si impitoyablement de son ancien nom.
8. Colobathristidæ.
Lygaeida subfam. Colob athristida Stal Hem. Afr. IL p. 121. (1865).
Lygaeina subfam. Colob athristina Stal Öfv. Vet. Ak. Förh. 1870. p. 664
Lygaeidae subfam. Colob athristinae Horv. Ann. Mus. Hung. II. p. 117.
(1904).
Colob athristidae Berge. Ann. Soc. Ent. Belg. LIY. p. 297. (1910).
Genre typique: Colob athris tes Burm. 1835.
9. Berytidæ.
Berytidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
.Coreidae subfam. Berytini Costa Cim. Neap. IH. p. 67. (1852).
Berytideae Fieb. Wien. Ent. Monatschr. III. p. 200. (1859).
Berytidae Fieb. Eur. Hem. p. 26. (1861).
Metacanthidae Hougl. Scott Brit. Hem. I. p. 19. (1865).
Lygaeidae subfam. Berytina Stal Enum. Hem. IV. p. 127. (1874).
Berytides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 18. (1875).
Coreidae subfam. Beiptinae Uhl. Bull. U. S. Geol. Geogr. Surv. III.
p. 406. (1877).
Neididae Beut. Phyl. Syst. Mirid. p. 77. (1910).
Genre typique : Berytus Fabr. 1803.
14
Di G. HORVÁTH
10. Piesmidæ.
Ductirostri trib. Membranacei 2. Piesmides Am. Sérv. Hist, des Hém.
p. 300. (1843).
Zosmenidae Hohen Cat. Hem. p. 41. (1859).
Zosmeridae Hougl. Scott Brit. Hem. I. p. 22. (1865).
Piesmidae Walk. Cat. Hem. YI. p. 175. (1873).
Tingitidae subfam. Piesmina Stal Enum. Hem. III. p. 115. (1873).
Tingitides subfam. Piesmidae Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 28. (1875).
Tingitides trib. Picsmini Put. Syn. Hém. de France I. p. 84. (1879).
Tingididae subfam. Piesmina Saund. Hem. Het. Brit. Isl. p. 120. (1892).
Tingidae subfam. Piesmidae Leth. Sev. Cat. Hém. HI. p. 1. (1896).
Tingitidae subfam. Piesminae Horv. Ann. Mus. Hung. IY. p. 2. (1906).
Genre typique : Piesma Lep. Sérv. 1825.
Zosmenus Lap. n’èst qu’un simple synonyme de Piesma Lep.
Sérv. et ne peut servir, par conséquent, à la dénomination de la famille.
. : •" •
11. Tingitidæ.
Geocorisae trib. Membranaceae Late. Fam. nat. p. 422. (1825).
Membranacei Burm. Handb. H. 1. p. 249. (1835).
Tingini Costa Cim. Neap. I. p. 20. (1838).
Tingidae Westw. Introd. II. p. 120. (1840).
Ductirostri trib. Membranacei 1. Tingides Am. Sérv. Hist, des Hém.
p. 295. (1843).
Tingideae Fieb. Ent. Mon. p. 27. (1844).
Ductirostri Sahlb. Mon. Geoc. Fenn. p. 125. (1848).
Tingiditae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Tingididea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Piesmidae Hohen Cat. Hem. p. 42. (1859).
Tingitidea Costa Add. Cim. Neap. p. 6. (1860).
Tingididae Fieb. Eur. Hem. p. 24. (1861).
Agrammidae Hougl. Scott Brit. Hem. I. p. 24. (1865).
Tingidida Stal Hem. Afr. HI. p. 25. (1865).
Tingina Stal Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1870. p. 671.
Tingitidae Stal Enum. Hem. III. p. 115. (1873).
Tingitides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 28. (1875).
Tingidides Voll. Hem. Hét. Neerland. p. 9. (1878).
Genre typique: Tingis Farr. 1803.
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
15
12. Âradidæ.
Aradini Costa Cim. Neap. II. p. 15. (1843).
Ductirostri trib. Corticicolae Am. Serv. Hist, des Hém. p. 303, (1843).
Araditae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Aradoidea Fies. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Aradidae Costa Cim. Neap. HI. p. 67. (1852).
Corticicolae H.-Sch. Wanz. Ins. IX. p. 139. (1853).
Brae hyrhynchidae Dohrn Cat. Hem. p. 43. (1859).
Aradidea Costa Add. Cim. Neap. p. 6. (1860).
Aneuridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 26. (1865).
Aradida Stal Hem. Afr. IH. p. 30. (1865).
Aradina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 671.
Aradides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 31. (1875).
Genre typique! Aradus Fabr. 1803.
13. Joppeicidæ.
Joppeicidae Beut. Phyll. Syst. Mirid. p. 75. (1910).
Genre typique: Joppeicus Put. 1881.
14. Henicocephalidæ.
Enico cephalida Stal Rio Hem. I. p. 81. (1860).
Henicocephalida Stal Hem. Afr. PH. p. 165. (1865).
Henicocephalidae Berg Hem. Argent, p. 180. (1879).
Reduvides trib. Henicocephalini Put. Cat. Hém. ed. 4. p. 51. (1899).
Enico cephalidae Kire. Canad. Ent. XL. p. 360. (1908).
Genre typique: Henicocephalus (Westw. 1837) Stal 1865.
15. Phymatidæ.
Phymatini Costa Cim. Neap. I. p. 19. (1838).
Ductirostri trib. Spissipedes Am. Sery. Hist, des Hém. p. 288. (1843).
Phymatitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Phymatodea Fier. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Phymatidae Costa Cim. Neap. HI. p. 67. (1852).
Spissipedes H. -Sch. Wanz. Ins. IX. p. 83 et 136. (1853).
Macro cephalidae Hohen Cat. Hem. p. 41. (1859).
Spissipeda Flor Rhynch. Livi. I. p. 65 et 398. (1860).
Phymatida Stal Hem. Fabr. I. p. 93. (1868).
Phymatides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 31. (1875).
Genre typique : Phymata Latr. 1 802.
16
Dì G. HORVÁTH
16. Reduviidae.
Cimicides I. Reduvini Latr. Gen. Crust. Ins. III. p. 126. (1807).
Geocorisae trib. Nudicollcs Latr. Farn. nat. p. 423. (1825).
Reduviidae Steph. Cat. Brit. Ins. II. p. 350. (1829).
Reduvini Burm. Handb. II. 1. p. 218. (1835).
Nudir ostri Am. Serv. Hist, des Hém. p. 314. (1843).
Reduvitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Reduvidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Holoplilidae Dohrn Cat. Hem. p. 44. (1859).
Lophocephalidae Dohrn Cat. Hem. p. 44. (1859).
Sycanidae Dohrn Cat. Hem. p. 44. (1859).
Harpactoridae Dohrn Cat. Hem. p. 44. (1859).
Saccoderidae Dohrn Cat. Hem. p. 47. (1859).
Haematocharidae Dohrn Cat. Hem. p. 47. (1859).
Tagalidae Dohrn Cat. Hem. p. 47. (1859).
Stenopodidae Dohrn Cat. Hem. p. 47. (1859).
Ectrichodidae Dohrn Cat. Hem. p. 49. (1859).
Apiomeridae Dohrn Cat. Hem. p. 50. (1859).
Piratidae Dohrn Cat. Hem. p. 50. (1859).
Emesidae Dohrn Cat. Hem. p. 52. (1859).
Emesidea Costa Add. Cim. Neap. p. 10. (1860).
Reduvina Flor Bhynch. Livi. I. p. 66 et 675. (1860).
Emesina Dohrn Linnaea ent. XIV. p. 206. (1860).
Reduvidae Baer. Cat. Hem. Eur. p. 21. (1860).
Reduviae Fieb. Eur. Hem. p. 25. (1861).
Reduviida Stal Hem. Afr. III. p. 43. (1865).
Reduvii Schiödte Nat. Tidsskr. (3) VI. p. 266. (1869).
Reduviina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 675.
Macropidae Walk. Cat. Hem. VII. p. 45. (1873).
Salyavatidae Walk. Cat. Hem. VH. p. 45. (1873).
Zelidae Walk. Cat. Hem. VII. p. 45. (1873).
Holotrichidae Walk. Cat. Hem. VH. p. 46. (1873).
Rphaeridopidae Walk. Cat. Hem. VIL p. 46. (1873).
Conorhinidae Walk. Cat. Hem. VIL p. 46. (1873).
Reduvides Leth. Cat. Hém. du Nord. ed. 2. p. 42. (1874).
Genre typique: Reduvius Fabr. 1775.
17. Nabidae.
Reduviidae subfam. Nabini Costa Cim. Neap. IH. p. 66. (1852).
Nabidae Dohrn Cat. Hem. p. 51. (1859).
Nabida Stíl Hem. Afr. III. p. 37. (1865).
Reduvidae subfam. Nabidae Put. Cat. Hém. ed. 1. p. 36. (1869).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES. H
Nabina Stal Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1870. p. 674.
Red avides subfam. Nahidae Put. Gat. Hém. ed. 2. p. 49. (1875).
Reduvides trib. Nahini Put. Syn. Hém. de France, I. p. 162. (1880)..
Reduviidae subfam. Nabinae Kire. Fauna Hawaiiens. HI. 2. p. 153. (1902).
Reduviidae subfam. Nabidinae Dist. Fauna Brit. Ind. Rhynch. II. p. 389.
(1904).
Genre typique: Nabis Latr. 1802.
18. Cimicidæ.
Cimicides Late. Hist. nat. Xn. p. 235. (1804).
Cimicides II. Achantillae Late. Gen. Crust. Ins. HI. p. 135. (1807)..
Cimicides I. Cimicida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 122. (1815).
Cimicidae Steph. Cat. Brit. Ins. H. p. 335. (1829).
Ductirostri trib. Lecticolae Am. Serv. Hist, des Hém. p. 309. (1843).
Cimicidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Acanthiidae Costa Cim. Neap. III. p. 67. (1852).
Acanthidae Dohén Cat. Hem. p. 44. (1859).
Acanthiadae Fieb. Eut. Hem. p. 24. (1861).
Acanthiida Stal Hem. Afr. HI. p. 24. (1865).
Anthocoridae C. Acanthides Put. Cat. Hém. ed. 1. p. 33. (1869).
Acanthiae Schiôdte Nat. Tidsskr. (3) YI. p. 266. (1869).
Acanthiidae subfam. Acanthiina Reut. Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1871. p. 407.
Anthocorides subfam. Cimicidae Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 47. (1875).
Cimicidae subfam. Cimicina Reut. Bihang Yet.-Akad. Handl. HI. L
p. 4. (1875).
Cimicides trib. Cimicini Put. Cat. Hém. ed. 3. p. 42. (1886).
Acanthiidae subfam. Cimicina Uhl. Check-List p. 21. (1886).
Cacodmidae Kire. Bull. Liverpool Mus. II. p. 45. (1899).
Miridae subfam. Cacodminae Kire. Fauna Hawaiiens. HL 2. p. 129.
(1902).
Clino coridae Kire. Trans. Am. Ent. Soc. XXXH. p. 147. (1906).
Genre typique: Cimex Linn. 1758.
Un examen de la synonymie exposée ci-dessus nous permettra
de distinguer assez nettement les diverses phases que la nomenclature
de cette famille a parcourues pendant un siècle. Ces phases correspon¬
dent à peu près aux changements que le nom générique du type de la
famille, c’est à dire le nom de la Punaise de lit, a dû subir de temps
en temps. Ce nom générique qui était au début Cimex , plus tard Acan -
thia, puis de nouveau Cimex , pour un court intervalle Klinophilos et
à la lin Clino coris , a été déjà à plusieurs reprises l’objet de savantes
discussions sans qu’on ait pu s’accorder définitivement. La diver¬
gence des opinions trouve son origine dans la circonstance que Fabri -
2
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX.
18
D? G. HORVÁTH
gius et Latreille, les deux premiers démembreurs du genre Cimex
Linn., ont fait ce démembrement dans deux sens différents. Fabricius
(1775) a réservé le nom Cimex pour les Pentatomides et voisins, tandis
que Latreille (1802) a fixé ce nom pour la Punaise de lit. D’après
la stricte loi de priorité, c’est le démembrement de Fabricius qu’il
faudrait adopter et on devrait évidemment nommer Cimex un genre des
Pentatomides actuels. Cependant d’autres ont pensé que le nom Cimex
convient le mieux à la Punaise «par excellence», c’est pourquoi ils ont
adopté la manière de voir de Latreille. Yoilà l’origine de la contro¬
verse séculaire.
Après de longues et mûres reflexions, je me suis décidé à suivre
le «bon sens» de Latreille. Mes excellents amis Beuter et Bergroth
sont du même avis. Je pense aussi que, au moins dans ce cas, on doit
tolérer une exception à la loi de priorité et qu’il faut conserver pour
notre fameuse co-locataire le nom Cimex lectularius. Le Dr. Bergroth
a encore apporté à l’appui de cette dénomination un nouvel argu¬
ment qu’il a trouvé dans un ouvrage botanique de Linné et qui me
paraît très-important. Linné, en traitant des règles de la nomenclature
botanique, a proclamé aussi le principe suivant: «Si genus receptum,
secundum jus naturae et artis, in plura dirimi debet, tunc nomen antea
commune manebit vulgatissimae et officinali plantae». Le Dr. Bergroth
fait remarquer avec raison qu’on ne peut nullement douter que Linné
ait reconnu la portée de ce principe aussi pour la nomenclature zoolo¬
gique et que s’il avait démembré lui-même son genre Cimex, il l’aurait
réservé bien sûrement à la Punaise de lit. (Beuter, Neue Beiträge zur
Phylogénie und Systematik der Miriden. 1910. p. 2.)
Cet argument est tellement concluant qu’on peut espérer que le
nom de Cimex lectularius sera maintenant définitivement arrêté et qu’il
restera dorénavant à l’abri des attaques des partisans de la priorité
absolue. Cette loi sera respectée suffisamment par le choix que nous
avont fait du plus ancien nom proposé pour la famille, le nom Cimicidae.
19. Polyctenidae.
Polyctenidae Westw. Thesaur. Ent. Oxon. p. 197. (1874).
Genre typique: Polyctenes Giglioli 1864.
20. Anthocoridae.
Infericornes 3. Anthocorides Am. Serv. Hist, des Hém. p. 262. (1843).
Anthocoridea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Anthocoridae Dall. List. Hem. H. p. 587. (1852).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
19
Lygaeidae subfam. Anthocorini Costa Cim. Neap. III. p. 69. (1852).
Xylocorides H.-Sch. Wanz. Ins. IX. p. 84 et 169. (1853).
Anthocorida Stal Hem. Afr. IH. p. 23. (1865).
Acanthiidae subfam. Anthocorina Beut. Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1871. p. 409.
Cimicidae subfam. Anthocorina Stal Enum. Hem. IH. p. 101. (1873).
Anthocorides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 46. (1875).
Çimcides trib. Anthocorini Put. Cat. Hém. ed. 3. p. 43. (1886).
Miridae subfam. Anthocorinae Kire. Fauna Hawaiiens. HL 2. p. 125.
(1902).
Genre typique: Anthocoris Fall. 1814.
21. Microphysidae.
Microphysidae Hohen Cat. Hem. p. 36. (1859).
Anthocoridae trib. Microphysides Baer. Cat. Hem. Eur. p. 12. (1860).
Microphysae Fieb. Eur. Hem. p. 24. (1861).
Anthocoridae B. Microphysides Put. Cat. Hém. ed. 1. p. 34. (1869).
Acanthiidae subfam. Microphysina Reut. Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1871. p. 421.
Cimicidae subfam. Anthocorina div. Microphysaria Reut. Bihang Vet.-
Ak. Hand! III. 1. p. 61. (1875).
Anthocoridae subfam. Microphysinae Reut. Mon. Anthocorid. p. 169.
<1884).
Cimicidae subfam. Microphysina Saund. Hem. Hét. Brit. Isi. p. 186. (1892).
Anthocoridae subfam. Microphysidae Leth. Sev. Cai Hém. III. p. 254.
<1896).
Anthocoridae subfam. Microphysinae Kire. Trans. Am. Ent. Soc.
XXXII. p. 122. (1906).
Genre typique: Microphysci Westw. 1834.
22. Termatophylidae.
Anthocoridae subfam. Ter matophy lina Reut. Wien. Ent. Zeit. IH p.
■218. (1884).
Anthocoridae subfam. Termatophylidae Leth. Sev. Cat. Hém. III. p.
■253. (1896).
Anthocoridae subfam. Termatophylinae Eire. Trans. Am. Ent. Soc.
XXXH. p. 122. (1906).
Termatophylidae Reut. Phyl. Syst. Mirid. p. 70. (1910).
Genre typique : Termatophylum Reut. 1884.
2*
20
Dï G. HORVÁTH
23. Capsidae.
Capsini Burm. Handb. II. 1. p. 263. (1835).
Capsidae Westw. Introd. II. p. 121. (1840).
Bicelluli Am. Sérv. Hist, des Hém. p. 275. 1843).
Capsitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 26. (1850).
Phytocoridea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Astemmites Gorski Anal. p. 21. (1852).
Miridae Dohrn Cat. Hem. p. 37. (1859).
Capsidea Costa Add. Cin. Neap. p. 20. (1860).
Capsina Flor Bhynch. Livi. I. p. 64 et 404. (1860).
Phytocoridae Fieb. Enr. Hem. p. 26. (1861).
Bryocoridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 28. (1865).
Pithanidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 28. (1865).
Deraeocorida Dougl.' Scott Brit. Hem. I. p. 29. (1865).
Litosomidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 30. (1865).
Phylidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 30. (1865).
Camaronotidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 30. (1865).
Glohicepidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 31. (1865).
Idolocoridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 31. (1865).
Oncotylidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 32. (1865).
Psallidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 32. (1865).
Lygidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 33. (1865).
Harpoceridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 33. (1865).
Myrmicocoridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 34. (1865).
Lopidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 34. (1865).
Dichrooscytidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 34. (1865).
Halticocoridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 35. (1865).
Stiphrosomidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 35. (1865).
Capsida Stal Hem. Afr. IH. p. 17. (1865).
Capsina Stal Öfv. Yel-Ak. Förh. 1870. p. 667.
Cimidae subi am. Capsina Beut. Bihang Vet.-Ak. Hand!. HI. 1. p. 4.
(1875).
Capsides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 32. (1875).
Pilophoridae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 34. (1876).
Bothynotidae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 47. (1876).
Eroticoridae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 47. (1876).
Genre typique: Capsus Fare. 1803.
24. Isometopidae.
lsometopidae Fieb. Wien. Eni Monatschr. IY. p. 259. (1860).
Capsidae trib. Cephalo corides Baer. Cat. Hem. Eur. p. 12. (I860).
Capsidae A. Isometopides Put. Cai Hém. ed. 1. p. 20. (1869).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
21
Cimicidae subfam. Capsina div. Isometoparia Reut. Bihang Vet.-Ak.
Handl. HI. 1. p. 7. (1875).
Capsides subfam. Isometopidae Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 45. (1875).
Capsides trib. I sometopini Put. Cat. Hém. ed. 3. p. 63. (1886).
Capsidae subfam. Isometopinae Dist. Faun. Brit. Ind. Rhynch. IL p.
483. (1904).
Miridae subfam. Isometopinae Kirk. Trans. Am. Ent. Soc. XXXH. p.
122. (1906).
Genre typique: Isometopus Fieb. 1860.
25. Dipsocoridae.
Dipsocoridae Dohrn Cat. Hem. p. 36. (1859).
Ceratocombidae Fier. Eur. Hem. p. 25. (1861).
Anthocoridae D. Ceratocombides Put. Cat. Hém. ed. 1. p. 34. (1869).
Acanihiidae subfam. Ceratocombina Reut. Öfv. Vet-Ak. Förh. 1871. p. 405.
Cimicidae subfam. Ceratocombina Stal Enum. Hem. HT. p. 103. (1873).
Anthocorides subfam. Ceratocombidae Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 48. (1875).
Cimicides trib. Ceratocombina Put. Cat. Hém. ed. 3. p. 42. (1886).
Cerato campidae Ashmead Ent. Amer. IV. p. 68. (1888).
Genre typique: Dipso coris Halid. 1855 (Ceratocomb us Fieb. 1861).
26. Schizopteridæ.
Ceratocombidae subfam. Schizopterina Reut. Mon. Ceratocomb. p. 14.
(1891).
Ceratocombidae subfam. Schizopterinae Kirk. Trans. Am. Ent. Soc. XXXII.
p. 148. (1906).
Schizopteridae Reut. Phyl. Syst. Mirid. p. 68. (1910).
Genre typique: Schizoptera Fieb. 1860.
27. Hebridæ.
Ductirostri trib. Ripicolae Am. Serv. Hist, des Hém. p. 293. (1843).
Hebroidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Hebridae Dohrn Cat. Hem. p. 41. (1859).
Hydrometridae trib. Hebrides Baer. Cat. Hem. Eur. p. 23. (1860).
Hebrides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 31. (1875).
Hebroides Voll. Hem. Het. Neerland. p. 9 et 287. (1878).
Naeogeidae Kirk. Fauna Hawaiiens. III. 2. p. 168. (1902).
Genre typique : Hebrus Curt. 1 833.
Kirkaldy s’ est empressé de débaptiser aussi cette famille. Il a pro¬
posé pour elle le nom Naeogeidae sous le prétexte que le genre le
22
Di G. HORVATH
pins anciennement décrit de la famille est Naeogeus Lap. 1832, dont
Hebrus Curt, ne serait qu’un synonyme. J’ignore qui fut le premier
à établir cette synonymie, mais j’ai la ferme conviction qu’elle est
absolument fausse. Naeogeus doit avoir des antennes quadriarticulées,
la membrane blanche et doit vivre «dans la terre au pied des arbres»,
c’est donc évidemment un insecte qu’on ne peut identifier nullement
aux Hebrus.
Si les types de Naeogeus erythrocephalus Lap. n’existent plus, on
peut à peine espérer reconnaître jamais cette espèce.
28. Mesoveliidæ.
Hydrometrides trib. Mesovelini Put. Syn. Hém. de France I. p. 145.-
(1879).
Hydrometridae snbfam. Mesoveliina Reut. Ent. Tidskr. III. p. 165. (1882).
Hydrometridae subfam. Mesovelidae Leth. Sev. Cat. Hém. ni. p. 53.
(1896).
Gerridides trib. Mesovelini Put. Cat. Hém. ed. 4. p. 44. (1899).
Gerridae snbfam. Mesoveliinae Kjrk. Trans. Am. Ent. Soc. XXXII. p. 156.
(1906).
Mesoveliadae Reut. Phyl. Syst. Mirid. p. 67. (1910).
Genre typique: Mesovelia Muls. Rey 1852.
29. Hydrometridae.
Hydrometr aedes Billberg Enum. Ins. p. 67. (1820).
Hydrometridae Steph. Cat. Brit. Ins. H. p. 352. (1829).
Hydrometrini Costa Cim. Neap. I. p. 11. (1838).
Nudirostri trib. Stagnigradi Am. Serv. Hist, des Hém. p. 398. (1843).
Limnobatidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Hydrometridae trib. Limnobatides Baer. Cat. Hem. Eur. p. 24. (1860)o
Limnobatidae Fieb. Eur. Hem. p. 23. (1861).
Hydrometrida Stal Hem. Afr. HL p. 166. (1865).
Hydrometrae Schiôdte Nat. Tidsskr. (3) YI. p. 266. (1869).
Hydrometrina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 705.
Hydrometrides trib. Limnobatini Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 52. (1875).
Gerridides trib. Hydrometrini Put. Cat. Hém. ed. 4. p. 44. (1899).
Gerridae subfam. Hydrometrinae Kirk. Trans. Am. Ent. Soc. XXXH.
p. 156. (1906).
Genre typique: Hydrometr a Latr. 1796.
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
23
30. Gerridæ.
Ploteres Late. Hist. nat. XII. p. 263. (1804).
Cimicides IL Ploteres Late. Gen. Crust. Ins. III. p. 130. (1807).
Cimicides H. Gerrida Leach Edinb, Encycl. IX. p. 123. (1815).
Hydrodromici Buem. Handb. IL 1. p. 206. (1835).
Hydrometridea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Gerridae Dohén Cat. Hem. p. 53. (1859).
Hydrometridae trib. Ploteres Baee. Cat. Hem. Eur. p. 23. (1860).
Hydrometrae Fieb. Eur. Hem. p. 24. (1861).
Hydrometridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 4L (1865).
Hydrobatida St al Hem. Afr. III. p. 168. (1865).
Hydrobatina St al Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 705.
Hydrometrides trib. Hydrometrini Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 52. (1875).
Hydrometrides trib. Gerridini Put. Syn. Hém. de France I. p. 152.
(1879).
Gerrides Sahlb. Medd. Soc. Faun. Flor. Fenn. 1881. No 7. p. 97.
Hydrometridae subfam. Gerridina Beut. Ent. Tidskr. HI. p. 165. (1882).
Hydrobatidae Uhl. Check-List p. 26. (1886).
Gerrididae Haglund Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1895. p. 477.
Hydrometridae subfam. Gerridae Leth. Sev. Cat. Hém. HI. p. 59. (1896).
Gerridides Put. Cat. Hém. ed. 4. p. 44. (1899).
Genre typique: Gerris Fabr. 1794.
31. Veliidæ.
Velidae Dohén Cat. Hem. p. 53. (1859).
Hydroessae Fieb. Eur. Hem. p. 23. (1861).
Veliidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 42. (1865).
Veliida StIl Hem. Afr. HI. p. 167. (1865).
Hydroessida Maye Beise Freg. Novara, Hem. p. 180. (1868).
Veliina Stal Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1870. p. 705.
Hydrometrides trib. Veliini Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 53. (1875).
Veliides Sahlb. Medd. Soc. Faun. Flor. Fenn. 1881. No 7. p. 96.
Hydrometridae subfam. Veliina Beut. Ent. Tidskr. HI. p. 165. (1882).
Hydrometridae subfam. Velidae Leth. Sev. Cat. Hóm. IH. p. 55. (1896).
Gerridides trib. Veliini Put. Cat. Hém. ed. 4. p. 44. (1899).
Veliadae Beege. Wien. Ent. Zeit. XXV. p. 7. (1906).
Gerridae subfam. Veliinae Kiek. Trans. Am. Ent. Soc. XXXH. p. 154.
(1906).
Genre typique: Velia Latr. 1804.
24
Dì G. HORVÁTH
32. Aëpophilidæ.
Hydrometrides trib. Aëpophilini Put. Syn. Hém. Prance I. p. 144. (1879).
Hydrometridae subfam. Aëpophilina Saund. Hem. Hét. Brit. Isi. p. 144.
(1892).
Aepophilidae Leth. Sev. Cat. Hém. HL p. 229. (1896).
Gerridides trib. Aëpophilini Put. Cat. Hém. ed. 4. p. 44. (1899).
Aëpophilidae Peut. Phyl. Syst. Mirid. p. 65. (1910).
Genre typique: Aëpophilus Sign. 1879.
33. Velocipedidæ.
Acanthiidae snbfam. Velocipedinae Kirk. Trans. Am. Ent. Soc. XXXII.
p. 149. (1906).
Velocipedidae Reut. Phyl. Syst. Mirid. p. 64. (1910).
Genre typique: Velodpeda Bergr. 1891.
34. Leptopodidæ.
Leptopodini Costa Cim. Neap. I. p. 11. (1838).
Leptopoidea Fieb. Gen. Hydrocorid p. 9. (1851).
Leptopodae Fieb. Eur. Hem. p. 25. (1861).
Leptopidae Walk. Cat. Hem. VII. p. 46. (1873).
Leptopodidae Walk. Cat. Hem. Vili. p. 153. (1873).
Saldides trib. Leptopini Put. Syn. Hém. de France I. p. 193. (1880).
Acanthiidae subfam. Leptopodinae Kirk. Trans. Am. Ent. Soc. XXXII.
p. 149. (1906).
Genre typique : Leptopus Latr. 1809.
35. Acanthiidae.
Acanthides Leach. Edinb. Encycl. IX. p. 123. (1815).
Acanthiaedes Billberg Enum. Ins. p. 67. (1820).
Geocorisae trib. Oculati Latr. Fam. nat. p. 423. (1825)
Acanthiidae Steph. Cat. Brit. Ins. II. p. 351. (1829).
Riparii Burm. Handb. IL 1. p. 215. (1835).
Nudirostri trib. Oculati Am. Serv. Hist, des Hém. p. 401. (1843).
Acanthidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9. (1851).
Saldidae Costa Cim. Neap. III. p. 66. (1852).
Acanthiidea Costa Add. Cim. Neap. p. 5. (1860).
Saldeae Fieb. Eur. Hem. p. 25. (1861).
Saldida St al Hem. Fabr. I. p. 90. (1868).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
25
Saldides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 48. (1875).
Saldae Uhl. Bull. U. S. Geol. Geogr. Surv. III. p. 429. (1877).
Acanthiadae Dist. Trans. Ent. Soc. Lond. 1893. p. 93.
Genre typique: Acanthia Fabr. 1775 (Salda Fabr. 1803).
36. Ochteridæ.
Belostomides I. Pelogonida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 123. (1815).
Nudirostri trib. Bervicornes Am. Serv. Hist, des Hém. p. 406. (1843).
Pelogonitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Pelogonoidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9 et 14. (1851).
Pelogonidae Dohrn Cat. Hem. p. 52. (1859).
Pelogonidea Costa Add. Cim. Neap. p. 5. (1860).
Pelogonida St al Hem. Afr. III. p. 170. (1865).
Pelegoni Schiôdte Nat. Tidsskr. (3) VI. p. 266. (1869).
Pelegonina Stal Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1870. p. 706.
Pelegonides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 53. (1875).
Galgulidae subfam. Peloqonina Stal Enum. Hem. Y. p. 137. (1876).
Pelogonidae Put. Syn. Hém. de France I. p. 5. (1878).
Pelogonides Put. Cat. Hém. ed. 3. p. 64. (1886).
Ochteridae Kiek. Trans. Am. Ent. Soc. XXXII. p. 149. (1906).
Genre typique: Ochterus Latr. 1807 (Pelogonus Latr. 1809).
37. Mononychidæ.
Galgulides Billberg Enum. Ins. p. 66. (1820).
Galgulini Burm. Handb. II. 1. p. 200. (1835).
Galgulidae Westw. Introd. II. p. 119. (1840).
Galgulitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Monony coidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9 et 12. (1851).
Galguloidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9 et 13. (1851).
Mononychida Stal Hem. Afr. HL p. 171. (1865).
Galgulida Stíl Hem. Fabr. I. p. 133. (1868).
Mononychina Stíl Öfv. Yet.-Ak. Förh. 1870. p. 706.
Gelastocoridae Kirk. Entomologist XXX. p. 260. (1897).
Nerthridae Kirk. Trans. Am. Ent. Soc. XXXII. p. 149. (1906).
Genre typique: Mononyx Lap. 1832.
Cette famille devrait porter, en vertu de la loi de priorité, le
nom Galgulidae dont le 'genre typique serait Galgulus Latr. 1812.
Mais le nom Galgulus étant préoccupé, Kirkaldy a proposé en 1897
pour ce genre le nom Gelasio coris ; le nom créé par Latreille est tombé
ainsi en synonymie et en désuétude ainsi que le nom de famille qui
26
Dì G. HORVÁTH
en est dérivé (Galgulidae). Il en résulte que la famille doit reprendre
maintenant le nom Mononychidae qui a la priorité.
38. Peloridiidæ.
Peloridiidae Bredd. Hamb. Magelh. Sammelr. Hem. p. 10. (1897).
Genre typique: Peloridium Bredd. 1897.
39. Belostomatidæ.
Belostomides IL Belostomida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 123. (1815).
Belostomides H.-Sch. Wanz. Ins. IX. p. 20. (1853).
Belostomïdae Hohen Cat. Hem. p. 54. (1859).
Belostomatida Stal Hem. Afr. III. p. 178. (1865).
Belostomida Mayr Beise Freg. Novara, Hem. p. 183. (1868).
Belostornata Schiôdte Nat. Tidsskr. (3) VI. p. 266. (1869).
Belostomina Stíl Öfv. Vet.-Ak. Eörh. 1870. p. 706.
Belostomatidae Uhl. Check-List p. 28. (1886).
Genre typique: Belostoma Latr. 1807.
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40. Nepidæ.
Hydrocorisae Late. Hist. nat. XII. p. 275. (1804).
Hydrocorides Fall. Spec. nov. Hem. disp, method, p. 3 et 14. (1814).
Nepides H. Nepida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 124. (1815).
Nepaedes Billberg Enum. Ins. p. 66. (1820).
Hydrocorisae trib. Nepides Latr. Fam. nat. p. 424. (1825),
Nepidae Steph. Cat. Brit. Ins. II. p. 353. (1829).
Nepini Burm. Handb. H. 1. p. 192. (1835).
Pedirapti 2. Nepides Am. Serv. Hist, des Hém. p. 437. (1843).
Hydrocorisiae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Nepoidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9 et 18. (1851).
Nepides H.-Sch. Wanz. Ins. IX. p. 19. (1853).
Nepina Flor Rhynch. Livi- I. p. 751 et 755. (1860).
Nepae Fieb. Eur. Hem. p. 23. (1861).
Ranatridae Hougl. Scott Brit. Hem. I. p. 46. (1865).
Nepida Stíl Hem. Afr. III. p. Ì85. (1865).
Genre typique : N epa Linn. 1758.
4L Naucoridæ.
Naucorides Fall. Spec. nov. Hem. disp. method, p. 3 ét 15. (1814).
Nepides I. Naucorida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 123, (1815).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
27
Pedirapti 1. Naucorides Am. Serv. Hist, des Hém. p. 426. (1843).
Naucoridae Fier. Gen. Hydrocorid. p. 9 et 15. (1851).
Naucoridae Baer. Cat. Hem. Ear. p. 24. (1860).
Aphelochirae Fieb. Eur. Hem. p. 23. (1861).
Aphelochiridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 44. (1865).
Naucorida Stíl Hem. Afr. III. p. 174. (1865).
Genre typique : Naucoris Geoffr. 1 7 62.
42. Notonectidae.
Notonectides I. Notonectida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 124. (1815).
Notonectaedes Billberg Enum. Ins. p. 66. (1820).
Hydrocorime trib. Notonectides Latr. Fam. nat. p. 425. (1825),
Notonectidae Steph. Cat. Brit, Ins. II. p. 353. (1829).
Notonectici Burm. Handb. H. 1. p. 185. (1835).
Notonectini Costa Cim. Neap. I. p. 6. (1838).
Pediremi 2. Notonectides Am. Sery. Hist, des Hém. p. 449. (1843).
Notonectitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Notonectidae Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9 et 24. (1851).
Notonectica Flor Bhynch. Livi. I. p. 751 et 766. (1860).
Notonectae Fieb. Enr. Hem. p. 22. (1861).
Pleae Fieb. Eur. Hein. p. 22. (1861).
Pleidae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 48. (1865).
Notonectida Stíl Hem. Afr. III. p. 190. (1865).
Pleida St al Hem. Afr. HL p. 192. (1865).
Ploae Mayr Reise Freg. Novara, Hem. p. 194. (1868).
Notonectina Stíl Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 707.
Notonectides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 54. (1875).
Pio eidae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 61. (1876).
Genre typique: Notonecla Linn. 1758.
43. Corixidæ.
Notonectides II. Corixida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 124. (1815).
Pediremi 1. Corisides Am. Serv. Hist, des Hém. p. 445. (1843).
Corisidea Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 9 et 28. (1851).
Corisoidae Fieb. Spec. gen. Corisa, p. 13. (1851).
Corixidae Dohrn Cat. Hem. p. 55. (1859).
Corisidae Baer. Cat. Hem. Eur. p. 24. (1860).
Corisae Fieb. Eur. Hem. p. 22. (1861).
Sig aridae Dougl. Scott Brit. Hem. I. p. 50. (1865).
Sig arida Stal Hem. Afr. IH. p. 193. (1865).
Corisida Mayr Reise Freg. Novara, Hem. p. 193. (1868).
28
Di G. HORVÁTH
Corixáe Schiödte Nat. Tidsskr. (3) VI. p. 266. (1869).
Corisides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 54. (1875).
Corixidea Voll. Hem. Het. Neerland. p. 338 et 349. (1878).
Corixides Put. Cat. Hém ed. 3. p. 65. (1886).
Genre typique: Corixa Geoffr. 1762.
HOMOPTEEA.
1. Jassidæ.
Cicadariae II. Cicadellae Latr. Hist. nat. XII. p. 307. (1804).
Cicadariae Fall. Spec. nov. Hem. disp. method, p. 3 et 16. (1814).
Cicadaedes Billberg Emim. Ins. p. 72. (1820).
Banatrae Germ. Mag. der Ent. IV. p. 34. (1821).
Cicadellae Latr. Farn. nat. p. 427. (1825).
Cicadellina Burm. Han db. II. 1. p. 105. (1835).
Antericornes trib. Planidorsi Am. Serv. Hist, des Hém. p. 553. (1843).
Tettigonitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Cicadelles Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 10. (1851).
Jassina Stal Stett. Ent. Zeit. XIX. p. 234. (1858).
Aethalionidae Dohrn Cat. Hem. p. 83. (1859).
Ulopidae Dohrn Cat. Hem. p. 83. (1859).
Paropidae Dohrn Cat. Hem. p. 83. (1859).
Cephalelidae Dohrn Cat. Hem. p. 84. (1859).
Acocephalidae Dohrn Cat. Hem. p. 84. (1859).
Coelidiidae Dohrn Cat. Hem. p. 84. (1859).
Bythoscopidae Dohrn Cat. Hem. p. 84. (1859).
Jassidae Dohrn Cat. Hem. p. 86. (1859).
Tettig onidae Dohrn Cat. Hem. p. 88. (1859).
Scaridae Dohrn Cat. Hem. p. 92. (1859).
Jassida Stíl Hem. Afr. IV. p. 82. (1866).
Ulopida Fieb. Kat. europ. Cicád. p. 7. (1872).
Paropida Fieb. Kat. enrop. Cicád. p. 7. (1872).
Scarida Fieb. Kat. europ. Cicád. p. 7. (1872).
Jassides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 66. (1875).
Ledridae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 73. (1876).
Paropiidae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 73. (1876).
Typhlocybidae Dougl. Scott Cat, Brit. Hem. p. 79. (1876).
lassidae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 84. (1876).
Deltocephalidae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 88. (1876).
Tettigoniidae Pascoe Ann. Mag. Nat. Hist. (5) IX. p. 425. (1882).
Tetigoniidae Kire. Fauna Hawaiiens. HI. 2. p. 114. (1902).
Genre typique: Jassus Fabr. 1803.
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
29
Les trois plus anciens noms qui pourraient servir à la formation
du nom de cette famille, sont Cicadariae , Ranalrae et Tettigonitae ,
mais les trois genres respectifs n’appartiennent pas à cette famille.
Cicada L. est le genre typique des Cicadides, Ranatra Fabr. est un
genre des Népides et Tettigonia L. (nec Geoffr.) est un genre d’Ortho-
ptères. Tettigonia Geoffr. (nec L.) est bien un genre de la présente
famille, mais le nom employé par Geoffroy n’est qu’un synonyme de
Tettigoniella Jacobi 1903.
Il en résulte que cette grande famille d’Homoptères pour laquelle
Kirkaldy a proposé le nom Teiigoniidae, doit conserver son nom
généralement adopté et employé depuis 1858 et dérivé du genre Jas¬
sus Fabr.
2. Membracidæ.
Membracides Germ. Mag. der Ent. IY. p. 7. (1821).
Cicadariae trib. Membracides Latr. Fam. nat. p. 427. (1825).
Membracina Burm. Han db. H. 1. p. 126. (1835).
Antericornes trib. Cornidorsi Am. Serv. Hist, des Hém. p. 532. (1843).
Centrotitae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Membracidae Dohrn Cat. Hem. p. 76. (1859.)
Jassida subfam. Membracida Stal Hem. Afr. IY. p. 83. (1866).
Centrotidae Leth. Cat. Hém. du Nord p. 50. (1869).
Membracida Fieb. Kat. europ. Cicád. p. 1. (1872).
Genre typique: Membracis Fabr. 1775.
3. Cercopidæ.
Cicadides HI. Cercopida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 125. (1815).
Cercopidae Steph. Cat. Brit. Ins. H. p. 357. (1829).
Tettigonitae subfam. Aphrophoroideae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid.
p. 56. (1850).
Cercopina Stal Stett. Ent. Zeit. XIX. p. 234. (1858).
Aphrophoridae Dohrn Cat. Hem. p. 68. (1859).
Clastopteridae Dohrn Cat. Hem. p. 69. (1859).
Cercopida Stal Hem. Afr. IY. p. 54. (1866).
Cer copides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 65. (1875).
Genre typique: Cercopis Fabr. 1775.
4. Cicadidæ.
Cicadariae I. Cicadae verae Latr. Hist. nat. XII. p. 301. (1804).
Tettigonides Fall. Spec. nov. Hem. disp. method, p. 3 et 19. (1814).
Dl G. HORVÁTH
30
Cicadides IV. Cicadida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 125. (1815).
Manniferae Germ. Mag. der Ent. IV. p. 95. (1821).
Cicadariae trib. Stridulantes Late. Fam. nat. p. 426. (1825).
Cicadiidae Steph. Cat. Brit. Ins. II. p. 355. (1829).
Stridulantia Burm. Handb. II. 1. p. 170. (1835).
Cicadidae Westw. Introd. II. p. 115. (1840).
Stridulantes Am. Serv. Hist. des. Hém. p. 458. (1843).
Cicaditae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Cicadina St al Stett. Ent. Zeit. XIX. p. 234. (1858).
Polyneuridae Dohrn Cat. Hem. p. 71. (1859).
Tosenidae Dohrn Cat. Hem. p. 71. (1859).
Gicadaea Fieb. Kát. europ. Cicád. p. 1. (1872).
Cicadides Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 57. (1875).
Cicadariae Packard Guide Study Ins. ed. 5. p. 533. (1876).
Genre typique: Cicada Linn. 1758.
5. Fulgoridæ.
Cicadariae HI. Fulgorellae Late. Gen. Crust. Ins. III. p. 163. (1807).
Cicadides I. Fulgerida Leach Edinb Encycl. IX. p. 124. G&15).
Fulgorellae Germ. Mag. der Ent. IH. p. 179. (1818).
Fulgorides Fall. Hem. Svec. Cicád. p. 68. (1826).
Fulgoridae Steph. Cat. Brit. Ins. II. p. 355. (1829).
Fulg orina Burm. Handb. IL 1. p. 144. (1835).
Fulgorites Spin. Ann. Soc. Ent. France (1) YIH. p. 202. (1839).
Fulgoritae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 27. (1850).
Pseudo phanidae Dohrn Cat. Hem. p. 59. (1859).
Fulgorida Stal Hem. Afr. IY. p. 128. (1866).
Cixiidae Dougl. Scott Cat. Brit. Hem. p. 63. (1876).
Lystridae Pascoe Ann. Mag. Nat. Hist. (5) IX. p. 425. (1882).
Fulgorinae Buckton Mon. Brit. Cicád. I. p. 8. (1890).
Genre typique: Fulgora Linn. 1767.
6. Delphacidæ.
Cicadides II. Delphacida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 125. (1815).
Delpliacidae Dohrn Cat. Hem. p. 61. (1859).
Fulgoridae : Delphacini Fieb. Yerh. zool. bot. Ges. Wien XYI. p. 498.
<1866).
Fulgorida subfam. Delphacida Stal Hem. Afr. IY. p. 131. (1866).
Fulg orina subfam. Delpliacidae Kibschb. Cicád. p. 10. (1868).
Fulgorina subfam. Delphacina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 747.
Fulgorina trib. Delphacides Sahlb. Finland. Skand. Cicád. p. 397. (1871).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
31
Fulgorida : Delphacidae Fieb, Kát. europ. Cicád. p. 5. (1872).
* Fulgorides trib. Delphacini Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 61. (1875).
Fulgoridae subfam. Delphacinae Ashmead Ent. Amer. Y. p. 2. (1889).
Fulgorinae subfam. Delphacidae Buckton Mon. Brit. Cicád. I. p. 25. (1890).
Fulgoridae subfam. Asiracinae Kire. Journ. Bombay Nat. Hist. Soc.
XI Y. p. 52. (1902).
Fulgoridae subfam. Delphacidae Melich. Horn. Fauna Ceylon p. 11.
(1903).
Asir acidae Kirk. Bep. Exp. Stat. Haw. Sug. Plant. Ass. I. p. 296. (1906).
Genre typique : Delphax Fabr. 1798.
7. Achilidae.
Fulgorida subfam. Achilida St al Hem. Afr. IYr. p. 130. (1866).
Fulgorina subfam. Achilina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 748.
Fulgorina trib. Achilides Sahlb. Finland. Skand. Cicád. p. 386. (1871).
Fulgoridae subfam. Achilidae Melich. Horn. Fauna Ceylon p. 11. (1903).
Achilidae Fowler Biol. Centr.-Am. Rhynch. Horn. p. 103. (1904).
Fulgoridae subfam. Achilidae Dist. Faun. Brit. Ind. Rhynch. HI. p.
176. (1906).
Genre typique: Achilus Kirby 1818.
8. Tropiduchidae.
Fulgorida subfam. Tropiduchida St al Hem. Afr. IY. p. 130. (1866).
Fulgorina subfam. Tropiduchina St al Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 748.
Fulgoridae subfam. Tropiduchidae Melich. Horn. Fauna Ceylon, p. 11.
(1903).
Fulgoridae subfam. Tropiduchinae Dist. Faun. Brit. Ind. Rhynch. IH.
p. 177. (1906).
Eutropistridae Kirk. Rep. Exp. Stat. Haw. Sug. Plant. Ass. I. p. 296 et
413. (1906).
Genre typique : Tropiduchus Stal 1854.
9. Derbidae.
Issites subfam. Derboides Spin. Ann. Soc. Ent. France (1) YHI. p. 204.
(1839).
Fulgorellae III. Derbidae Schaum in Ersch et Gruber Encyklop. LI. p.
69. (1850). “ ’
Derbidae Dohrn Cat. Hem. p. 62. (1859).
Fulgoridae subfam. Derbida Stal Hem. Afr. IY. p. 130. (1866).
Fulgorina subfam. Derbina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 750.
32
Dl G. HORVÁTH
Fulgoridae subfam. Derbidae Melich. Horn. Fauna Ceylon p. 11. (1903).
Fulgoridae subfam. Derbinae Dist. Faun. Brit. Ind. Bhynch. III. p. 177.
(1906).
Genre typique: Derbe Fabr. 1803.
10. Lophopidae.
Fulgorida subfam. Lophopida Stal Hem. Afr. IV. p. 130 et 199. (1866)..
Fulgorino, subfam. Lophopina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 751.
Fulgoridae subfam. Lophopidae Melich. Horn. Fauna Ceylon p. ll.i (1903).
Fulgoridae subfam. Lophopinae Dist. Faun. Brit. Ind. Bhynch. ÜL
p. 177. (1906).
Lophopidae Kire. Rep. Exp. Haw. Súg. Plant. Ass. I. p. 296. (1906).
Genre typique : Lophops Spin. 1839,
11. Issidae.
Issites Spin. Ann. Soc. Ent. France (1) VIII. p. 204 et 339. (1839).
Fulgoritae subfam. Issoideae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 50. (1850).
Fulgorellae IV. Issidae Schaum in Ersch et Gruber Encykl. LI. p. 70. (1850).
Issidae Dohrn Cat. Hem. p. 63. (1859).
Fulgorida subfam. ïssida Stal Hem. Afr. IV. p. 131 et 202. (1866).
Fulgorino subfam. Issidae Kirschb. Cicád. p. 12. (1868).
Fulgorino subfam. Issino Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 754.
Fulgorino trib. Issides Sahlb. Finland. Skand. Cicád. p. 391. (1871).
Fulgoridae : Issidae Fieb. Kát. europ. Cicád. p. 4. (1872).
Fulgorinae subfam. Issidae Buckton Mon. Brit. Cicád. I. p. 11. (1890).
Fulgoridae subfam. lssinae Kire. Journ. Bombay Nat. Hist. Soc. XIV.
p. 51. (1902).
Fulgoridae subfam. Issidae Melich. Horn. Fauna Ceylon p. 11. (1903).
Genre typique: Issus Fabr. 1803.
12. Tettigometridae.
Tettigometrae Germ. Mag. der Ent, IV. p. 6. (1821) ; Revue ent. I. p.
176. (1833).
Subtericornes trib. Plánig eni Am. Serv. Hist, des Hém. p. 530. (1843).
Fulgorellae VI. Tettigometrae Schaum in Ersch et Gruber Encykl. LI. p.
73. (1850).
Tettig ometrides Wale. List. Horn. IL p. 471. (1851).
Tettigometridae Dohrn Cat. Hem. p. 67. (1859).
Fulgorida: Tettigometrae Fieb. Kat. europ. Cicád. p. 2. (1872).
Fulgorida A. Tettigometrae Fieb. Rev. Mag. Zool. (3) II. p. 339. (1875).
Fulgorides trib. Tettig ometrini Put. Cat. Hém. ed. 2. p. 64. (1875).
NOMENCLATURE DES FAMILLES DES HÉMIPTÈRES.
33
Fulgoridae subfam. Tettig omctrinae Ashmead Ent. Amer. Y. p. 2. (1889).
Futa ovinae subfam. T ettiqometridae Buckton Mon. Brit. Cicád. I. p. 10.
(1890).
Issidae subfam. Tettig ometrinae Kirk. Rep. Exp. Stat. Haw. Sug. Plant.
Ass. I. p. 296. (1906).
Genre typique: Tettigometra Latr. 1804.
13. Flatidae.
Issites subfam. Tlatoides Spin. Ann. Soc. Ent. France (1) YHI. p. 204. (1839).
Subtericornes trib. Cavigeni II. Strigimargines Am. Serv. Hist, des
Hém. p. 519. (1843).
j Fulgoritae subfam. Flatoideae Spin. Tav. sinott. Ins. Artroid. p. 50. (1850).
Fulgor ellae Y. Flatoidae Schaum in Ersch et Gruber Encykl. LI. p. 72.
(1850).
Flatidae Hohrn Cat. Hem. p. 65. (1859).
Ricaviidae Dohrn Cat. Hem. p. 67. (1859).
Fulgorida subfam. Flatida Stal Hem. Afr. IV. p. 131. (1866).
Fulgorina subfam. Flatina Stal Öfv. Vet.-Ak. Förh. 1870. p. 771.
Fulgorida : Poecillopterae Fieb. Kat. europ. Cicád. p. 3. (1872).
Fulgorida : Flatidae Fieb. Kat. europ. Cicád. p. 3. (1872).
Fulgoridae subfam. Flatinae Ashmead Ent. Amer. Y. p. 1. (1889).
Fulgoridae subfam. Poekïllopterinae Kirk. Journ. Bombay Nat. Hist.
Soc. XIV. p. 52. (1902).
Fulgoridae subfam. Flatidae Melich. Horn. Fauna Ceylon p. 10. (1903).
Poekillopteridae Kirk. Rep. Exp. Stat. Haw. Sug. Plant. Ass. I. p. 296. (1906).
Genre typique: Flata Fabr. 1798.
• 14. Psyllidae.
Psyllidae Latr. Gen. Crust. Ins. IH. p. 168. (1807).
Chermides Fall. Spec. nov. Hem. disp. method. p. 3 et 22. (1814).
Psyllides Leach Edinb. Encycl. IX. p. 125. (1815).
Hemelytra trib. Psyllides Latr. Fam. nat. p. 428. (1825).
Psyllodes Burm. Handb. II. 1. p. 95. (1835).
Psyllides Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 10. (1851).
Psyllodea Stal Hem. Fabr. H. p. 113. (1869).
Psyllodae Leth. Cat. Hém. du Nord. ed. 2. p. 85. (1874).
Liviidae Edw. Hem. Horn. Brit. Isl. p. 227. (1896).
Aphalaridae Edw. Hem. Horn. Brit. Isl. p. 228. (1896).
Triozidae Edw. Hem. Horn. Brit. Isl. p. 251. (1896).
Chermidae Kirk. Entomologist XXXYH. p. 255 et 280. (1904).
Genre typique : Psylla Geoffr. 1762.
Annales Musei Nationalis Hung arici. IX.
3
34
m G. HORVÁTH
Kirkaldy s’est imaginé que les deux genres Chermes Linn, et
Psylla Geoffr. étaient identiques et qu’il fallait rapporter celui-ci au
genre Chermes de Linné. Il a exhumé en même temps pour la famille
le nom obsolète de Fallén.
C’est ici exactement le même cas que j’ai relevé plus haut
(p. 5) à propos de la nomenclature de la famille des Plataspidides.
Chermes et Psylla sont deux genres différents ; le premier appartient
aux Aphidiens tandis que le second est le type bien connu de la pré¬
sente famille.
15. Aphididae.
Aphidii Late. Hist. nat. XII. p. 338. (1804).
Aphidiae Fall. Spec. nov. Hem. disp, method, p. 3 et 23. (1814).
Aphides H. Aphida Leach Edinb. Encycl. IX. p. 126. (1815).
Aphidides Billberg Enum. Ins. p. 74. (1820).
Hemelytra trib. Aphidii Late. Fam. nat. p. 429. (1825).
Aphidae Steph. Cat. Brit. Ins. II. p. 363. (1829).
Aphidina Buem. Han db. H. 1. p. 85. (1835).
Phytophtires trib. Hymenelytra Am. Seev. Hist, des Hém. p. 590. (1843).
Aphidinae Rondani Nuov. Annal. Sc. Nat. Bologna (2) IX. p. 34. (1848).
Aphides Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 10. (1851).
Aphididae Pass. Aphid. Ital. p. 7. (1863).
Genre typique: Aphis Linn. 1758.
16. Aleyrodidae.
Aleyrodidae Westw. Introd. H. p. 118. (1840).
Phytophtires trib. Scytinelytra Am. Seev. Hist, des Hém. p. 613. (1843).
Aleurodidae Leth. Cat. Hém. du Nord, ed. 2. p. 101. (1874).
Genre typique : Aley rodes Latr. 1796.
17. Coccidae.
Gallinsecta Late. Hist. nat. XH. p. 353. (1804).
Coccides Fall. Spec. nov. Hem. disp, method, p. 3. et 23. (1814).
Hemelytra trib. Gallinsecta Late. Fam. nat. p. 429. (1825).
Coccidae Steph. Cat. Brit. ins. H. p. 367. (1829).
Coccina Buem. Handb. H. 1. p. 61. (1835).
Phytathelgi Am. Seev. Hist, des Hém. p. 618. (1843).
Gallinsectes Fieb. Gen. Hydrocorid. p. 10. (1851).
Genre typique : Coccus Linn. 1758.
IX.
ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNGABICL
1911.
CHLOROPIDAE.
EINE MONOGRAPHISCHE STUDIE
Yon Th. Beckeb.
III. Teil. Die indo-australische Region.1
(Taf. I— IL)
Verzeichnis der bis jetzt beschriebenen Chlor opidae.
Chlorops dimidiata Wied., Zweifl. II. 597. 10. (1830). . „„.Surinam.
Chlorops argentea Wied., Zweifl. II. 596. 5. (1830). A. ~~ ..... Ins. Amboina.
Homalura maculipennis Wied., II. Zweifl. 574. (1830.) „„' „„ „„ India orient.
Chlorops vicaria Walk., List of dipt. IV. 1120. (1849). „„ „„ Australia.
Chlorops albifrons Walk., List, of dipt. IV. 1121. (1849). „„ Adelaide.
Chlorops postmaculata Walk., List of dipt. IV. 1121 (1849). .... Ins. Sandwich.
Cephaloconus tenebrosus Walk., Journ. Proced. Linn. Soc. Vol. V.
299 (1860). . . . . Nova Guinea.
Oscinis lineiplena Walk., Proceed. Linn. Soc. III. 125. 160. (1860). Aroe.
Oscinis noctilux Walk., Proceed. Linn. Soc. III. 126. 161. (1860). Aroe.
Oscinis femorata Walk., Proceed. Linn. Soc. IV. 167. 222. (1861.) ™ Celebes.
Chlorops conciusata Walk., Proceed. Linn. Soc. VIII. 128. 68. (1865). N. Guinea.
Chlorops nicobarensis Schin., Novara Reise, 244. 37. (1868). „„ Nicobaren.
Chlorops fuscipennis Thoms., Eugen. Resa, 603. 300. (1869). „„ Ins. Ross.
Chlorops vittipennis Thoms., Eugen. Resa, 604. 303. (1869). . . . Manilla.
Eurina albovariegata Thoms., Eugen. Resa, 606. 308. (1869). „„ „„ Malacca.
Oscinis ensifer Thoms., Eugen. Resa, 605. 304. (1869). „„ „„ „„ „„ China.
Hippelates nigricornis Thoms., Eugen. Resa, 607. 309. (1869). A Ins. Ross.
Hippelates flavus Thoms., Eugen. Resa, 607. 3Î0. (1869)._ „„ ,„ „„ Ips. Keeling.
Oscinis selachopina Thoms., Eugen. Resa, 605. 306. (1869) . „„ Sidney.
Oscinis pruinosa Thoms., Eugen. Resa, 606. 307. (1869). „„• „^Sidney.
Cerais magnicornis Wulp, Sumatra Exped. 54. PI. III. fig. 15 — 17.
(1881). „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ . . Sumatra.
Oscinis dimorpha Ost.-Sack. Beri. Ent. Zeitg. 245 (1882). „„ „„ Philippinæ.
Batrachomyia nigritarsis Skuse, Proceed. Linn. Soc. New South-
Wales. Ser. 2. Vol. IV. 175 (1889). t . . ,A „„ „„ Australien.
1 I. Teil: Paläarktische Region. (Archivum Zoologicum, I. No. 10. p. 33 — 174.
fab. II — III. Nachtrag : Ibid., No. 15. p. 197 — 200.) — Aethiopische Region . (Annal.
Mus. Nat. Hung., Vili. 1910. p. 377—443. tab. XIII.)
3*
36
TH. BECKER
Batrachomyia quadrilineata Skuse, Proceed. Liim. Soc. New South-
Wales. Ser. 2. Yol. IY. 176 (1889). „„ ! . „„ 'Ai „„ Australien.
Oscinis argyropa Kertész, Termesz etraj zi Füzetek, XXII. 191. (1899). N. Guinea.
Oscinis papuana Kertész, Természetrajzi Füzetek, XXII. 192. (1899). N. Guinea.
Oscinis albitarsis Kertész, Természetrajzi Füzetek, XXII. 192. (1899). N. Guinea.
Pseudeurina maculata Meij., Bijdr. tot de Dierkunde, XVII. pag.
112, fig. 24. 25. (1904). . .„ „„ „„ r. . „„ „„Java.
Myrmemorpha rufescens Meij., Bijdr. tot de Dierkunde, XVII. pag.
113. fig. 26. (1904). . . . „„ „„ „„ . Java.
fíippelates bilineatus Meij., Bijdr. tot de Dierkunde, XVII. pag.
113. fig. 27. 28. (1904) . „„ „„ „„ „„ Java.
Eurina fuscipennis Meij., Dipt. Nova Guinea, 97. 1. (1905). Nova Guinea.
Oscinis pulchrifrons Meij., Ann. Mus. Nat. Hung. IV. 190. 1. (1906). Nova Guinea.
Oscinis cinerea Meij., Ann. Mus. Nat. Hung. IV. 191. 2. (1906). Nova Guinea.
Oscinis lutea Meij., Ann. Mus. Nat. Hung. IV. 192. 3. (1906). „„ Nova Guinea.
Hippelates minor Meij., Tijdschr. v. Entom. LI. 168. (1908). Java, Semarang.
Chloropisca lucens Meij., Tijdschr. v. Entom. LI. 169. (1908). „„ Java.
Lagaroceras gracile Meij. Tijdschr. v. Entom. LI. 170. (1908) . . Java.
Meroscinis scutellata Meij., Tijdschr. v. Entom. LI. 172. (1908) . Java.
Oscinis marginata Meij., Tijdschr. v. Entom. LI. 173. (1908). . lava.
Oscinis or natif rons Meij., Tijdsschr. v. Entom. LI. 174. (1908). Java.
Siphonella funicola Meij., Tijdschr. v. Entom. LI. 176. (1908) . Java.
Siphonella minima Meij., Tijdschr. v. Entom. LI. 176. (1908). Java.
Chlorops incisa Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 147. 1. (1910). Krakatau.
Chlor ops rubra Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 148. 2. (1910) Java.
Chlorops paludosa Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 149. 2. (1910). Java.
Anthracophaga quadrilineata Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 151.
1. (1910) . „„ „„ „„ 1 „„ J „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ Java.
Anthracophaga trif asciata Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 152. 2.
(1910). . . . . . . . Java.
Gampsocera : notata Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 152. 1. (1910).
Mittel- Annam, Java.
Dactylothyrea infumata Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 154. 1. (1910). Java.
Dactylothyrea hyalipennis Meij., Tijdschr. v. Entom. LIII. 155. 2.
(1910). „„ . . „„ . . . . . Java.
Yon diesen scheiden die drei erstgenannten als nicht zur Familie
gehörig aus, sowie noch eine andere Art.
Chlorops argentea Wiedem. ist, wie ich schon früher nachgewie¬
sen habe (Annal. Mus. Nat. Hungar., V., 1907, p. 508 — 511), mit Te-
phritis argentea Fbr. identisch und gehört zur Milichinen Gattung
Milichiella.
Chlorops dimidiata Wied. i§t ebenfalls eine Art der Gattung
Milichiella (1. c. p. 538. 33.).
Homalura maculipennis Wied, ist nach der im Museum von Ko¬
penhagen befindlichen Type, die mit der Beschreibung übereinstimmt,
eine Ephydride und gehört zur Gattung Discomyza.
CHLOROUDÆ.
37
Cer ais magnicornis Wulp als n. g. Chloropinarum aufgeführt,
gehört der Zeichnung nach mit zwei deutlichen Wurzelzellen nicht zur
Familie der Chloropiden ; wahrscheinlich ist es eine Agromyzine.
Bestimmung stab eile für die Gattungen Her Gruppe der
Chloropinae,
— Vorderschenkel verdickt, unten gedornt. Vorderhüften verlängert.
Ochtherisoma n. g.
— Hinterschenkel verdickt, Hinterschienen entsprechend gekrümmt. „„ 1.
— Hinterschenkel und Schienen von gewöhnlicher Form. _ „„ „„ 2.
1 . Fühlerborste apikal, durch dichte kurze Behaarung dick erscheinend ; drit¬
tes Fühlerglied länglich oval, nierenförmig. A Ü| Pachylophus Lw.
— Fühlerborste dorsal, fast nackt ; drittes Fühlerglied rundlich.
Chloromerus n. g.
2. Untergesicht stark zurückweichend ; Kopf im Profil mehr oder weniger
dreieckig. Drittes Fühlerglied kurz, rundlich mit nackter dünner Borste ;
dritte Längsader grade. „„ _ „„ „„„ „„ „„ _ „„ Eurina Meig.
Untergesicht wenig oder nicht zurückweichend. Kopf im Profil mehr oder
weniger viereckig, trapezförmig oder rund. _ __ _ „„ „„ „„ 3.
3. Fühlerborste stark stabförmig verdickt, ohne deutliche Behaarung, apikal
am dritten etwas nierenförmigen Gliede. _ „„ „„ „„ 4.
— Fühlerborste nicht besonders verdickt, aber dicht kurz behaart und da¬
durch dick erscheinend, dorsal. _ „„ A _ 5.
— Fühlerborste dünne, nackt, selten pubescent, selten durch feine Pubescenz
etwas dicker und dann gewöhnlich weiss. _ _ _ _ „„ 6.
— Fühlerborste nackt, aber beiderseits sehr weitläufig gefiedert.
Hemisphaerisoma n. g.
4. Queradern einander stark genähert. Thoraxrücken mit 3 Paar deutlichen
Dorsocentralborsten „„ „„ . . „„ Semarang a n. g.
— Queradern in gewöhnlicher Entfernung. Thoraxrücken nur mit dem gewöhn¬
lichen hinteren Einzelpaar von Dorsocentralborsten. Steleocerus Beck.
■5. Kurze, gedrungene, am Thorax schwarz und gelb gezeichnete Art. Flügel
von gewöhnlicher Länge ; dritte Längsader grade. Phyladelphus Beck.
>6. Drittes Fühlerglied kreisrund oder annähernd so, mitunter mit etwas stump¬
fer Oberecke oder eine Kleinigkeit länger als breit, aber die Länge
niemals DA der Breite übersteigend. „„ „„ „„ „„ „„ 7.
- Drittes Fühlerglied entschieden länger als breit. V „„ 1 2.
7. Thoraxrücken und Schildchen schwarz. Kopf entschieden breiter als der
Thorax; Schildchen gewölbt. Hinterleib kegelförmig zugespitzt. Flügel
mit zarten schwarzen Adern. Vorderrandzelle und zweite Längsader kurz.
Chloropsina n. g.
- - Thoraxrücken und Schildchen gelb, mit schwarzen, grauen oder rothen
Streifen, die mitunter zusammenfliessen. A _ .... „„ „„ _ _ 8
38
TH. BECKEB
— Thoraxrücken schwarz, Schildchen gelb. „„ „„ _ „„ „„ IL
8. Schildchen abgeplattet. p ;p „„ p _ „„ _ M _ 9.
— Schildchen gewölbt. P p _ , P „„ _ „r ppj ' _ „„ _ 10.
9. Thorax und Schildchen mattgelb mit breiten sandgrauen Längsstreifen.
Hinterleib oben mit 2 breiten dunkleren Längsstreifen. Fühlerborste
weiss, etwas verdickt. Scheiteldreieck mattgelb mit kreisförmigem schwar¬
zen Fleck unter den 0 c eilen. „„ „„ „„ p _ Metopostigma Beck.
— Thorax und Schildchen glänzend gelb mit schwarzen bis rothen, mitunter
zusammenfliessenden Längsstreifen. Hinterleib nicht längsgestreift. Fühler¬
borste dunkel, nicht weiss. „„ „„ p „„ p „„ Chloropisca Lw.
10. Düstere, matt schwarzgrau und gelbgezeichnete, breit gebaute Arten, mit
eckigem Kopf, vorgestreckten etwas verlängerten Fühlern, dicker weisser
selten schwarzer Borste und schwarzen Tastern. Scheiteldreieck gewöhn¬
lich gefurcht. p _ „ P p _ _ „„ „„ „„ Anthracophaga Lw.
— Hellere, gelb und schwarz, selten ganz schwarz, selten gelb oder roth
gefärbte und gestreifte Arten mit abgerundetem Kopf, schmäler als der
Thorax ; drittes Fühlerglied fast kreisrund, selten etwas abweichend,
Scheiteldreieck selten gefurcht. p p w Chlorops Meig. Lw.
— Hell rothgelbe, roth gestreifte, breit gebaute, glänzende nackte Art ; Kopf
so breit und breiter als der Thorax. Stirne sehr breit ; drittes Fühler¬
glied fast kreisrund. „„ „„ „„ „„ p _ p p „„ Siphlus Lw.
11. Kopf breiter als der Thorax, beide auffallend breit ; glänzend schwarze Art;
Hinterleib kurz und breit. Augen gross, jedoch Stirn, Gesicht und Ba¬
cken etwas vortretend. Kleine Querader auf der Flügelmitte im zweiten
Drittel der Diskoidalzelle. _ _ P p „„ F ormosina n. g.
12. Fühlerborste weiss. „„ _ _ „„ P „„ p „„ p p „„ p „„ 13.
— Fühlerborste schwarz und dünne, nackt oder pubescent. .'p; p 14
13. Drittes Fühlerghed ungewöhnlich lang und breit, länger als das lang
herabgezogene Gesicht. Backen fast so lang wie der senkrechte Augen¬
durchmesser. p p . . p p _ „„ „„ Euryparia n. g.
— Drittes Fühlerglied ungefähr lVs-mal so lang wie breit, nicht ungewöhn¬
lich gross und kürzer als das nicht verlängerte Gesicht. Backen sehr
schmal. p • p _ _ _ _ Parectecephala Beck.
14 Fühlerborste nackt. Drittes Fühlerglied viermal so lang wie breit, vorne
abgerundet, allenthalben gleich breit. Scheiteldreieck glänzend schwarz,
breit trapezförmig. Thorax ohne Borsten. Schildchen schwarz. Brustseiten
mit mattbestäubten Querstreifen, p „„ p ;p _ „„ Loxotaenia n. g.
— Fühlerborste nackt. Drittes Glied HA — HA-mal so lang wie breit mit
stumpfer Oberecke. Thorax glänzend schwarz. Schildchen gelb' oder
schwarz. Kopf trapezförmig. Augen von gewöhnlicher Grösse mit breiten
Backen. Kleine Querader der Flügelwurzel nicht besonders genähert.
Assuania Beck..
— Fühlerborste nackt und pubescent. Drittes Fühlerglied lVs-mal so lang,
wie breit. Thoraxrücken und Schildchen glänzend schwarz oder gelb und
CHLOKOPIDÆ.
39
schwarz gestreift. Kopf kugelrund, breiter als der Thorax. Augen im
Profil den ganzen Kopf einnehmend. Kleine Querader der Klügelwurzel
sehr nahe gerückt, von der hinteren Querader sehr weit entfernt. Flügel -
vorderrand schwarz gestreift. „„ „„ „„ „„ Chromatopterum Beck.
Ochtherisoma nov. gen.
Eine interessante Form ; unzweifelhaft ist Mimicri vorhanden mit
der Ephydriden Gattung Ochthera.
Düstere schlanke Art; der Thoraxrücken ist vor dem Schildchen
ungefähr auf der halben Länge abgeflacht; von Borsten sieht man die
hintere Dorsocentralborste, eine Supraalar- und zwei Notopleuralborsten.
Schildchen nicht gross, etwas abgeflacht mit zwei grösseren Endborsten
und zwei kleineren Seitenborsten. Kopf kugelrund im Profil; von vorne
gesehen etwas breiter als hoch und breiter als der Thoraxrücken. Augen
gross, nackt. Stirn und Gesicht gleich breit; drittes Fühlerglied fast
kreisförmig, nur wenig länger als breit, mit feiner nackter Borste dicht
an der Wurzel des Gliedes. Hinterleib flach, kegelförmig zugespitzt. Vor¬
derbeine ausserordentlich stark entwickelt, hintere Beine schwach. Vor¬
derhüften verlängert, so lang wie die verdickten Vorderschenkel, die auf
der Unterseite eine Reihe starker Dornen tragen. Flügel etwas länger,
als der Hinterleib, mit feinen Adern in dem gleichen Karakter wie bei
der Gattung Hemisphaerisoma.
1. Ochtherisoma imitator n. sp. Taf. I. Fig. 7.
Thorax und Schildchen schwarz, bei sehr dichter und feiner Punk¬
tierung kaum etwas glänzend. Behaarung schwarz, aber ausserordent¬
lich kurz, auf der Schildfläche deutlicher. Von der glänzend schwarzen
Schulterbeule läuft ein keilförmiger grau bestäubter Streifen am Seiten¬
rande des Rückens entlang bis zur Flügelwurzel. Beborstung wie oben
angegeben. Brustseiten stark glänzend, wie poliert. Kopf schwarz, Stirn
matt, ungefähr von der Breite eines Auges. Scheiteldreieck lang, bis zu
den Fühlern reichend, glänzend schwarz mit stahlblauem Schein und
vorne an der Spitze abgerundet, mit einer flachen Einsenkung auf der
Mitte ; die Einfassung der Seitenränder und der Orbiten durch feine
Härchen kaum sichtbar. Fühler wie oben beschrieben. Untergesicht auf
der Mitte grau bestäubt. Rüssel und Taster rothbraun. Hinterleib glän¬
zend schwarz. Schwinger blassgelb. Beine glänzend schwarz mit roth-
gelben Tarsen, nur die ersten Glieder an den Vorderbeinen sind ge¬
bräunt und die Mittelschienen sind etwas heller. Vorderhüften sehr
lang; die verdickten Vorderschenkel auf der Unterseite mit einer Reihe
von ungefähr sieben kräftigen Dornen ; die Vorderschienen sind an der
40
TH. BECKER
inneren Seite etwas spitz ausgezogen. Der ganze Körper ist ausserordent¬
lich nackt. Flügel farblos mit zarten Adern; reichlich 3, mit den Flü¬
geln 4 mm. lang.
1 Exemplar aus Java : Wonosobo, April (Jacobson), Museum von
Amsterdam.
Chloromerus nov. gen.
(/Xtopôç gelb und pipò; Schenkel.)
Eine Mischform zwischen Chlorops und Meromyza . Die Hinter¬
schenkel und Schienen sind verdickt und gekrümmt wie bei Meromyza ,
aber Kopf und Flügel sind ganz wie bei Chlorops ; das Gesicht springt
nicht vor die Augenlinie vor wie bei Meromyza. Die zweite und dritte
Längsadern sind grade und lang, nicht aufgebogen und die Queradern
sind nicht genähert, vielmehr sehr weit von einander gestellt. Das dritte
Fühlerglied ist kurz, mit einer stumpfen Oberecke.
2. Chloromerus purus n. sp.
Thorax und Schildchen gelb ; ersterer mit fünf glänzend schwarzen
Längsstreifen und kurzer schwarzer Behaarung. Schildchen gewölbt mit
vier radial abstehenden schwarzen Borsten. Brustseiten mit glänzend
schwarzen Flecken auf den Meso-, Ptero-, Sterno- und Hypopleuren,
ferner liegt ein kleiner schwarzer Fleck dicht unter dem Prothorax¬
stigma. Schwinger elfenbeinweiss. — Kopf gelb ; Hinterkopf in der
Breite des Scheiteldreiecks verdunkelt. Stirn gleich breit, 1 Va-mal so
breit wie ein Auge. Scheiteldreieck glänzend gelbbräunlich, an der Basis
von halber Scheitelbreite, nicht ganz bis zu den Fühlern reichend, mit
dunklen Seitenrändern und feiner schwarzer Haareinfassung; auch an
den Augenrändern stehen sehr zarte aber deutliche Orbitalbörstchen.
Fühler roth mit dunkler Rückenborste. Taster gelb, vorderer Mundrand
schwarz. Backen kaum so breit wie das dritte Fühlerglied. — Hinter¬
leib schwarz, kaum etwas glänzend mit feinen gelben Hinterrandsäu¬
men, deren letzter breiter ist als die übrigen. Beine rothgelb ; die ver¬
dickten Hinterschenkel sind auf ihrer Unterseite geschwärzt, ebenso wie
die unteren Ränder der Hinterschienen und ein Fleck auf deren Ober¬
seite ; letztes Tarsenglied braun. Flügel glashell ; zweite und dritte
Längsader lang und grade ; die Entfernung der beiden Queradern von
einander ist grösser als der letzte Abschnitt der fünften Längsader.
3 Va mm. lang.
1 Exemplar aus Australien. N.-S. -Wales : Mt. Victoria (Biró), Ung.
Kat. Museum.
3. Chloromerus pallidior n. sp. Taf. I. Fig. 19.
Thorax und Schildchen gelb, ersterer mit drei glänzend schwarzen
CHLOROPIDÆ.
41
Längsstreifen (die beiden äussersten sind zusammengeflossen) und schwar¬
zer Behaarung; letzteres mit vier radial gestellten schwarzen Randbor¬
sten, wie bei der vorigen Art ; auf den Brustseiten sieht man nur drei
schwarze Flecken auf den Meso-, Sterno- und Hypopleuren. — Kopf
gelb; Hinterkopf auf der Mitte deutlich gestriemt. Stirn lVa-mal so
breit wie ein Auge; Scheiteldreieck schmal und lang, an der Basis
von halber Scheitelbreite und bis zum vorderen Stirnrand reichend,
glänzend gelb mit deutlich schwarzem Ocellenhöcker ; Behaarung am
Rande und an den Orbiten verschwindend. Fühler hell rothgelb mit
schwarzer, etwas verdickter Borste. Taster und Mundrand gelb ; Backen
etwas schmäler als das dritte Fühlerglied. Hinterleib rostgelb bis rost¬
braun. Beine rostgelb, Tarsenspitzen kaum verdunkelt. Flügel wasser¬
klar, Äderung wie bei der vorigen Art, nur die Queradern sind ein wenig
näher zusammengerückt. 273 mm. lang.
1 Exemplar von Australien : Queensland, Brisbane (Biro), Ungar.
Nat. Museum.
Pachylophus Lw.
4. Pachylophus rufescens Meijere ( Myrmemorp ha ).
Grundfarbe rostgelb ; Thorax und Schildchen rothbraun bis schwarz¬
braun mit zwei mittleren grau bestäubten Längslinien, so dass man auch
sagen kann, der Thorax habe drei braune Längsstreifen. Brustseiten
glänzend rostgelb. Schwinger hellgelb. — Kopf gelb, Stirne 1 Ya-mal so
breit wie ein Auge mit ziemlich grossem, aber doch nicht ganz bis zum
T orderrand der Stirn verlaufenden glänzend schwarzen Scheiteldreieck,
das an der Spitzenhälfte etwas flach vertieft erscheint. Fühler roth¬
braun mit schwarzem Oberrande und dick behaarter Borste ; Gesicht
weiss bereift ; Backen so breit wie das dritte Fühlerglied. Hinterleib
glänzend schwarz, an der Wurzel rostgelb. Beine rothgelb, Tarsenspitzen,
Vorderschienen und Vordertarsen braun. Flügel etwas graulich; zweiter
und dritter Randaderabschnitt gleich lang ; dritte und vierte Längsader
divergierend. Queradern genähert. LA — 2 mm. lang.
Von Java, Pasuruan (Kórus), Mus. Amsterdam, ferner von Wono-
sobo, April (Jacobson) und Salatiga, Mai (Dr. v. Leeuwen) 7 Exemplare.
Ein Exemplar fand ich auch im Ung. Nat. Museum von Formosa,
i'ainan, Oktober (Sauter).
Eurina Meig.
Bestimmung stabelle der Arten.
1. Flügel stark schwarzbraun bis schwärzlich .... If „„ . .... .... 2.
— Flügel nur schwach gelbbräunlich getrübt. Thoraxrücken mattgelb mit 3 schwär-
42
TH. BECKER
zen Längsstreifen. Kopf gelb mit ebensolchem Scheiteldreieck und glänzend
rostrothen Längsfurchen; drittes Kühlerglied an der Spitzenhälfte schwarz ;
Prothoraxstigma mit schwarzem Fleck. 4 — 5 mm. lang, orientalis n. sp.
2. Thoraxrücken braungelb mit 3 mattbraunen Längsstreifen. Scheiteldreieck
glänzend dunkelrothbraun. Fühler rothbraun, oben dunkler ; drittes Glied
mit schwarzem Oberrande und Spitze. 6 mm. lang, fuscipennis Meutere.
— Thorax und Schildchen matt ziegelroth mit 3 schmalen schwärzlichen
Längsstreifen. Scheiteldreieck glänzend schwarzbraun. Fühler rothbraun.
Prothoraxstigma roth. 9 mm. lang. „„ „„ „„ . . infumata n. sp.
5. Eurina fuscipennis Meijere ç .
Beschreibung nach Meijere :
Kopf im Profil etwas kürzer als bei Eur. lurida Meig. Stirn vor¬
gezogen, gelbbraun, mit zerstreuter kurzer dunkler Behaarung. Schei¬
teldreieck fast ganz glänzend dunkelrothbraun, nur hinten etwas gelb¬
lich, vorne in eine lange Spitze ausgezogen, welche sich bis nahe der
Fühlerwurzel erstreckt über der Mitte lässt sich eine eingedrückte
Längslinie beobachten und je eine solche liegt den beiden Seitenrän¬
dern parallel. Der wehere Theil dès Kopfes gelblichweiss. Fühler neben
der Stirnspitze eingefügt, das erste Glied ziemlich kurz, das zweite
wenig kürzer als das dritte ; letzteres etwas länger als hoch, am Ende
gerundet. Die Fühler sind rothbraun, oben dunkler, das dritte Glied
mit schwarzem Oberrande und Spitze. Fühlerborste weisslich, an der
Wurzel etwas mehr bräunlich, etwas länger als die Fühler, ziemlich
dick, sehr kurz pubescent. Augen länger als hoch, ziemlich viereckig,
schief gestellt. Taster gelblichweiss, am Ende verdunkelt, schwärzlich,
Saugflächen ziemlich schmal.
Thorax braungelb, fast matt, äusserst kurz dunkel behaart, oben
mit drei breiten ebenfalls fast matten braunen Längsstreifen ; der mitt¬
lere fängt ganz vorne an und erreicht hinten das Schildchen nicht; die
seitlichen fangen hinter den Schulterbeulen an und erstrecken sich etwas
weiter als die Mittelstrieme, erreichen aber ebensowenig das Schildchen.
Letzteres gelblich mit etwas längerer schwarzer Behaarung und mit
vier kurzen Borsten. Brustseiten glänzend weissgelb, über den Mittel¬
hüften mit wenig auffallendem bräunlichen Flecken, welcher nur den
unteren Theil der Sternopieuren einnimmt. Hinterleib gelblich, oben
gleichmässig verdunkelt.
Beine braungelb, alle Tarsen schwarz. Yorderschienen am Ende
dunkel, hintere Schienen mit schwärzlichem Binge vor der Spitze. Flü¬
gel schwärzlich, am Hinterrande und an der Spitze wenig heller ; vierte
Längsader am Ende etwas dünner und den Hinterrand fast erreichend-
Schwinger gelblich, der Knopf oben etwas dunkler.
CHLOROPIDÆ.
43
Körperlänge 6 mm., Flügellänge 5 mm.
Yon Neu-Guinea: Andai, Februar. Museum von Amsterdam.
6. Eurina infuscata n. sp.
Eine grosse schöne, stark gefärbte Art.
Thorax und Schildchen scharlachroth, ganz matt ; ersterer mit drei
schmalen schwärzlichen Streifen, von denen der mittelste hinten, die
seitlichen vorne abgekürzt sind. Behaarung kurz schwarz. Schildchen
kurz, dick und breit mit schwacher Randbeborstung. Brustseiten schwach
glänzend, ohne Flecken ; auch das Prothoraxstigma ist roth. Stirn um
die Länge des horizontalen Augendurchmessers vortretend ; das Gesicht
unter halbem rechten Winkel zurückweichend. Kopf im Profil trapez¬
förmig ; Stirn doppelt so breit wie ein Auge. Scheiteldreieck glänzend
schwarzbraun, schmal und lang, an der Basis von halber Scheitelbreite
mit geschweiften Seitenrändern, linienförmig bis zum Stirnrande ver¬
laufend, mit einer tiefen graden Mittelfurche und zwei gebogenen Sei¬
tenfurchen; das Scheiteldreieck tritt auf den rothen Hinterkopf über
und zeigt sich hier als ein kleines schwarzes Randdreieck. Augen sehr
klein ; Backen reichlich so breit wie der halbe Augendurchmesser.
Fühler rothbraun ; das zweite Glied etwas verlängert, reichlich so lang
wie das dritte, welches vorne abgerundet, 1 Vs -mal so lang wie breit ist,
mit einer etwas dicken weissen, an der Wurzel rothen Borste. Der äus-
serste Stirnrand zu beiden Seiten der Fühlerwurzeln ist glänzend schwarz¬
braun gefleckt. Taster vortretend mit schwarzer Spitzenhälfte. Rüssel
roth mit breiten Saugflächen. — Hinterleib roth, oben schwarzbraun.
Beine rothgelb mit schwarzbraunen Tarsen. Flügel stark schwarzbraun
gefärbt, am Hinterrande etwas blasser; die Vorderrandzelle ist nach
aussen hin deutlich etwas ausgebaucht ; die vierte Längsader erreicht
vollkommen den Hinterrand. Körper 9, Flügel 6 Va mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Friedrich-Wilhelmshafen (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
Anmerkung. Beide Arten sind, abgesehen von der Grösse,
einander sehr ähnlich. E. fuscipennis ist mehr rostgelb, infuscata mehr
rothgelb und der Kopf hat eine sehr leuchtende rothe Farbe. Bei der
ersten Art ist das zweite Fühlerglied nicht ganz so lang wie das dritte,
bei der zweiten ist es deutlich länger. Die Stirn tritt bei infuscata
weiter vor; die Augen sind kreisrund, nicht länglich und schräg ge¬
stellt; das Scheiteldreieck hat annähernd dieselbe Form und Skulptur.
Die Flügel sind intensiver schwarzbraun gefärbt und die dritte und
vierte Längsader divergieren deutlich, während sie bei E. fuscipennis
parallel laufen. Schenkel und Schienen sind ganz hell rothgelb, bei
fuscipennis sind die Schienen etwas gebräunt.
44
TH. BECKER
7. Eurina orientalis n. sp.
Yon mattgelber Grundfarbe; Thoraxrücken mit drei breiten schwarz¬
grauen Längsstreifen und zwei solchen Seitenstrichen; die mittlere
Strieme ist ganz vorne am Halse intensiv schwarz. Schildchen schmut¬
zig graugelb ; Behaarung kurz, schwarz ; Schulterbeule mit schwarzem
Bleck, Brustseiten gefleckt auf den Meso-, Ptero- und Sternopieuren,
desgleichen ein kleiner runder schwarzer Bleck unter dem Prothorax¬
stigma ; Schwinger schmutzigweiss. — Kopf matt rostgelb ; Stirn drei¬
mal so breit wie ein Auge und um einen Augendurchmesser vorste¬
hend; zu beiden Seiten des Scheiteldreiecks liegt auf der Stirn ein
brauner Bleck, desgleichen ist die ganze Parthie rund um die Bühler-
basis braun und zwei braune Linien begrenzen den Clypeus von den
breiten Wangen. Augen klein; Hinterkopf mit einem tiefschwarzen
Mittelstreifen von der Breite der mittleren Thoraxstrieme und des Schei¬
teldreiecks ; letzteres ist am Scheitel ziemlich breit, von derselben Barbe
wie die Stirn, spitzt sich aber bei konkaver seitlicher Begrenzung sehr
schnell zu und verläuft sehr spitz bis zum Stirnvorderrande ; es hat
eine mittlere und mehrere seitliche Burchen, welche glänzend rostroth
sind. Bühler rostgelb, drittes Glied vorne abgerundet und an der Spit¬
zenhälfte schwarz mit dicker weisser, an der Basis gelber Borste. Lu¬
nula etwas vortretend und glänzend rostgelb. Backen fast so breit wie
das Auge hoch. Hinterleib matt rostbraun mit feinen gelben Hinter¬
randsäumen und kurzer schwarzer Behaarung; die breit auf die Unter¬
seite zurückgeschlagenen Seitentheile der Binge sind gelb. Beine rost¬
gelb mit etwas verdunkelten Tarsenendgliedern ; Schenkel und Schienen
mitunter auf der Mitte gebräunt. Blügel schwach gelbbräunlich mit der
normalen Äderung ; dritte und vierte Längsader nur wenig divergierend.
4 — 5 mm. lang.
2 Exemplare von der Insel Bormosa : Chip-Chip, Januar (Sauter).
Sammlung des Ungar. Nat. Museums.
Steleocerus Beck.
Bestimmung stab eile der Arten.
-- Thoraxrücken und Schildchen sowie Brustseiten glänzend schwarz ; ersterer
mit 2 weisslichen Längslinien. Scheiteldreieck breit, glänzendschwarz mit
flacher Mittelstrieme. Beine rostgelb mit schwarzen Schenkeln.
obscurellus n. sp.
- Thoraxrücken und Brustseiten glänzendschwarz ; Schildchen gelb. Scheitel¬
dreieck die ganze Stirn bedeckend, stahlblau. Beine ganz hell rothgelb,
formosus n. sp.
CHLOROPIDÆ.
45
— ■ Thoraxrücken glänzend schwarz, vor dem Schildchen flach, braun, matt.
Schildchen gelb, an den Seiten schwarz. Brustseiten gelb mit schwarzen
Flecken. Scheiteldreieck glänzend gelb. Beine rostgelh mit dunklen Vor¬
der tarsen.„ „„ . . . . ensifer Thoms.
— Thoraxrücken und Schildchen matt schwarzgrau mit 2 feinen grauen Längs -
linien. Brustseiten gelb mit schwarzen Flecken. Scheiteldreieck glänzend
gelb. Beine rostgelb. . . . tenellus Beck.
8. Steleocerus obscurellus n. sp.
cf . Thoraxrücken und Schildchen nebst Brustseiten ganz glänzend
schwarz mit kurzer schwarzer Behaarung ; am Schildrande stehen zwei
stärkere schwarze Borsten. Betrachtet man den Rücken ganz von der
Seite, so erscheinen zwei weiss bestäubte Längslinien auf ihm. Schwin¬
gerkopf schwarzbraun, nur an der Wurzel etwas weiss. — Kopf ganz
glänzend schwarz, nur der vordere Theil der Stirn matt rothbraun ;
diese ist lVs-mal so breit wie ein Auge; das Scheiteldreieck glänzend
schwarz, sehr breit, bis zum vorderen Stirnrande reichend, mit einer
flachen Mittelrinne. Untergesicht glänzend schwarz; die Orbiten und
die schmalen Wangen erscheinen in schräger Betrachtung weiss be¬
reift. Fühler roth mit dicker langer fast nackter Borste, die un¬
gefähr doppelt so lang ist wie die Fühler. Hinterleib glänzend
schwarz, nackt, am Bauche mit rothgelber Wurzel. Beine rostgelb, je¬
doch Hüften und Schenkel, diese bis nahe zur Spitze glänzend schwarz.
Flügel glashell, kaum etwas graulich mit feinen schwarzen Adern ; dritte
Längsader grade, mit der vierten fast verschwindenden, parallel ; zweite
kurz, dem Vorderrande sehr nahe anliegend ; zweiter und dritter Rand¬
aderabschnitt ungefähr gleich lang. Länge, einschliesslich der Fühler¬
borste 8 Va mm.
5 . Das Weibchen unterscheidet sich durch ganz weissen Schwin¬
gerknopf und die an der Wurzel geschwärzten Hinterschienen.
3 Exemplare aus Neu- Guinea, Friedrich- Wilhelmshafen (Biró),
Ungar. Nat. Museum und 2 Exemplare von Java, Salatiga, Januar.
(Dr. V. Leeüwen.) Museum von Amsterdam.
9. Steleocerus ensifer Thoms. (Oscinis.)
Ich ziehe es vor, diese Art im Zusammenhänge mit der Fauna der
äthiopischen und indo-australischen Region, wo diese Gattung gut ver¬
treten ist, zu behandeln und nicht als einen Bestandtheil der paläarkti-
schen Fauna, in der sie fremd ist; sie hat mit der afrikanischen Art
St. tenellus die grösste Verwandtschaft, unterscheidet sich aber durch
andere Zeichnung des Thoraxrückens und des Schildchens.
Thoraxrücken glänzend schwarz, vor dem Schildchen abgeflacht
und hier mattbraun ; von einer Streifung ist nichts zu sehen ; die aus-
46
TH. BECKER
serst kurze Pubescenz schimmert fahlgelb. Schildchen auf der Mitte
gelb, an den Seiten schwarz, also umgekehrt gefärbt wie bei St. tenellus
und mit zwei deutlichen schwarzen Randborsten. Schulterbeulen braun
gefleckt. Brustseiten gelb mit glänzend schwarzen deutlichen Flecken
auf den Meso- und Hypopleuren. — Kopf gelb, kugelrund; zwei deut¬
liche Orbitalborsten. Stirn mit einem grossen, glänzend gelben, auf der
Mitte etwas eingedrückten Scheiteldreieck. Fühler gelb, das zweite Glied
oben mit einem aufrecht stehenden Börstchen; die Fühlerborste stiel¬
förmig, fast doppelt so lang wie das dritte Fühlerglied. Backen sehr
schmal, nicht so breit wie die Fühlerborste. Hinterleib pechbraun.
Schwinger weiss. Beine rostgelb, Vordertarsen verdunkelt. Flügel blass
gelbbräunlich mit gleich gefärbten Adern ; Längsadern grade ; die zweite
kurz, so dass der zweite Randaderabschnitt gleichlang oder kürzer ist
als der dritte. 2 mm. lang.
Aus China. Museum von Stockholm. 1 Exemplar aus Batavia
(Jacobson), Mus. Amsterdam. 8 Exemplare von der Insel Formosa, Takao
und Tainan (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
10. Steleocerus formosus n. sp.
Thorax mit den Brustseiten glänzend schwarz, Rücken durch
dichte feine Punktierung etwas matt. Brustseiten mit einem gelben
Längsstriche am oberen Rande der Sternopieuren. Schildchen ganz
gelb, oben flach mit zwei schwarzen Endborsten. - — Kopf schwarz, gross,
breiter als der Thoraxrücken mit grossen hochgestellten Augen. Hinter¬
kopf ganz schwarz; Stirn und Gesicht so breit wie ein Auge. Stirn¬
dreieck die ganze Stirn bedeckend, auch vorne kaum etwas verschmä¬
lert, ganz glatt, glänzend schwarz, stark stahlblau schillernd ; Fühler
rothgelb mit schwarzer dicker Endborste; Gesicht glänzend schwarz;
Backen nicht vortretend ; Rüssel und Taster schwarz. Hinterleib oben
und unten glänzend pechbraun. Beine ganz hell rothgelb, auch die
Tarsenendglieder. Flügel wasserklar mit hellbraunen feinen Adern ; die
vierte Längsader unscheinbar. 2 Va mm. lang.
1 Exemplar von der Insel Formosa : Chip-Chip, Februar (Sauter),
Ungar. Nat. Museum.
11. Steleocerus tenellus Beck.
Ich hatte diese Art aus Ost- Afrika zuerst kennen geleint und in
der æthiopischen Fauna beschrieben. Das hier vorliegende Exemplar aus
Formosa ist etwas grösser und auf dem Thoraxrücken durch deutlichere
schwarzgraue Längsstreifung dunkler und ganz matt, während das ost¬
afrikanische Exemplar einen sehr schwachen Fettglanz zeigt; in allen
übrigen Färbungsverhältnissen aber, in Form und Flügeladerung sind
keine Unterschiede. 3 Va mm. lang.
CHLOROPIDÆ,
47
1 Exemplar von Formosa : Tainan, Februar (Sauter), Ungarisches
Nat. Museum.
Hemisphærisoma nov. gen.
(fjpitacpcupiov Halbkugel und to owaa Leib.)
Kleine, sehr breit gebaute, ganz glänzend schwarze nackte Art.
Der Thoraxrücken ist ausserordentlich stark gewölbt und nur sehr kurz
und zart behaart ; das Schildchen von gewöhnlicher runder gewölbter
Form, nicht besonders gross mit zwei Endborsten. Kopf breit, breiter
als der Thorax; Augen sehr gross, im Profil fast den ganzen Kopf be¬
deckend. (Taf. I, Fig 10.) Stirn kaum etwas vortretend; Gesicht etwas
konkav, kurz, am Mundrande ein wenig vortretend. Scheiteldreieck sehr
gross, die ganze breite Stirn bedeckend. Fühler verlängert, länger als
das Untergesicht, an der Wurzel des dritten Gliedes mit einer beider¬
seits sehr weitläufig gefiederten Borste, die an die Gattung Drosophila
erinnert. Hinterleib flach und breit, der dritte Ring stark verlängert.
Beine einfach. Flügel schmal mit graden parallelen Längsadern ; die
kleine Querader der Flügelbasis sehr nahe gerückt, so dass beide Quer¬
adern sehr weit auseinander stehen ; bei der zunächst einzigen bekann¬
ten Art ist die Vorderrandzelle stark geschwärzt; auch liegt ein brauner
Fleck an der Flügelspitze zwischen der zweiten und dritten Längsader.
12. Hemisphærisoma politum n. sp. Taf. I, Fig. 10.
Männchen. Thorax und Schildchen ganz glänzend schwarz, sehr
kurz behaart. Schwinger weiss ; auf den Sternopieuren liegt am oberen
Rande ein schmaler weissgelber Längsstrich. — Kopf gross, breit, mit
grossen nackten Augen. Stirn fast doppelt so breit wie ein Auge, glän¬
zend stahlblau ohne Furchen und Haare. Fühler : erstes und zweites
Glied klein und von gewöhnlicher Form; drittes Glied verlängert, drei¬
mal so lang wie breit, mit parallelen Seiten, vorne abgerundet, an der
Wurzel eine nackte, beiderseits gefiederte dünne Borste, oben mit 2 — 4,
unten mit 1 — 2 Fiedern, deren Wurzelpunkte abwechselnd gestellt sind ;
die Fühler sind rothbraun, das dritte Glied an der Spitze und Ober¬
seite verdunkelt. Mundöffnung gross, der äusserste vordere Mundrand
weisslich ; Taster und Rüssel schwarz, letzterer nicht besonders hervor¬
tretend. — Hinterleib breit und flach, ganz nackt, wie poliert; der
dritte Ring ist sehr lang, er nimmt ®/s des ganzen Hinterleibes ein ;
das kurze, stielartig vortretende Hypopygium ist mit dem äussersten
Rande des letzten Ringes rothgelb. Beine ganz rothgelb, höchstens die
Vorderschenkel mit brauner Binde. Flügel von ähnlichem Typus wie
bei den Gattungen Ops und Chloropsina : die Längsadern sind gerade,
48
TH. BECKER
etwas nach den Vorderrand hin gedrängt, die Diskoidalzelle schmal,
Queradern weit auseinander, da die kleine Querader der Flügelbasis
sehr nahe steht und zwar im ersten Drittel der Diskoidalzelle ; die
vierte Längsader ist hinter der Querader ganz unscheinbar; Vorder¬
randzelle und ein Fleck an der Flügelspitze schwarzbraun. 1 V* — 2:
mm. lang.
Weibchen. Es ist dunkler gefärbt als das cf ; so ist der gelbe
Strich an der oberen Kante der Sternopieuren ganz verschwunden und
der Mundrand undeutlich heller ; ferner haben alle Schenkel breite
schwarze Binden.
75 Exemplare von Formosa : Kosempo, Juni (Sauter), Ungarisches
Nat. Museum.
Semaranga nov. gen.
Gehört in die Nähe von Philadelphus Beck., Elachiptereicus Beck.,
Steleocerus Beck, und Pseudopachy chaeta Strobl, mit denen sie die ver¬
dickte Fühlerborste und die nicht verdickten Hinterschenkel gemein
hat. Die Queradern der Flügel stehen dicht bei einander wie bei Ela¬
chiptereicus und Pseudopachy chaeta. Was sie von diesen beiden Gattun¬
gen trennt, ist die deutlich nierenförmige Gestalt des dritten vorge¬
streckten Fühlergliedes mit der endständigen kurz behaarten Borste,
sowie drei Paar deutlicher Dorsocentralborsten. Die Fühlerbildung* ist
ähnlich der bei Steleocerus. Die dritte Flügellängsader ist fast ganz grade,
nur schwach gebogen. Schildchen gewölbt und mit vier deutlichen Rand¬
borsten. Thorax glänzend rothgelb, undeutlich gestreift mit spärlicher
Behaarung; ausser den drei Paar Dorsocentralborsten sind noch vor¬
handen : eine Supraalar- und zwei Notopleuralborsten. Scheiteldreieck
gross. Stirn etwas vortretend mit gewölbtem Hinterkopf ; der Kopf im
ganzen gerundet.
13. Semaranga dorsocentralis n. sp.
Thorax und Schildchen gelb, stark glänzend mit drei etwas schwer
bemerkbaren rothen Längsstreifen, von denen der mittlere in zwei auf¬
gelöst ist ; die dunklen Anfänge dieser Streifen sind ganz vorne am
Thorax deutlicher. Drei Paar lange schwarze Dorsocentralborsten. Schild¬
chen mit vier deutlichen Randborsten, von denen die beiden an der
Spitze verhältnismässig weit von einander stehen. Die Brustseiten sind
etwas heller gelb und zeigen ausser der schwarz gefleckten Schulter¬
beule keinen dunklen Fleck. — Kopf gelb ; Stirn doppelt so breit wie
ein Auge ; Scheiteldreieck glänzend gelb, sehr gross, an der Basis fast
die Augen und vorne den Stirnrand berührend, ohne Furchung und
ohne Ränder; es findet am Hinterkopf seine Fortsetzung als ein glän-
CHLOROPIDÆ.
49
zendes Dreieck, das bis zum Halsansatz verläuft. Fühler gelb mit schwar¬
zer Borste, die ihr dickes Aussehen hauptsächlich durch die dichte
Behaarung erlangt. Backen ungefähr so breit wie das dritte Fühler¬
glied. — Hinterrücken und Hinterleib rothgelb, etwas glänzend. Beine
rostgelb, Tarsen kaum etwas verdunkelt. Flügel blassbräunlich mit brau¬
nen Adern. Queradern höchstens um die Länge der kleinen Querader
von einander entfernt ; dritte Längsader kaum etwas aufgebogen.
2 Va mm. lang.
1 Exemplar von Java, Semarang (Jacobson), Mus. Amsterdam und
2 Exemplare aus Bombay (Biró), Ungar. Nat. Museum.
Phyladelphus Beck.
14. Phyladelphus cornifer n. sp.
Wir lernten diese Gattung in einer europäischen Art Thalhamm eri
Beck, kennen, fanden in Afrika eine zweite Art geminus und finden
jetzt noch zwei in der indo-australischen Region.
Thorax von gelber Grundfarbe mit drei breiten glänzend schwar¬
zen zusammenfliessenden Längsstreifen ; der mittlere beginnt am Halse
und endigt etwas hinter der Mitte des Thoraxrückens, wird dann plötz¬
lich heller, läuft aber auch noch über das Schildchen, so dass dieses
eine bräunliche Farbe erhält; die seitlichen Streifen sind vorne ver¬
kürzt. Schildchen mit zwei langen und zwei kurzen Randborsten. An
den glänzend gelben Brustseiten sieht man deutlich schwarze Flecken
nur auf den Sterno- und Hypopleuren. — Kopf gelb ; Hinterkopf mit
schwarzer Strieme in der Breite des Scheiteldreiecks. Stirn IVa-mal so
breit wie ein Auge. Scheiteldreieck glänzend schwarz, sehr breit an der
Basis, wenn auch nicht ganz die Augen berührend und bis zur Stirn¬
mitte geführt, von hier aber als feine Linie und ohne Furchung bis zu
den Fühlern laufend. Fühler rothgelb; drittes Glied ein wenig nieren¬
förmig ; die Fühlerborste verläuft mit ihrer kurzen Behaarung ziemlich
gleich dick bis zur Spitze. Die Augen sind gross, etwas höher als lang,
so dass die Backen nur schmal, nicht breiter als die Fühlerborste sind.
Taster gelb. Hinterleib glänzend braun, die beiden ersten Ringe heller.
Beine rostgelb, letztes Tarsenglied verdunkelt. Flügel lang und verhält¬
nismässig schmal, giashell ; zweite und dritte Längsader fast grade; die
Entfernung der beiden Queradern von einander gleich dem zwei- bis
dreifachen der hinteren Queraderlänge. 13A mm. lang.
1 Exemplar von Bombay (Biró), Ungar. Nat. Museum.
15. Phyladelphus cristatus n. sp. Taf. I, Fig. 6.
Thorax und Schildchen von rostgelber Grundfarbe, auf dem Rücken
4
Annales Musei Nationalis Hung arici. IX.
50
TH. BECKER
mit drei nahe zusammengerückten, etwas undeutlichen schwarzen Längs¬
streifen ; die feine Behaarung ist weiss ; am Schildchen sind zwei län¬
gere und zwei kürzere Endborsten schwarz. Brustseiten gleichmässig
glänzend rostbraun, Sternopleuren und Hypopleuren glänzend schwarz.
Kopf rostgelb, Hinterkopf rothbraun. Stirn etwas röthlich, etwas breiter
als ein Auge, mit glänzend braunem Scheiteldreieck von mässiger Grösse,
das bis etwas über die Stirnmitte reicht und in eine feine Linie bis zu
den Fühlern ausläuft ; auf dem Punktaugenhöcker stehen zwei deutlich
nach vorne geneigte divergierende Borsten; Frontorbitalborsten fehlen.
Die Fühler sind rothgelb ; die Wurzel der zweigliedrigen Borste schwärz¬
lich, sonst wie auch die Borstenhaare braungelb. Untergesicht durch
Bereifung etwas grau ; die Augen sind sehr gross, so dass Backen nicht
hervortreten ; am Mundrande steht jederseits ein feines helles Börstchen.
Hinterleib rostbraun, an der Wurzel etwas heller mit hellen Haaren.
Beine nebst Hüften ganz rostgelb. Flügel schwach bräunlich gefärbt,
deutlich etwas behaart, mit feinen Adern ; dritte Längsader grade, dritte
und vierte parallel ; zweiter und dritter Bandaderabschnitt ungefähr
gleich gross ; kleine Querader auf der Mitte der Diskoidalzelle. 2 mm.
lang.
1 Exemplar aus Neu-Guinea: Simbang, Huon Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
Siphlus Lw.
Die afrikanische Art megacephalus , auf welche Loew seine Gat¬
tung errichtete, kommt auch in Indien vor.
16. Siphlus megacephalus Lw.
Zweifellos mit der LoEw’schen Art übereinstimmend, in der Fär¬
bung jedoch etwas abweichend; zunächst sind die drei Streifen auf
dem Thoraxrücken überwiegend roth und nur an den Bändern oder am
Anfang schwarz ; dann ist bei dieser helleren Färbung auch der braune
Backenfleck verschwunden ; auf dem grossen breiten glänzend gelben
Scheiteldreieck liegt auf der vorderen Hälfte ein brauner Fleck von
unbestimmt runder Form, während Loew von einem rautenförmigen
Fleck spricht; andere Unterschiede finde ich nicht. 3 — 374 mm. lang.
2 Exemplare von der Insel Ceylon in der Sammlung des Berliner
Museums unter Nr. 5415.
Anmerkung. Gesicht und Stirn sind reichlich doppelt so breit
wie ein Auge. Die Fühlerborste, welche Loew bei seiner Art als griffel¬
förmig beschreibt, ist hier ziemlich lang und dünne. Ich nehme an,
dass die Fühlerborste bei dem LoEw’schen Exemplar abgebrochen war ;
es erscheint mir nicht ausreichend eine andere Art anzunehmen.
CHLOROPIDÆ.
51
Chloropsina nov. gen.
Ich gründe diese Gattung auf zwei sehr kleine zarte, glänzend
schwarze Arten. Thorax mit dem Schildchen und Brustseiten sind über¬
wiegend schwarz ; Spuren von Streifen sind nicht zu sehen ; das Schild¬
chen ist gewölbt ; das dritte Fühlerglied ist ähnlich geformt wie bei
Chlor ops. Wesentlich abweichend ist aber der breite Kopf, der breiter
ist als der Thorax, mit den sehr grossen Augen, die im Profil gesehen
ungefähr den ganzen Kopf einnehmen und dann wenigstens bei der
einen von mir genannten Art der kegelförmig zugespitzte Hinterleib,
der an gewisse Wespenformen erinnert. Die Flügel sind sehr feinadrig,
die zweite Längsader ist sehr kurz.
17. Chloropsina oculata n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz mit deutlichen Band¬
horsten. Behaarung sehr kurz schwarz ; die Beule vor dem Schildchen
mit gelbem Fleck. Brustseiten dunkel rostgelb mit deutlichen schwarzen
Flecken auf den Sterno-, Meso- und Hypopleuren. Schwinger weiss.
Kopf schmutziggelb ; Stirn schmal, kaum so breit wie ein Auge ; diese
sind sehr gioss. Scheiteldreieck gross, glänzend schwarz, etwas blatt¬
förmig, an der Basis fast die Augen, mit der Spitze fast die Fühler¬
wurzel berührend, ohne Furchung und in ganzer Breite in die schwarze
Hinterkopffärbung übertretend. Fühler gross, schwarz mit langer weisser
Borste. Taster und Mundrand schwarz ; Backen unter dem Augenrande
kaum vortretend. Hinterleib glänzend schwarz, kegelförmig zugespitzt.
Beine rostgelb ; Schenkel auf der Mitte breit schwarzbraun. Flügel glas¬
hell, mit sehr feinen Adern, irisierind ; dritte Längsader grade und fast
an der Flügelspitze mündend ; zweiter Bandaderabschnitt nicht länger
als der dritte. 1 — 17a mm. lang.
5 Exemplare aus Neu-Guinea : Friedrich-Wilhelmshafen (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
18. Chloropsina delicata n. sp.
Thorax und Schildchen ganz glänzend schwarz, letzteres mit zwei
Bandborsten, *sonst fast ganz nackt. Brustseiten stark glänzend. Kopf
fast doppelt so breit wie hoch, ebenfalls ganz schwarz ; der Mundrand
schimmert mitunter etwas gelbbraun. Die schwarze Stirn, 1 7a -mal so
breit wie ein Auge, wird durch ein grosses schwarzes, etwas stahlblau
schillerndes Scheiteldreieck fast ganz ausgefüllt. Fühler und Borste
schwarz ; das dritte Glied ziemlich gross mit stumpfer Oberecke ; der
Punktaugenhöcker hat zwei starke, nach vorne gerichtete divergierende
Borsten; am Scheitel steht je eine Borste an der Augenecke; die Fühler¬
borste ist zart pubescent. Hinterleib glänzend schwarz mit stahlblauem
4*
52
TH. BECKER
Schimmer, namentlich am letzten spitzen Ringe. Schwinger elfenbein-
weiss. Beine zart, schwarzbraun ; Kniee, Schienenspitzen und Metatarsus
gelbbraun. Flügel wasserklar mit zarten dunklen Adern ; zweite Längs¬
ader kurz, so dass der zweite Randaderabschnitt etwas kürzer ausfällt
als der dritte. 1 — lVa mm. lang.
3 Exemplare von Neu- Guinea : Friedrich- Wilhelmshafen (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
Parectecephala Beck.
19. Parectecephala indica n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend blassgelb mit drei schwarzen,
ziemlich breiten, glänzenden Längsstreifen und zwei Seitenstrichen.
Schildchen gewölbt, durchsichtig mit zwei kleinen schwarzen Endborsten.
Behaarung kaum bemerkbar, schwarz. Brustseiten nur am Prothorax¬
stigma mit einem kleinen schwarzen Fleck. — Kopf gelb ; Hinterkopf
mit einer schwarzen Mittelbinde, die in voller Breite des Scheiteldreiecks
verläuft. Stirn etwas breiter als ein Auge mit einem kleinen braun¬
gelben, etwas glänzenden Scheiteldreieck ; dasselbe hat die halbe Schei¬
telbreite zur Basis und reicht nur bis zur Mitte der Stirn, hat aber
einen linienförmigen schwarzen Ausläufer bis zu den Fühlern ; die
Farbe ist braun, am Scheitel gelblich und die Seiten werden begrenzt
durch je eine feine Furche, Fühler gelb, das dritte Glied lVa-mal so
lang wie breit, an der Spitze geschwärzt, Borste weiss. Untergesicht
etwas weiss bereift ; Backen nicht ganz so breit wie das dritte Fühler¬
glied. Schwinger elfenbeinweiss. Hinterrücken rotti. Hinterleib rostgelb,
an der Spitze dunkler. Beine gelb ; Vordertarsen sowie die beiden letz¬
ten Tarsenglieder an den übrigen Beinen braun. Flügel blassbräunlich.
Längsadern grade ; dritte und vierte parallel. Entfernung der beiden
Queradern von einander gleich der Länge des letzten Abschnittes der
fünften Längsader. 2 Va mm. lang.
1 Exemplar aus Ceylon (Nietsch) unter Nr. 6399 im Berliner Museum.
Metopostigma Beck.
20. Metopostigma Sauteri n. sp.
Mit dem ganz schwarzen dritten Fühlergliede und Tastern kann
man sie nur mit den paläarktischen Arten polonica und Pleskei Beck.
vergleichen, von denen sie sich durch dunkle Thoraxbehaarung, schmä¬
lere Stirn, von Pleskei auch noch durch hellere Beine unterscheidet.
Thorax mattgelb mit drei breiten matt schwarzgrauen (nicht sand¬
grauen) Längsstreifen auf dem Rücken, von denen der mittelste über
CHLOROPIDÆ.
53
das Schildchen läuft. Die sehr kurze Behaarung ist nicht wie bei
polonica weiss, sondern schwarz. Brustseiten matt; die dunklen
Blecken sind durch helle Bestäubung grau und wenig auffällig. Schwin¬
ger elfenbeinweiss. Kopf gelb, Stirn matt, verhältnismässig schmal,
nicht viel breiter als ein Auge, während diese bei polonica reichlich
doppelt so breit ist. Das Scheiteldreieck reicht nur bis zur Mitte der
Stirn, ist ebenfalls matt und der schwarze Fleck unter dem Punkt¬
augenhöcker ist selten kreisrund, sondern länglich oval bis spindel¬
förmig, verschwindet auch mitunter ganz. An den Fühlern sind die
beiden Wurzelglieder gelb, das dritte Glied schwarz ; die Borste dick
weiss mit gelber Wurzel ; Taster an der Spitze breit, schwarz ; Backen
ungefähr so breit wie das dritte Fühlerglied. — Der Hinterleib hat
dieselbe karakteristische Färbung mit den zwei breiten schwarzbraunen
Längsstreifen wie die übrigen bekannten Arten. Beine ganz rothgelb,
nur die Yordertarsen braun. Flügel wasserklar mit blassbraunen zarten
Adern. 2 mm. lang.
Yon der Insel Formosa : Tainan, Febr. (Sauter) ; schein dort sehr
gemein zu sein, denn ich sah 119 Exemplare in der Sammlung des
Ungar. Nat. Museums.
Chlorops Meig., Lw.
Uns sind aus diesem Gebiete bisher folgende Arten bekannt ge¬
worden :
Chlorops conciusata Walk.
« vicaria W 4lk.
« albi frons Walk.
« postmacula Walk.
« nicobar ensis Schin.
« fuscipennis Thoms.
« vittipennis Thoms.
« incisa Meijere.
« rubra Meijere.
« paludosa Meijere.
Chlorops conciusata Walk. Schwarzbraun von Körperfarbe, grau
bestäubt, gehört vielleicht garnicht hierher; auch Walker hat schon
ein Fragezeichen zu Chlorops gesetzt.
Chlorops vicaria Walk, mit dem dreieckigen Fühlergliede gehört
auch sicher nicht zu Chlorops in unserem Sinne, sondern wahrschein¬
lich zur Gattung Scoliophthalmus.
Chlorops albifrons Walk, kann vielleicht eine Chlorops sein.
54
TH. BECKER
Chlorops postmacula Walk. Wegen der verlängerten elliptischen
Fühler und des borstigen Kopfes liegt hier auch keine Chlorops vor.
Chlorops nicobarensis Schin. ist eine Chlorops und Chlorops
fuscipennis Thomas, ist nach Ausweis der Typen von Wien und Stock¬
holm dieselbe Art.
Chlorops vittipennis Thoms, mit den grossen pubescenten Augen,
dem« runzeligen Schildchen, dem nierenförmigen dritten Fühlergliede
mit der pubescenten Borste ist ein Gaarax. Thomson hat übersehen,
dass die Bandader bis zur vierten Längsader läuft, sonst hätte er die
Art wohl nicht als Chlorops , sondern als Oscinis beschrieben.
Aus älterer Zeit kennen wir also fast nur eine einzige Art, Chi.
nicobarensis Schin. Erst ganz vor kurzem hat Br. de Meijere die drei
Arten rubra , paludosa und incisa beschrieben, denen ich nun mit
Chi. albifrons Walk., obgleich ich diese Type, wie alle anderen Wal-
KER’schen Arten nicht habe sehen können, eine Beihe neuer Arten hin¬
zusetzen kann.
Bestimmung stab eile der Arten.
1. Drittes Fühlerglied ganz schwarz oder schwarzbraun. „„ 2.
— Drittes Fühlerglied rothgelb oder wenn auf der äusseren Seite schwarz¬
braun, so doch auf der Innenseite an der Wurzel rothgelb. „„ „ 14.
2. Thoraxrücken nicht oder sehr undeutlich gestreift, ganz oder bis auf
Schulterbeulen und Seitenflecken einfarbig schwarz oder schwarzbraun. 3.
— Thoraxrücken mit 3 — 5 deutlich getrennten, meist dunkleren Längs¬
streifen. Lj „„ „„ „„ . . „„ 6.
3. Thoraxbehaarung hell . . . „„ „„ CI _ „„ |§ „„ „„ 4.
— Thoraxbehaarung sphwarz. „„ . . . . . . _ „„ 5.
4. Schildchen gelbbraun. Augen gross. Scheiteldreieck glänzend rostbraun.
Untergesiclit nicht auffallend kurz. Flügel wasserklar; sehr kleine Art.
pauper n. sp.
5. Schildchen gelb. Augen von gewöhnlicher Grösse. Scheiteldreieck glänzend
pechbraun, stark radial gefurcht. Taster gelb. Fühlerborste schwarz.
carinata n. sp.
6. Flügel auf der Vorderhälfte breit braun bis schwarz ; Hinterrand fast
glashell, «ix- „„ „„ ™ . ■ xj V' _ „„ „„ _ „„ _ _ . 7.
— Flügel glashell oder zart blassbräunlich. „„ „„ „„ _ 8.
7. Thcp-ax etwas glänzend roth mit drei sehr breiten braunen Längsstriemen.
Schildchen gewölbt. Kleine Querader im dritten Viertel der Diskoidal-
zelle.„„ „„ „„ V . pf A „ , „„ rubra Meijere.
— - Thorax rothgelb, kaum glänzend mit drei sehr breiten schwärzlichen Längs -
Striemen. Behaarung hell. Schildchen oben abgeflacht. Kleine Querader
etwas hinter der Mitte der Diskoidalzelle. „j _ jj paludosa Meijere.
8. Thoraxbehaarung fein und weisslich. . „„ „„ 9.
CHLOROPIDÆ.
55
— Thoraxbehaarung wie gewöhnlich schwarz. „„ „„ „„ _ „„ 10.
9. Thorax glänzend gelb mit drei breiten, etwas glänzend schwarzen Längs¬
streifen. Scheiteldreieck ganz glänzend gelb. Brnstseiten glänzend gelb,
schwarz gefleckt. Kleine Art von IVa mm. Länge flavo fr ontata n. sp.
— Thorax gelbgran, fast ganz matt, mit drei braunen Streifen. Brustseiten
matt gelbgrau mit glänzend schwarzen Flecken. Grössere Art von 3 mm.
Länge, m _ „„ . „„ Ar tJ farinosa n. sp.
10. Fühlerborste weissf Scheiteldreieck rostgelb bis braun.,,,, . 11.
— Fühlerborste schwarz. Scheiteldreieck schwarz. . . „„ „„ „„ 12.
11. Scheiteldreieck glänzend rostbraun mit gelben Rändern. Brustseiten und
Hinterleib honiggelb. Beine bis auf die Endtarsenglieder ganz gelb.
ochracea n. sp.
— Scheiteldreieck glänzend rostgelb mit schwärzlicher Mittelfurche und Seiten¬
rändern. Fühlerbörste sehr dünn. Beine ganz rostgelb. Flügel etwas
bräunlich. Brustseiten gefleckt. Hl. . ,11 _ laevifrons n. sp.
— Scheiteldreieck matt rostbraun. Beine rostgelb ; Schenkel auf der Mitte
braun ; Vorderschienen und Vordertarsen schwarz. Flügel fast farblos.
Hinterleib einfarbig pechbraun. „„ „„ _ m „„ oculata n. sp.
12. Fühlerborste nackt. „„ „„ „„ „„ „„ „„ _ „„ „„ ,13.
— Fühlerborste deutlich etwas pubescent, Beine ganz rostgelb. Kleine Art
von 1 — 1 1 4 mm. Länge. „„ „„ „„ „„ „„ minima n. sp.
13. Scheiteldreieck schwarz, an den Wurzelecken gelb. Beine ganz gelb.
simplex n. sp.
— Scheiteldreieck schwarz mit feinem gelben Seitenrande. Beine rostgelb, alle
Schenkel und hintere Schienen mit schwarzbraunen bindenartigen Flecken.
pictipes n. sp.
14. Sternopieuren glänzend gelb bis roth . . „„ „„ „„ . _ 15.
— Sternopieuren glänzend schwarz, wenn auch mitunter an der oberen Kante
ein gelber Streifen . . . . . „„ „„ _ . 18.
15. Thoraxstreifen matt schwarzgrau oder rothbraun . . _ 16.
— Thoraxstreifen glänzend rostbraun. Schildchen gelb mit vielen Borsten.
Stirn vortretend; Scheiteldreieck glänzend gelb, sehr gross, mit schwar¬
zem Mittelfleck ; drittes Fühlerglied ganz rothgelb, Borste schwarz.
frontata n. sp.
— Thoraxstreifen glänzend roth. Schildchen gelb mit den gewöhnlichen vier
Randborsten. Stirn nicht vortretend. Scheiteldreieck glänzend gelb, gross ;
drittes Fühlerglied gelb mit schwarzer Spitze, Fühlerborste weiss, etwas
verdickt . . „„ „„ „„ _ . . „„ „„ antennata n. sp.
1 6. Thoraxbehaarung schwarz ; Fühlerborste weiss. „„ „„ „„ _ „„ 17.
— Thoraxbehaarung weiss ; Fühlerborste gelblich. Mattgelb, Thoraxrücken mit
drei mattbraunen Streifen. Kopf nebst Scheiteldreieck ganz gelb ; letzte¬
res schmal, matt mit glänzender Mittelfurche. Beine gelb. Flügel am
Vorderrande etwas bräunlich . „„ „„ _ ochrostoma n. sp.
17. Scheiteldreieck ziemlich schmal, glänzend braun mit zwei gelben Flecken
56
TH. BECKER
am Scheitelrande und zwei ähnlichen unter dem Ocellenhöcker ; mittlere
Längsfurche schwarz.,,,. .... .... .... .... .... .... stigmatella n. sp.
— Scheiteldreieck ziemlich schmal, glänzend schwarz ohne gelbe Flecken,
aber jeder seits am Rande mit zwei feinen aber deutlichen Furchen.
canaliculata n. sp.
Scheiteldreieck von gewöhnlicher Breite, gelb, schwach glänzend, Spitzen¬
hälfte schwarzbraun mit Mittel- und jseitenfurche ; Taster an der Spitze
braun. Beine rostgelb, Schenkel etwas dick. 4 Va mm. lang.
ruhricollis n. sp.
18. Flügel auf der Yorderhälfte breit braun. Oostalzelle und Hinterrand fast
farblos. Thoraxrücken ohne Streifen, schwärzlich, dicht hell behaart.
Scheiteldreieck glänzend gelb. Beine überwiegend schwarzbraun.
nicobarensis Schin.
— Flügel glashell oder nur schwach und gleichmässig bräunlich. Thorax¬
rücken gestreift. .... .... ..„ .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... 19.
19. Thoraxbehaarung hell. .... .... .... .... .„. .... .... .... .... .... .... 20.
— Thoraxbehaarung schwarz. .... .„. _ .... .... .... .... .... .... . . 21.
20. Thoraxrücken glänzend gelb mit drei glänzend schwarzen Längsstreifen.
Kopf nebst Scheiteldreieck gelb, Hinterkopf schwarzbraun. Beine gelb.
Hinterschienen nebst Tarsen schwarzbraun. Flügel glashell.
albopilosa Beck.
21. Scheitel dreieck glänzend schwarz. Taster schwarz oder braun . 22.
— Scheiteldreieck hell oder nicht ganz schwarz, gelb mit schwarzen Zeich¬
nungen, gelbbraun bis schwarzbraun. „.. .... .... .... .... .... .... 23.
22. Thoraxrücken mit fünf glänzend schwarzen Streifen. Schildchen braun mit
gelbem Mittelstreifen. Taster schwarz ; oberer innerer Mundrand braun.
Beine rostgelb; Schenkel, Vorder- und Hinterschienen mit breiter brau¬
ner Binde .... .... .... .... .... .... .... .... . . scutellaris n. sp.
— Thoraxrücken mit fünf schwarzen matt bräunlich bereiften Längsstreifen.
Schildchen gelb. Taster gross, vortretend, rothgelb, oberer innerer Mund¬
rand nur undeutlich verdunkelt. Beine rostgelb ; Schenkel auf der Mitte
breit braunschwarz, Hinterschienen desgleichen auf der Spitzenhälfte.
Flügel bräunlich . . .... .... .„. .... .... .... .... .... ... jjavanensis n. sp.
23. Beine an Schenkeln und Schienen ganz rostgelb. .„. _ .... .... .... 24.
— Beine an Schenkeln und Schienen nicht ganz rostgelb. ..„ .... ..„ 25.
24. Scheiteldreieck gross, gelb. Taster gelb. .... . . .... .... albifrons Walk.
— Scheiteldreieck schmal, gelb mit vertiefter schwarzer Längslinie und
schwarzen Seitenstreifen. Taster an der Spitze braun. .... sulcata n. sp.
25. Thoraxrücken gelb mit fünf glänzend schwarzen Längsstreifen. Scheitel¬
dreieck gross, glänzend gelb mit schwarzem Mittelstreifen. Beine gelb ;
Vorder- und Hinter Schenkel braun gefleckt, Vordertarsen schwarzbraun.
striatifrons n. sp.
— Thoraxrücken gelb mit vier matt braungrauen, nicht scharf begrenzten Längs¬
streifen. Scheiteldreieck klein gelb, kaum glänzend mit gebogenen Seiten-
CHLOROPIDÆ.
57
rändern und einer glänzend schwarzen warzenartigen Erhöhung in der
vorderen Spitze. Beine überwiegend schwarzbraun, Vorder sckenkel stär¬
ker als gewöhnlich . „4 _ *4 . . femorata n. sp.
— Thoraxrücken mit drei sehr breiten braungrauen Längsstriemen. Scheitel¬
dreieck glänzend schwarzbraun, in der Mitte gefurcht. Hinterleib schwarz
mit feinen weissen Einschnitten. Beine überwiegend schwarzbräunlich ;
Vordertarsen verbreitert ( $ ) . „„ „„ „„ . . _ mcisa Meijere.
— Thoraxrücken gelb mit fünf glänzend schwarzen Längsstreifen. Schildchen
schwarz mit gelber Mittelstriemo. Scheiteldreieck glänzend rostgelb mit
schwarzem Mittelstreifen und zwei solchen Seitenstreifen. Beine gelb,
Schenkel und Hinterschienen mit braunen Binden. _ scutellaris n. sp.1
Beschreibung der Arten.
21. Chlor ops striatifrons n. sp. Taf. I, Fig. 5.
Thorax und Schildchen glänzend gelb mit fünf glänzend schwar¬
zen Längsstreifen von gewöhnlicher Breite ; Schulterschwiele schwarz
gefleckt. Brustseiten mit deutlichen glänzend schwarzen Flecken auf den
Meso-, Sterno- und Hypopleuren. Schildchen stark glänzend mit vier
deutlichen Bandborsten ; Behaarung sehr kurz, schwarz. Kopf gelb ;
Hinterkopf mit einem braunen Mittelfleck, der den Band nirgends er¬
reicht. Augen gross ; Backen schmäler als das dritte Fühler glied. Stirn
nach den Fühlern hin schwach konvergierend und hier so breit wie
ein Auge ; Scheiteldreieck glänzend gelb, fast gleichseitig, gross, bis zu
den Fühlern reichend mit einem deutlichen scharf gezeichneten schwar¬
zen Längsstreifen vom Punktaugenhöcker bis zur Spitze. Behaarung der
Stirn schwach, schwarz. Fühler rothgelb, drittes Glied ziemlich gross,
kreisrund mit braunem Oberrande und feiner schwarzer Borste. Taster
gelb, oberer innerer Mundrand geschwärzt. Hinterrücken glänzend
schwarz. Hinterleib gelb mit schwrarzen Hinterrandbinden, die nach
hinten zu deutlicher werden. Beine gelb ; Hinterschenkel auf der Innen¬
seite, Vorderschenkel auf der Aussenseite der Endhälfte mit einem
braunen Fleck; Tarsenendglieder, namentlich an den Vorderbeinen etwas
gebräunt. Flügel glashell mit feinen braunen Adern ; dritte Längsader
schwach aufgebogen; zweiter Bandaderabschnitt etwa iVa-mal so lang
wie der zweite. 2 7 2 mm. lang.
Aus Australien: N.-S. -Wales, Mt. Victoria (Biró), 13 Exemplare,
Ungar. Nat. Museum.
22. Chlorops scutellaris n. sp.
Thorax und Schildchen gelb mit fünf ziemlich glänzenden schwar-
1 Wegen den schwankenden Färbung des Scheiteldreiecks auch an dieser
Stelle angeführt.
58
TH. BECKER
zen Längsstriemen, von denen die beiden Haupt-Seitenstriemen auch über
das Schildchen laufen, so dass dies nur auf der Mitte gelb, sonst braun
ist ; am Bande des letzteren stêhen zwei Haupt- und zwei Nebenborsten.
Behaarung kurz, schwarz. Schulterbeule kaum gebräunt, jedoch auf den
Sterno-, Meso- und Hypopleuren deutlich glänzend schwarze Flecke.
Kopf gelb ; Hinterkopf oben am Scheitel und an beiden Seiten mit
breitem schwarzen Fleck. Scheiteldreieck glänzend schwarz, schmal blatt¬
förmig, bis fast zu den Fühlern spitz verlaufend, ganz glatt ohne Mit¬
telfurche ; bei nicht ganz ausgereiften oder heller gefärbten Exemplaren
sieht man einen deutlichen schwarzen Mittelstreifen und zwei Seiten¬
streifen auf rostgelber Fläche.
Stirn fast gleich breit, etwas breiter als ein Auge. Fühler roth-
braun ; drittes Glied an der Aussenseite schwarz, inwendig an der
Wurzel roth, nicht ganz kreisförmig, sondern mit stumpfer Oberecke
und am Bande etwas weiss pubescent mit schwarzer nackter Borste.
Taster schwarz; oberer innerer Mundrand gebräunt. Augen gross, ziem¬
lich kreisrund ; Backen schmäler als das dritte Fühlerglied. Hinterleib
glänzend braungelb mit unbestimmter Bräunung der Vorderränder.
Beine rostgelb; Schenkel auf der Mitte breit braun. Vorder- und Hin¬
terschienen mit schwacher Bräunung auf der Mitte ; Vordertarsen und
die beiden letzten Glieder der anderen Beinpaare bräunlich. Flügel fast
glashell; dritte Länsader ganz grade; zweiter Bandaderabschnitt lVs-mal
so lang wie der dritte. 2 Va mm. lang.
9 Exemplare von i^ustr alien : N.-S. -Wales, Mt. Victoria (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
23. Chlorops sulcata n. sp. Taf. I, Fig. 2.
Thorax und Schildchen gelb ; ersterer mit fünf glänzend schwarzen
Längsstreifen von gewöhnlicher Breite. Schildchen mit vier deutlichen
schwarzen Bandborsten; Behaarung schwarz ; Brustseiten ihit deutlichen
schwarzen Flecken auf den Meso-, Sterno- und Hypopleuren. — Kopf
gelb; Untergesicht weisslich. Hinterkopf mit breiter schwarzer Mittel-
strieme und zwei etwas weniger deutlichen Seitenflecken. Scheiteldreieck
glänzend bräunlichgelb mit dunkleren Seitenrändern und schwarzer,
tiefer Mittelrinne, schmal, an der Basis nur von halber Stirnbreite, fast
bis zu den Fühlern reichend. Fühler roth, das dritte Glied an der obe¬
ren Hälfte schwarzbraun mit zarter schwarzer Borste. Taster an der
Spitzenhälfte braun; oberer innerer Mundrand nicht verdunkelt. Augen
kreisrund; Backen so breit wie das dritte Fühlerglied. Hinterleib gelb
mit zwei schwarzen Flecken in der Vorderecke des zweiten Binges und
mit bräunlich gelben bis braunen, nicht sehr deutlichen Vorderrands¬
binden auf den übrigen Bingen. Beine rostgelb ; Vordertarsen und dio
CHLOROPIDÆ.
59
Endglieder der Tarsen an den übrigen Beinen etwas bräunlich. Flügel
farblos mit braunen Adern ; dritte Längsader gerade ; zweiter Bandader¬
abschnitt lVa-mal so lang wie der dritte. 3 mm. lang.
2 Exemplare aus Australien : N.-S. -Wales, Mt. Victoria (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
24. Chlorops stigmatella n. sp. Taf. I, Eig. 3, 4.
Thorax und Schildchen gelb mit fünf matt grauschwarzen Längs¬
streifen. Schildchen mit vier deutlichen schwarzen Borsten. Behaarung
schwarz, kurz; Schulterbeulen ohne Fleck; auch die Brustseiten sind
fast ganz gelb ; die Sternopieuren sind glänzend gelb ; auch auf den
Mesopleuren ist kaum die Spur einer Bräunung zu sehen, dahingegen
macht sich am Prothorax, unmittelbar unter dem Stigma, ein kleiner
intensiv schwarzer Fleck bemerkbar. — Kopf gelb ; Untergesicht etwas
weisslich bereift : am Hinterkopf eine schwarzbraune Längsbinde in der
Breite des Scheiteldreiecks ; letzteres ist glänzend braun mit hellen
Seitenflecken unter dem Punktaugenhöcker, schmal blattförmig, in eine
längere Spitze auslaufend, die Augenränder am Scheitel nicht berührend ;
die Seitenränder sind etwas erhaben und die Mittellinie ist durch eine
schwarze Längsfurche gekennzeichnet, der Scheitelrand zu beiden Seiten
des Punktaugenhöckers bleibt gelb, (s. Taf. I, Fig. 4), mitunter ver¬
schwinden die unteren gelben Seitenflecken (s. Taf. I, Fig. 3). Fühler
rothgelb, drittes Glied etwas verlängert, an der Spitze braun mit deut¬
lich weisser Borste. Taster rothgelb, innerer oberer Mundrand nicht
geschwärzt. Augen kreisrund, Backen mindestens so breit wie das dritte
Fühlerglied ; Stirn 1 V^-mal so breit wie ein Auge. Hinterleib mattbraun
mit gelben Hinterrandsäumen und gelber Spitze. Beine rostgelb, Tarsen¬
endglieder schwärzlich. Flügel blassbräunlich mit dicken braunen Adern ;
dritte Längsader grade ; zweiter Bandaderabschnitt nicht viel länger als
der dritte. 2 Va — 3 mm. lang.
3 Exemplare aus Australien : N. - S. -Wales, Sydney (Biró) und 1 Exem¬
plar von der Insel Formosa : Kagi, August (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
Variante. Von der Insel Formosa, Ungar. Nat. Museum, 68 Exem¬
plare. Diese entsprechen ganz den australischen Exemplaren, jedoch ist
die Zeichnung des Scheiteldreiecks etwas verändert : die gelben Scheitel¬
randflecken sind etwas grösser und die beiden hellen Flecken unter dem
Punktaugenhöcker werden kleiner, so dass der dunkle Fleck auf der
Mitte des Scheiteldreiecks deutlicher wird.
25. Chlorops carinata n. sp.
Mit dem verdunkelten Schildchen und dem breiten Kopfe weicht
diese Art von dem herkömmlichen Typus etwas ab, kann aber sehr wohl
in der Gattung bleiben.
•60
TH. BECKER
Thorax gelb, aber Rücken und Schildchen sind mit Ausnahme der
Schulterbeule und eines Seitenfleckens durch das Zusammenflüssen der
Streifen ganz schwarz und kaum etwas glänzend. Behaarung und Be-
borstung kurz schwarz ; Schulterbeule mit kleinem schwarzen Fleck.
Brustseiten deutlich und vollständig schwarz gefleckt auf Meso-, Ptero-,
Sterno- und Hypopleuren. — Kopf schmutziggelb, viel breiter als hoch ;
Hinterkopf mit Ausnahme des schmalen Seitenrandes ganz schwarz-
braun. Stirn mindestens doppelt so breit wie ein Auge. Das Scheitel¬
dreieck ist glänzend pechbraun ; es hat die Form eines sehr breiten
und kurzen Pappelblattes mit tief eingebogenen Seitenrändern und
feiner Spitze, die bis fast an die Fühler hinanreicht ; die Basis des
Dreiecks berührt fast die Augen ; was diese Fläche noch besonders aus¬
zeichnet, ist, dass sie durch eine Reihe von der Basis ausgehender,
radial nach der Spitze verlaufender Furchen durchzogen ist. Fühler
rothgelb, das dritte Glied nicht gross, schwarz ; das zweite ein wenig
länger als gewöhnlich, aber nicht auffallend ; Fühlerborste schwarz ;
Taster gelb, innerer oberer Mundrand mit zwei schwarzen Streifen.
Untergesicht kurz, unterer Mundrand stark abgerundet, Backen nicht so
breit wie das dritte Fühlerglied. — Hinterleib mattschwarz mit feinen
gelben Hinterrandsäumen. Beine rostgelb ; die Wurzelhälfte der Schen¬
kel schwarz, die beiden letzten Tarsenglieder desgleichen. Flügel etwas
bräunlich mit dicken braunen Adern ; dritte Längsader ein wenig auf¬
gebogen ; zweiter Randaderabschnitt 1 Va-mal so lang wie der dritte.
3 7.2 mm. lang.
1 Stück aus Australien : N.-S. -Wales, Paramatta (Bíró), Ungarisches
Nat. Museum.
26. Chlorops pictipes n. sp.
Diese Thiere haben viel Ähnlichkeit mit unserer paläarktischen
Art hypostigma Meig., weichen aber ab durch etwas andere Gestalt
des Scheiteldreiecks, durch schwarzen Mundrand und andere Bein¬
färbung.
Thorax und Schildchen glänzend gelb mit fünf glänzend schwar¬
zen Längsstreifen von gewöhnlicher Breite und Länge. Behaarung kurz
und schwarz; Schildchen mit vier deutlichen Borsten; Schulterbeule
schwarz gefleckt ; Brustseiten mit vier deutlichen schwarzen Flecken auf
Meso-, Sterno-, Ptero- und Hypopleuren. — Kopf gelb ; Hinterkopffleck
schwarzbraun, gross, steht in Verbindung mit dem Scheiteldreieck und
lässt nur den Seitenrand frei. Scheiteldreieck gelb mit glänzend schwar¬
zem Dreieck, das an der Basis nur etwa die halbe Scheitelbreite hat
und nicht weit über die Stirnmitte hinaus reicht, es ist ganz glatt,
bei einem Exemplar mit einer Mittelfurche an der Spitze; die schwarze
CHLOROPIDÆ.
61
Farbe erreicht nicht ganz den Dreiecksrand, auch bleiben beide Wurzel¬
ecken gelb. Fühler : Wurzelglieder rostgelb, das dritte Glied gross,
schwarzbraun mit schwarzer Borste. Taster gelb, vorderer Mundrand
glänzend schwarz. Stirn lVa-mal so breit wie ein Auge; dieses kreis¬
rund ; Backen von der Breite des dritten Fühlergliedes. Hinterleib gelb
mit unbestimmter brauner Bindenzeichnung. Beine gelb ; Schenkel, na¬
mentlich die Vorder- und Hinterschenkel auf der Mitte mit braunem
bindenartigen Fleck. Hinterschienen mit deutlicher schwarzbrauner
Mittelbinde ; Tarsenendglieder braun. Flügel wasserklar ; dritte Längsader
grade ; zweiter Randaderabschnitt 1 Vi-mal so lang wie der dritte.
2 Va mm. lang.
2 Exemplare aus Australien : N.-S. -Wales, Paramatta, Mt. Victoria
(Biró), Ungar. Nat. Museum.
27. Chlorops rubra Meijere.
Beschreibung nach Meijere :
Stirne mattroth, vorne schmal gelblich, fast nackt, Scheiteldrei¬
eck schmal, dreieckig, hinten weit vom Augenrande entfernt bleibend,
die feine Spitze vorn fast bis zum vorderen Stirnrande reichend, glän¬
zend roth, nur der Ocellenpunkt schwarz. Untergesicht rothgelb, weiss
bereift. Backen roth, schmal. Hinterkopf roth. Die Wurzelglieder der
Fühler gelb, das dritte gross, fast rund, schwarz. Fühlerborste nackt,
fein, weiss. Rüssel und Tastei bräunlich.
Thorax etwas glänzend, roth mit drei sehr breiten braunen Längs -
Striemen, von welchen die seitlichen vorn abgekürzt sind, die Behaa¬
rung sehr kurz. Schildchen etwas gewölbt, roth, am Rande, besonders
in der Mitte, mit zahlreichen längeren feinen gelblichen Haaren. Brust-
seiten roth, fast nackt, die Brust dunkler.
Hinterleib kurz und breit, flach, kürzer als der ebenfalls breite
Thorax, ganz roth mit etwas weisslichem Schimmer und zerstreuter gel¬
ber Behaarung.
Beine ganz gelb, besonders die Schienen und Tarsen mit weiss¬
lichem Schimmer.
Flügel relativ breit; die Vorderhälfte schwarzbraun ; die Bräunung
erstreckt sich noch etwas über die Diskoidalzelle hinaus, an der Spitze
des Flügels zeigt jedoch nur der Vorderrand einen schmalen Saum,
welcher sich bis zur Spitze der dritten Längsader erstreckt ; in- und
unmittelbar unter der Diskoidalzelle ein glasheller Längsstreifen. Dritte
und vierte Längsader parallel; die hintere Querader ein wenig länger
als die Entfernung der Querader und ebenso lang wie der letzte Ab¬
schnitt der fünften Längsader. Schwinger weiss.
Körper- und Flügellänge 3 mm.
62
TH. BECKER
Sumpf Mu ara Antjol nahe Batavia, Dezember. Jacobson leg.
Anmerkung: Eine schöne, grosse breitgebaute Art, die mit
der feinen weissen Pubescenz aller Körpertbeile und durch die ge¬
schwärzten Flügel auffällt. Die Flügeladerung ist bemerkenswertb : ein¬
mal ist die erste Längsader sehr dick und lang, sie mündet jenseits
der Flügelmitte in den Yorderrand ; dann ist auch die kleine Querader,
der Mündung der ersten Längsader gegenüber, weit über die Flügelmitte
hinaus gestellt ; sie steht im dritten Viertel der Diskoidalzelle und ihre
Entfernung von der Gabel der zweiten und dritten Längsader ist dop¬
pelt so gross wie von der hinteren Querader.
28. Chlorops paludosa Meijere.
Beschreibung nach Meijere :
Kopf gelb, besonders das Untergesicht und die Backen mit weiss-
lichem Schimmer. Scheiteldreieck schmal, hinten weit vom Augenrande
entfernt, vorn in eine feine Spitze bis zum vorderen Stirnrande vor¬
gezogen, glänzend rothgelb mit feiner auch schwarzer Mittelfurche.
Hinterkopf rothgelb mit grossem schwarzen Mittelflecken, welcher sich
vom Hinterkopfsloch fast bis zum Scheitel erstreckt. Wurzelglieder der
Fühler gelb, das dritte Glied fast rund, samt der Arista schwarz.
Rüssel mit etwas verlängerten Sauglappen, gelbbraun, desgleichen die
Taster.
Thorax rothgelb, kaum glänzend, mit drei sehr breiten schwärz¬
lichen Längsstriemen, die seitlichen vorn abgekürzt, die Behaarung
äusserst kurz, gelb. Brustseiten rothgelb, ebenfalls sehr kurz hell be¬
haart. Schildchen rothgelb, oben flach, gerandet, an der Spitze mit
zwei längeren, aber nicht starken weissen Borsten.
Hinterleib breit und kurz, so lang wie der Thorax, ganz glänzend
dunkelroth, mit weisser Behaarung.
Beine rothgelb, die Yorderschienen in der Endhälfte und die Tar¬
sen braun. Hinterschenkel mitunter ebenfalls braun.
Flügel relativ breit, am Wurzel- und Vorderrandtheile breit ge¬
bräunt. Dies erstreckt sich nach unten etwas über die vierte Längsader,
abwärts etwas über die Diskoidalzelle hinaus ; in letzterer Zelle ein
glasheller Längsstrich. Die Entfernung der Queradern bedeutend grös-
eer als die Länge der hinteren Querader, letztere auch kürzer als der
letzte Abschnitt der fünften Längsader.
Schwinger gelbweiss.
Körperlänge 3*5- Flügellänge 3 mm.
Sumpf Muara Antjol in der Nähe von Batavia, Dezember, Jacob¬
son leg. Museum von Amsterdam. 1 Exemplar von Neu-Guinea, Seleo,
Berlinhafen (Biró), Ungar. Nat. Museum.
CHLOROPIDÆ.
63
Anmerkung: Diese Art hat mit Chi rubra grosse Aehnlichkeit
hinsichtlich der hellen Körperbehaarung und der stark gebräunten Flügel.
Die Bräunung der Flügel ist bei paludosa nicht so fleckig gestreift,
wie bei rubra, sondern gleichmässiger im Ton ; auch hat die kleine
Querader eine andere Stellung; sie steht etwas hinter der Mitte, aber
noch nicht ganz im zweiten Drittel der Diskoidalzelle und überschrei¬
tet die Mitte der Flügel nicht.
29. Chlorops incisa Meijere.
Beschreibung nach Meijere :
Stirne matt braungrau, vorn sehr schmal rothgelb gesäumt; Ocel-
lendreieck glänzend schwarzbraun, gross, auch hinten, jedoch den
Augenrand nicht erreichend, während es sich vorn bis zum vorderen
Stirnrande erstreckt; die Seitenländer etwas vorgebuchtet, in der Mitte
eine vertiefte Längslinie und neben derselben jederseits eine Längs-
grube, welche jedoch den Band des Dreiecks nicht erreicht. Fühler
schwarzbraun, die äusserste Wurzel des dritten Gliedes an der Innen¬
seite rothgelb ; das dritte Glied massig gross, nicht genau kreisrund,
sondern fast abgerundet viereckig, die Borste dünn, nackt, bräunlich,
in gewisser Dichtung weisslich. Untergesicht und Backen gelb, weisslich
bestäubt, letztere sehr schmal. Hinterkopf schwarzbraun. — Thorax
mit drei breiten braungrauen Längsstriemen, welche nur durch feine,
etwas vertiefte weissliche Linien getrennt sind. Brustseiten schwarz¬
braun mit einer breiten, nach unten hin sich allmählig verschmälern-
den, schräg verlaufenden gelblichen Strieme, deren Unterende den obe¬
ren Rand des Sternopleurums erreicht, während das obere Ende vor der
Quernaht breit anfängt; auch der obere Rand des Sternopleurums gelb
gesäumt. — Hinterleib schwarz mit feinen weissen Einschnitten ; der
fünfte Ring mit schmalen gelben Hinterrandsäumen, der erste Ring-
ganz löthlichgelb. — Beine schwärzlich, die Spitze der Hüften, die
Schenkelringe, die Kniee, die Wurzel und die Spitze der Mittel- und
Hinterschienen und die zwei ersten Tarsenglieder der Mittel- und Hin¬
terbeine gelb. — Flügel glashell, die dritte und vierte Längsader pa¬
rallel, letzter Abschnitt der letzteren schwach doppelt so lang wie die
Entfernung der Queradern. Schwinger weisslich mit dunklem Stiel.
Körperlänge 3 mm; Flügellänge 2*25 mm.
Krakotau, Mai, 1 <j> •, Jacobson leg. Museum von Amsterdam.
Anmerkung: Hinzufügen will ich nur noch, dass die Vorder¬
tarsen ganz schwarz und mit Ausnahme des letzten Gliedes verbrei¬
tert sind.
30. Chlorops nicobarensis Schin. Synonym : Chi. fuscipennis
Thoms.
64
TH. BECKER
Thorax bis auf das gelbe Schildchen und einen gelben Fleck hin¬
ter der Schulterbeule ganz schwarz, kaum etwas glänzend mit sehr
feiner kurzer fahlgelber Behaarung und ohne Borsten : bei gut ent¬
wickelten Thieren sieht man noch zwei feine weisse Längslinien hin-
duréhschimmern. Das mattgelbe Schildchen ist etwas abgeplattet und
trägt an der Spitze zwei sehr zarte helle Börstchen. Brustseiten glän¬
zend pechschwarz. Kopf gelb, Hinterkopf dunkelbraun. Stirn schmal,
gleich breit, kaum etwas breiter als ein Auge. Scheiteldreieck klein,
nur bis zur Stirnmitte reichend, glänzend gelb, nach dem Scheitel hin
allmählig etwas dunkler. Fühler rothgelb, drittes Glied kreisrund, von
mittlerer Grösse, am Oberrande bräunlich mit kurzer nackter brauner
Borste. Untergesicht gelb, bis unter die Augen hinabreichend. Taster
gelb; oberer innerer Mundrand schwarz. Backen gelb, breit, von Vs der
Augenhöhe, etwas breiter als das dritte Fühlerglied. Stirnbehaarung,
fein und weiss. Schwinger elfenbeinweiss mit dunklem Stiel. Hinterleib
pechbraun, nackt, etwas glänzend mit gelber Spitze. Beine schwarz¬
braun ; Hüftgelenke, Kniee, Schienenwurzeln, Mittelschienen und Mittel¬
tarsen rostgelb. Vorderhüften deutlich weiss bestäubt. Flügel deutlich
gebräunt, jedoch am Hinterrande und in der Wurzelzelle heller; Adern
dick, braun ; dritte Längsader grade ; zweiter Randader- Abschnitt kaum
etwas länger als der dritte. 3 mm. lang.
Von den Nicobaren. 1 Exemplar von Neu-Guinea, Seleo, Berlin-
hafen (Biró), Ungar. Nat. Museum und aus Java (Jacobson). Museum
von Amsterdam.
31. Chlorops albopilosa Beck.
Ich habe diese Art ausführlich beschrieben in der Abhandlung
über die Dipteren der Kanarischen Inseln. Unsere Exemplare weichen
fast garnicht ab, nur die Stellung der dritten und vierten Längsader zu
einander nähert sich hier etwas mehr der parallelen Lage als bei den
Kanarischen : Gelb mit schwarzer Streifung auf dem Thoraxrücken und
mit schwarzen Brustflecken, weisser Behaarung und Beborstung. Kopf
ganz gelb, Schildchen glänzend. Beine gelb mit braunen Hinterschienen.
Flügel wasserklar. 2 mm. lang.
16 Exemplare von Formosa : Takao (Sauter), Ungarisches Nat.
Museum.
Es ist bemerkenswerth, dass wir auf zwei so entfernt von einan¬
der liegenden Inseln die gleiche Art finden.
32. Chlorops fiavofrontata n. sp.
Thorax und Schildchen gelb, ersterer mit drei breiten, glänzend
schwarzen, etwas grau bereiften Längsstreifen und verhältnismässig-
langer, weitläufig gestellter weisser Behaarung; am Schildrande zwei
CHLOROPIDÆ.
65
längere weisse Borstenhaare ; Brustseiten mit vier glänzend schwarzen
Flecken. Kopf gelb, Hinterkopf oben mit unbestimmt begrenzter dunk¬
ler Mittelstrieme. Stirn lVa-mal so breit wie ein Auge, mit schmalem
langen glänzend gelben Scheiteldreieck. Fühler ganz schwatz; drittes
Glied ziemlich gross mit gelber Borste. Taster braun, Mundrand gelb.
Backen breit, etwa lVa-mal so breit wie das dritte Fühlerglied; die
feinen Härchen auf der Stirne weiss. Schwinger hell. Hinterleib rost¬
gelb mit schwarzer Zeichnung : am zweiten Binge stehen zwei schwarze
Seitenilecke ; auf dem zweiten dritten und vierten Ringe dreieckige
Mittelflecke; der vierte hinten und der fünfte ganz schwarz; diese Fle¬
ckenzeichnung ist mitunter undeutlich. Beine rostgelb, Hinter- und
Yorderschienen, Hinter- und Vordertarsen schwarz. Flügel fast wasser¬
klar, dritte Längsader grade, zweiter Randader-Abschnitt i Va-mal so
lang wie der dritte. 1 Va — 2 mm. lang.
Biese Art ist verwandt mit der vorigen ; die abweichende Färbung
der Fühler, Taster und der Beine ist aber nicht etwa lediglich geschlecht¬
licher Unterschied, er erstreckt sich vielmehr auf beide Geschlechter.
13 Exemplare von der Insel Formosa : Takao (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
33. Chlorops farinosa n. sp.
Im Habitus den beiden Arten aus Neu-Guinea Chi. nicobarensis
Schin. und brevif 'acies m. ähnlich, jedoch durch ganz glashelle Flügel
zunächst abweichend.
Der Thorax hat eine schmutzig graugelbe Grundfarbe ; Rücken
und Schildchen sind durch drei zusammenfliessende schwarzbraune
Streifen bis auf die Schulterbeulen und je einen Fleck neben und hin¬
ter denselben verdunkelt; das Ganze ist in eine graue Bestäubung ein¬
gehüllt ; dazu kommt dann noch die kurze weissliche Behaarung.
Brustseiten matt gelbgrau mit vier grossen, glänzend schwarzen Flecken
an den bekannten Stellen. Kopf schmutziggelb ; Hinterkopf auf der
Mitte verdunkelt. Stirn 172-mal so breit wie ein Auge; Scheiteldreieck
klein gelb, mässig glänzend, von halber Scheitelbreite und halber Stirn¬
länge, mit zarter Mittelfurche und schwarzem Ocellenhöcker. Fühler
schwarz ; drittes Glied ziemlich gross mit sehr kurzer feiner dunkler
Borste. Taster gelb ; oberer innerer Mundrand schwarz. Backen so breit
wie das dritte Fühlerglied. Beine rostgelb ; Schenkel und Schienen auf
der Mitte breit braun, Mittelschienen heller ; Tarsenendglieder mehr
oder weniger verdunkelt. Flügel wasserklar; dritte Längsader gerade;
kleine Querader fast im zweiten Drittel der Diskoidalzelle. 3 mm. lang.
2 Exemplare von der Insel Formosa : Takao (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX.
5
66
TH. BECKER
Variante. 3 Exemplare in der Sammlung des Ung. Nat. Museums
aus Formosa, Tainan. (Sauter.) Diese Thiere sind heller gefärbt, was
namentlich an den Beinen hervortritt, die ganz gelb sind ; auch das
dritte Fühlerglied ist mitunter auf der inneren Seite roth.
34. Chlorops lævifrons n. sp.
Thorax und Schildchen gelb; ersterer mit fünf glänzend schwar¬
zen, sehr breiten Längsstreifen ; die sehr kurze Behaarung ist schwarz.
Schulterbeule gelb ohne Fleckung ; an den Brustseiten sind die Sterno-
pleuren glänzend schwarz, auf den Meso- und Hypopleuren liegt gleich¬
falls je ein kleiner schwarzer Fleck. — Kopf gelb ; Hinterkopf auf der
Oberhälfte braun. Stirn reichlich iVa-mal so breit wie ein Auge, mit
grossem glänzenden Scheiteldreieck von gelbbrauner Farbe ; die Seiten¬
ränder, die Spitze und eine feine Mittellinie sind schwarz ; letztere
bildet sich an der äussersten Spitze zumeist als schwache Furche aus
und erreicht die Fühlerwurzeln, während die Dreiecksspitzen' an der
Wurzel fast die Augen berühren. Wurzelglieder der Fühler rothgelb,
drittes Glied schwarz, von mittlerer Grösse, mit feiner gelb- oder weiss-
licher Borste. Taster und Mundrand gelb. Hinterleib pechbraun bis
schwarz mit feinen gelben Hinterrändern und gelber Spitze ; Tarsen¬
endglieder, an den Vorderbeinen die vier letzten, an den Hinterbeinen
die beiden letzten schwärzlich. Flügel deutlich etwas gebräunt mit
dicken braunen Adern ; dritte Längsader gerade ; zweiter Kandaderab-
schnitt nur wenig länger als der dritte. 2 Va mm. lang.
3 Exemplare aus Singapore (Bíró), im Ungarischen Nat. Museum,
und 1 Exemplar von Java, Wenosobo, Mai (Jacobson) im Museum
Amsterdam.
35. Chlorops minima n. sp.
Thorax und Schildchen gelb ; ersterer mit. drei breiten glänzend
schwarzen Längsstreifen, die sich berühren. Behaarung kurz schwarz.
Brustseiten mit den gewöhnlichen glänzend schwarzen Flecken. — Kopf
gelb, Hinterkopf auf der oberen Hälfte braun. Stirn 1 Va- mal so breit
wie ein Auge ; die Augen sind gross und nehmen im Profil fast den
ganzen Kopf ein ; das Scheiteldreieck ist von mittlerer Grösse, etwas
blattförmig, glänzend schwarz, an der Basis die Augen nicht berührend,
bis etwas über die Stirnmitte reichend. Fühlerwurzelglieder rostgelb,
drittes Glied gross schwarz, etwas pubescent mit schwarzer, deutlich
etwas pubescenter Borste. Taster und Mundrand gelb ; Backen schmal,
etwa von 1/s der Breite des dritten Fühlergliedes. Hinterleib glänzend
’schwarz; Beine ganz rothgelb. Flügel glashell; Wurzelzelle sehr kurz;
dritte Längsader schwach nach oben aufgebogen ; erste Längsader kurz ;
zweiter Randaderabschnitt deutlich kürzer als der dritte ; kleine Quer-
CHLOROPIDÆ.
67
ader vor der Mündung der ersi en Längsader auf der Mitte der Dis-
koidalzelle stehend.
1 — I1/« mm. lang.
6 Exemplare von der Insel Formosa : Takao, 300 m. hoch (Sau¬
ter), Ungar. Nat. Mus.
36. Chlorops pauper n. sp.
Thorax glänzend schwarzbraun, aber man sieht noch ziemlich
deutlich drei glänzend schwarze zusammengeflossene Längsstreifen auf
deutlich braungelbem Grunde. Behaarung fein und hell. Schildchen
gelbbraun mit vier deutlichen Borsten. Brustseiten glänzend pechbraun.
Schwinger weiss. — Kopf gelb; Stirn lVa-mal so breit wie ein Auge.
Scheiteldreieck glänzend rostbraun, ohne Furche, von mittlerer Grösse,
etwas über die Stirnmitte hinausgehend und in voller Breite in den
schwarzen Hinterkopffleck übergehend. Fühler rothgelb, drittes Glied
schwarzbraun von mittlerer Grösse mit dunkler Borste. Taster gelb,
oberer innerer Mundrand schwarz. Augen gross, Backen nur halb so
breit wie das dritte Fühlerglied. Hinterleib glänzend pechbraun, kegel¬
förmig sich zuspitzend. Beine ganz rostgelb. Flügel wasserklar mit
gelben Adern ; dritte Längsader gerade, zweiter Kandaderabschnitt kaum
grösser als der dritte.
1 mm. lang.
1 Exemplar aus Neu-Guinea : Simbang, Huon Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
37. Chlorops simplex n. sp.
Diese kleine Art kommt der Chi. minima von der Insel Formosa
nahe, ist etwas grösser, hat ein etwas anderes Scheiteldreieck und eine
längere zweite Längsader.
Thorax und Schildchen glänzend gelb, ersterer mit drei sehr breiten
aneinander stossenden, glänzend schwarzen Längsstreifen. Behaarung
kurz, schwarz. Brustseiten gelb mit drei glänzend schwarzen Flecken.
Kopf gelb ; Hinterkopf auf der oberen Hälfte schwarz, jedoch bleibt der
Band gelb. Stirn lVs-mal so breit wie ein Auge mit glänzend schwar¬
zem Scheiteldreieck von mittlerer Grösse, dessen beide Ecken gelb
bleiben; man könnte auch sagen, das Scheiteldreieck sei gelb mit
einem grossen breiten schwarzen Mittelfleck, dessen Ränder parallel
verlaufen und die Ecken frei lassen. Fühler schwarz ; drittes Glied
ziemlich gross mit schwarzer Borste. Backen sehr schmal, etwa
von Vs der Breite des dritten Gliedes. Taster und Mundrand gelb.
Hinterleib glänzend schwarzbraun. Beine ganz gelb. Flügel wasser¬
klar ; Längsadern fast ganz grade; zweite ziemlich lang; zweiter Band¬
aderabschnitt deutlich länger als der dritte. Entfernung beider Quer-
5*
68
TH. BECKER
adern von einander gleich der Länge des letzten Abschnittes der fünften
Längsader.
2 mm. lang.
1 Exemplar von Darjeeling, Juni, Himalaja-Geb. (Fruhstorfer).
Wiener Hofmuseum.
38. Chlorops frontata n. sp. Taf. I, Fig. 17.
Bemerkenswerth durch eine etwas mehr als gewöhnlich vorgezo¬
gene Stirn und grosses glänzendes Scheiteldreieck.
Thorax und Schildchen glänzend gelb ; ersterer durch drei wenig
deutliche dunkle Längsstriemen auf dem Rücken braun. Schildchen mit
zahlreichen Randborsten. Behaarung sehr spärlich schwarz. Brustseiten
glänzend gelb mit schwarzen Flecken auf den Meso- und Pteropleuren.
Sternopieuren bleiben rostgelb. — Kopf ganz glänzend gelb ; Stirn so
breit und breiter wie ein Auge, deutlich vorgezogen mit einem grossen
fast die ganze Stirn bedeckenden Scheiteldreieck, das auf der Mitte
eine flache Einsenkung hat und hier schwarz gefleckt ist. Fühler roth-
gelb ; drittes Glied klein, rund mit zarter nackter dunkler Borste.
Taster und Mundrand gelb. Backen breit, fast von halber Augenhöhe.
Der braune Hinterkopffleck in Breite des Scheiteldreiecks läuft nur in
zwei seitliche Spitzen aus, ohne bis zum Scheitel vorzudringen. Hin¬
terleib rostgelb, glänzend mit schwarzbraunen Vorderrandsbinden. Beine
ganz rostgelb. Flügel schwach gelbbraun mit hellbraunen Adern ; dritte
Längsader im Ganzen etwas nach vorne aufgebogen ; zweiter Rand¬
aderabschnitt etwas länger als der dritte.
2 V® mm. lang.
1 Exemplar von der Insel Formosa : Yentempo (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
39. Chlorops rubricollis n. sp.
Thorax und Schildchen gelb ; ersterer auf dem Rücken mit drei
breiten rothbraunen matten Streifen, welche durch eine gelbgraue Be¬
reifung etwas undeutlich gemacht werden ; alle drei Striemen erschei¬
nen an ihrem vorderen Ende fleckenartig schwärzlich. Die Behaarung
ist sehr dicht und deutlich schwarz. Schildchen mit sechs deutlichen
Randborsten. Brustseiten glänzend gelb, Sternopieuren glänzend rost¬
gelb ; die gewöhnlichen schwarzen Flecken fehlen, jedoch liegt dicht
unter dem Prothoraxstigma ein deutlicher schwarzer Fleck, ebenso wie
bei der Art Chi. stigmatella. Schwinger gelb, Knopf an der Spitzen¬
hälfte braun. — Kopf gelb ; Hinterkopf in Breite des Scheiteldreiecks
mit einem schwarzbraunen, in zwei Seitenspitzen auslaufenden Mittel¬
streifen. Stirn roth, doppelt so breit wie ein Auge ; das Scheiteldrei¬
eck hat nur die halbe Scheitelbreite zur Basis und endigt etwas jenseits.
CHLOROPIDÆ.
69
der Stirnmitte, setzt sich aber linienförmig fort bis zu den Fühlern ;
es hat eine durch Seitenleisten gebildete Mittelfurche, die an den Punkt¬
augen beginnt : zwei ähnliche Furchen begrenzen die Dreiecksseiten
und vereinigen sich an der Dreiecksspitze mit der Mittelfurche. Die
Färbung des Scheiteldreiecks ist an der Basis gelb, an der Spitzenhälfte
schwarzbraun, von geringem Glanze ; die kurze Stirnbehaarung schwarz.
Fühler rothgelb : drittes Glied ziemlich gross mit braunem Vorderrande
und einer weissen, an der Wurzel gelben Borste. Taster rostgelb, an
der Spitze # braun ; Mundrand gelb. Hinterleib rostgelb, kaum etwas
glänzend mit breiten, schwarzbraunen Vorderrandsbinden. Beine rost¬
gelb, letztes Tarsenglied braun ; Schenkel, hauptsächlich die Vorder¬
schenkel, etwas dicker als gewöhnlich. Flügel gross, fast wasserklar
mit braunen Adern ; dritte Längsader grade ; zweiter Randaderabschnitt
lVa-mal so lang wie der dritte. 4 Va mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Kosempo, März (Sauter), Ungarisches
Nat. Museum.
40. Chlorops antennata n. sp. Taf. II, Fig. 22.
Eine kleine glänzend gelbe rothgestreifte Art mit weisser Fühler¬
borste.
Thorax und Schildchen glänzend gelb ; ersterer mit drei breiten,
roîhen Längsstreifen, letzteres etwas gewölbt mit vier Borsten. Behaa¬
rung ausserordentlich fein und schwarz. Brustseiten glänzend mit einem
kleinen schwarzen Fleck unter dem Prothoraxstigma und einem schma¬
len schrägliegenden Fleck auf den Mesopleuren. — Kopf gelb ; Stirn
etwa iVs-mal so breit wie ein Auge, mit grossem, glänzend gelben,
braun gesäumten, ganz glatten Scheiteldreieck, das am Scheitel die
Augen und mit der Spitze den Stirn vorderrand nicht ganz erreicht.
Fühler gelb ; drittes Glied an der Vorderspitze braun mit etwas dicker
weisser Borste. Taster gelb. Backen schmal, nur halb so breit wie das
dritte Fühlerglied. Hinterleib glänzend rostgelb; Hinterrücken glänzend
schwarz. Beine gelb. Flügel farblos mit blassgelben Adern ; erster,
zweiter und dritter Randaderabschnitt gleich gross ; die kleine Querader
ist der Flügelwurzel sehr nahe gerückt ; sie steht etwas vor der Mitte
der Diskoidalzelle und ist von der hinteren Querader ziemlich entfernt,
so dass der letzte Abschnitt der vierten Längsader nur reichlich dop¬
pelt so lang ist wie der vorletzte Abschnitt. IV3 mm. lang.
1 Exemplar von Java, Oktober (Jacobson), Mus. von Amsterdam.
4L Chlorops ochrostoma n. sp.
Thorax und Schildchen mattgelb, der Rücken durch drei breite,
-dicht aneinander stossende pechbraune Längsstreifen verdunkelt und
fast ohne Glanz ; die äusserst kurze und feine Behaarung ist hell, das
70
TH. BECKER
Schildchen oben etwas abgeplattet; es trägt an der Spitze zwei längere
helle Borstenhaare ; der Thorax ist im übrigen ohne dunkle Borsten
wie bei den beiden vorhergehenden Arten. Brustseiten matt, von gelb¬
lich-graubräunlichem Ton; die Sternopieuren sind auf ihrer oberen
Hälfte gelb ; die untere ist schwarz gefärbt mit etwas grauer Bereifung.
Schwinger blassgelb. — Kopf ganz und gar quittengelb, matt, nur das
sehr schmale und spitze Scheiteldreieck ist glänzend ; es ist an der
Basis kaum breiter als der Ocellenhöcker und verläuft mit einer linien¬
förmigen Längsfurche fast bis zu den Fühlern ; das dritte Glied ist von
ansehnlicher Grösse mit gelber Borste ; Wangen mit schneeweissen
Augenrändern ; Backen so breit wie das dritte Fühlerglied. Hinterkopf
mit bräunlichem Mittelstreifen, der in zwei Spitzen unbestimmt ausläuft
und den Scheitel nicht erreicht. Hinterleib rostgelb, auf der Oberseite
braun verdunkelt mit feiner weisser Behaarung. Beine ganz rostgelb,
Hintertarsen kaum etwas dunkler. Flügel auf der Vorderhälfte etwas
gelbbräunlich gefärbt in dem gleichen Karakter, wie bei Chi. nicoha-
r ensis Sohin. ; die Wurzelzelle und der Hinterrand etwas weisslich.
Adern dick, braun ; dritte Längsader grade ; Wurzelzelle sehr lang ;
zweiter und dritter Randaderabschnitt gleich lang. 3 mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Friedrich-Wilhelmshafen (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
42. Chlorops femorata n. sp.
Grundfarbe des Thorax mattgelb mit vier matt bräunlichen Längs -
streifen, die allerdings nur in gewisser Richtung zu sehen sind und
auch durch die kurze dichte schwarze Behaarung verdeckt werden. Das
Schildchen ist etwas abgeflacht, hat aber die Borstenstellung einer Chlo¬
rops, nicht einer Chloropisca und an der Wurzel einen bräunlichen
Flecken. Brustseiten gelb, mit vier grossen deutlichen schwarzen Fle¬
cken an den bekannten Stellen. Schwinger blassgelb. — Kopf gelb
Stirn kurz und breit, doppelt so breit wie ein Auge, mit kleinem gel¬
ben, kaum etwas glänzenden Scheiteldreieck ; es hat kaum die halbe
Scheitelbreite an der Basis und reicht nur bis zur Stirnmitte ; die Sei¬
tenränder sind nach aussen gebogen, an der vorderen Spitze liegt ein
warzenförmiger Höcker von glänzend schwarzer Farbe. Fühler gelb ;
drittes Glied auf der vorderen oberen Hälfte etwas gebräunt, mit nack¬
ter, mikroskopisch pubescenter Borste. Taster gelb. Backen so breit
wie das dritte Fühlerglied. Hinterleib gelb, vom zweiten Ringe an mit
breit schwarzen Vorderrandsbinden. Beine nebst Vorderhüften schwarz¬
braun; Kniee, Wurzel der Schienen und die ersten beiden Tarsenglieder
rostgelb ; alle Schenkel, namentlich aber die Vorderschenkel sind etwas
geschwollen. Flügel wasserklar ; erster, zweiter und dritter Vorderrands-
CHLOROPIDÆ.
71
abschnitt gleich lang ; dritte und vierte Längsadern annähernd parallel,
2 Va mm. lang.
1 Exemplar von Batavia, November (Jacobson), Museum Am¬
sterdam.
43. Chlorops albifrons Walk, aus Australien, Adelaide.
«Flava, subtus fla^o-albida, verticis macula picea, thorace nigro
trivittato, abdominis disco fusco, palpis antennisque fulvis, pedibus flavis,
alis limpidis.»
Aus der längeren Beschreibung ist nur noch zu entnehmen, dass
das dritte Fühlerglied von der kreisrunden Form etwas abweichend ge¬
bildet ist: es soll oben grade, unten gebogen und an der Spitze etwas
abgestutzt sein. Mit den von mir hier beschriebenen Arten aus Austra¬
lien stimmt das nicht überein. Ich nehme diese Art deshalb hier mit
auf, obgleich ich die Type nicht gesehen habe.
44. Chlorops canaliculata n. sp.
Von schwach glänzender gelber Grundfarbe mit fünf breiten, vorne
sich fast berührenden, matt schwarzgrau bis bräunlichen, kaum etwas
glänzenden Längsstreifen. Behaarung kurz schwarz ; Schulterbeule gelb
ohne deutlichen Fleck. Brustseiten gefleckt : ein kleiner schwarzer Fleck
am Prothoraxstigma, ein Streifen auf den Mesopleuren ; auf den Sterno-
pleuren ist der Fleck roth, höchstens am Oberrande schwarz. Kopf
gelb, Stirn röthlich, ein wenig vorgezogen, lVa-mal so breit wie ein
Auge; Scheiteldreieck glänzend schwarz, blattförmig, mit etwas geschwun¬
genen Seitenrändern, am Scheitel die Augen nicht ganz berührend, mit
der fein ausgezogenen Spitze fast den Stirnvorderrand erreichend, auf
jeder Seite zwei feine aber deutliche Furchen. Fühler roth, drittes
Glied obenauf schwarzbraun, Borste fein aber weiss. Taster und oberer
Mundrand gelb. Hinterkopf in der Breite des Scheiteidreicks schwarz
gestreift. Hinterleib obenauf braunschwarz, mit feinen gelben, am letz¬
ten Ringe breiteren Hinterrandsäumen; Bauch und die umgebogenen
Ringseiten gelb. Beine gelb mit verdunkelten Endtarsengliedern. Flügel
deutlich etwas braun. 2 Va — 3 mm. lang.
10 Exemplare von Formosa : Tainan, Febr. und Oktober (Sauter),
Ungar. Nat. Museum.
45. Chlorops javanensis n. sp.
Thorax schmutzig weissgelb mit den gewöhnlichen schwarzen, ziem¬
lich matt bräunlich bestäubten breiten Streifen und deutlicher schwar¬
zer Behaarung. Brustseiten mit schwarzen Flecken. Kopf gelb; Stirn
röthlich, zweimal so breit wie ein Auge. Scheiteldreieck glänzend
schwarz mit flacher Mittelfurche, fast bis zu den Fühlern reichend, mit
graden Seitengrenzen. Wurzelglieder der Fühler röthlich, drittes Glied
72
TH. BECKER
an der Wurzel der Innenseite deutlich roth, im übrigen schwarz ; Borste
nackt, Wurzel schwarz, Spitzentheil jedoch etwas weisslich schimmernd.
Taster gross, vorstehend, gelb bis roth ; oberer innerer Mundrand nur
undeutlich verdunkelt. Hinterleib oben schwarzbraun mit zarten gel¬
ben, nach hinten hin etwas breiter werdenden Hinterrandsäumen.
Beine rostgelb ; Schenkel und die hinteren Schienen mit Ausnahme der
äussersten Wurzel und Spitze schwarzbraun ; Endtarsenglieder ebenfalls
dunkel. Flügel deutlich etwas gebräunt, namentlich in der Vorderrand¬
zelle. Adern dick. 3 — 3 Va mm. lang.
2 Exemplare von Java: Wonosobo, Mai (Jacobson) und Salaiga,
Mai (Dr. v. Leeuwen). Museum von Amsterdam.
46. Chlorops oculata n. sp.
Thorax von rostbrauner Grundfarbe; Thoraxrücken mit drei brei¬
ten matt schwarzgrauen Längsstriemen. Schildchen braungrau, Brust¬
seiten glänzend rostbraun mit schwarzen Flecken auf Meso- und
Sternopieuren ; Behaarung kurz schwarz, Schwinger braun. — Kopf
rostgelb, Stirn rötlich, nicht breiter als eins der grossen, fast den gan¬
zen Kopf (im Profil) einnehmenden Augen; Scheiteldreieck schmal und
lang, matt rostgelb ohne Furche; Fühler rostgelb, drittes Glied sehr
gross, tiefschwarz mit stumpfer Oberecke und langer dicker weisser,
an der Wurzel gelber Borste ; Taster gelb, oberer innerer Mundrand
schwarzbraun. Backen sehr schmal, linienförmig. — Hinterleib oben
und unten matt pechschwarz. Beine rostgelb ; Schenkel auf der Mitte
mit schwachen braunen Binden; Vorderschienen und Vordertarsen
schwarz. Flügel fast wasserklar ; dritte und vierte Längsader parallel ;
zweiter und dritter Randaderabschnitt gleich lang ; Entfernung der bei¬
den Queradern von einander gleich dem letzten Abschnitt der fünften
Längsader ; kleine Querader im ersten Drittel der Diskoidalzelle. Kleine
Art. DA mm.- lang.
1 Exemplar von Java : Depók, November (Jacobson), Museum von
Amsterdam.
47. Chlorops ochracea n. sp.
Von glänzend honiggelber Grundfarbe; Thoraxrücken mit fünf
etwas glänzenden schwarzen Längsstreifen ; Behaarung kurz schwarz.
Brustseiten und Flecken ganz honiggelb ; Schwinger elfenbeinweiss. —
Kopf gelb; Stirn etwas verdunkelt, nicht so breit wie ein Auge; Schei¬
teldreieck glänzend rostbraun mit gelben Rändern, so breit wie der
Scheitel und mit scharfer Spitze fast bis zum Stirnvorderrande reichend,
etwas blattförmig mit Seitenfurche ; Fühler röthlich, drittes Glied
schwarz mit weisser, an der Wurzel gelber Borste ; Backen etwas schmä¬
ler als das dritte Fühlerglied; Hinterkopf, mit Ausnahme der Ränder,
CHLOROPIDÆ.
73
schwarz. — Hinterleib honiggelb, matt, auf der Oberseite etwas bräun¬
lich ; Hinterrücken glänzend schwarz. Beine gelb, Endtarsenglieder kaum
etwas gebräunt. Flügel fast wasserklar ; dritte und vierte Längsader
kaum etwas divergierend ; zweiter und dritter Randaderabschnitt gleich
lang ; Entfernung der beiden Queradern von einander gleich dem letz¬
ten Abschnitt der fünften Längsader; kleine Querader auf der Mitte
der Diskoidalzelle. Kleine Art von 2 mm. Länge.
1 Exemplar von Java : Telaga Mendjey, Mai (Jacobson), Museum
von Amsterdam.
Als fragliche Art wäre noch zu nennen :
48. Chlorops (?) conciusata Walk, aus Neu-Guinea.
Mas. Nigro-fusca, capite ferrugineo, antennis fulvis, thorace pec¬
toreque cinereo -tomentosis, abdominis segmentis albido marginatis, pe¬
dibus cinerascentibus, alis cinereis, halteribus albidis.
Male. Blackish brown. Head ferrugineous with a few black bristles.
Antennæ dull tawny ; arista long, slender. Thorax and pectus with cine¬
reous tomentum. Abdomen a little shorter than the thorax, hind bor¬
ders of the segments whitish. Legs dingy cinereous. Wings cinereous,
veins black ; discal transverse vein straight, parted by nearly its length
from the border and by more than its length from the præbrachial
transverse vein ; halteres whitish. Length of the body 1 Va, of the
wings 3 lines.
Chloropisca Lw.
. 49. Chloropisca notata Meig.
Diese in der paläarktischen Zone gemeine Art kommt als die
bisher einzigste Art ihrer Gattung auch in der indisch-australischen
Region vor und scheint auf Formosa recht gemein zu sein ; die Exem¬
plare entsprechen in Grösse und Färbung namentlich auch hinsichtlich
der Gestaltung und Grösse der Augen und des Scheiteldreiecks durch¬
aus unserer Stammform, jedoch in etwas hellerem Gewände ; die Fühler
sind vorzugswéise roth, das dritte Glied mit schwarzbraunem Rande ;
das Scheiteldreieck ist gelb mit schwarzer Mittelstrieme und schwarz¬
braunen Seitenrändern ; es kommen aber auch Exemplare mit rost¬
braunem Scheiteldreieck vor, so dass dunklere Mittellinie und Seiten¬
ränder dann nur undeutlich hervortreten; solche Exemplare kommen
auch bei uns in der paläarktischen Fauna vor.
40 Exemplare von der Insel Formosa : Chip-Chip, Februar (Sau¬
ter), Ungar. Nat. Museum.
50. Chloropisca polita n. sp.
Diese beiden Exemplare passen in keine andere Gattung hinein,
74
TH. BECKER
als in Chloropisca , obgleich sie in einigen Punkten abweichen. Es ist
dies wiederum ein Beweis dafür, dass auch die Gattungsbegriffe in den
verschiedenen Faunengebieten einigen Schwankungen ausgesetzt sind.
Worin diese Thiere von unseren paläarktischen Arten abweichen, be¬
steht in Folgendem : zunächst in der Ausbildung des Schildchens ; die¬
ses ist nicht so entschieden abgeplattet, wie wir das bei unseren Arten
zu sehen gewohnt sind ; auch die beiden Endborsten stehen nicht so
dicht nebeneinander, wie bei den unsrigen ; dann sind bei den Flügeln
die erste und die zweite Längsader kürzer ; ebenso ist die kleine Quer¬
ader der Wurzel der Flügel nähergerückt, so dass sie innerhalb der
Wurzelhälfte der hinteren Basalzelle zu liegen kommt, während sie
bei unseren Arten in der zweiten Hälfte, fast im zweiten Drittel steht.
Diese ganze Flügeladerung nähert sich mehr dem Karakter der Gattung
Ochtherisoma und Hemisphaer isoma.
Thorax glänzend schwarz ohne Behaarung. Schildchen gelb, fast
ohne jedes Härchen, nur mit zwei Endborsten ; auf dem Thoraxrücken
liegen zwei schmale keilförmige gelbe Streifen, die hinter der Mitte
des Bückens auslaufen und die Striemen andeuten; ebenso liegt am
Bande des Bückens und an der Quernaht em gelber dreieckiger Fleck,
der die Trennung der Seitenstreifen von den Brustseiten herstellt. Die
Brustseiten sind ganz schwarz. — Kopf gelb ; Hinterkopf schwarzbraun.
Stirn gelb, lVa-mal so breit wie ein Auge; Scheiteldreieck ziemlich
schmal aber lang, bis zu den Fühlern reichend, glänzend schwarzbraun,
von ähnlicher Form wie bei Chi. glabra Meig. ; vorderer Mundrand
glänzend schwarz ; Backen gelb, sehr schmal, schmäler als das halbe
dritte Fühlerglied. Fühler schwarz, drittes Glied ziemlich gross. Hinter¬
leib glänzend schwarz. Schwinger weiss. Beine rostgelb ; Schenkel auf
der Mitte schwarzbraun, Tarsen ebenso. Flügel glashell. lVa — 2
mm. lang.
2 Exemplare aus Java : Salatiga, Mai (Dr. v. Leeuwen), Museum
von Amsterdam.
Anthracophaga Lw.
Von Arten dieser Gattung haben wir durch de Meijere zwei Ar¬
ten aus Java kennen gelernt: quadrilineata und infasciata. Die
erstere zeichnet sich dadurch aus, dass die Seitenränder des Scheitel¬
dreiecks durch 2—3 parallele Furchen verziert sind. Dieses Merkmal
scheint häufiger vorzukommen, denn ich finde in der Sammlung des
Ungar. Nat. Museums noch zwei ähnlich gebildete Arten aus der indo¬
australischen Begion.
Diese vier Anthracophaga- Arten lassen sich wie folgt unterscheiden:
CHLOROPIDÆ.
75
Bestimmung stabelle der Arten.
1. Scheiteldreieck beiderseits von mehreren parallel laufenden Furchen ein¬
gefasst. . . „„ 4- — p . ~ „„ „„ _ „„ „„ 2.
— Scheiteldreieck nicht so gefurcht. Thoraxrücken glänzend braun mit drei
sehr breiten dunklen Längsstreifen. Hinterleib ebenso braun. Flügel bräun¬
lich, am Hinterrande heller. . p „„ „„ trifasciata Meijere.
2. Scheiteldreieck dunkelgrau. Hinterleib oben und unten einförmig braun. 3.
— Scheiteldreieck matt schokoladenbraun. Hinterleib mit Binden und Flecken. 4.
3. Thorax blaugrau mit vier dunkelbraunen Längsstriemen. Schildchen dun¬
kelgrau, oben ganz flach. _ „„ „„ „„ __ quadrilineata Meijere.
4. Thorax matt graubraun mit zwei vorne paarweise verbundenen braunen
Längsstreifen. Schildchen gewölbt, braun, an den Seiten aschgrau. Hinter¬
leib matt schwarzbraun mit breiten grauen Seitenstreifen und feinen gel¬
ben Hinterrandsäumen. „„ „„ „„ „„ „„ sulcifrons n. sp.
Thorax matt violettgrau mit zwei vorne paarweise verbundenen braunen
Längsstreifen. Schildchen matt weissgelb. Hinterleib mattschwarz mit weiss¬
gelben an den Seiten stark verbreiterten Hinterrandsäumen oder Binden.
albovariegata ri homs.
51. Anthracophaga quadrilineata Meijere.
Stirne matt dunkelbraun, Scheiteldreieck dunkelgrau, matt, bis
über die Stirnmitte reichend und vorne in eine feine Linie bis zum
vorderen Stirnrande verlängert, die Seitenränder grade ; das Dreieck
zeigt mehrere den letzteren parallele eingedrückte Linien. Fühler schwarz,
das dritte Glied rund. Borste weiss, an der Wurzel gelb. Untergesicht,
Backen und hinterer Augenrand weiss, Taster schwarz.
Thorax blaugrau mit vier dunkelbraunen Längsstriemen, von wel¬
chen die mittleren in geringer Entfernung vom Vorderrande des Thorax
sehr spitz anfangen und sich nach hinten allmählig erweitern und
zuletzt zusammenfliessen. Die seitlichen, auf die hintere Thoraxhälfte
begrenzt, sind viel schmäler und hinten mit den mittleren Striemen
verbunden. Brustseiten grauweiss bestäubt. Schildchen einfarbig dunkel¬
grau, oben ganz flach, am Bande mit zwei längeren und zwei kürzeren
Borsten, überdies kurz schwarz behaart.
Hinterleib einfarbig dunkelbraun, etwas glänzend, nur die äus-
serste Spitze röthlichgelb. Bauch ebenfalls braun.
Beine gelb ; die hinteren Hüften, die Schenkel und Schienen gröss-
tentheils verdunkelt, dunkelgrau; die Mittelbeine noch in ausgedehn¬
tester Weise gelb; Vordertarsen ebenfalls grau, an den hinteren die
zwei letzten Glieder grau.
Flügel etwas bräunlich tingiert, das Geäder stark, schwarz. Kleine
Querader unter der Mündung der ersten Längsader; Entfernung der
76
TH. BECKER
Queradern so lang wie der letzte Abschnitt der fünften Längsader ;
dritte und vierte Längsader etwas divergierend, die vierte merklich
schwächer, die dritte ganz gerade. Schwinger dunkelgrau mit gelbem Stiel.
Körperlänge 3, Klügellänge 3 mm.
Von Depók (W.-Java), Oktober, 1 Exemplar, Jacobson leg. Museum
Amsterdam.
52. Anthracophaga trifasciata Meijere.
Beschreibung nach Meijere:
Stirn mattgrau, das Scheiteldreieck flach, wenig auf derselben
hervortretend, von derselben Farbe, aber matt; von der vorderen Ocelle
verläuft eine feine glänzend schwarze Linie, welche jedoch den vorde¬
ren Stirnrand nicht erreicht ; Untergesicht und die breiten Backen weiss-
lich. Fühler schwarz, das dritte Glied gross, länglich viereckig, Borste
an der Wurzel verdickt und braungelb, im übrigen weiss. Thorax weiss¬
grau, am Rücken glänzend braun mit drei sehr breiten dunkelbraunen
Längsstriemen, die seitlichen sind vorne abgekürzt, die mittlere erreicht
den vorderen Thoraxrand. Schildchen und ein schmaler Saum vor dem¬
selben weissgrau, Brustseiten grau, weiss bereift. Behaarung zart weiss.
Hinterleib glänzend schwarzbraun, der fünfte Ring mit braungel¬
bem Hinterrandsaum.
Beine schwarzgrau, dicht weiss bereift, die Schienen an der Wur¬
zel schmal rothgelb.
Flügel bräunlich, am Hinterrande heller; die Entfernung der Quer¬
adern grösser als die Länge der hinteren Querader, letztere fast so lang
wie der letzte Abschnitt der fünften Längsader. Schwinger weiss.
Körper- und Flügellänge 2 mm.
Batavia: Sumpf Muara Antjol, Dezember, 1 5 , Jacobson leg.
Diese Art unterscheidet sich von der vorhergehenden durch das
viel mehr verlängerte, nicht ganz runde dritte Fühlerglied, durch das
ungefurchte, sich viel weniger von der übrigen Stirne abhebende Schei¬
teldreieck, die ganz andere Färbung des Thoraxrückens, durch weisse
Schwinger, dunklere Beine und Flügel, durch mehr genäherte Quer¬
adern und längere hintere Querader.
53. Anthracophaga sulcifrons n. sp. Taf. II, Fig. 21.
Diese Art ist der A. quadrilineata Meijere sehr nahe verwandt ;
es sind aber doch so viele Verschiedenheiten in Form und Farbe, dass
man beide# Arten nicht als identisch ansehen kann.
Thorax matt graubraun mit vier nicht sehr deutlichen braunen
Längsstreifen, die vorne zwei zu zwei spitz zusammenlaufen. Schild¬
chen gewölbt, braun, an den Seiten aschgrau gerandet mit vier Rand¬
borsten und deutlicher schwarzer Behaarung. Schulterbeule und eine
CHLOROPI DÆ.
77
von ihr ausgehende Längslinie am Seitenrande des Rückens gelbgrau ;
eine zweite solche horizontale matt gelbgraue Querbinde liegt etwas
unter der ersten und geht am oberen Rande der Sternopleuren entlang ;
zwischen beiden sind Meso- und Pteropleuren und unter ihnen die
Sternopleuren dunkler gefärbt (schwarz mit grauer Bestäubung). Schwin¬
ger weissgelb. — Kopf schmutzig weissgelb, am Untergesicht weiss, auf
der Stirn graubraun bereift. Stirn 1 Va -mal so breit wie ein Auge ;
Scheiteldreieck matt schokoladenbraun ; das eigentliche Dreieck ist nur
klein, es ist aber an den Seitenrändern durch 2 — 3 linienartige Furchen,
die durch Leisten von einander getrennt sind, eingefasst, so dass dies
ganze Gebilde an der Basis ungefähr die ganze Stirnbreite ausfüllt,
aber nicht ganz bis zu den Fühlern reicht. Fühler schwarz ; das dritte
Glied etwas länger als breit mit stumpfer Oberecke ; Borste weiss, an
der Wurzel gelb. Taster bräunlich, an der Spitze verdunkelt, oberer
innerer Mundrand schwarz. Hinterkopf gelb, auf der Mitte breit ver¬
dunkelt. — Hinterleib matt braunschwarz mit breiten grauen Seiten'
streifen und feinen gelben Hinterrandsäumen. Beine pechbraun bis
schwarz; Kniee und Schienenwurzeln rostgelb. Flügel schwach graulich
mit dunklen Adern; dritte Längsader grade, an der Spitze etwas auf¬
gebogen ; dritte und vierte divergierend ; zweiter und dritter Randader¬
abschnitt annähernd gleich lang. 3 Va mm. lang.
4 Exemplare aus Ceylon : Pattipola, 2000 m. hoch (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
54. Anthracophaga albo variegata Thoms. [. Eurhina ]. Taf. I, Fig. 9.
Thorax matt violettgrau bestäubt mit zwei vorne paarweise ver¬
bundenen braunen Längsstreifen auf dem Rücken, die vor dem Schild¬
chen zu einer braunen Fläche zusammenfliessen ; vorne am Halse be¬
ginnt in der Mitte ein grosses breites braunschwarzes Dreieck, das sich
schnell zu einer Mittellinie zuspitzt, übrigens bald hinter den Schulter¬
beulen endigt ; ferner noch zwei braune Seitenstreifen. Das grosse
Schildchen ist nicht eigentlich abgeflacht, matt weissgelb mit kurzen
schwarzen Haaren und Borsten. Schulterbeule und ein grösserer Fleck
dahinter schmutzigweiss oder grau. Das Dreieck zwischen der Quernaht
und der Flügelwurzel am Seitenrande des Rückens ist aber satt roth-
braun. Brustseiten schmutzig weissgrau. Das Prothoraxstigma ist gross
und glänzend braun ; Meso- und Sternopleuren sind undeutlich schwarz
gefleckt. Schwinger elfenbeinweiss. — Kopf schmutzig weissgelb ; Stirn
mehr gelbgrau, 1 Va-mal so breit wie ein Auge ; das Scheiteldreieck
schokoladenbraun mit Seitenfurchen fast ebenso wie bei der vorigen Art ;
Hinterkopf auf der Mitte breit verdunkelt. Fühler rostbraun ; drittes
Glied fast ganz schwarz, etwas verlängert wie bei der vorigen Art mit
78
TH. BECKER
weisser, an der Wurzel gelber Borste ; Backen halb so breit wie das
dritte Fühlerglied. Taster rothgelb, Mundrand rostbraun. Hinterleib
mattschwarz mit weissgelben Hinterrandsäumen, die auf der Oberseite
nicht sehr breit, aber am umgebogenen zweiten Binge sich zu grossen,
die ganze Ringlänge einnehmenden hellen Flecken erweitern und sich
auf den anderen Ringen auch noch bis zur halben Ringlänge ausdeh¬
nen. Beine rostbraun, etwas grau bereift mit auf der Mitte etwas ver¬
dunkelten Schenkeln und Schienen sowie Tarsenendgliedern. Flügel
schwach graubraun mit braunen Adern ; die Randader ziemlich dick.
3 Vs mm. lang.
1 Exemplar von Malakka im Reichsmuseum von Stockholm,
1 Exemplar aus Singapore (Bíró) und 7 Exemplare von Formosa, Chip-
Chip (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
Formosina nov. gen.
Ich errichte diese Gattung auf eine grosse prächtige Art von der
Insel Formosa ; sie hat am meisten Aehnlichkeit mit der Gattung Chlo¬
ropisca Lw. trotz der 2 — 3-fachen Grösse, aber es sind doch der Unter¬
schiede so viele, dass man den bisherigen Rahmen weder von Chlorops,
noch von Chloropisca um soviel wird erweitern können, dass diese
Art Raum findet. Der Thorax ist sehr breit (bei 5 Va mm. Länge l3/4
mm. breit), stark gewölbt und ganz nackt, oder auch ausserordentlich
dicht und fein behaart, glänzend schwarz. Notopleuralborsten und die
hintere Dorsocentralborste sind nicht vorhanden ; das Schildchen ist
auch etwas anders geformt als bei Chloropisca; zunächst ist es nicht
halbkreisförmig, sondern mehr dreieckig oder in Spitzbogenform, dann
ist es zwar oben etwas abgeplattet, aber die beiden Endborsten, welche
bei Chloropisca an der oberen Kante der Abplattung stehen, sind hier
an die untere Kante gestellt, eine Anordnung, die auch bei afrikani¬
schen Gattungen mitunter vorkommt und in der paläarktischen Region
bei der Gattung Homalura Meig/ Die Beine sind verhältnismässig
schwach. Der Kopf ist breit, reichlich so breit wie der Thorax. Stirn mit
grossem Scheiteldreieck und langen hochgestellten Augen. Fühler wie
bei Chlorops. Die Flügel sind gross mit deutlich verdickter Randader
und grosser Vorderrandzelle ; dritte Längsader grade; kleine Querader
in Vs der Diskoidalzellenlänge gestellt.
Anmerkung. Est ist auch einige Aehnlichkeit mit der Gattung
Ops zu bemerken, bei der Kopf und Flügel anders konstruirt sind ; man
vergleiche die beiden Abbildungen.
CHL0R0PIDÆ.
79
Bestimmung stai) elle der Arten.
1. Thoraxrücken ganz glatt, unpunktiert, haarlos . . . . „ .... „„ 2.
— Thoraxrücken ausserordentlich fein aber deutlich behaart. .... .... 3.
2. Brustseiten und Thoraxrücken ganz glänzend schwarz ohne gelbe Flecke.
Stirn ganz schwarz. Schildchen schwarz mit gelber Spitze. Hinterleib und
Beine glänzend schwarz ; breite dicke Art . .... „t. .... australis n. sp
— Brustseiten und Thoraxrücken glänzend schwarz mit grossem gelben drei¬
eckigen Fleck. Stirn an den Augenrändern gelb. Schildchen gelb mit
schwarzer Wurzel. Hinterleib und Beine schwarz. ... lucens Meijere.
3. Thorax glänzend schwarz mit gelbem grossen dreieckigen Fleck. Brust¬
seiten zum grossen Theil schwarz. Schildchen ganz gelb. Hinterleib glän¬
zend schwarz. Beine gelb, Schenkel schwarz. . gigas n. sp.
— - Thorax glänzend gelb. Rücken durch Zusammenfliessen der Streifenzeich¬
nung schwarz. Schildchen und Brustseiten gelb. Hinterleib gelb, vierter
Ring schwarz. Beine ganz gelb . . . . ochracea n. sp.
55. Formosina gigas n. sp. Taf. I, Fig. t.
Thorax glänzend schwarz, dick, auf dem Rücken ausserordentlich
dicht und fein punktiert ; die feine Behaarung ist schwarz. Schildchen
wachsgelb, oben abgeflacht ; ganz unten am Rande stehen an der Spitze
zwei schwarze Endborsten. Der Thorax ist nicht ganz schwarz, viel¬
mehr sieht man zu beiden Seiten zwischen Schulterbeule und Flügel¬
wurzel ein grosses gelbes Dreieck, das sich nach unten auf den Brust¬
seiten weiter fortsetzt und sich verbindet mit einem ungefähr gleich
grossen Dreieck, das im wesentlichen auf den Mesopleuren liegt.
Schwinger weiss. Kopf rothgelb ; Hinterkopf fast ganz verdunkelt; Un¬
tergesicht etwas ausgehöhlt und weiss bereift. Stirn und Untergesicht
gleich breit, so breit wie ein Auge, vorstehend ; Taster schwarz. Schei¬
teldreieck glänzend roth, sehr gross, an der Basis die Augen nicht ganz
berührend, bis an den vorderen Stirnrand fortgesetzt und hier breit
bogenförmig endigend ; unmittelbar unter dem Punktaugenhöcker liegt
eine flache Einsenkung. Fühler rothgelb, von gewöhnlicher Form, mit
nackter brauner Borste. Taster schwarz. Augen hochgestellt ; Backen
sehr schmal, nicht breiter als Vs der dritten Fühlergliedsbreite. Hinter¬
leib flach, breit kurz, glänzend schwarz, an den Seiten des ersten Rin¬
ges und am Hinterrande des letzten Ringes gelb. Beine nebst Hüften
rostgelb ; Schenkel auf der Mitte breit schwarz. Flügel blass graubräun-
lich mit braunen Adern. Randader ausserordentlich verdickt und schwarz.
3:1/» — 5 Va mm. lang.
3 Exemplare von der Insel Formosa : Takao und Fuhosho (Sau¬
ter), Ungar. Nat. Museum.
80
TH. BECKER
56. Formosina australis n. sp.
Thorax glänzend schwarz, ganz nackt, scheinbar unpunktiert (mit
einer scharfen Lupe sind Punkte oder Härchen nicht zu sehen). Schild¬
chen von derselben Form wie bei gigas, spitzbogig, oben flach mit zwei
kleinen Endborsten am unteren Bande ; es ist schwarz mit gelber Spitze.
Thorax und Brustseiten sind ganz schwarz ohne die gelben Flecken
wie bei gigas. Schwinger hell. Kopf schwärzlich, Untergesicht roth-
braun mit etwas weisser Bereifung, Stirn schwarzbraun, schmal, schmä¬
ler als ein Auge mit schmalem glänzend schwai'zen Scheiteldreieck,
das auf der Spitzenhälfte eine flache Einsenkung uud auf beiden Seiten
eine Furche zeigt. Fühler roth mit feiner nackter Borste ; der Büssel
zeigt auffallend grosse, kreisförmig ausgebreitete Saugflächen. Hinter¬
leib und Beine glänzend schwarz nackt, Metatarsen weissgelb. Flügel
wasserklar. 3 Va mm. lang.
1 Exemplar aus Australien: Queensland, Cooktown. Ungar. Nat.
Museum.
57. Formosina lucens Meijere. [Chlor opisca.]
Nach Meijere :
Von breiter, gedrungener Gestalt. Stirn mattschwarz, am Augen¬
rande in der vorderen Hälfte gelb, das Ocellendreieck sehr lang, bis
zur Fühlerwurzel reichend, sehr glänzend schwarz, der Seitenrand etwas
erhaben. Fühler rothgelb, am oberen Bande, auch an demjenigen des
runden dritten Gliedes schmal schwarzbraun.
Untergesicht gelb mit weisslichem Schimmer. Wangen sehr schmal,
gelb ; auch die Backen äusserst schmal, schwarz ; Hinterkopf schwarz.
Prælabrum gelb.
Thoraxrücken gewölbt, sehr glänzend schwarz. Brustseiten des-
gleichen, mit länglichen dreieckigen gelben Flecken, dessen obere Hälfte
den Seitenrand des Thoraxrückens überschreitet. Schildchen gelb dick,
aufgerichtet, oben flach ; nur an der Basis schmal, schwarz.
Hinterleib glänzend schwarz, der vierte Bing mit schmalem gel¬
ben Hinterrande, fünfter Bing an der Spitze mit gelbem Längs¬
fleckchen.
Beine glänzend schwarz, die Kniee und die Tarsen mit Ausnahme
der zwei letzten Glieder gelb.
Flügel glashell, die zweite dritte und vierte Längsader parallel;
hintere Querader in gleicher Entfernung von der kleinen Querader wie
vom Flügelhinterrande ; der letzte Abschnitt der vierten Längsader drei¬
mal so lang wie der vorletzte, ebenso wie der letzte Abschnitt der
fünften Länsader sehr dünn.
Körper- und Flügellänge 2 mm.
CHLOROPIDÆ.
81
B Exemplare von Java : Semarang (Jacobson), Museum von Am¬
sterdam.
58. Formosina ochracea n. sp.
Thorax glänzend gelb ; der Bücken ist schwarz, die Zeichnung in
ihrer Begrenzung so, als wären die fünf Längsstreifen zusammengeflos¬
sen: man sieht deutlich den rechtwinkligen Absatz der beiden Seiten¬
striemen und der ganz durchgehenden Mittelstrieme, auch die äussersten
Seitenstriche am Rande des Rückens setzen fast rechtwinklig ab, so
dass eine treppenförmige Zeichnung entsteht ; die Behaarung ist ausser¬
ordentlich kurz und schwarz. Schildchen gross und spitzbogig, flach mit
zwei Endborsten am unteren Rande. Brustseiten glänzend gelb, auch das
Prothoraxstigma; Mesopleuren und Pteropleuren schwarz gefleckt, die
Sternopieuren nur auf ihrer unteren Dreieckshälfte. Kopf ganz glänzend
gelb, der Hinterkopf ist auf seiner Mitte nur schwach gebräunt. Stirn
lVa-mal so breit wie ein Auge; das Scheiteldreieck hat Spitzbogenform
und reicht bis zur Stirnspitze ; es ist ganz glatt, ohne Behaarung und
zeigt nur unter dem Ocellenhöcker einen Eindruck. Fühler ganz gelb,
Taster schwarz. Augen gross, höher als lang. Hinterleib glänzend gummi-
guttgelb ; Hinterrücken und der vierte Ring schwarz. Beine und Hüften
ganz gelb.,, Flügel fast wasserklar; die verdickte Randader rostgelb. 3 —
4 Va mm. lang.
3 Exemplare von Formosa : Fuhosho, März (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
Assuania Beck.
Bei Begründung dieser Gattung auf die beiden paläarktischen
Arten Thalhammeri und frontata hatten wir das gelbe Schildchen noch
als ein Gattungsmerkmal angesehen. Wir erlebten es dann bei einer
afrikanischen Art sulcifrons Bezzi, dass das Schildchen schon zum
grössten Theil verdunkelt wurde und finden hier in Australien und
Formosa zwei Arten mit ganz schwarzem Schildchen.
59. Assuania nigroscutellata n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz ; Schulterbeulen pnd ein
unbestimmt begrenzter Fleck an dem Seitenrande des Rückens rostgelb
bis braun. Schildchen mit zwei schwarzen Endborsten. Die sehr zarte
Behaarung ist weiss. Brustseiten rostgelb bis rostbraun mit den vier
gewöhnlichen schwarzen Flecken. — Kopf dunkelgelb: - Stirn 1 — UA-mal
so breit wie ein Auge. Scheiteldreieck glänzend schwarz, ziemlich gross,
ganz glatt, ohne Furche. Fühler rostgelb, drittes Glied von länglicher
aber etwas breiter Form mit stumpfer Oberecke, auf der Oberseite ge¬
bräunt mit ausserordentlich feiner, schwarzer Borste. Taster gelb. Backen
6
Annales Musei Nationalis Hungarici IX.
TH. BECKER
breit, fast doppelt so breit wie das dritte Fühlerglied. — Hinterleib
glänzend pechbraun bis schwarz. Schwinger elfenbeinweiss. Beine rost¬
gelb mit bräunlichen Tarsen; mitunter liegt auch auf Schenkeln und
Schienen ein bräunlicher Wisch. Flügel wasserklar; zweiter Randader¬
abschnitt nicht länger als der dritte. 1 Va— 2 mm. lang.
Aus Australien : 2 Exemplare aus N.-S. -Wales, Townsville (Bíró),
Ungar. Nat. Museum ; ferner 25 Exemplare von Formosa : Tainan Feb¬
ruar (Sauter).
Anmerkung. Die Exemplare von der Insel Formosa haben mit¬
unter etwas dunklere Hinterbeine (Schenkelspitze und Schiene) eine
etwas schmälere Stirn und stets weisse Schildborsten; eine andere Art
ist aber daraus nicht herzuleiten.
60. Assuania grossiseta n. sp.
Der vorigen ähnlich, aber zunächst ein gut Stück dunkler, so dass
das dritte Fühlerglied ganz schwarz ist; est ist überdies etwas schmä¬
ler als bei der vorigen Art und zeichnet sich vor allen anderen noch
besonders dadurch aus, dass die Fühlerborste verhältnismässig sehr dick
ist. Taster verdunkelt ; dann sind die Backen weit schmäler, nicht brei¬
ter als das dritte Fühlerglied; die Brustseiten ganz verdunkelt, ferner
sind die Beine fast ganz schwarzbraun, * nur Kniee und Schienenenden
etwas rostbraun. 2 mm. lang.
1 Exemplar von Australien : N.-S.-Wales, Mt. Victoria (Bíró), Ung.
Nat. Museum.
Chromatopterum Beck.
Wir haben es hier mit einer Form zu thun, die sich der afrika¬
nischen Chr. delicatum sehr nähert ; namentlich sind die Fiügel die¬
selben mit ihrer der Flügel wurzel nahegerückten kleinen Querader, der
kurzen Vorderrandzelle und der streifenartigen Schwärzung des Vorder¬
randes. Der Kopf mit den grossen Augen und dem etwas verlängerten
dritten Fühlergliede ist auch derselbe, aber die Fühlerborste ist bei der
hier vorliegenden Art deutlich pubescent, kurz behaart, während sie
bei der afrikanischen Art nackt ist. Das Schildchen ist oben ein wenig
abgeflacht, hat aber nicht die beiden bei Chloropisca Lw. karakteristisch
dicht zusammenstehenden Endborsten, sondern zeigt eine Beborstung
wie bei Chlorops, Der Thoraxrücken ist gestreift wie bei den echten
Chlorops - und Chloropisca- Alten. Ich glaube, dass hier die Behaarung
der Fühlerborste kein gattungstrennender Faktor sein darf und rechne
die nachstehend beschriebene Art mit zur Gattung Chromatopterum.
■61. Chromatopterum pubescens n. sp.
Thorax und Schildchen gelb ; ersterer auf dem Rücken mit drei
CHLOROPIDÆ.
88
ziemlich breiten glänzend schwarzen Längsstreifen. Behaarung sehr
spärlich schwarz. Schildchen oben etwas abgeflacht mit zwei grossen
und zwei kleinen schwarzen Borsten. Brustseiten mit den vier norma¬
len schwarzen Flecken. Schwinger elfenbeinweiss. — Kopf gelb, breiter
als der Thorax*; Hinterkopf auf der Mitte breit braun. Stirn von der
Breite eines Auges mit glänzendgelbem grossen, fast die Augen und
den vorderen Stirnrand berührenden ganz glatten Scheiteldreieck, das
vorne an der Spitze rothgefärbt ist mit schwarzem Ocellenhöcker.
Fühler schwarz, das dritte Glied ungefähr lVa-mal so lang wie breit
mit Andeutung einer oberen Ecke und deutlich pubescenter Borste.
Taster und oberer innerer Mundrand schwarz. — Hinterleib breit, kurz
und kegelförmig zugespitzt, glänzend schwarzbraun, an der Wurzel
durchsichtig gelblich. Beine gelb ; Hinterschenkel an der Wurzelhälfte,
Vorder schienen und Tarsen schwarz, an den übrigen Beinen die zwei
letzten Tarsenglieder ebenfalls. Flügel glashell mit streifenartiger Bräu¬
nung am Vorderrande zwischen der Randader und der zweiten Längs¬
ader und einem sich daran schliessenden Randfleck, der die Randader
bis zu ihrem Ende begleitet, ähnlich wie bei der Art dir. delicatum ;
die kleine Querader steht etwas vor der Mitte der Diskoidalzelle ; die
Entfernung beider Queradern von einander ist grösser als der letzte
Abschnitt der fünften Längsader. 13A mm. lang.
1 Exempla, r von Neu- Guinea : Sattelberg, Huon Golf (Biró), Ung.
Nat. Museum.
Loxotænia nov. gen.
(Xoç<5ç quer und xaivia Streifen.)
Typische Art : Lagaroceras gracile Meijere.
Dies Thier hat zweifellos einige Aenlichkeit mit meinem Lagaro -
■ecras megalops, aber de Meijere fand auch schon ohne Typenverglei¬
chung heraus, dass meine Gattungsdiagnose nur theilweise passe. Die
Abweichungen von Lagaroceras sind folgende : der ganze Körper mit
Schildchen ist schwarz, nicht streifig gefärbt und die Beborstung mit
Ausnahme zwei kleiner Schildbörstchen ganz verschwunden ; die Brust¬
seiten sind nicht gefleckt und glänzend, sondern, was in der ganzen
Familie bei keiner Gattung vorkommt, durch einen matt bestäubten
Querstreifen ausgezeichnet ; das Scheiteldreieck ist weit grösser und
breit trapezförmig ; das dritte Fühlerglied weit länger, aber gleich breit,
nicht an der Spitze verjüngt und unten nicht bauchig vortretend, mit
einer nackten dunklen, nicht weissen Borste geziert. — Diese Unter¬
schiede lassen eine Vereinigung mit den bisher bekannten Arten der
Gattung Lagaroceras nicht zu.
6*
84
TH. BECKER
62. Loxotænia gracilis Meijere. [Lag aro ceras.] Taf. I, Fig. 18.
Nach Meijere :
Yon schmaler Gestalt, fast nackt. Stirn fast ganz von dem glän¬
zend schwarzen Scheiteldreieck eingenommen, welches hinten den Au¬
genrand erreicht und sich vorn breit bis zur Fühlerwurzel erstreckt ;
die übrig bleibende schmale Parthie zwischen Fühlerwurzel und Augen¬
rand matt schwarzbraun, weisslich schimmernd.
Fühler bedeutend verlängert, länger als das Untergesicht, das
erste Glied mehr als halb so lang wie das zweite ; letzteres halb so
lang wie das dritte, welches überall gleich breit und am Ende abge¬
stutzt ist. Die Fühler sind schwarzbraun, nur innen und unten bis¬
weilen etwas röthlich. Fühlerborste nackt schwarz. Untergesicht glän¬
zend schwarz, die schmalen Fühlergruben und Wangen weissschimernd.
Thorax schwarz, ziemlich glänzend, namentlich hinten und auf
dem Schildchen gelblich bereift, am Seitenrande vor der Flügelwurzel
mit einem dreieckigen weissschimmernden Flecken, welcher sich nach
unten striemenförmig bis zu den Mittelhüften fortsetzt; die Brustseiten
im übrigen schwarzbraun. Schildchen mit zwei kurzen Borsten.
Hinterleib glänzend schwarz, nach hinten allmählig verschmälert.
Hüften und Schenkel glänzend schwarz, letztere bis auf die Spitze ;
die Schienen und Tarsen rothgelb, die Schienen mit weissem Schimmer,
die zwei letzten Tarsenglieder schwarz ; auch die Vorderhüften weiss-
schimmernd.
Flügel glashell, die vierte Längsader jenseits der hinteren Quer¬
ader sehr unscheinbar ; die Diskoidalzelle sehr schmal ; zweite und dritte
Längsader ziemlich lang und gerade. Schwinger gelb.
Körperlänge 2*5 mm., Flügellänge kaum 2 mm.
Einige Exemplare von Java: Semarang, Januar (Jacobson), Museum
von Amsterdam, und 15 Exemplare von Formosa: Chip-Chip, Januar
(Sauter), Ungar. Nat. Museum.
Euryparia nov. gen.
(eupuç breit und h^apstcc die Wange.)
Diese Gattung hat mit Lagaroceras einige Aenlichkeit, ist aber
durch andere Form der grossen Fühler und durch die sehr breiten
Backen bei kleinen runden Augen anders gebildet. — Klein mit gros¬
sem Kopf und sehr grossen breiten Fühlern. Augen nackt, rund ; Ba¬
cken fast so breit wie das Auge hoch ; die Stirn ist am Scheitel breit,
verschmälert sich aber erheblich nach den Fühlern hin ; die Fühler¬
borste sehr fein nackt, aber . weiss, nur an der Wurzel schwarz. Tho-
CHLOROPIDÆ.
85
raxrücken gestreift, mit feinen hellen kurzen weichen Haaren. Hinter¬
leib und Beine gewöhnlich. Flügel breit; erste Längsader lang, bis zur
Flügelmitte reichend; kleine Querader der Mündung der ersten Längs¬
ader gegenüber ; Queradern nicht besonders genähert.
63. Euryparia rara n. sp. Taf. I, Fig. 8.
Thorax von schmutzig rostgelber Grundfarbe, auf dem Rücken
mit drei deutlichen schwarzen, etwas glänzenden Längsstreifen und
ZAvei ebensolchen Beitenstrichen, mit feiner weisser Behaarung ohne
Borsten; auch am Schildchen sieht man keine Endborsten. Brustseiten
matt schwarzbraun, Schwinger weiss. — Kopf mit fast kreisrunden
Augen. Hinterkopf und Stirn mattbraun ; letztere am Scheitel doppelt
so breit wie ein Auge, an den Fühlern aber nicht breiter als ein Auge.
Scheiteldreieck gleichseitig, kaum über die Stirnmitte hinausreichend,
nur wenig dunkler als die Stirn und nur an der Spitze glänzend. Füh¬
ler schwarz, länger als das lange Untergesicht ; drittes Glied sehr breit,
an der Spitze fast noch breiter, beutelförmig und reichlich doppelt so
lang wie breit; Borste im ersten Drittel der Oberseite, sehr fein und
weiss, nur an der Wurzel dunkler. Untergesicht im Ganzen senkrecht,
aber etwas konkav, gelblich weiss; Backen fast so breit wie ein Auge
hoch. Taster und oberer innerer Mundrand schwarzbraun. Hinterleib
pechbraun, etwas glänzend, mit zarten weissen Haaren. Beine schwarz¬
braun, Kniee und äusserste Schienenwurzeln undeutlich rostgelb mit
zarten weissen Härchen dicht bedeckt, wie mit Puder hellgrau bestäubt.
Flügel, wie oben angegeben, geadert mit dicken schwarzen Adern, bräun¬
lich getrübt, auf der Flügelmitte und in der Nähe der Randader etwas
stärker gebräunt. DA mm. lang.
1 Exemplar von Formosa: Tainan, Februar (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
Bestimmung stab eile für die Gattungen der Gruppe der
Oseinellinae. [ Co-oAA ts Ut, \j _ ")
1. Schildchen meist von besonderer Grösse und Form, mit End- und Seiten¬
borsten, die auf kurzen bis langen Warzenhöckern stehen. Drittes Fühler¬
glied etwas oval mit dorsaler Borste.,^ _ _ _ _ _ _ _ _ 2.
— Schildchen nicht besonders gross, ohne Warzenhöcker. Fühler von ver¬
schiedener Form und Grösse.„„ _ „„ _ „„ _ „„ „„ _ _ 6.
2. Schildchen sehr breit und lang, länger als der Thorax und fast ebenso
breit, an den Seitenrändern mit einer sägezahnartigen Anordnung von
Borstenhöckern. Fühlerborste zart, deutlich pubescent. Epicelyphus n. g.
— Schildchen kurz und verlängert mit 2 — 4 langen fingerartig vorgestreckten
Warzenhöckern mit Borsten. A _ . „„ „„ _ _ 3.
86
TH. BECKER
— Schildchen trapéz- oder kegelförmig verlängert, seltener kurz, breit abgerun¬
det mit zwei längeren End- und 4 — 5 kürzeren Seitenborsten auf kurzen
Warzenhöckern. _ _ _ „„ J „„ „„ „„ . 4.
3. Schildchen mit vier langen Warzenhöckern. Augen nackt Thoraxrücken
stark aber nicht reihenförmig punktiert. Beine kräftig. Flügel nicht
gefleckt.^ w . „„ ™ „„ ™ P „„ ™ ™ Dactylo thy rea Meij.
■ — Schildchen nur mit zwei langen Warzenhöckern. Augen nackt. Thorax¬
rücken deutlich reihenförmig punktiert. Beine zart. Flügel gefleckt.
Disciphus n. g.
4. Thoraxrücken stark aber nicht reihenförmig punktiert. Fühlerhorste zart,
pubescent. „„ „„ A ~~ ™ „„ _ ™ „„ tl 5.
— Thoraxrücken deutlich reihenförmig punktiert. Fühlerborste mehr oder
weniger verdickt _ _ _ „„ „„ ™ Elachiptera Macq.
5. Augen nackt. Scheiteldreieck gross und glänzend. Stirnfläche nackt oder
fast nackt. Mundrand nicht aufgeworfen. _ || _ Meroscinis Meijere.
— Augen dicht behaart. Scheiteldreieck klein, matt, mit der Stirnfläche dicht
behaart. Mundrand aufgeworfen. „„ „ „„ ™ „„ Thyridula n. g.
6. Hinterschenkel auffallend verdickt, auf der Unterseite gezähnt ; Hinter¬
schienen entsprechend gekrümmt, am Ende mit einer mehr oder weniger
entwickelten dornartigen Verlängerung. „„ „„ Prionoscelus n. g.
— Hinterschenkel nicht auffallend verdickt, wenn auch mitunter etwas ge¬
schwollen ; Hinterschienen nicht so gebogen.™ ... . . ™ ™ ™ 7.
7. Hinterschienen mit einer deutlich gebogenen Endborste, entweder an der
Spitze oder etwas vor derselben. _ „„ ™ A „„ ™ 8.
— Hinterschienen ohne solche Endborste. „„ ™ ™ ™ „ 9.
8. Thoraxrücken dicht und fein behaart mit einer hinteren Dorsocentral-
horste ; drittes Fühlerglied rund bis nierenförmig, Fühlerhorste pubescent.
Schildchen gewölbt, die Fläche fein behaart. Augen gross, nackt bis
pubescent. Backen schmal. _ _ A ™ „„ m „„ Hippelates Lw.
— Thoraxrücken grob und reihenweise behaart mit mehreren Dorsocentral-
borsten ; drittes Fühlerglied rund, Borste behaart bis nackt. Schildchen
flach, auf der nackten Fläche zwei Borstenhaare auf der Mitte. Augen
nackt, etwas querliegend. Backen breit. „„ ™ A Par ahipp elates n. g.
9. Drittes Fühlerglied mehr oder weniger nierenförmig. „„ „„ 10.
— Drittes Fühlerglied trapezförmig. Augen quer liegend.
Scoliophthalmus Beck.
— Drittes Fühlerglied gross, fast doppelt so lang wie breit, oval bis zum
Mundrande herabhängend. Rüssel verlängert und gekniet. Dritte Längs¬
ader an der Spitze stark nach oben gebogen ; dritte und vierte an der Spitze
gefleckt und divergierend. Gelbe, weiss behaarte Art. ™ Pselaphia n. g.
— Drittes Fühlerglied annähernd kreisförmig. A — — - . — — H*
10. Drittes Fühlerglied wenig nierenförmig mit feiner pubescenter Rücken¬
borste. „■ ü . ™ „„ ™ ™ A. „„ ™ „„ ™ Gaurax Lw.
— Drittes Fühlerglied stark nierenförmig, lang, nach oben gezogen, quergestellt
CHLOEOPIDÆ.
87
\
und mit einer deutlich verbreiterten oder nur wenig verdickten aber
deutlich behaarten Endborste. .... „. .... \yS Gampsocera Schin.
1 1 . Drittes Fühlerglied etwas oval mit scharfer Endspitze. Stirne deutlich vor¬
tretend, Gesicht schräg abfallend. Fühlerborste und Augen schwach
pubescent. Thorax gelb, schwarz gestreift, der Gattung Eurina ähnlich
gebildet. . .„ , _ „4 .... ‘ _ .... Pseudeurina Meijeee.
— Drittes Fühlerglied nicht zugespitzt. Stirne nicht besonders vortretend. 12.
12. Hinterleib mit fünf Ringen. _ „ .... .... .... ... . _ ... .... 13.
— Hinterleib nur mit zwei Ringen, stark genarbt. ThoraJxrücken und Schildchen
mit langen lanzenähnlichen Borsten. .„. . . „. .... Anatrichus Lw.
13. Zweite Längsader ganz besonders kurz. ... .. . . ... Microneurum Beck.
— Zweite Längsader nicht besonders kurz. ... _ _ .... __ .... 14.
14. Thoraxrücken mit drei scharf geschnittenen dunkel punktierten Längs¬
furchen ; metallisch glänzende oder matt körnig punktierte Arten.
Notonaulax Beck.
- Thoraxrücken ohne oder nur mit sehr undeutlichen Furchen. .... ■ _ 15.
15. Zweite Flügellängsader besonders lang . . m ~~ ~~ Dicraeus Lw.
-4- Zweite Flügellängsader nicht besonders verlängert . . „ ... 16.
16. Scheiteldreieck deutlich aber nicht besonders gross. Stirn nicht besonders
breit. Behaarung einfach, gleichmässig vertheilt und nicht lang. Kopf
rund mit nackten bis pubescenten Augen. Fühlerboste nackt bis pubescent.
Oscinella Beck.
Meroscinis Meijeee.
Diese Gattung bildet einen Theil einer karakteristischen Formen¬
reihe des indo-australischen Gebietes, die sich durch besondere Form
und Grösse des Schildchens und seiner Beborstung auszeichnet. Die
typische Art dieser Gattung M. scutellata Meijeee hat ein grosses drei¬
eckiges oder trapezförmiges Schildchen mit zwei langen auf kleinen
Höckern stehenden Endborsten, denen mitunter noch 2 — 4 kleinere
Seitenborsten zugesellt werden. Alle Arten haben nackte Augen, ein
grosses glänzendes Scheiteldreieck und deutliche Frontorbitalborsten,
ebenso ist das Scheiteldreieck durch eine Reihe feiner Haare eingefasst.
Mundborste deutlich oder auch fehlend. — Das dritte Fühlerglied ist
in der Regel oval, mitunter auch etwas kurz nierenförmig, wenig oder
nicht länger als breit mit feiner, dicht an der Wurzel des Fühlergliedes
stehender, deutlich pubescenter Borste. Thorax und Schildchen sind
meistens aussergewöhnlich grob punktiert und genarbt, mit überwiegend
heller Behaarung. Die Thoraxbeborstung ist nur schwach ausgebildet;
von Dorsocentralborsten ist die hinterste kaum noch sichtbar ; dahin¬
gegen sind Supraalar- und Notopleuralborsten vorhanden. In der Fliigel-
aderung herrscht die Neigung der vierten Längsader vor, in ihrem
88
TH. BECKEB
I
Wurzeltheil von der Richtung der dritten Längsader stark abzuweichen;
erst nach Einmündung der hinteren Querader ändert sie ihre Richtung
ziemlich plötzlich, läuft dann ungefähr parallel zur dritten bis an die
Flügelspitze, hierdurch wird die erste Hinterrandzelle auf ihrer Wurzel¬
hälfte stark winkelförmig nach unten erweitert ; nur selten nimmt die
vierte Längsader einen gewöhnlichen Verlauf; die Flügelfläche ist deut¬
lich behaart.
Bestimmung st ab eile der Arten .
1. Schildchen dreieckig bis trapezförmig verlängert. .... „„ 4 2.
— Schildchen breit, halbkreisförmig abgerundet. . _ . .. 11,
2. Beine ganz hellrothgelb._ „.. .... .... .... .... . . .... 3.
— Beine schwarzbraun und rothgelb gezeichnet. .... ... ... . .... 8.
3. Schwinger gelb. 4 _ . 4 „ .... . _ 4 4.
— Schwinger schwarzbraun. .... .... .... .... .... .... .... : .... 7.
4. Dritte und vierte Längsader parallel laufend. .... .... .... . ;. 5.
— Dritte und vierte Längsader divergierend. Schildchen ausser den beiden
starken Endborsten noch mit zwei fast ebenso starken Borsten auf der
Mitte des Seitenrandes. .... . „. .... „. .... conica n. sp
5. Fühlerborste schwarz oder braun. _ .... .... .„. „. .... .„. .... .... .... 6.
— Fühlerborste weiss. Fühler und Taster hellrothgelb. Schildchen ausser den
zwei Endborsten noch mit zwei kleineren Seitenborsten nahe der Spitze.
Erste Hinterrandzelle an der Basis kaum erweitert. Alle Schenkel etwas
geschwollen. _ .... .... .... .... .... .... .... .„ .... albiseta n. sp.
6. Erste Hinterrandzelle nach unten hin auf der Wurzelhälfte stark erwei¬
tert, Taster schwarz. Drittes Fühlerglied ganz oder zum Theil schwarz¬
braun. Schildchen ausser den zwei starken Endborsten noch mit zwei
kürzeren aber deutlichen Seitenborsten im letzten Drittel des Dreiecks
nahe der Spitze. Grosse, verhältnismässig stark behaarte Art.
elegantula n, sp.
— Erste Hinterrandzelle an der Wurzelhälfte nicht erweitert. Taster und
Fühler rothgelb. Schildchen ausser den zwei Endborsten noch mit vier
sehr kleinen aber deutlichen Börstchen auf Warzenhöckern ; kleine ver¬
hältnismässig nackte Art. „. .... .... . . .... .... .... .... recta n. sp.
7. Dritte und vierte Längsader parallel. Scheiteldreieck glänzend schwarz, lang
und schmal, vorne breit abgerundet endigend. Schildchen nur mit zwei
deutlichen Endborsten . .„. . . _ .„ ..„ .... dimidiata n. sp.
8. Schildchen ausser den zwei Endborsten noch mit Nebenborsten im letzten
Drittel oder Viertel des Dreiecks. .... _ _ .... .... .... .... ..„ 9.
9. Schenkel und Beine überwiegend rothgelb, Vorderschiene und Vordertarsen
braunschwarz. Scheiteldreieck glänzend schwarz. _ _ 'pellucida n. sp.
— Schenkel und Schienen ganz schwarz, die vier ersten Tarsenglieder roth-
gelb. Scheiteldreieck glänzend stahlblau. .... .... 4 scutellata Meijere.
CHLOROPIDÆ.
89
— Schenkelglieder, Schenkel an Wurzel und Spitze rostgelb. . . 10.
10 Schildchen von der gewöhnlichen spitzdreieckigen Form mit nur zwei
Hauptborsten. Schienen mit deutlicher Binde. „„ nitidifrons n. sp.
— Schildchen breit, etwas länger als breit, aber an der Spitze breit abgerun¬
det und mit vier fast gleich starken Borsten. Schienen entweder ganz
gelb oder nur an der Wurzelhälfte schwarz. _ finitima n. sp.
11. Schildchen mit vier deutlichen Borsten. Beine überwiegend rothgelb. Hinter¬
schienen schwarzbraun. Flügel an der Spitze mit grossem schwarzbraunen
Fleck. „„ _ „„ . „„ _ _ Meijerei n. sp.
— Schildchen nur mit zwei deutlichen Borsten. Beine überwiegend schwarz ;
Hüftgelenke, Schienen, an beiden Enden und die Tarsen gelb. Flügel
fleckenlos. „„ _ „„ _ „„ „„ „„ . . . tibiella n. sp.
Beschreibung der Arten.
64. Meroscinis conica n. sp. Taf. II, Fig. 19.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, stark genarbt, fahlgelb
behaart. Schildchen dreieckig mit zwei starken Endborsten auf Höckern
und zwei fast ebenso starken auf der Mitte der Seitenränder ; Brust¬
seiten glänzend schwarz ; Schwinger gelblich. — Kopf schwarz ; Stirn
matt, etwas breiter als ein Auge mit grossem glänzend schwarzen
Scheiteldreieck, das an der Basis fast die Augen berührt und bis zu den
Fühlern reicht; auf jeder Seite ungefähr fünf Orbitalborsten, auch die
Einfassung des Scheiteldreiecks mit Börstchen ist deutlich. Fühler roth¬
gelb mit schwarzer, deutlich pubescenter Borste. Untergesicht glänzend
chwarz mit deutlicher Mundborste ; Backen sehr schmal. — Hinterleib
länzend pechbraun. Beine ganz hellrothgelb. Flügel blassbräunlich, die
einzelnen Bandader-Abschnitte in etwas abnehmender Länge einander
folgend ; dritte und vierte Längsader ein wenig divergierend. V~U mm. lang.
1 Exemplar von Java (Jacobson), Museum von Amsterdam.
65. Meroscinis elegantula n. sp.
Mit M. dimidiata sehr nahe verwandt, aber konstant abweichend
durch blassgelbe Schwinger, dunkleres drittes Fühlerglied und durch
die Beborstung des Schildchens, auf welchem man stets unter den bei¬
den Endborsten noch zwei etwas schwächere Seitenborsten findet, wäh¬
rend diese bei dimidiata kaum sichtbar sind.
Thorax und das trapezförmige Schildchen schwarz und stark
punktiert; letzteres mit zwei starken und nicht weit davon mit zwei
schwächeren Borsten auf Warzenhöckern ; Behaarung kräftig, gelbbräun¬
lich; Mesopleuren und Sternopieuren deutlich behaart. Schwinger blass¬
gelb. — Kopf : Hinterkopf schwarz, Stirn matt, nicht breiter oder etwas
schmäler als ein Auge mit grossem vorne trapezförmig abgestumpften
90
TH. BECKER
glänzend schwarzen bis blauschwarzen Scheiteldreieck. Frontorbiten und
Scheiteldreiecksränder deutlich durch eine Haarreihe eingefasst, häufig
von heller Farbe. Fühler : Wurzelglieder rostgelb ; drittes Glied schwarz¬
braun oder an der Wurzel auch noch rostgelb; Borste nur kurz pu¬
bescent. Taster rothbraun; Gesicht glänzend schwarz, Backen sehr
schmal. — Hinterleib glänzend pechbraun. Beine nebst Hüften blass -
rothgelb, letztes Tarsenglied etwas braun. Flügel wasserklar mit zarten
blassbraunen Adern. 3 Va mm. lang.
24 Exemplare von Formosa : Kosempo, Chip Chip und Koshum
(Sauter), Ungar. Nat. Museum.
Variante. 4 Exemplare von Java, Wonosoba, Mai. (Jacobson.)
Museum von Amsterdam. — Von derselben Grösse und Ausbildung der
Schildborsten, aber das dritte Fühlerglied ist rothgelb und nur an der
Vorderseite etwas geschwärzt; an den Tarsen sind die beiden letzten
Glieder deutlich schwarz.
66. Meroscinis scutellata Meijere.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, nicht allzu stark punk¬
tiert und genarbt, mit braunen bis schwarzen Haaren. Schildchen lang
trapezförmig mit zwei Borstenhöckern und langen Borsten an der Spitze
und mit zwei sehr kurzen auf kleinen Höckern im letzten Drittel der
Dreiecksseiten, von der 1 Basis an gerechnet. Brustseiten glänzend, Meso¬
pleuren nicht oder nur sehr schwach behaart. — Kopf schwarz; die
mattschwarze Stirn, ungefähr von Augenbreite, zeichnet sich durch das
spiegelblanke stahlblaue, vorne trapezförmig abgestumpfte Scheiteldreieck
aus, dessen Einfassung durch Börstchen nur sehr schwach entwickelt
ist, ebenso wie die Orbitalbörstchen. Fühler rotti ; drittes Glied mit
langer feiner, sehr deutlich pubescenter Borste. Schwinger schwarz -
braun. — Hinterleib glänzend pechschwarz. Beine schwarzbraun, die
vier ersten Tarsenglieder rothgelb; mitunter auch die Schenkelglieder
heller. Flügel blassbräunlich bis weisslich, Adern desgleichen; zweite
Längsader kurz ; dritte und vierte im letzten Theil parallel, kaum etwas
divergierend. 2 Va — 31/* mm. lang.
4 Exemplare aus Singapore und Neu- Guinea (Biró) und 20 Exem¬
plare von Formosa (Sauter), Ungar. Nat. Museum ; aus Batavia (Jacob¬
son), Museum von Amsterdam.
67. Meroscinis tibiella n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, verhältnismässig fein
punktiert, fahlgelb behaart. Schildchen breit, verhältnismässig kurz und
abgerundet mit nur zwei deutlichen Borstenhöckern. Brustseiten glän¬
zend. — Die mattschwarze Stirn mit einem ziemlich grossen glänzend
schwarzen Scheiteldreieck und deutlicher Beborstung am Kopfe. Fühler
CHLOROPIDÆ.
91
schwarzbraun ; drittes Glied rothgelb mit langer schwarzer, deutlich be¬
haarter Borste. Taster roth. Schwinger gelblich. — Hinterleib schwarz¬
braun. Beine schwarz ; Hüftgelenke, Kniee, Schienen und Tarsen mit
Ausnahme des letzten Gliedes gelb; Hinterschienen mit deutlichem Bing
auf der Mitte, Mittelschienen mit einem schwächeren. Flügel blass¬
bräunlich ; zweite Längsader kurz, mit der dritten aufgebogen und in
den Vorderrand laufend; dritte und vierte an der Spitze divergierend.
1 Va mm. lang.
1 Exemplar von Ceylon : Pattipola, 2000 m. hoch (Biró), Ungar. N. Mus.
68. Meroscinis dimidiata n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, stark genarbt, fahlgelb
behaart. Schildchen lang trapezförmig, etwas abgeflacht mit nur zwei
deutlichen Endborsten auf kleinen Höckern ; die beiden anderen Seiten¬
borsten sind so klein, dass man sie erst mit der Lupe suchen muss ;
sie stehen im letzten Viertel der Dreiecksseiten, von der Basis an gerech¬
net. Brustseiten glänzend schwarz mit einigen Haaren auf den Meso-
pleuren. Kopf schwarz ; Stirn matt, so breit wie ein Auge mit grossem
in stumpfer Spitze endigenden glänzend schwarzen Scheiteldreieck und
deutlicher Einfassung der Augenränder und der Dreiecksseiten durch
feine schwarze Haare; letztere sind vielfach von weisslicher Färbung.
Fühler rothgelb ; drittes Glied ziemlich gross mit braunem Bande und
feiner nur schwach pubescenter Borste. Backen sehr schmal; Taster
rothgelb. — ■ Schwinger schwarzbraun. — Hinterleib glänzend schwarz.
Beine ganz hellrothgelb, die beiden letzten Tarsenglieder gebräunt. Flügel
blassbräunlich; zweiter Bandader- Abschnitt etwas kleiner als der dritte;
dritte und vierte Längsader parallel. 2 — 21/* mm. lang.
10 Exemplare von der Insel Formosa: Yentempo (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
69. Meroscinis recta n. sp.
Thorax und Schildchen schwarz, bei starker Punktierung nur
schwach glänzend ; Behaarung sehr kurz, fahlgelb. Schildchen grob ge¬
narbt mit zwei Endborsten und vier kleineren Seitenborsten an der
Spitzenhälfte; auf dem Thoraxrücken ist die hintere Dorsocentralborste
deutlich. Brustseiten glänzend, unbehaart. Schwinger gelblich. — Kopf
schwarz, Stirn matt, so breit wie ein Auge. Scheiteldreieck glänzend
schwarz, bis zu den Fühlern reichend ; letztere ganz rothgelb mit einer
verhältnismässig schwach pubescenten Borste. Backen schmal, weisslich
bereift ; Taster roth ; Mundrand ohne Borste. Flügel schmal, farblos mit
blassgelben parallel laufenden Adern ; die zweite Längsader ist lang ;
die erste Hinterrandzelle an ihrer Wurzelhälfte nicht erweitert. Kleine
Art von 1 Vi — 2 mm. Länge.
92
TH. BECKER
15 Exemplare von Formosa: Chip Chip, Jam (Sauter), Ungar. Nat.
Mnsenm.
70. Meroscinis pellucida n. sp. d.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, stark punktiert und
genarbt, fahlgelb behaart. Schildchen dreieckig, länger als an der Basis
breit mit zwei starken Borsten an der Spitze und zwei kleinen daneben.
Brustseiten glänzend schwarz. Schwinger blassgelb. Stirn mattschwarz
mit grossem fast die ganze Stirn bedeckenden, glänzend schwarzen
trapezförmigen Scheiteldreieck, dessen Seiten ebenso wie die Orbiten
durch feine blassgelbe Härchen eingefasst sind. Untergesicht sehr kurz
rostbraun. Fühler hell rothgelb mit zarter langer pubescenter Borste.
Augen gross, Backen sehr schmal. Taster verdunkelt. Hinterleib glänzend
pechschwarz ; erster und der halbe zweite King durchsichtig gelb. Beine
hell rothgelb, Yorderschienen nebst Tarsen schwarzbraun ; auf der
Unterseite der Hinterschenkel steht eine Keihe feiner Börstchen. Fühler
fast farblos, deutlich behaart ; dritte und vierte Längsader parallel ; die
vierte macht hinter der Querader eine Einbiegung. 3 mm. lang.
6 Exemplare aus Batavia (Jacobson), Museum von Amsterdam.
71. Meroscinis Meijerei n. sp. d £ .
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, stark punktiert und
genarbt, fahlgelb behaart ; das Schildchen ist bei dieser Art nicht be¬
sonders ausgebildet und nähert sich schon mehr der gewöhnlichen
Form ; immerhin sind noch deutlich vier Borstenhöcker und Borsten
vorhanden. Auf dem Thorax sieht man ferner deutlich eine hintere Dorso-
central-, zwei Notopleural- und eine Supraalarborste. Die Schulterbeule
ist rostgelb bis roth. Brustseiten glänzend pechschwarz. Schwinger blass¬
gelb. Kopf: Stirn mattroth mit grossem glänzend schwarzen, trapez¬
förmig abgerundeten Scheiteldreieck, die Orbiten schimmern bei schräger
Besichtigung weiss. Untergesicht mattschwarz mit glänzender Fühler¬
grube, die Wangen weiss bereift. Fühler hellrothgelb mit langer fein
behaarter Borste ; Taster und Hinterkopf schwarz. Hinterleib glänzend
schwarz, erster King und die Seiten des zweiten rostgelb. Beine nebst
Hüften rostgelb. Hinterschienen schwarzbraun. Flügel blassbräunlich,
das Spitzendrittel breit schwarzbraun gefärbt, am Vorderrande stärker :
dritte und vierte Längsader schwach divergierend. 2 7 a — 3 mm. lang.
3 Exemplare aus Java (Jacobson), Museum von Amsterdam; dem
Begründer dieser interressanten Gattung gewidmet.
72. Meroscinis finitima n. sp. ç .
Weibchen. Thorax und Schildchen schwarz, deutlich punktiert,
fahlgelb behaart; am Schildchen stehen ausser den zwei Endborsten
noch zwei fast ebenso starke Borsten am Seitenrande im letzten Drittel.
CHLOROPIDÆ.
93
Das Schildchen nimmt bei dieser Art eine Mittelstellung ein zwischen
den Arten mit trapezförmig verlängertem und denen mit halbkreis¬
förmig abgerundetem Schildchen; letzteres ist etwas verlängert aber an
der Spitze ziemlich breit abgerundet. Schwinger blassgelb ; Brustseiten
glänzend. — - Kopf schwarz, Stirn matt, so breit wie ein Auge; Scheitel¬
dreieck glänzend schwarz, breit und lang. Fühler hellrothgelb mit lang
pubescenter Borste. Gesicht glänzend schwarz, Mundborste zart.
Hinterleib glänzend schwarz. Beine : Hüften und Schenkel auf der Mitte
breit schwarz ; Schenkelglieder, Kniee, alle Schienen und Tarsen roth-
gelb, jedoch sind an den vorderen Beinen die beiden letzten, an den
Hinterbeinen das letzte Tarsenglied schwarz. Flügel blassbräunlich ;
zweite und dritte Längsader nach vorne aufgebogen, kurz ; dritte und
vierte an der Spitze etwas divêrgierend ; vierte noch etwas vor der
Flügelspitze mündend. Kleine Art von DA mm. Länge.
1 Exemplar aus Formosa : Kosempo, November (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
Männchen. Der Form und Beborstung des Schildchens nach ge¬
hören diese Thiere zu dem vorigen Weibchen ; auch alles Übrige ist
gleich bis auf die Beinfarbe : die hinteren Schienenpaare tragen näm¬
lich auf ihrer Wurzelhälfte eine breite schwarzbraune Binde; es ist
dies also vielleicht nur geschlechtlicher Unterschied.
1 Exemplar aus Formosa : Tainan, Februar (Sauter), und 1 Exem¬
plar aus Neu-Guinea: Simbang, Huon Golf (Biró), Ungar. Nat. Museum.
73. Meroscinis albiseta n. sp.
Thorax und Schildchen schwarz, deutlich punktiert und genarbt.
Schildchen deutlich verlängert.; ausser den zwei Endborsten noch mit
zwei fast gleich starken im letzten Viertel der Seitenränder. Behaarung
fahlgelb. Schwinger blassgelb. — Kopf schwarz ; Stirn matt, vorne
dunkelrothbraun, hinten schwarz. Scheiteldreieck gross, glänzend schwarz
mit einer Längsrinne auf der Mitte. Fühler hellrothgelb ; Borste weiss,
kaum etwas pubescent. Taster rothgelb, Küssel schwarz. Hinterleib glänzend
pechbraun. Beine hellrothgelb ; Schenkel alle etwas geschwollen ; letztes
Tarsenglied etwas verdunkelt. Flügel fast farblos, an der Spitze mit all-
mälig verblassender Bräunung ; dritte und vierte Längsader parallel ;
zweite ziemlich lang; erste Hinterrandzelle kaum etwas an der Wurzel¬
hälfte erweitert. 2 — 2 Va mm. lang.
2 Exemplare von Java: Salatiga (Dr. v. Leeuwen), Museum von
Amsterdam.
74. Meroscinis nitidifrons n. sp.
Diese Art hat am meisten Ähnlichkeit mit M. scutellcita de Meliere,.
ist aber doch durch eine Reihe von mehr oder weniger bedeutenden
94
TH. BECKER
Merkmalen getrennt : sie ist etwas heller gefärbt und kleiner ; die Beine
sind glänzend schwarz, aber Schenkelglieder, Kniee, Wurzel und Spitze
der Schienen nebst den Tarsen sind rostgelb, mitunter die vorderen
Schienen ganz gelb und dann nur die Hinterschiene mit schmaler
Binde. Bas Scheiteldreiek ist glänzend schwarz, nicht stahlblau, höchst
selten sehen wir einen leichten bläulichen Schimmer; die Fühlerborste
ist etwas kürzer behaart; auch das Schildchen zeigt geringe Unter¬
schiede : während man bei M. scutellata neben den beiden Hauptborsten
nur noch zwei sehr zarte Nebenborsten sieht, sind letztere hier stärker
ausgebildet. Körperlänge lVa — 2 Va mm.
1 Exemplar aus Mittel-Assam (Fruhstorffek), Wiener Hofmuseum
und 20 Exemplare von Formosa, Tainan, Febr. (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
Anmerkung. Die Unterschiede von der ebenfalls nahe stehenden
Art M. finitima bestehen in der abweichenden Form des Schildchens
und in der verschiedenen Pubescenz der Fühlerborste.
Thyridula nov. gen.
Die Arten der Gattung Meroscinis Meijere haben alle ganz nackte
Augen, ein grosses glänzendes Scheiteldreieck und einen länglich run¬
den Kopf ohne aufgeworfenen Mundrand ; die Stirnfläche ist unbehaart
oder fast ohne Haare. — Unter den Meroscinis- Arten aus N. -Guinea
findet sich eine Art, welche in einer Beihe von Punkten abweicht, wäh¬
rend sie im allgemeinen Habitus, mit ihrer Schildform und Beborstung
sicher auch in diesen Verwandtschaftskreis gehört. Die Unterschiede von
Meroscinis sind folgende : Die Augen sind sehr dicht behaart ; das
Scheiteldreieck ist sehr klein und nicht glänzend ; beides: Scheiteldreieck
und Stirn sind sehr dicht weissgrau behaart; das Untergesicht ist sehr
kurz und der Mundrand aufgeworfen. Küssel gekniet mit etwas ver¬
längerten Saugflächen. Diese Beihe von Unterschieden nöthigt uns, diese
Art in eine besondere Gattung zu stellen ; sie ist auffallend kurz und
breit gebaut.
75. Thyridula breviventris n. sp.
Thorax und Schildchen von schwarzer Grundfarbe, aber durch
Bestäubung ganz matt schwarzgrau, stark punktiert und weiss behaart.
Das Schildchen hat die Form eines an der Spitze abgerundeten Paral¬
lélogrammes, etwas länger als breit aber nur kurze gewöhnliche Borsten -
höcker, jederseits mit vier gelben Borsten. Brustseiten glänzend pechbraun
mit Ausnahme der Meso- und Sternopieuren, die matt und weiss behaart
sind. Stirne erheblich schmäler als ein Auge, gelb, durch helle Be-
CHLOROPIDÆ.
95
stäubung etwas grau und dicht kurz weiss behaart. Scheiteldreieck klein,
etwas über die Stirnmitte reichend, mattbraun. Untergesicht gelb, etwas
ausgehöhlt, Mundrand vortretend. Taster, Backen und Fühler hellgelb,
drittes Glied mit feiner pubescente!5 Borste. Augen dicht weiss behaart ;
Biissel mit etwas verlängerten Saugflächen. Schwinger gelbbraun ; Hinter¬
leib desgleichen, weiss behaart, sehr kurz, kürzer als das Schildchen.
Beine rostgelb, alle Schienen — die hintersten am deutlichsten — auf
der Mitte mit schwarzbrauner Binde oder Fleck. Flügel zart blassbräun¬
lich ; Längsadern gerade ; dritte und vierte Längsadern parallel. Quer¬
adern von einander ebenso weit entfernt, wie der letzte Abschnitt der
fünften Längsader lang. Körperlänge ohne Flügel 3 Va, mit Flügeln
5 mm. Breite des Thorax 2 mm.
1 Exemplar aus N.-Guinea: Friedrich-Wilhelmshafen (Biró), Ungar.
Kat. Museum.
Epicelyphus nov. gen.
Wenn ich den Namen dieser Gattung der bekannten Dipteren¬
gattung Celyphus nachgebildet habe, so glaube ich, wird man nach
Kenntnisnahme dieser eigenthümlichen Fliege die Berechtigung hierzu
ohne Weiteres anerkennen. Diese Gattung gehört mit Meroscinis und
Dactylothyrea zu derselben Gruppe, von der ich schon bei Meroscinis
geredet. Das Schildchen ist ausserordentlich gross, länger als der Thorax
und fast eben so breit ; die Seitenränder sind sägezahnartig mit kurz
bebor steten Höckern besetzt. Auf dem Thoraxrücken sieht man nur je
eine Supraalarborste. Die Flügel sind deutlich behaart : auch alle übrigen
Eigenschaften theilt diese Gattung mit Meroscinis. Bemerkenswerth mag
nur noch erscheinen die auffallend tiefe Stellung des Hinterleibes, die
durch das grosse Pronotum hergestellt wird und die hier mehr als bei
den verwandten Gattungen auffällt.
76. Epicelyphus principalis n. sp. Taf. II, Fig. 14, 15.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, stark punktiert und
genarbt. Behaarung fahlbraun bis schwarz. Notopleural- und Dorso-
centralborsten fehlend. Das grosse Schildchen ist nicht ganz so breit
wie der Thorax, aber etwas länger, länglich oval, blattförmig, dünne,
stark gewölbt und stark genarbt, an jeder Seite mit 8 — 9 höckerartigen
Auswüchsen in regelmässigen Zwischenräumen sägezahnartig versehen^
auf deren Spitze kurze nach hinten gerichtete Börstchen von gleicher
Länge stehen ; die Unterseite des langen Schildchens ist gleichmässig
mattschwarz. Brustseiten glänzend. — • Kopf breit, schwarz, etwas flach
mit grossen nackten Augen. Stirn mattschwarz, so breit wie ein Auge
mit glänzend schwarzem ganz glatten Scheiteldreieck, das an der
96
TH. BECKER
Basis nicht ganz die Breite des Scheitels hat, aber bis zu den Fühlern
reicht. Orbitalborsten sind kaum ausgebildet. Fühler schwarz, Borste
zart, deutlich pubescent. Untergesicht kurz, etwas ausgehöhlt mit zarter
Mundborste, Backen sehr schmal. — Hinterleib flach, schwarzbraun,
nackt, etwas länger als das Schildchen. Beine glänzend schwarz ; Schen¬
kel, namentlich die Hinterschenkel etwas geschwollen. Tarsen hellgelb.
Flügel blassbräunlich ; die erste Längsader ist lang, sie geht ungefähr
bis zur Flügelmitte ; der Zwischenraum zwischen der ersten und zweiten
Längsader ist ein wenig gebräunt ; der zweite Randader- Abschnitt etwas
kürzer als der dritte. -2 Va — 3 mm. lang.
2 Exemplare von Neu-Guinea : Insel Cretin, Tárni (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
Dactylothyrea Meij.
Herr Hr. de Meijere hat auf die nachstehend beschriebenen bei¬
den Arten diese Gattung errichtet und sie von Meroscmis getrennt ge¬
halten. Beide Gattungen gehören derselben Gruppe an und stehen ein¬
ander sehr nahe, aber die Ausbildung des Schildchens hat doch so
besondere Formen angenommen, namentlich sind die Höcker, auf denen
die Randborsten stehen, so gewaltig entwickelt, dass sich die Abtrennung“
dieser Formen von Meroscinis wohl rechtfertigen lässt. Wir werden
dieser Gattung mit einigen geringen Abänderungen in der südamerika¬
nischen Fauna wieder begegnen.
Die Kopfbildung ist dieselbe wie bei Meroscmis. Augen ebenfalls¬
nackt. Auf dem Thoraxrücken finden wir das hinterste Paar von Dorso -
centralborsten deutlich, ferner eine Supraalar- und eine Notopleural-
borste. Das Schildchen ist verlängert und gross, es trägt vier lange
fingerartige Höcker, von denen das eine Paar an der Spitze fast so lang
ist wie das Schildchen selbst, wohingegen die darauf stehenden Borsten
kürzer sind. Die Hüften sind stark entwickelt und die Hinterbeine sehr
kräftig. Die Flügeladerung ähnelt der der Meroscmis- Arten, jedoch ist
die erste Hinterrandzelle an der Einmündung der hinteren Querader
nicht ganz so tief heruntergezogen.
Ich gébé die Beschreibung beider Arten nach Meijere. Man kann
die bis jetzt bekannten beiden Arten wie folgt unterscheiden.
Bestimmung stab eile der Arten.
— - Flügel auf der Spitzenhälfte und am Yorderrand gebräunt. Die finger¬
artigen Fortsätze am Schildchen erreichen die Länge des Schildchens.
Fühler weisshch. Beine überwiegend hell. „„ infamata Meijeee.
CHL0R0P1DÆ.
97
— Flügel glashell. Die fingerartigen Fortsätze am Schildchen kürzer als das
Schildchen. Fühler dunkelbraun. Beine überwiegend schwarz.
hyalipennis Meijere.
77. Dactylothyrea infumata Meijere. Taf. II, Fig. 16, 17, 18.
Schwarz, Scheiteldreieck wie poliert, bis zum vorderen Stirnrande
reichend. Scheitel- und Postvertikalborsten schwarz. Stirne namentlich
am Augenrande und am Bande des Scheiteldreiecks mit ziemlich langen
weissen Härchen. Fühler beim j weisslich, das dritte Glied am oberen
Bande etwas verdunkelt, auch die Innenseite graulich ; beim cf schnee-
weiss ; Borste schwarz, etwas pubescent. Büssel und Taster schwarz.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, die zerstreute Behaarung
ziemlich lang, gelblich.
Hinterleib an der Wurzelhälfte durchsichtig gelb, in der distalen
Hälfte glänzend schwarz.
Beine, auch die Hüften gelb, die Endhälfte der Hinterschenkel,
die Hinterschienen und die Hintertarsen bis auf das erste Glied glänzend
schwarz.
Flügel glashell, an der Spitze mit grösserer schwarzbrauner Trü¬
bung, welche am Yorderrande zwischen der ersten und zweiten Längs¬
ader anfängt, sich nach unten bis zum oberen Ende der hinteren Quer¬
ader ausstreckt und den letzten Abschnitt der vierten Längsader noch
überschreitet. Schwinger weiss. — Körperlänge 3, Flügellänge 2,5 ' mm.
Java : Victoria, Jacobson leg. Museum von Amsterdam.
Jacobson erbeutete mehrere Exemplare im Walde, immer an der
Unterseite der Blätter einer Spiraea- artigen Pflanze.
78. Dactylothyrea hyalipennis Meijere.
Diese Art sieht der vorigen sehr ähnlich ; die Fühler sind dunkel¬
braun, das zweite Glied braungelb, die fingerförmigen Fortsätze des
Schildchens sind relativ kürzer, auch kürzer als das Schildchen ; die
gelbe Färbung des Hinterleibes erstreckt sich nur über das Wurzel¬
drittel. Die Beine sind schwarz, alle Trochanteren, an den Hinter¬
beinen auch die Spitze der Hüften und die äusserste Wurzel der Schen¬
kel, auch alle Kniee sehr schmal rothgelb ; die Vordertarsen sind bräun¬
lich, die Mitteltarsen gelb, nur an der Spitze etwas gebräunt, die Hinter¬
tarsen bis auf den weisslichen Metatarsus schwarz.
Flügel glashell, Schwinger weiss.
cf Körperlänge 2,6, Flügellänge 2 mm.
Ç Körperlänge 3, Flügellänge 2,5 mm.
Batavia, August, Oktober 1 cf , 1 $ (Jacobson) ; 1 Exemplar aus
Java : Salatiga (Dr. v. Leeuwen). Museum von Amsterdam.
Annales Musei Nationalis Hung arici. IX.
7
98
TH. BECKER
Disciphus nov. gen.
(ôiç zweimal und xu cpôç höckerig.)
Diese kleine Gattung gehört ebenfalls zum Verwandtschaftskreise
von Dactylothyrea Meijere, erinnert aber auch an Elachiptera Macq.
Das Schildchen ist nur klein, viereckig oder trapezförmig und trägt zwei
fingerförmige Höcker mit Borsten von ähnlicher Form wie bei Dac¬
tylothyrea, aber es sind doch nur zwei Höcker ; dann ist der Hinter¬
leib nicht so tief gestellt, sondern hat bei geringerer Ausdehnung des
Mesonotums auch die gewöhnliche Stellung. Der Thoraxrücken zeigt
eine wesentlich andere Punktierung; sie ist gröber, weitläufiger und
reihenförmig gestellt, erinnert somit in etwas an Elachiptera. Die Beine
sind im Gegensatz zu Dactylothyrea nur zart. Am Kopf sind die grossen
Augen ebenfalls nackt, aber die etwas quer nierenförmig gestellten Füh¬
ler stehen höher am Kopf und die feine Fühlerborste ist fast nackt.
Ferner sind die Flügel gefleckt; dritte und vierte Längsader nehmen
einen etwas anderen Verlauf.
79. Disciphus peregrinus n. sp. Taf. I, Fig. 1 2, T 3.
Thorax von schwarzer Grundfarbe, etwas braun bestäubt und
daher nur schwach glänzend, stark und weitläufig reihenförmig punktiert,
in den beiden Beihen der Dorsocentralborsten etwas stärker. Schildchen
im Verhältnis zum Thorax klein, trapezförmig, nicht länger als breit mit
zwei Endborsten, die auf zwei etwas langen fingerförmigen Auswüchsen
stehen. Brustseiten glänzend schwarz. Schwinger blassgelb mit braunem
Fleck auf dem Knopfe. — Kopf gelb, Hinterkopf auf der oberen Hälfte
pechschwarz; Stirn DA-mal so breit wie ein Auge mit grossem glänzend
schwarzen Scheiteldreieck in der Form eines stumpfen Spitzbogens.
Taster und Fühler rothgelb; drittes Glied rothgelb, auch mit schmalem
braunen Aussenrande ; Borste zart, äusserst kurz pubescent. Beine roth¬
gelb ; Vorderschienen nebst ihren Tarsen schwarz; Hinterschienen stark
gebräunt. Bei dem einen Exemplar von Formosa sind nicht alle Vorder¬
tarsen, sondern nur der Metatarsus schwarz und die Hinterschienen
haben nur einen schwarzen Wisch auf ihrer Innenseite. Flügel wasser¬
klar, schmal, lang mit zwei braunen Flecken, die der Hauptsache nach
auf der ersten Hinterrandzelle liegen, von denen der eine auf der Mitte
der Flügel, der andere dicht vor der Spitze liegt. Dritte und vierte
Längsadern etwas divergierend. 2 — I1/* mm. lang.
2 Exemplare aus Java: Wonosobo, April (JacobsonJ, Museum
Amsterdam und 1 Exemplar von Formosa : Chip-Chip, Februar (Sauter),
Ungar. Nat. Museum.
CHLOROPIDÆ.
99
80. Disciphus alatus n. sp. Taf. I, Fig. 14.
Diese beiden Exemplare sind den vorigen ähnlich im Habitus, in
Körpergrösse und Farbe ; sie weichen ab durch anders gezeichnete Flü¬
gel, auf denen die beiden Flecken nicht durch einen grossen kreis¬
förmigen Fleck getrennt, sondern zusammengeflossen sind; ferner ist
das Schildchen mit seinen beiden langen Auswüchsen gummiguttgelb ;
das dritte Fühlerglied ist ganz rothgelb und die Borste deutlich pu¬
bescent im Gegensatz zu D. peregrinus. Die Vordertarsen sind alle
schwarz und die Hinterbeine ganz schwarzbraun. 2 Va mm. lang.
2 Exemplare von Java : Wonosobo, April (Jacobson), Museum von
Amsterdam.
Elachiptera Macq.
81. Elachiptera nigroscutellata n. sp.
Thorax glänzend rothgelb bis rostroth, auf dem Rücken mit drei
deutlich punktförmigen Reihen; vorne am Halse schwarz. Schildchen
rothbraun bis schwarz, stark genarbt mit sechs deutlichen Borsten auf
Warzenhöckern ; Behaarung kurz und fahl. — Kopf rothgelb ; Hinter¬
kopf auf der Mitte mit zwei divergierenden Streifen oder Flecken. Stirn
1 Va-mal so breit wie ein Auge. Scheiteldreieck gross, glänzend gelb.
Fühler rothgelb mit schwarzer doppelt so langer, verdickter und nur
kurz behaarter Fühlerborste. Hinterleib und Hinterrücken glänzend
pechbraun, Bauch gelb. Beine mit Hüften und Tarsen ganz glänzend
rostgelb. Flügel gross, fast wasserklar mit blassbraunen Adern.
2 mm. lang.
3 Exemplare von der Insel Formosa : Chip-Chip, Februar (Sauter),
Ungar. Nat. Museum.
Priono scelus nov. gen.
(jtpitov die Säge und axeXoç Schenkel.)
Auch diese Form ist der Gattung Meroscinis nahe verwandt. Kopf,
Thorax und Flügel sind gleich gebildet, nur die Hinterbeine sind anders.
Die Schenkel sind stark verdickt, ähnlich wie bei Pachylophus, unten
segmentartig abgerundet und hier mit einer Reihe kurzer starker Sta¬
cheln bewehrt ; die Schienen sind dementsprechend gebogen und mit
einem mehr oder weniger ausgebildeten Enddorn versehen. Man wird
dieser Form den Werth einer Gattung einräumen müssen.
82. Prionoscelus magnus n. sp.
Thorax und Schildchen schwarz, durch starke Punktierung wenig
glänzend. Schildchen genarbt, matt, mit zwei Borstenhöckern am Ende
7*
100
TH. BECHEE
und noch einigen zarten Härchen an den Seiten; es ist ziemlich breit
und lang, etwas kegelförmig zugespitzt und abgerundet. Brustseiten
glänzend schwarz. Schwinger gelblich. Kopf schwarz ; Stirn matt ; Schei¬
teldreieck gross, glänzend schwarz, stumpf trapezförmig endigend; Orbi-
ten mit schwarzen Härchen dicht besetzt. Fühler roth; drittes Glied
gross mit feiner langer, deutlich behaarter Borste. Untergesicht zwei
flache Aushöhlungen darstellend, die glänzend schwarz sind. Hinterleib
und Beine glänzend pechschwarz. Tarsen blassgelb. Hinterschenkel wie
oben geschildert; Hinterschienen mit einem deutlichen Enddorn. Flügel
blassbräunlich, deutlich behaart. 2 Va mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Yomba (Bikö), Ungarisches Nat.
Museum.
83. Prionoscelus femoralis n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, stark punktiert und ge¬
narbt. Schildchen etwas trapezförmig, mit zwei deutlichen Borsten¬
höckern an der Spitze. Brustseiten glänzend. Kopf schwarz ; Stirn matt ;
Untergesicht glänzend; Scheiteldreieck glänzend schwarz, gross, trapez¬
förmig ; Frontorbitalbörstchen deutlich. Fühler roth ; Borste lang, fein,
braun, deutlich behaart ; das dritte Fühlerglied etwas weiss pubescent.
Taster roth. Hinterleib glänzend schwarz. Schwinger gelblich. Beine
glänzend schwarz, Tarsen gelb. Hinterschenkel erheblich verdickt, Hinter¬
schienen mit stumpfem Enddorn. Flügel blassbräunlich ; zweite Längs¬
ader kurz ; zweite und dritte deutlich etwas aufgebogen, so dass die
dritte und vierte an der Spitze divergieren ; vierte an der Flügelspitze
mündend. 1% — 13A mm. lang.
7 Exemplare aus Neu-Guinea : Sattelberg, Huon-Golf (Bieó), Ung.
Nat. Museum.
Hipp elates Lw.
Diese Gattung, von der wir aus der nearktischen Region eine
Reihe von Arten kennen, ist auch in der indisch-australischen Region
gut vertreten; bekannt sind aus ihr bis jetzt die folgenden: Hippelates
nigricornis Thoms., flavus Thoms., albitarsis Kertész, bilineatus Meijere,
minor Meijere.
Aus Europa und der paläarktischen Region ist bisher keine Art
bekannt geworden ; ich fand zwar eine Art auf den Kanarischen Inseln,
diese wird aber wohl amerikanischen Ursprungs sein. Ebenso ist vom
afrikanischen Kontinent bislang keine Art bekannt.
Loew hat diese Gattung auf eine nordamerikanische Art nobilis
gegründet und zur Karakterisierung als einziges Merkmal nur angege¬
ben, dass die Hinterschienen mit einem starken gekrümmten Dorn ver-
CHLOROPIDÆ.
101
sehen seien. Ans der Vergleichung einiger nordamerikanischer Arten, die
mir zu Gebote stehen, entnehme ich ferner, dass die Augen bei den
N. -Amerikanern fasst alle nackt sind, dass die Fühlerborste nur mikro¬
skopisch pubescent ist. Das Schildchen bei den mir vorliegenden Ar¬
ten : flavipes Lw., convexus Lw., pusio Lw., plebejus Lw., minuscentrus
Coquill. ist gewölbt, während Loew dasselbe bei seiner Art als abge¬
flacht angibt; im übrigen ist Aenlichkeit mit unseren Oscinella- Arten.
Etwas anders sind die Hippelates- Arten von Neu-Guinea und For¬
mosa: die Augen sind bei ihnen allen deutlich pubescent, ebenso deut¬
lich die Fühlerborste. Das Schildchen ist flach und gewöhnlich verlän¬
gert ; ferner sind die Frontorbiten mit deutlichen Börstchen versehen,
was bei den Amerikanern nicht immer der Fall ist ; im Habitus kom¬
men sie den Elachiptera - und Gaurax- Arten näher, wenn auch die
Fühlerborste nicht ganz so dick und dicht behaart ist. Ich glaube aber,
dass man diese etwas verschiedenen Arten sehr wohl in derselben Gat¬
tung belassen kann.
Dass aber die Bedornung der Hinterschienen nicht alleine als
Gattungsmerkmal gelten kann, sieht man daraus, dass es eine austra¬
lische Gattung mit diesem Dorn giebt, die in auffälliger Weise ganz
anders organisiert ist. Die Gattungsmerkmale von Hippelates wird man
kurz wie folgt karakterisieren können.
Gattung sJcarakter.
Glänzend gelbe bis schwarze Arten mit rundem Kopf, glänzendem
Scheiteldreieck, pubescenten bis nackten Augen; das dritte Fühlerglied
rund bis nierenförmig mit einer mikroskopisch pubescenten bis deutlich
behaarten Borste, welche rückenständig, selten endständig auftritt. Beine
mit vielfach deutlich geschwollenen Hinterschenkeln und einer gekrümm¬
ten Endborste an den Hinterschienen, die entweder an der inneren
Spitze selbst oder ein Stück davor einsetzt. Flügel gross, deutlich be¬
haart; kleine Querader dicht an der Gabel der zweiten und dritten
Längsader und der hinteren Querader nicht genähert.
Bestimmung stabeile der Arten.
1. Arten mit glänzend rothgelbem Thorax. _ _ _ „„ „„ _ „„ 2.
— Arten mit glänzend schwarzem Thorax. „„ „„ „„ _ „„ _ 10.
2. Brnstseiten glänzend rostgelb bis rostbraun ohne deutliche schwarze Flek¬
ken. „„ „„ _ „„ _ 1. _
Brustseiten schwarz gefleckt. „„ „„
102
TH. BECKER
3. Thoraxrücken mit zwei braunen Seitenstreifen. Beine rothgelb ; der krumme
Dorn an der Spitze der Hinterschiene..;,, .... .... .... ;... .... 4.
— Thoraxrücken mit zwei viereckigen schwarzen Flecken unmittelbar über
der Flügelwurzel und hinter der Quernaht. Beine rostgelb ; der krumme
Schienendorn ein wenig vor der Schienenspitze einsetzend.
Bataviae n. sp.
— Thoraxrücken ganz ohne Flecken oder Streifen, oder nur mit undeutlichem
schwarzen Mitteldeck . . .... .... .... .... .„ .... „„ 5.
— Thoraxrücken mit drei glänzend schwarzen, kreisrunden, in einem Dreieck
stehenden Flecken. Fühler und Taster rothgelb. Beine gelb ; Hinterschie¬
nen schwärzlich und keulförmig verdickt. Schienendorn vor der Spitze
einsetzend.,.,, .... .... .... .... .... „. .... .... I .... .... tripes n. sp.
4. Schildchen ganz gelb. Backen schmäler als das halbe dritte Fühlerglied.
Hinterschienendorn lang, an der Schienenspitze selbst ansetzend, weit über
die Mitte des Metatarsus reichend ; kleine, 2 mm. lange Art,.... .... 5.
— Schildchen mit breiter brauner Mittelstrieme. Backen so breit wie das
dritte Fühlerglied. Hinterschienendorn kurz, nur wenig über die Wurzel
des Metatarsus reichend ; grössere Art von 374 mm. Länge, mixtus n. sp.
5. Drittes Fühlerglied schwarzbraun. .... _ nigrieornis Thoms.
— Drittes Fühlerglied rothgelb, auch mit schwarzer Spitze nigrieornis Thoms.
var. bilineatus Meijeee.
6. Hinterschienendorn vor der Schienenspitze einsetzend ; Hinterschenkel
nicht geschwollen. .„. .... .... .... „.. ..„ .... _ .... .... .... .„. .„. .„. 7.
— Hinterschienendorn an der Schienenspitze. Hinterschenkel geschwollen. 8.
7. Thoraxrücken glänzend rostroth mit unbestimmt begrenztem schwarzen
Mittelfleck ; drittes Fühlerglied rothgelb, Borste von gewöhnlicher Pubes-
cenz. Beine rostbräunlich. .... .... .... .... „. .... ferruginosus n. sp.
— Thoraxrücken rothgelb, etwas matt, ohne Flecken ; drittes Fühlerglied
schwarz, Borste verdickt. Beine rostgelb, Vordertarsen verdunkelt.
setarius n. sp.
8. Drittes Fühlerglied von der gewöhnlichen, fast kreisförmigen Gestalt mit
pubescenter Rückenborste..... _ nigrieornis Thoms, var. flavus Thoms.
— Drittes Fühlerglied zitronenförmig verlängert mit etwas verdickter, dicht
pubescenter Endborste _ .... .... _ .... .... .... .„. citreiformis n. sp.
9. Brustseiten mit kleinem schwarzen Fleck auf der unteren Hälfte der Meso¬
pleuren. Thoraxrücken mit zwei zarten schwarzen Längsstrichen vor dem
Schildchen und vor dem Seitenrande des Rückens. Hinterschienendorn vor
der Spitze einsetzend. .... _ .... _ .... .... .... minor Meutere.
— Brustseiten mit schwarzem Fleck am oberen Rande der Mesopleuren. Tho¬
raxrücken mit breitem schwarzen Mittelstreifen, der auch über das Schild¬
chen läuft. Hinterschienendorn an der Schienenspitze einsetzend.
lineatus n. sp.
— Brustseiten mit grossem viereckigen schwarzen Fleck, der die Mesopleuren
ganz bedeckt. Thoraxrücken mit zwei breiten schwarzbraunen Seitenstrei-
CHLOROPIDÆ.
103
fen. Hinterschenkel geschwollen. Schienenenddorn etwas vor der Spitze
einsetzend. „„ _ „„ „„ _ mesopleuralis n. sp.
— Brnstseiten mit einem glänzend schwarzen dreieckigen Fleck auf den
Sternopieuren. Thoraxrücken mit vier schwarzbraunen Längsstreifen, die
seitlichen länger. Hinterschenkel nicht geschwollen. Schienendorn an der
Schienenspitze einsetzend. __ sternopleuralis n. sp.
10. Behaarung des Thoraxrückens weisslich. Hinterschienendorn von der Spitze
der Schiene ausgehend. _ „„ LI — ~~ ~~ >L H-
— Behaarung schwarz. Hinterschienendorn vor der Spitze ansetzend. Schild¬
chen rostgelb, an der Wurzel schwarz. Scheiteldreieck schwarz. Beine rost-
gelhbräunlich pf „„ p .... capitatus n. sp.
11. Schildchen schwarz mit gelber Spitze..... .... .... .... .... .... .... .... .... 12.
— Schildchen ganz schwarz oder rostbraun. Scheiteldreieck glänzend schwarz.
Beine rothgelb. Schenkel und Hinterschienen schwarzbraun. 3 Va mm. lang.
major n. sp.
12. Scheiteldreieck glänzendgelb. Beine gelb. Schenkel und Hinterschienen
schwarz. Hintermetatarsus weisslich. .... ..... .... .... .... albitarsis Kertész.
— Scheiteldreieck glänzend schwarz. Beine rostgelb, Hinterbeine schwarzbraun.
modestus n. sp.
Beschreibung der Arten.
84. Hippelates nigricornis Thoms. Synonym: bilineatus Meijere
nnd flavus Thoms. Taf. I, Fig. 11.
Thomson beschreibt seine Art von der Insel Köss, Meijere von
Java. Vor mir habe ich eine grosse Zahl dieser sehr variablen Art von
der Insel Formosa, Singapore nnd Neu-Guinea aus den Museen von
Amsterdam und Budapest. Vom letzteren Gebiet auch die Variante
flavus. Bei weitem die grösste Anzahl der Thiere entspricht der Be¬
schreibung, welche Meijere gibt; der einzige Unterschied besteht in
der Färbung des dritten Fühlergliedes, das bei bilineatus rothgelb, bei
nigricornis braun ist; ich sah Exemplare mit ganz gelbem, an der
Spitze mit geschwärztem und ganz schwarzem dritten Fühlergliede,
ohne dass im übrigen andere Unterschiede hinzuträten ; ferner sehe ich
vor mir eine Keihe ganz ebenso gebildeter Thiere, bei denen die bei¬
den braunen Seitenstreifen des Thoraxrückens verschwunden sind ; bei
einzelnen findet man dann noch leise Andeutungen dieser Streifen ; es
ist dies die Variante flavus Thoms.
Thorax und Schildchen glänzend rothgelb mit weisslicher Behaa¬
rung; bei ganz ausgefärbten Exemplaren sieht man drei braune Längs¬
streifen, aber der mittlere, der in zwei schmälere getheilt ist, ist ge¬
wöhnlich bis auf die vordersten Ansätze am Halse ganz verschwunden,
so dass nur die beiden Seitenstreifen übrig bleiben. Brustseiten ohne
104
TH. BECKER
Flecken. Schildchen flach, etwas spitzbogig geformt mit zwei längeren
und zwei kürzeren Randborsten. Kopf, auch Hinterkopf ganz gelb.
Scheiteldreieck glänzend gelb ; es hat nicht ganz die Breite des Scheitels,
reicht aber annähernd bis zum Stirnrande. Fühlerwurzelglieder gelb,
drittes Glied schwarzbraun mit deutlich pubeseenter dunkler Borste.
Taster und Rüssel gelb. Backen sehr schmal, kaum von halber Breite
des dritten Fühlergliedes. Die Scheitelborsten, Hinterkopf- und vier
Orbitalborsten deutlich, aber von heller Farbe. Mundborsten ebenso.
Hinterrücken und Hinterleib pechbraun bis schwarz ; letzterer an der
Wurzel und am Bauche gelb. Beine ganz gelb ; Hinterschenkel etwas
geschwollen ; der schwarze krumme lange Born setzt an der inneren
Spitze der Hinterschienen an und reicht bis etwas über die Mitte des
Metatarsus. Flügel blassbräunlich ; dritte und vierte Längsader parallel ;
die ersten drei Randaderabschnitte sind annähernd gleich lang; die
kleine Querader steht vor der Einmündung der ersten Längsader dicht
an der Gabel der zweiten und dritten Längsader ; die Entfernung der
beiden Queradern von einander ist gleich dem letzten Abschnitte der
fünften Längsader. 2 mm. lang.
Var. bilineatus Meijere ; mit ganz rothgelbem dritten Fühlerglied.
Var. flavus Thoms. ; die beiden braunen Seitenstreifen am Thorax¬
rücken sind verschwunden.
Var. setis frontorbitalibus crassis nigris , 2 Exemplare aus Neu-
Guinea, bei denen die Front orbitalb or sten sehr stark und schwarz ge¬
bildet sind, die sich im übrigen aber nicht von flavus Thoms, unter¬
scheiden.
85. Hippelates tripes n. sp. Taf. I. Fig. 21.
Thorax und Schildchen glänzend rothgelb ; ersterer mit drei schwar¬
zen kreisrunden Flecken, von denen zwei seitwärts hinter der Schulter¬
beule und der dritte in der Mittellinie vor dem Schildchen liegt. Brust¬
seiten ohne Fleck. Kopf gelb. Scheiteldreieck glänzend gelb; vier Paar
deutlicher dunkler Frontorbitalborsten. Fühler rothgelb mit deutlich
pubeseenter schwarzer Borste. Hinterrücken und Hinterleib rostbraun,
letzterer an der Basis heller. Beine rostgelb mit etwas geschwollenen
Hinterschenkeln und keilförmig verdickten schwarzbräunlichen Hinter¬
schienen, deren Born nicht an der Spitze selbst, sondern etwas vorher
einsetzt, so dass das Ende des Borns nicht viel über die Wurzel des
Metatarsus hinausragt. Flügel vom allgemeinen Typus, wie oben bei
H. nigricornis beschrieben. I1/# mm. lang.
1 Exemplar aus Batavia (Jacobson), Februar. Museum von Am¬
sterdam.
CHLOROPIDÆ.
105
86. Hippelates ferruginosus n. sp.
Thorax glänzend rostroth, auf dem Rücken mit unbestimmter
schwarzer Fleckung; Behaarung weisslich. Schildchen gelb mit vier
schwarzen Borsten. Brustseiten rostbraun. Kopf gelb ; Scheiteldreieck
glänzend gelb, ziemlich gross ; Stirn von der Breite eines Auges. Fühler
und Taster gelb, Fühlerborste dunkel, deutlich pubescent. Hinterleib
glänzend braunschwarz. Schwinger gelb. Beine bräunlich rostgelb ohne
bestimmt ausgesprochene Verdunkelung ; der schwarze krumme Schie¬
nendorn sitzt ein gutes Stück vor der Schienenspitze. Flügel wie ge¬
wöhnlich. I1/® mm. lang.
1 Exemplar aus Singapore (Bíró). Ungar. Nat. Museum.
87. Hippelates minor Meijere.
Thorax und Schildchen ganz glänzend rothgelb mit bl assgelben
Härchen und Borsten, vor dem Schildchen mit zwei schwarzen Längs¬
strichen, die mitunter auch zu einem grösseren Fleck zusammenfliessen ;
auf den Brustseiten liegt am unteren Rande der Mesopleuren ein glän¬
zend schwarzer, länglicher Fleck. Kopf in allen seinen Theilen gelb.
Hinterleib glänzend braun. Beine rostgelb ; bei dem Exemplar aus
Bombay sind die Hinterschienen an der Wurzel etwas braun. Der
Schienendorn sitzt nicht an der Spitze, sondern ein gutes Stück vor
derselben, wie bei H. tripes und einigen anderen Arten. 1 V» mm. lang.
Aus Java, Museum Amsterdam. 3 Exemplare auch aus Bombay
und Singapore (Bíró). Ungar. Nat. Museum; ferner 16 Exemplare von
Formosa : Chip- Chip, Februar (Sauter).
88. Hippelates lineatus n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend rothgelb bis rostroth mit deutlich
breiter, schwarzer Mittelstrieme, die auch bis zur Spitze des Schildchens
verläuft ; auf den Brustseiten am oberen Ende der Mesopleuren liegt
ein länglich schwarzer Fleck ; die Behaarung ist deutlicher als gewöhn¬
lich und schwarz, die beiden Endborsten am Schildchen sind besonders
lang und kräftig. Kopf rostgelb mit glänzend gelbem Scheiteldreieck
wie bei den übrigen Arten. Fühler und Taster rothgelb ; Borste schwarz,
deutlich pubescent; Kopfborsten ebenfalls schwarz. Hinterleib glänzend
schwarzbraun. Beine rostgelb mit deutlich verdickten Hinterschenkeln ;
der Schienendorn steht an der Spitze ; er ist sehr lang und reicht fast
bis zum Ende des Metatarsus. Flügel blassbräunlich mit gewöhnlicher
Äderung. 2 — 2 1/% mm. lang.
2 Exemplare aus Neu-Guinea: Simbang (Biró), Ungar. Nat. Museum.
89. Hippelates capitatus n. sp.
Thorax glänzend schwarz, auch die kurze Behaarung ist schwärz¬
lich ; man sieht ferner zwei schwache Längsfurchen, in denen die
106
TH. BECKER
Punktierung etwas dichter zusammensteht. Schildchen schwarz mit gel¬
ber Spitze, es ist kurz, abgerundet, nicht trapezförmig verlängert, wie
bei den meisten der übrigen Arten, mit vier deutlichen schwarzen
Borsten. Brustseiten glänzend pechbraun bis schwarz. Kopf gelb ; Hin¬
terkopf bräunlich verdunkelt. Scheiteldreieck klein, nur bis zur Mitte
der Stirn reichend, aber glänzend schwarz. Fühler und Taster rothgelb ;
Borsten am Kopfe schwarz. Hinterleib glänzend pechbraun. Beine rost¬
gelb bis rostbraun ; Schienen etwas dunkler als die Schenkel. Hinter-
schienendorn nicht besonders lang und ein Stück vor der Spitze an¬
setzend. Flügel wie gewöhnlich. 2 mm. lang.
1 Exemplar aus Neu-Guinea : Huon-Golf (Biró), Ungarisches Nat.
Museum.
90. Hippelates major n. sp.
Thorax schwarz, verhältnismässig breit gebaut, dicht punktiert
und daher kaum glänzend. Haare weiss. Schildchen trapezförmig, flach,
aber nicht lang, dunkel rostbraun mit zwei starken Endborsten und
zwei schwächeren an den Seiten. Brustseiten glänzend pechschwarz.
Schwinger gelb. Kopf rostgelb bis braun. Stirn dunkelroth mit glänzend
schwarzem Scheiteldreieck, das nicht viel über die Stirnmitte hinaus¬
ragt. Fühler schwarzbraun mit sehr deutlich pubescenter oder kurz
behaarter Borste. Kopfborsten schwarz. Hinterleib glänzend schwarz ;
Beine rostgelb, Schenkel und Hinterschienen schwarzbraun, auch die
Mittelschienen theilweise braun. Hinterschienendorn kräftig, von der
Spitze ausgehend. Flügel etwas bräunlich mit gewöhnlicher Äderung.
3 Va mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Sattelberg, Huon-Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
91. Hippelates albitarsis Kertész [Oscinis].
Thorax und Schildchen glänzend schwarz ; letzteres mit gelber
Spitze und zwei starken Borsten. Behaarung weisslich ; Schulterbeulen
rostbraun. Brustseiten glänzend schwarzbraun. Kopf hell rothgelb mit
glänzend gelbem Scheiteldreieck und bräunlichem Ocellenhöcker. 4 — 5
Paar schwarze deutliche Frontorbitalborsten. Fühler und Taster roth¬
gelb. Borste deutlich pubescent. Hinterleib glänzend pechschwarz, an der
Wurzel gelblich. Beine rostgelb. Schenkel und Hinterschienen schwarz ;
Hintermetatarsus glänzend weisslichgelb. Hinterschienendorn kräftig, an
der Spitze einsetzend und an der Mitte des Metatarsus endigend. Flü¬
gel wie gewöhnlich. 2 mm. lang.
2 Exemplare aus Neu-Guinea : Erima und Sattelberg (Biró), Ung.
Nat. Museum.
CHLOROPIDÆ.
107
92. Hippelates modestus n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, letzteres mit gelber
Spitze. Behaarung weisslich. Brustseiten schwarz. Kopf dunkelgelb mit
schwarzem Scheiteldreieck. Stirn rothbraun. Fühler rothgelb. Hinterleib
pechbraun. Beine rostgelb, die Hinterbeine ganz schwarzbraun. Schienen¬
dorn sehr lang, an der Spitze ansetzend und fast bis an das Ende
des Metatarsus reichend. Flügel wie gewöhnlich. 1 V* — 2 mm. lang.
6 Exemplare von Neu- Guinea : Simbang (Brno), Ungarisches Nat.
Museum.
93. Hippelatus mixtus n. sp.
Eine Art, die mit ihren beiden braunen Seitenstreifen auf dem
Thoraxrücken in die Nähe von nigricornis Thoms, gehört, aber durch
eine Beihe plastischer Merkmale geschieden ist.
Thorax und Schildchen glänzend rothgelb ; ersterer mit zwei
schwarzbraunen Seitenstreifen, letzteres mit breitem schwarzen Mittel¬
streifen. Brustseiten ohne Fleck. Behaarung weisslich. Kopf gelb ; Scheitel¬
dreieck glänzend gelb, aber sehr klein, an der Basis nur von halber
Scheitelbreite und nur bis zur Stirnmitte reichend ; Ocellenhöcker in
grösserer Ausdehnung braun. Fühler rothgelb mit starker schwarzer
pubescenter Borste. Backen weiss bereift, breit, mindestens so breit wie
das dritte Fühlerglied. Hinterleib glänzend pechschwarz, an der Wurzel
rostgelb. Beine rostgelb ; Hinterschienen auf der Mitte mit unbestimmter
brauner Binde. Schienendorn nur klein, mit seiner Spitze nicht über das
erste Viertel des Metatarsus hinausgehend. Flügel wie gewöhnlich
31/* mm. lang.
1 Exemplar von Neu- Guinea : Simbang, Huon Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
94. Hippelates setarius n. sp.
Gehört zu den Arten mit rothgelbem ungedeckten Thorax, ist
aber durch schwarzes drittes Fühlerglied, dickere Fühlerborste, durch
nicht geschwollene Hinterschenkel und durch den vor der Schienen¬
spitze einsetzenden Dorn gekennzeichnet.
Thorax röthlich, ohne Flecken und Streifen auf Brust und Rücken ;
dieser kaum etwas glänzend, vielmehr durch weissliche Bereifung etwas
matt. Schildchen gelb mit vier Borsten. Kopf gelb ; Stirn röthlich,
etwas breiter als ein Auge mit je vier deutlichen schwarzen Frontorbital¬
borsten. Scheiteldreieck sehr klein, gelb, kaum etwas glänzend, nicht
über die Stirnmitte hinausreichend. Fühler tief schwarz ; das dritte
Glied von der gewöhnlichen runden Form mit sehr dicht behaarter
schwarzer Rückenborste, welche dicker als gewöhnlich erscheint. Taster
und Rüssel gelb; Backen etwas breiter als das dritte Fühlerglied. —
108
TH. BECKER
Hinterleib rostroth ; Metanotmn glänzend schwarz. Beine rostgelb, Vorder¬
tarsen braun; Hinterschenkel nicht geschwollen; Hinterschienendorn
nur von massiger Länge, ein Stück vor der Schienenspitze einsetzend
und dieselbe nur wenig überragend. Flügel wasserklar. I8/* mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Koshun, August (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
95. Hippelates citreiformis n. sp. Taf. I, Fig. 16, 22.
Gehört in die nächste Nähe der veränderlichen Art nigricornis
Thoms., weicht aber ab durch die modifizierte Form des dritten Fühler¬
gliedes und die etwas verdickte, sowie auch durch dichtere Behaarung
weit dicker erscheinende Fühlerborste, die auch etwas kürzer ist.
Thorax rothgelb, glänzend, mitunter mit zwei braunen Längs¬
streifen. Schildchen lang. Brustseiten ungefleckt. Kopf ganz gelb ; drittes
Fühlerglied roth; die kurze dicht behaarte dicke schwarze Borste ist
nicht rückenständig, sondern sitzt auf einer etwas vorgezogenen Spitze
des dritten Fühlergliedes, das so die Form einer Zitrone angenommen
hat. Beine gelb mit geschwollenen Hinterschenkeln und dem langen
Enddorn der Hinterschienen an deren Spitze wie bei H. nigricornis
Thoms.
16 Exemplare von Formosa: Tainan (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
Anmerkung. Falls nur die Fühlerform oder nur die Fühler¬
borstenform eine andere wäre als bei der Stammform «nigricornis)) ,
würde ich diese Thiere unbedingt nur als Variante auffassen ; da hier
aber zwei Merkmale gleichzeitig abweichen, glaube ich, dass man ver¬
pflichtet ist diese Thiere als eine besondere Art anzusehen.
A n m e r k u n g. Ich gehe nicht so weit wie Coquillet, der auf eine
amerikanische Hippelates- Art mit verdickter Fühlerborste die Gattung
Ceratobarys errichtete. Nach meinen bei den paläarktischen, nament¬
lich aber bei den hier vorliegenden indo-australischen Arten gesammel¬
ten Erfahrungen ist die Dicke der Fühlerborste innerhalb einer Gattung
recht schwankend ; man kann dieselbe als Artmerkmal sehr wohl be¬
trachten, als Gattun gs merk mal allein reicht sie jedoch nicht aus.
96. Hippelates Bataviæ n. sp.
Thorax glänzend rothgelb : Thoraxrücken mit zwei breiten vier¬
eckigen schwarzen Flecken unmittelbar über der Flügelwurzel und hin¬
ter der Quernaht. Brustseiten ungefleckt; Schwinger weisslich. — Kopf
ganz gelb ; Stirn etwas breiter als ein Auge ; Scheiteldreieck glänzend
gelb, fast bis zu den Fühlern reichend. Fühler rothgelb ; drittes Glied
oberseits intensiv schwarz ; Borste schwarz, dünne, pubescent. Büssel
und Taster gelb ; Backen schmal, weiss bestäubt. Hinterrücken und
Hinterleib glänzend pechschwarz, letzter Ring zum Theil rostgelb ;
CHLOROPIDÆ.
109
Hinterschenkel etwas geschwollen und an den Knieen braun. Schienen¬
dorn lang, ein wenig vor der Schienenspitze einsetzend. Flügel schwach
gelbbräunlich. 2 Va mm. lang.
4 Exemplare von Java : Batavia, Wonosobo, April, Dezember
(Jacobson). Museum von Amsterdam.
97. Hippelates sternopleuralis n. sp.
Thorax glänzend rostgelb, auf dem Bücken mit vier schwarz¬
braunen Streifen, von denen die beiden Seitenstreifen am breitesten
sind und hinten auch noch die Seiten des Schildchens schwarz färben ;
die beiden mittleren Streifen sind schmäler und kürzer; sie brechen
ungefähr auf der Mitte des Thoraxrückens ab ; Schildchen etwas trapez¬
förmig verlängert mit zwei langen Endborsten. Brustseiten rostgelb mit
grossem dreieckigen schwarzen Fleck auf den Sternopieuren und einem
kleineren auf den Hypopleuren. Kopf ganz rostgelb mit glänzend gelbem
Scheiteldreieck. Büssel, Taster und Fühler ganz rothgelb, das dritte
Fühlerglied nur an der Wurzel der schwarzen pubescenten Borste etwas
geschwärzt. — Hinterleib pechbraun, an der Wurzel etwas heller. Beine
und Hüften ganz glänzend rostgelb ; Hinterschenkel ein wenig geschwol¬
len ; Schienendorn lang, an der Spitze einsetzend, bis zur Mitte des
Metatarsus reichend. Flügel blassbräunlich. 2 mm. lang.
1 Exemplar von Batavia, Moeara, Antjol, November (Jacobson)
Museum von Amsterdam.
98. Hippelates mesopleuralis n. sp.
Thorax glänzend rothgelb mit zwei breiten schwarzbraunen Seiten¬
streifen, die sich nach hinten keilförmig verbreitern. Schildchen von ge¬
wöhnlicher abgerundeter Form, nicht verlängert, mit vier Borsten. Brust¬
seiten auf den Mesopleuren mit einem grossen viereckigen Fleck, der
die ganzen Mesopleuren bedeckt ; andere Flecken sind nicht sichtbar. —
Kopf ganz gelb ; Scheiteldreieck glänzend. Taster, Rüssel und Fühler
hellrothgelb ; drittes Glied oben gebräunt mit schwarzer pubescenter
Borste* — Hinterleib rostgelb, nur die Oberseite ist geschwärzt, jedoch
bleiben die Seitenränder gelb. Beine nebst Hüften ganz glänzend gelb.
Hinterschenkel etwas geschwollen ; Schienendorn ein wenig vor der
Spitze einsetzend. Flügel schwach gelbbräunlich gefärbt mit gelbbraunen
Adern. 2 Va mm. lang.
1 Exemplar von Java : Wonosobo, April (Jacobson). Museum von
Amsterdam.
Parahippelates nov. gen.
Type : Oscinis pulchrifrons Meijere.
Im Allgemeinen dem Oscme^a-Karakter am meisten entsprechend,
10
TH. BECKER
aber abweichend durch die Kopfform : Gesicht etwas gewölbt vortretend,
Backen stark herabhängend. Augen rund, nackt ; Mundborsten deutlich.
Fühlerborste deutlich behaart, in einem Falle fast nackt.
Anmerkung. Während drei Arten aus Neu-Guinea in der
deutlich behaarten, fast gefiederten Fühlerborste übereinstimmen, hat
eine vierte Art aus Australien eine fast nackte Fühlerborste, ohne sonst
im Geringsten abzuweichen.
Behaarung und Beborstung des Thorax länger und deutlicher als bei
den eigentlichen Oscinellinen, vielfach reihenförmig. Das Schildchen ist
karakteristisch gebildet, etwas flach, nackt, mit vier deutlichen Randborsten
und zwei deutlichen Borstenhaaren auf der nackten Fläche. Die stär¬
kere Körperbehaarung zeigt sich auch darin, dass auf den Sterno-
pleuren oben 1—2 feine Börstchen zu sehen sind, was äusserst selten
auftritt, da die Nacktheit der Brustseiten als Familienkarakter aufgefasst
werden muss. Die Beine sind von gewöhnlicher Form, die Hinterschienen
haben aber wie bei Hippelates eine deutlich gekrümmte, wenn auch
mitunter nicht sehr lange Endborste. Die Flügel sind gross mit dicken
Adern, die im übrigen nicht gerade besondere Abweichungen vom all¬
gemeinen Typus zeigen, bei einer Art sind die Flügel am Rande gefleckt.
Alle diese Merkmale zusammengenommen rechtfertigen die Aufstellung
einer besonderen Gattung, von der uns bis jetzt vier Arten bekannt sind.
Bestimmung stabe Ile der Arten.
1 . Fühlerborste deutlich behaart. 'L „„ _ „„ „„ _ . _ 2.
— Fühlerborste fast nackt. Thoraxräcken graubraun mit je vier Dorsocentral-
borsten. Fühler roth, drittes Glied an der Spitze braun. Hinterleib gelb -
grau, mit undeutlichen braunen Vorderrandbinden. Flügel gleichmässig
etwas gebräunt. Jj _ y „„ _ nudisela n. sp.
2. Thoraxrücken matt braungrau . „„ „„ _ 3.
: — Thoraxrücken matt rostbraun mit nur einer deutlichen hinteren Dorso-
centralborste. Hinterleib rostgelb bis rostbraun. Flügel gleichmässig bräun¬
lich gefärbt, beim cT mit einem deutlichen schwarzbraunen Randstrich
an der Spitze, beim $ fehlend oder nur schattenhaft, fuscipleuris n. sp.
3. Thoraxrücken mit drei deutlichen braunen Längsstreifen. Stirne vorne roth,
hinten zu beiden Seiten des grauen Scheiteldreiecks dunkel rothbraun.
Beine rothgelb, der Enddorn an den Hinterschienen nur schwach aus¬
gebildet. Flügel bräunlich, dritte und vierte Längsader etwas konver¬
gierend. Hinterleib rostgelb. _ „„ „„ „„ pulchrifrons Meijere.
- Thoraxrücken etwas streifig grau bestäubt. Stirne vorne roth, hinten dun¬
kel rothbraun. Hinterleib schwärzlich mit weisslichen Hinterrändern.
Beine rothgelb mit deutlichem Enddorn der Hinterschienen. Flügel bräun¬
lich ; dritte und vierte Längsadern parallel.™ „„ aequalis n. sp.
CHLOROPIDÆ.
Ill
Beschreibung der Arten.
99. Parahippelates pulchrifrons Meijere (Oscinis).
Thorax und Schildchen mattbraungrau, fein aber nicht reihen¬
förmig behaart mit einem deutlichen mittleren braunen Längs- und zwei
Seitenstreifen; das Schildchen beborstet wie in der Gattungsdiagnose
angegeben. Brustseiten aschgrau bestäubt, Schwinger gelblich. Kopf roth-
gelb ; Augen nackt, nach den Fühlern etwas konvergierend. Stirn vorne
roth, hinten an beiden Seiten des mattgrauen Scheiteldreiecks dunkel
rothbraun. Hinterkopf oben grau. Fühler roth, drittes Glied oval,
klein, mit deutlich behaarter brauner Borsié; Mundrand mit zwei
Borsten. Backen breiter als die halbe Augenhöhe. Hinterleib rostgelb,
schwach glänzend. Beine rothgelb, Tarsenglieder dunkler; Enddorn der
Hinterschiene nur schwach ausgebildet. Flügel etwas gebräunt ; erste
Längsader sehr lang, dritte und vierte etwas konvergierend; die Ent¬
fernung beider Queradern von einander länger als der letzte Abschnitt
der fünften Längsader 4 mm. lang.
2 Exemplare aus Neu-Guinea : Seleo, Berlinhafen (Biró), Ungar.
Nat. Museum, und 1 Exemplar im Museum von Amsterdam.
100. Parahippelates æqualis n. sp. Taf. I, Fig. 15.
Diese Art ist der pulchrifrons Meijere sehr ähnlich, aber der
Thoraxrücken ist anders gezeichnet und auch die Hinterleibsfarbe ist
eine andere.
Thorax und Schildchen mattbraungrau bestäubt, jedoch mit gerin¬
gem Glanze und mit zwei nahe bei einander liegenden wenig deut¬
lichen grauen Längsstreifen, die nur durch die mittlere Akrostikal-
börstchen Reihe getrennt sind ; letztere sind zweizeilig und divergierend ;
auch die Reihen der Dorsocentralborsten sind vorhanden, aber nur
schwach ausgebildet; die Wurzelpunkte der einzelnen Borsten treten
deutlich etwas schwarz hervor. Das Schildchen behaart und beborstet
wie bei pulchrifrons ; es ist mattgrau. Brustseiten durch graue Bestäu¬
bung ganz matt. Schwinger braun. — Augen kreisrund, nackt; Stirn
fast doppelt so breit als ein Auge, sie ist vorne schön roth, welche Farbe
auf der oberen Hälfte in Dunkelrothbraun übergeht ; das Scheiteldreieck
ist breit, reicht bis zur Stirnmitte und ist mattschwarzgrau. Fühler
rothgelb ; drittes Glied fast kreisrund mit deutlich behaarter, fast ge¬
fiederter Borste. Untergesicht, Taster und Backen rothgelb ; der ab¬
gerundete Mundrand hat zwei deutliche schwarze Börstchen ; die Backen
sind so breit wie das dritte Fühlerglied. Rüssel schwarzbraun mit deut¬
lich etwas verlängerten umgebogenen Saugflächen. Hinterrücken fast
ganz mattgrau. Hinterleib schwärzlich mit einem Stich in’s Rothgraue
112
TH. BECKER
mit deutlichen weisslichen Hinterrandsäumen. Beine bräunlich mit ver¬
dunkelten Schenkeln und an den Hinterbeinen mit deutlichem schwarzen
krummen Enddorn. Flügel blassbräunlich mit dunklen normalen Adern ;
fast 3 mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Stephansort, Astrolabe Bay (Bíró),
Ungar. Nat. Museum.
101. Parahippelates fuscipleuris n. sp. d $ .
Thorax und Schildchen matt rostbraun. Akrostikalbörstchen deut¬
lich zweizeilig ; in der Reihe der Dorsocentralborsten stehen nur hinten
je zwei stärkere, während bis vornehin nur feinere Härchen zu sehen
sind. Schildchen wie die vorigen. Brustseiten etwas glänzend, jedoch die
Mesopleuren matt; auf den Sternopieuren steht ein Haar in der hin¬
teren Ecke. — Kopf rostgelb bis braun; Augen ein wenig horizontal lie¬
gend, nackt. Stirn nach den Fühlern hin ein wenig schmäler werdend,
am Scheitel ungefähr doppelt so breit wie ein Auge ; die Stirn mit
einem kleinen Scheiteldreieck, dessen Fläche sich von der braunen
Grundfarbe nur durch zarten grauen Reif abhebt ; die Basis des Drei¬
ecks hat nur die halbe Scheitelbreite und in der Länge reicht es nur
bis zur Mitte der Stirn; an den Augenrändern stehen je 3 — 4 nach
vorne geneigte Orbitalborsten. Fühler rostroth ; das dritte Glied kreis¬
rund mit einer braunen deutlich behaarten Borste ; ausser den beiden
Mundborsten tragen die breiten Backen noch verschiedene nach vorn
gerichtete Borsten. Rüssel deutlich mit etwas geknieten Saugflächen,
glänzend pechschwarz. Backen reichlich so breit wie das dritte Fühler¬
glied. Schwinger, Hinterrücken und Hinterleib rostgelb bis rostbraun.
Das männliche Hypopygium zeigt Organe, die in Form eines ab¬
gestumpften Kegels züsammengeklappt und mit einigen langen Borsten¬
haaren besetzt sind. Beine rothgelb mit verdunkelten Tarsen und feinen
schwarzen Haaren. Hinterschienen mit einem deutlichen schwarzen
krummen Dorn. Flügel deutlich braun mit dicken Adern ; von der Spitze
der zweiten Längsader an dehnt sich beim d ein schwarzbrauner Rand¬
fleck aus bis zur Mitte der Diskoidalzelle, wo er ziemlich scharf ab¬
bricht ; an dem weiblichen Flügel fehlt dieser Randstrich ; dritte und
vierte Längsadern sind parallel oder schwach konvergierend; die Ent¬
fernung der beiden Queradern von einander ist erheblich länger als der
letzte Abschnitt der fünften Längsader. Länge des Körpers 41/ a, der
Flügel 3 Va mm.
4 cT , 3 j von Neu-Guinea : Simbang, Huon Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
CHLOROPIDÆ.
113
102. ParaMppelates nudiseta n. sp. Taf. I, Fig. 20.
Thorax und Schildchen graubraun» kaum etwas glänzend ; Akrostikal-
börstchen in zwei Eeihen divergierend; die Reihe der Dorsocentral-
borsten mit je vier längeren Borsten. Schildchen und Sternopieuren
dem Gattungskarakter gemäss behaart oder beborstet ; Brustseiten im
übrigen ganz mattgrau. — Kopf gelb; Augen klein rund und nackt;
Stirn hinten doppelt so breit wie ein Auge mit einem ziemlich breiten,
aber nur bis zur Stirnmitte reichenden rostgelben, etwas graubraun
bestäubten Scheiteldreieck. Stirnfläche spärlich schwarz behaart, an den
Augenrändern ungefähr je drei Orbitalborsten. Fühler rothgelb ; drittes
Glied fast rund klein, an der Spitze gebräunt mit einer längeren fast
nackten Borste. Mundborste vorhanden. Backen gelb, so breit wie 2/s
des vertikalen Augendurchmessers; Taster gelb; Rüssel rostbraun, glänzend
mit etwas geknieten schmalen Saugflächen. Hinterleib gelbgrau mit un¬
deutlichen braunen Yorderrandbinden, deutlich und am Hypopygium
ziemlich lang schwarz behaart. Schwinger weisslich. Beine rothgelb»
Tarsenglieder kaum etwas verdunkelt; Hinterschienen mit deutlichem
krummen schwarzen Dorn. Flügel deutlich etwas braun mit ganz der¬
selben Äderung wie bei der vorigen Art. Länge des Körpers 3 Va — 4,
Länge der Flügel 3 — 3 Va mm.
2 Exemplare von Australien : Sidney, Botany Bay (Bíró), Ungar.
Nat. Museum.
Scoliophthalmus Beck.
Yon den drei bisher bekannten afrikanischen Arten : trapezoïdes,
obliquus und arabicus Beck, ist bisher nur die eine Art obliquus
in der indo-australischen Region gefunden worden» dahingegen noch
vier neue.
Bestimmung stabelle der Arten.
1 . Behaarung auf dem Thoraxrücken weisslich bis fahlgelb, .... .... _ 2.
— Behaarung schwarz, wenn auch mitunter in gewisser Richtung fahlgelb
schimmernd. „„ .... .... „„ m .... M ~~ .... — .... ~~ — ~~ ...., 3.
2. Stirnfläche rostroth, speckglänzend ; Scheiteldreieck glänzend braun. Thorax
von schwarzer Grundfarbe. .... ..„ _ „„ ..„ .... .... obliquus' Beck.
— Stirnfläche mattschwarz ; Scheiteldreieck glänzend schwarz. Thorax von
schwarzer Grundfarbe _ 2 .2 .„. _ .... _ albipennis n. sp.
— Stirnfläche mattgelb ; Scheiteldreieck matt graubraun. Thorax von gelber
Grundfarbe.,.,. .... .... 2 ... 2 A „„ .... .... albipilus n. sp.
3. Scheiteldreieck glänzend schwarz, bis an die Fahler reichend. Backen
sehr breit, von doppelter Breite des dritten Fühlergliedes. Flügel blass¬
bräunlich, an der Wurzel weissgelb. ....' .... "" prominens n. ■ sp.
8
Annales Musei Nationalis Hung arici. IX.
114
TH. BECKER
— Scheiteldreieck mattschwarz, nicht bis an die Fühler reichend. Backen
sehr schmal, kaum von Fühlerbreite. Flügel schwarzbräunlich.
occultus n. sp.
Beschreibung der Arten.
10B. Scoliophthalmus albipennis n. sp.
Thorax und Schildchen schwarz, auf dem Rücken mit sehr kurzer
fahlgelblicher Behaarung, fein punktiert und daher nicht stark glänzend :
Brustseiten stark glänzend. Schwinger gelb mit braunem Knopf. —
Kopf schwarz ; Stirn matt, reichlich so breit wie ein Auge ; diese gross,
pubescent. Fühler rothbraun, drittes Glied kurz, trapezförmig mit spitzer
Oberecke und kurzer nackter Rückenborste. Mundrand kaum vortretend
mit deutlicher Mundborste. Taster gelblich, deutlich vorstehend ; Backen
schmal, halb so breit wie das dritte Fühlerglied. Scheiteldreieck nicht breit,
aber bis zu den Fühlern reichend, glänzend schwarz, deutlich punktiert ;
Härchen weisslich. Hinterleib glänzend pechschwarz, zart hell behaart.
Beine schwarz ; Schenkelglieder, Kniee, Schienenspitzen und die Tarsen
gelb. Flügel weisslich mit blassgelben Adern ; dritte und vierte Längs¬
ader parallel ; Queradern nur um die Länge der hinteren Querader von
einander entfernt. IV2 mm. lang.
1 Exemplar von der Insel Formosa : Tainan, Februar (Sauter),
Ungar. Nat. Museum.
Anmerkung. Etwas Ähnlichkeit ist mit der ägyptischen Sc.
trapezoïdes vorhanden, jedoch sind bei unserer vorliegenden Art die
Beine heller, der Thoraxrücken feiner punktiert und die hintere Quer¬
ader nicht schräg hegend, sondern rechtwinkelig gestellt.
104. Scoliophthalmus obliquus Beck.
Diese von mir aus Aegypten beschriebene Art kommt auch auf
Formosa vor ; die Abweichungen sind geringförmig ; die dritte und vierte
Längsader sind nicht divergierend, sondern fast parallel; andere Unter¬
schiede finde ich nicht.
2 Exemplare von der Insel Formosa : Takao, B00 m. hoch (Sau¬
ter), Ungar. Nat. Museum.
105. Scoliophthalmus albipilus n. sp.
Thorax von gelber Körperfarbe. Thoraxrücken und Schildchen mit
Ausnahme der Schulterbeule und eines kleinen Fleckens dahinter grau¬
braun bestäubt, spärlich, kurz weiss behaart. Schildchen mit zwei blas¬
sen Endborsten. Brustseiten gelb mit deutlich glänzend schwarzen Flek¬
ken auf den Meso- und Sternopieuren. Kopf gelb. Stirne sehr breit,
fast doppelt so breit wie ein Auge mit kleinem, nur bis zur Stirnmitte
reichenden, matt graubraun bestäubten Scheiteldreieck. Untergesicht
CHLOROPIDÆ.
115
eingebogen ; Mundrand vortretend. Fühler braun, drittes Glied gross,
trapezförmig mit spitzer Yorderecke, mit nackter geknieter, im Wurzel¬
theil etwas verdickter Borste ; Backen von halber Fühlerbreite ; Augen
schwach pubescent. Hinterleib oben matt graubraun mit zarten gelben
Hinterrandsäumen und gelber Spitze. Bauch gelb. Beine desgleichen,
Tarsenspitzen braun ; Behaarung wreiss. Flügel wasserklar mit feinen
braunen Adern ; dritte und vierte Längsadern parallel. 1 mm. lang.
1 Exemplar von Australien : Queensland, Townsville (Bíró), Ungar.
Nat. Museum.
106. Scoliophthalmus prominens n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, fein punktiert mit
schwarzen, fahlgelb schimmernden Haaren. Schildchen mit vier feinen
schwarzen Borsten. Brustseiten glänzend schwarz. — Kopf : Stirn matt¬
schwarz, 1 Vs-mal so breit wie ein Auge mit schmalem, glänzend schwar¬
zen, bis an die Fühler reichenden Scheiteldreieck, dessen Basis kaum
die halbe Scheitelbreite ausmacht; die Bänder sowTie die Orbiten sind
mit feinen Härchen eingefasst, auf der Mittellinie liegt eine schmale,
etwas erhabene Leiste. Hie Stirn springt stark oder mässig vor, unge¬
fähr bis zur halben Augenlänge; unter diesem Vorsprung setzen die
kleinen rothbraunen bis rothen Fühler ein; das dritte Glied ist trapez¬
förmig mit sehr zarter nackter Borste. Gesicht kaum etwas ausgehöhlt,
mattschwarz mit zwei glänzenden Fühlergruben. Mundrand kaum vor¬
stehend mit deutlicher schwarzer Mundborste. Augen nackt, querliegend.
Backen ausserordentlich breit, ungefähr von doppelter Fühlerbreite und
glänzend pechschwarz. Hinterkopf ganz verdunkelt. Schwinger blass¬
bräunlich. Hinterleib pechschwarz, kaum etwas glänzend, schwarz be¬
haart. Das Hypopygium ist etwas flach nussförmig, umgebogen und
stark schwarz behaart ; an den vorderen Seitenecken sieht man zw'ei
gelbbraune gegeneinander geneigte stabförmige Zangen. Beine schwarz¬
braun. Hüften zum Theil, Schenkelglieder, Kniee und Schienenenden
nebst den ersten Tarsengliedern rostgelb. Flügel zart blassbräunlich, an
der Wurzel weissgelblich mit gelbbraunen graden Längsadern; dritte
und vierte Längsadern schwach konvergierend. 3 mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Seleo, Berlinhafen (Biró), Ungar.
Nat. Museum ; 1 Exemplar von Java : Samarang, Juh (Jacobson), Museum
Antwerpen.
107. Scoliophthalmus occultus n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, fein punktiert und
schwarz behaart. Schildchen mit vier Borsten. Brustseiten glänzend
pechschwarz. Kopf : Stirn mattschwarz, 1 Vs-mal so breit wie ein Auge
mit einem mattschwarzen, kaum etwas glänzenden Scheiteldreieck, das
8*
116
TH. BECKER
weder am Scheitel die Augen, noch vorne die Fühler ganz erreicht
Stirn kaum etwas vortretend. Fühler rothbraun ; die zweitheilige Borste
im Endtheil etwas pubescent. Gesicht grade abfallend, matt schwarz.
Büssel und Taster schwarz, ersterer mit etwas verlängerten Saugflächen.
Augen schwach pubescent. Backen schmal, kaum von Fühlerbreite.
Hinterleib glänzend pechschwarz, schwarz behaart. Beine glänzend
schwarzbraun ; Schenkelglieder, Kniee und Schienenenden nebst den
ersten Tarsengliedern rostgelb. Flügel schwach bräunlich mit langen
graden braunen Längsadern ; dritte und vierte Längsadern parallel.
27a mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Lemien, Berlinhafen (Biro), Ungar.
Nat. Museum und 6 Exemplare von Java. (Jacobson.) Museum von
Amsterdam.
Ich will hier noch die Beschreibung einer Walker* sehen Art ge¬
ben, die, nach der Form des dritten Fühlergliedes zu urtheilen, hierher
gehört.
108. Scoliophthalmus vicarius Walk. [Chlor ops.J.
Fulva, verticis macula thoracisque vittis tribus nigris, scutello flavo,
pectoris maculis nigris, abdominis disco piceo, palpis antennisque nigris,
pedibus fulvis, alis limpidis.
Body tawny shining : a large black spot on the crown : eyes
pitchy: palpi black: feelers black, shorter than the face: third joint
nearly triangular, hardly longer than the second ; bristle about twice
the length of the third joint: chest adorned with three broad black
stripes ; side pair interrupted ; some black marks on the breast ; scut¬
cheon pale yellow : abdomen obconical, shorter than the chest, its disk
mostly, pitchy: legs tawny: wings colourless; wing-ribs tawny; veins
black, tawny toward the base ; lower cross vein very oblique, curved
outward at the upper end ; parted by twice its length from the middle
cross vein, by more than eight times its length from the end of the
fourth longitudinal vein, and by more than thrice its length from the
end of the fifth longitudinal vein. Length of the body 1 line ; of the
wings 2 lines.
Anatrichus Lw.
109. Anatrichus erinaceus Lw.
103 Exemplare von der Insel Formosa, Takao im Juni. (Sauter.)
Ungarisches Nat. Museum, die sich durch nichts von der afrikanischen
unterscheiden.
CHLOROPI DÆ.
117
Pselaphia nov. gen.
Eine kleine Form, bemerkenswert!], durch die grossen Augen, gros¬
ses verlängertes drittes Fühlerglied, grosse vorstehende Taster und lan¬
gen schmalen geknieten Büssel. Der Körper ist nur schwach behaart;
der Thoraxrücken hat die gewöhnliche hintere Dorsocentralborste. Schild¬
chen von gewöhnlicher halbkreisförmiger Gestalt mit zwei Endborsten.
An den Beinen sind die Hinterschenkel ein wenig geschwollen und die
Hinterschienen an der Wurzel ein wenig gebogen. Die Flügel zeichnen
sich dadurch aus, dass die dritte und vierte Längsadern eine deutliche
Divergenz zeigen; beide sind an der Spitze gefleckt.
110. Pselaphia macrocera n. sp. Taf II, Fig. 20.
Thorax und Schildchen mattgraugelb bis gelb mit feiner weiss-
licher Behaarung und gelbbräunlichen Borsten; an den glänzenden
Brustseiten sind die Sterno- und Hypopleuren schwarz gefleckt. —
Kopf gelb ; Augen länglich, schwach pubescent ; Stirn schmal, nicht so
breit wie ein Auge, mit kleinem, nur bis zur Mitte der Stirn reichen¬
den braunen, etwas glänzenden Scheiteldreieck ; drittes Fühlerglied
länglich oval, gross, bis zum Mundrande reichend, mit fast nackter
zarter Borste ; Taster gelb, zylindrisch, lang vorstehend. Büssel eben¬
falls gelb, ziemlich lang und lang gekniet. Schwinger und Hinterleib
blassgelb, letzterer jedoch schwarz gezeichnet; am dritten Binge sieht
man zwei schwarze Seitenflecken ; die beiden letzten Binge sind fast
ganz schwarz, der Bauch bleibt jedoch gelb. Beine blassgelb; auf der
Mitte der verdickten Hinterschenkel liegt oben und unten je ein dunk¬
ler Wisch. Flügel wasserklar mit sehr zarter Äderung wie oben ange¬
deutet.; dritte und vierte Längsadern an der Spitze durch Aufwärtsbeu¬
gung der dritten Längsader divergierend und beide an der Spitze mit
je einem sich fast berührenden Schattenfleck. IV2 mm. lang.
1 Exemplar von der Insel Deslacs, Bismarck-Archipel (Biró), Ung.
Nat. Museum.
Gaurax Loew.
Batrachomyia Macleay, Krefft, Transact. Linn. Soc. New-South-Wales I.
100 (1863).
Skuse, Proceed. Linn. Soc. N.-S.-Wales, IV Serie 2nd 27. m. (1889).
Bezzi, Scoietas Entomologica, 65. (1910).
Die Synonymie dieser Gattung Batrachomyia ist erst kürzlich zu
meiner Kenntnis gelangt durch einen Aufsatz meines Freundes Bezzi
in der Societas Entomologica, in welchem er über die Litter atur zu
dieser Gattung berichtet, von den ersten Notizen Kreffts 1863 bis zu
118
TH. BECKER
der ausführlichen Beschreibung Skuse’s 1889. Der Name Batrachomyia
ist nach F. A. A. Skuse wohl schon 20 Jahre früher von Macleay
dieser Fliege gegeben worden, ohne dass er sie jedoch beschrieben oder
näher gekennzeichnet hätte ; die von ihm gezogene Fliege stammt aus
verschiedenen Fröschen, in deren Leibe, hauptsächlich Kopfe, die Lar¬
ven in Kapseln unter der Haut leben und zur Verpuppung in die Erde
gehen. Seit dieser Zeit ist die Fliege mehrfach, auch von Skuse ge¬
züchtet worden und zwar in zwei verschiedenen Arten, welche er (1889)
deutlich beschrieben und abgebildet hat. Über die Deutung dieser Fliege
war etwas sicheres bislang nicht bekannt geworden, Skuse kommt je¬
doch der Wahrheit sehr nahe, indem er annimmt, dass die Fliege zu
Oscinis Latr. zu gehören scheine, jedoch glaubt er, dass die Grösse,
Gestalt und die abweichende Lebensweise uns berechtige, den von
Macleay gewählten Namen Batrachomyia anzunehmen. Bezzi deutet
dann die Fliege ganz richtig als einen Gaurax und nimmt an, dass
Skuse, der bei der Beschreibung der Gattung von einer nackten Fühler¬
borste spricht, in der dazu gegebenen Zeichnung jedoch eine pubescente
Borste darstellt, in der Beschreibung vielleicht ein Versehen begangen
habe, da die uns sonst bekannten Gaurax- Arten eine deutlich pube¬
scente Fühlerborste besitzen.
Nun konnte ich bei dem Studium dieser Gattung in der ostindisch¬
australischen Begion bereits in der Sammlung des Berliner Museums
einen grossen, breit gebauten Gaurax aus Australien mit nackter
Fühlerborste entdecken und bei näherer Vergleichung mit Skuse’s Be¬
schreibung fand ich eine so auffällige Übereinstimmung mit der Batra¬
chomyia quadrilineata, dass es mir unmöglich erscheint, eine andere
Art anzunehmen, obgleich Skuse in Fig. 10 eine pubescente Fühler¬
borste abbildet, die zu B. quadrilineata gehören soll.
Da bei der Gattung Gaurax in dieser Region die Pubescenz der
Augen sowohl, wie die der Fühlerborste alle Schwankugen von «deut¬
lich pubescent bis fast nackt und nackt» durchmacht, so kann man in
der Nacktheit der Fühlerborste nur eine lokale Aberration, aber keinen
Grund zur Abtrennung dieser Art von Gaurax erblicken. Wahrschein¬
lich wird sich der Widerspruch in Skuse’s Darstellung zwischen Schrift,
Darstellung und Wirklichkeit so aufklären, dass der gezeichnete Fühler
mit der pubescenten Borste der Art nigritarsis' und nicht der quadri-
lineatus gehört.
Diese Gattung Gaurax ist in unserem Gebiete gut vertreten. Man
muss dazu alle Oscinellinen rechnen mit rundem Kopf, meist deutlich
pubescenten Augen, mit fein behaarter, pubescenter, selten nackter
zarter dorsaler Fühlerborste auf dem etwas nierenförmigen, häufig fast
CHLOROPIDÆ.
119
kreisförmigen dritten Fühlergliede, mit in der Eegel deutlichen Front -
orbitalborsten, mit breitem, meist hellbehaarten Thoraxrücken ; das Schild¬
chen ist gross, abgerundet, nicht abgeplattet mit 2 — 4 Endborsten.
Übergänge zur Gattung Melanochaeta Bezzi und Gampsocera
Schin. mit allmähliger Verdickung der Fühlerborste kommen vor.
Es sind bis jetzt erst fünf Arten aus diesen Gebieten beschrieben
worden : vittipennis Thoms., pepuanus Kertész, argyropus Kertész,
quadrilinéatus Skuse und nigritarsis Skuse.
Bestimmung stubelle der Arten.
1. Flügel mit schwarzbraunen Vorderrandstreifen. _ „„ „„
— Flügel blassbräunlich ohne solche Vorderrandstreifen. „„ „„ 5.
2. Der Vorderrandstreifen reicht in der Breite bis zur dritten Längsader und
bricht am Vorderrande dicht vor der vierten Längsader ab. Taster und
Fühler rothgelb. Thorax von glänzend rostrother Grundfarbe.
vittipennis Thoms.
— Der Vorderrandstreifen reicht in der Breite nur bis zur zweiten Längsader
und läuft am Vorderrande bis zur vierten Längsader. _ _ J _ „„ 3.
— Der Vorderrandstreifen reicht in der Breite nur bis zur ersten Längs-
ader. . „„ „„ „„ „„ _ „„ _ „„ „„ _ „„ 4.
3. Fühler und Taster schwarz. Beine rostgelb. Hinterbeine ganz schwarz.
Vorderschienen und deren Tarsen gebräunt. „„ nigricornis n. sp.
— Fühler und Taster rothgelb. Beine rostgelb. Hinterschienen und deren
Tarsen, Spitze der Vorderschienen und deren Tarsen braun.
pallidior n. sp
4. Der Vorderrandstreifen läuft am Bande bis zur dritten Längsader. Schei¬
teldreieck mattbraun. Fühler schwarz. Beine schwarzbraun, Kniee und
Metatarsen der Mittelbeine rostgelb. Fühlerborste lang und fein.
opaculus n. sp.
— Der Vorderrandstreifen läuft am Bande nur bis zur zweiten Längsader.
Scheiteldreieck glänzend schwarz. Fühler, Taster und Schwinger schwarz.
Beine schwarzbraun. Fühlerborste sehr kurz und etwas verdickt.
breviseta n. sp.
5. Thorax und Schildchen gelb,.„, „„ _ _ _ p „„ 6.
— Thorax von glänzend rostrother Grundfarbe. _ „„ i|| _ „„ 7.
— Ganz schwarze Arten, glänzend oder bestäubt. ,,, „„ „„ „„ „„ 10.
6. Thoraxrücken mit zwei braunen seitlichen Längsstreifen, die auch über
das Schildchen laufen. Brustseiten ohne Flecken. Scheiteldreieck gross, die
ganze Stirn bedeckend. _ „„ „„ „„ „„ _ „„ glaber n. sp.
— - Thoraxrücken mit drei schwarzen Streifen, Brustseiten schwarz gefleckt.
Kopf und Beine gelb. m A _ _ _ _ tenuiseta n. sp.
7. Thoraxrücken mit drei oder vier schwarzen oder braunen Längsstreifen. 8,
120
TH. BECKER
— Thoraxrücken rubinroth, ohne Streifen, weiss behaart. Fühlerborste deut¬
lich behaart ; kleine schmale Art. _ _ „„ „j rubicundus n. sp.
— Thoraxrücken schwarzbraun, grau bereift, überwiegend schwarz behaart.
Fühlerborste deutlich pubescent. Brustseiten gelb mit vier schwarzbraunen
Flecken. Beine gelb, Schenkel mit einer, alle Schienen mit zwei braunen
Binden. „„ „„ _ _ '2' p _ triangulatus n. sp.
8. Fühler rothgelb. Thoraxrücken mit drei oder vier schwarzen Längs¬
streifen. „, ™ A . . _ — fit/- ~~ ™ ™ „„ 9.
— Fühler schwarz. Thoraxrücken mit drei oder vier hellbraunen Längsstrei¬
fen ; Metanotum gelbbraun. Schienen und Tarsen, sowie Spitze der Hinter¬
schenkel schwarz. 6 mm. lang. „„ „„ , nigritarsis Skuse.
9. Grosse, breit gebaute, dicht behaarte Art mit dickem rothgelben Schild¬
chen. Fühlerborste nackt. Scheiteldreieck matt rothgelb wie die Stirn. Beine
ganz rothgelb. 5 — 6 mm. lang. x x „„ quadrilineatus Skuse.
— Kleine zart gebaute Art, nicht besonders stark behaart mit schwarzem
Schildchen, Fühlerborste zart pubescent. Scheiteldreieck glänzend gelb auf
mattrother Stirn. Beine rostgelb mit braunen Schienen und mit auf der
Spitze verdunkelten Hinterschenkeln. IV2— 2 mm. lang. „„ piceus n. sp.
10. Drittes Fühlerglied schwarz bis dunkelrothbraun.,,„ „„ „„ „„ „„ 11.
— Drittes Fühlerglied rothgelb.,„, B „„ 13.
1 1 . Beine schwarz braun. „„ :J íj A A : x ™ „„ 1 2.
— - Beine gelb ; Schenkel auf der Mitte mit brauner Binde ; Schildchen
schwarz, an der Spitze gelb. Scheiteldreieck glänzend schwarz auf gelb¬
brauner Stirn. Drittes Fühlerglied rotti, Spitzenhälfte schwarz.
papuanus Kertész.
— Beine rothgelb mit braunen Schienen. Schildchen schwarz. Scheiteldreieck
glänzend schwarz auf sammetschwarzer Stirn ; drittes Fühlerglied dunkel-
rothbraun.„, AL* „„ „„ x‘ A„. _ ’ atrifrons n. sp.
12. Stirne braun, vorne gelb. Scheiteldreieck glänzend schwarz, sehr klein,
schmal und kurz.,,,, ,,„ _ ,A ,„, pubicollis n. sp. <j> .
13. Beine schwarz braun. _ „„ „„ „„ ,„, A _ . „„ ,„, „„ 14.
— Beine gelb ; Schenkel mit einer, Schienen mit zwei braunen Binden.
Thorax matt graugrün, schwarz behaart. Schildchen gelb. Scheiteldreieck
mattgelb. A _ „„ argyropus Kertész.
— Beine rostgelb mit braunen Schienen. Scheiteldreieck glänzend schwarz,
breit und kurz. Augen nackt. ,„, ,™ „„ „„ ,„, oculatus n. sp.
Beine ganz hellrothgelb. Scheiteldreieck glänzend schwarz, verhältnismässig
schmal und lang. Augen pubescent. „„ „A _ ,™ nervosus n. sp.
14. Scheiteldreieck sehr klein, schmal und kurz, glänzend schwarz; Taster
schwarz ; Fühlerborste lang und dünne. Flügel an der Wurzel zart gebräunt.
pubicollis n. sp. cf.
— Scheiteldreieck gross, glänzend schwarz mit gelber Spitze. Taster rothgelb.
Fühlerborste ein wenig verdickt. Flügel glashell, auf der Wurzelhälfte ge¬
bräunt, allmählig verblassend. „„ „„ >,A X- x’ x- -A- fusiformis n. sp.
CHLOROPIDÆ.
121
Scheiteldreieck breit und kurz, glänzend schwarz. Taster schwarz ; Fühler¬
borste ein wenig verdickt. Flügel gleichmässig blassbräunlich gefärbt. Beine
schwarzbraun, Schenkelglieder und Tarsen rostgelb. „„ aequalis n. sp.
Beschreibung der Arten.
111. Gaurax opaculus n. sp.
Thorax und Schildchen schwarz, dicht und fein punktiert, wenig
glänzend, sehr kurz fahlgelb behaart. Schildchen ziemlich gross, halb¬
kreisförmig, etwas flach, stark punktiert mit vier Borsten. Brustseiten
glänzend pechbraun. Schwinger braun. — Kopf braungelb bis schwarz;
Stirn etwas schmäler als ein Auge, braun mit gelbem Stirnvorderrande.
Gesicht braungelb bis schwarz ; Fühler ganz schwarz mit langer feiner
pubescenter Borste. Scheiteldreieck sehr klein, an der Basis nur von
etwa Vs der Scheitelbreite und bis zur Stirnmitte reichend, braun,
etwas glänzend. Backen sehr schmal wegen der Grösse der Augen, etwa
so breit wie Vs der Breite des dritten Fühlergliedes. — Hinterleib matt
schwarzbraun; fahlgelb behaart. Beine schwarzbraun ; Kniee und Meta¬
tarsen der Mittelbeine, mitunter auch die Yorderschiene zum Theile rost¬
gelb. Flügel wasserklar, aber mit dunkelbraunem Y Orderrandstreifen,
der in der Breite der Yorderrandzelle bis zum Ende der dritten Längs¬
ader läuft; ausserdem ist auch die Wurzelhälfte der Flügel mit Aus¬
nahme des Hinterrandes deutlich etwas gebräunt ; dritte und vierte
Längsadern schwach divergierend. 2 — 2% mm. lang.
2 Exemplare aus Neu-Guinea : Erima, Astrolabe-Bay und Tamara,
Berlinhafen (Biró), Ungar. Nat. Museum.
112. Gaurax pubicollis n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz ; auf dem Rücken mit
ziemlich langer, weisslicher, nach verschiedenen Richtungen hin gekämm¬
ter Behaarung, so dass bei gut erhaltenen Exemplaren und in gewisser
Beleuchtung hierdurch eine streifen- und fleckenartige Zeichnung her¬
vortritt. Schildchen ebenso behaart mit zwei starken Endborsten. Brust¬
seiten glänzend pechbraun. Schwinger schmutzig weissbraun. Kopf und
Stirne braun, vorne gelb, so breit wie ein Auge mit sehr kleinem glän¬
zend schwarzen Scheiteldreieck, das fast noch etwas kleiner ist als bei
der vorigen Art. Gesicht schmutziggelb ; das dritte Fühlerglied ist
bei dem cf roth, beim j schwarz mit brauner, deutlich behaarter
Borste. Backen äusserst schmal wie bei fast allen Arten. — Hinter¬
leib glänzend schwarz. Beine glänzend schwarzbraun, Tarsen mitunter
etwas heller mit feinen weissen Haaren. Flügel fast farblos, bei aus¬
gereiften Exemplaren mit schwacher Bräunung auf der Wurzelhälfte.
122
TH. BECKER
Dritte und vierte Längsadern parallel oder schwach divergierend.
2 -2 3 '4 mm. lang.
3 Exemplare aus Neu-Guinea : Friedrich-Wilhelmshafen. Huon-Golf
und von der Insel Graget (Biró), Ungar. Nat. Museum.
113. Gaurax rubicundus n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend rubinroth, hell behaart; Schildchen
mit zwei schwarzen Borsten. Brustseiten oben glänzend roth, die untere
Hälfte gelb. Schwinger rostgelb. Kopf rothgelb ; Stirn so breit wie ein
Auge mit grossem glänzend gelben Scheiteldreieck; urgefähr vier deut¬
liche Frontorbitalborsten. Fühler gross, gelb mit gelber deutlich behaar¬
ter Fühlerborste. Taster gelb. — Hinterleib braunschwarz. Beine ganz
gelb. Flügel etwas blassbräunlich, deutlich behaart, namentlich an der
Randader, weit länger behaart als gewöhnlich ; dritte und vierte Längs¬
adern etwas divergierend. 27* mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Sattelberg, Huon-Golf (Biró), Ung.
Nat. Museum.
114. Gaurax brevista n. sp.
Hat mit G. opaculus am meisten Aenlichkeit, ist aber durch das
lang nach aufwärts gezogene dritte Fühlerglied mit der auffallend kur¬
zen Borste leicht zu unterscheiden.
Thorax und Schildchen schwarz, kaum etwas glänzend, deutlich
fahlgelb behaart; auch am Schildrande stehen 2 — 4 helle Borsten.
Brustseiten glänzend schwarz. Schwinger schwarz. Kopf gelb, Hinterkopf
pechbraun ; Stirn oben matt rothbraun, vorne gelb, mit glänzend schwar¬
zem Scheiteldreieck von mittlerer Grösse, nur bis zur Stirnmitte rei¬
chend. Fühler ganz schwarz ; das dritte Glied ist nach oben in eine
stumpfe Spitze ausgezogen und mit einer kurzen Fühlerborste versehen,
die kaum so lang ist wie das dritte Glied selbst. Backen äusserst schmal.
Taster schwarz. Hinterleib schwarzbraun ; Beine desgleichen. Flügel
blassbräunlich mit dunklem Yorderrandstreifen in der Breite der Vor¬
derrandzelle; auch auf der Wurzelhälfte sind die Flügel braun, na¬
mentlich aber sind die Längsadern mit braunen Säumen umgeben.
2— 2 V* mm. lang.
2 Exemplare aus Neu-Guinea : Friedrich- Wilhelmshafen (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
115. Gaurax fusiformis n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz mit feiner fahlgelber
Behaarung und vier schwarzen Borsten am Schildrande. Brustseiten
glänzend pechschwarz. Schwinger schwarzbraun. Kopf rothgelb. Hinter¬
kopf braun. Stirn so breit wie ein Auge mit breitem glänzend schwar¬
zen Scheiteldreieck, das aber nur bis zur Stirnmitte reicht. Fühler roth-
CHLOROPIDÆ.
123
gelb ; drittes Glied oben schwarz mit schwarzer Borste. Taster rothgelb.
Backen sehr schmal. Hinterleib glänzend schwarz. Beine glänzend
schwarzbraun mitt hellgelben Tarsen ; auch sind beim d1 die Vorder¬
schienen spindelförmig verdickt ; beim 5 sind die Tarsen etwas dunk¬
ler und die Vorderschienen von gewöhnlicher Form. Flügel fast wasser¬
klar mit deutlicher Bräunung auf der Wurzelhälfte, die allmählig ver¬
blasst ; dritte und vierte Längsadern parallel. 1 Va mm. lang.
3 Exemplare aus Neu-Guinea : Wilhelmshafen, Erima, Astrolabe-
Bay (Biró), Ungar. Nat. Museum.
116. Gaurax triangulatus n. sp.
Von gelber Grundfarbe, aber auf der Oberseite des Thorax und
des Schildchens ziemlich matt schwarzbraun. Behaarung vorwiegend
schwarz. Brustseiten gelb mit vier deulichen schwarzbraunen Flecken.
Kopf gelb mit glänzend gelbem Scheiteldreieck, das bis zur Mitte der
Stirn reicht. Fühler rothgelb ; drittes Glied oben schwarz mit schwarzer
Borste. Taster und Gesicht gelb. Backen sehr schmal. Hinterleib braun.
Beine gelb ; alle Schenkel und Schienen auf der Mitte, erstere mit
einer, letztere mit zwei scharf gezeichneten braunen Binden. Flügel fast
farblos mit zarten braunen Adern; dritte und vierte Längsadern parallel,
nur an der Spitze etwas divergierend. 1—1 V* mm. lang.
4 Exemplare von Neu-Guinea : Simbang, Huon-Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
117. Gaurax argyropus Kertész. [Oscinis.]
Thoraxrücken matt graugrün mit kurzer schwarzer Behaarung
die in besonderer Beleuchtung fahlgelb schimmert. Schildchen gross,
halbrund, gewölbt, gelb mit vier schwarzen Borsten. Schulterbeule und
eine von ihr bis zur Flügelwurzel laufende Strieme gelb. Brustseiten
glänzend pechschwarz, Mesopleuren oben etwas matt bereift, Sterno-
pleuren weiss behaart. Kopf gelb; Hinterkopf auf der Mitte braun.
Stirn 1 Vs-mal so breit wie ein Auge, rothgelb mit schwarzen Haaren ;
Scheite] dreieck klein etwas vertieft, mattgelb mit einem grauen Fleck
unter dem Ocellenhöcker ; Frontorbitalborsten deutlich und dicht gereiht,
etwa sieben auf jeder Seite; Backen sehr breit, so breit wie das dritte
Fühlerglied. Fühler rothgelb, drittes Glied an der Spitze schwarzbraun
mit deutlich pubescenter Borste. Taster gelb. Hinterleib glänzend pech¬
braun mit gelben Hinterrandsäumen der letzten Ringe. Beine hellgelb
mit schwarzbraunem Fleck auf der Unterseite der Vorderhüften, mit
einem schmalen Ringe auf der Mitte der vorderen Schenkel und einer
breiten Binde auf den Hinterschenkeln, sowie mit zwei Binden auf den
Schienen, von denen die auf der Spitzenhälfte an den Hinterschienen
die breiteste ist und bis ganz an die Spitze ausläuft, während der
124
TH. BECKER
gleiche Ring an den andern beiden Beinen die Spitze frei lasst. Flügel
farblos; dritte nnd vierte Längsadern parallel. mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Friedrich-Wilhelmshafen (Biró), Ung.
Nat. Museum.
Anmerkung. Diese Art hat grosse Aehnlichkeit mit G. trian-
gulatus, namentlich m der Beinfärbung, weicht aber ab durch deutlich
andere Thoraxfärbung, die breiten Backen und das glänzende Scheitel-
dreieck.
118. Gaurax papuanus Kertész. [Oscinis.]
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, letzteres an der Spitze
gelb ; Schulterbeule an der unteren Seite nebst einem dahinter liegen¬
den Fleck gelb. Behaarung weiss, etwas reihenförmig angeordnet. Schild¬
chen mit vier schwarzen Borsten. Brustseiten glänzend pechbraun mit
gelbem Strich an der Oberseite der Sternopieuren. — Kopf gelbbraun ;
Stirn etwas breiter als ein Auge mit 6 — 7 deutlichen schwarzen Front-
orbitalbörstchen. Scheiteldreick glänzend schwarz, fast bis zu den Füh¬
lern reichend ; über letzteren sieht man einen halbkreisförmigen rothen,
schwarz umrandeten Flecken. Fühler roth, Spitzenhälfte dés dritten
Gliedes schwarz mit deutlich behaarter Borste. Taster schwarz. Schwin¬
ger hellbraun. Hinterleib glänzend schwarz. Beine gelb ; Schenkel an
der Spitzenhälfte mit glänzend braunschwarzer Binde. Flügel fast was¬
serklar, deutlich behaart, namentlich an der Randader ; zweite und dritte
Längsader etwas nach vorne aufgebogen ; dritte und vierte an der
Spitze etwas divergierend. 1 Va mm. lang.
1 Exemplar aus Neu-Guinea: Seleo, Berlinhafen (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
119. Gaurax vittipennis Thoms. [Chlorops] ; Synonym : Oscinis
marginata Meijere.
Thorax und Schildchen glänzend rostgelb mit drei etwas undeut¬
lichen schwarzen Längsstreifen; ersterei zart Weiss behaart, letzteres
etwas nadelrissig mit vier -schwarzen Randborsten. Brustseiten ohne
dunklere Fleckung. Kopf ganz hellgelb, Hinterkopf auf der Mitte nur
schwach verdunkelt. Augen deutlich pubescent ; drittes Fühlérglied mit
sehr zarter, schwach pubescenter Borste. Hinterrücken braungelb. Hin¬
terleib rostgelb mit verdunkelten Endringen. Flügel fast wasserklar mit
breiter brauner Längsstrieme am Vorderrande ; der Streifen d^hnt sich
bis zur dritten Längsader aus und endigt am Rande kurz vor der Spitze
der vierten Längsader. 3 mm. lang.
1 Exemplar von Manilla im Reichsmuseum von Stockholm und
mehrere Exemplare von Java, Semarang (Jacobson), Museum von Am¬
sterdam.
CHLOROPIDÆ.
125
Anmerkung. Db Meijere weist schon darauf hin, dass es hel¬
lere und dunklere Stücke giebt. Das Exemplar von Thomson ist nicht
ganz ausgereift und ist deshalb auch etwas heller als das reife Exem¬
plar bei Meijere, aber die Thoraxstreifung ist an der Thomson’ sehen
Type noch zu erkennen, ebenfalls die braunen etwas geschwollenen
Hinterbeine. Kopf und Flügel weisen keine Unterschiede auf.
120. Gaurax quadrilineatus Skuse. [ Batrachomyia .] Fig. 6, Ta¬
fel X, Proceedings Linn. Soc. N.-S.-W. Yol. IY. p. 176 (1889).
Thorax und Schildchen glänzend rostgelb bis rostroth ; ersterer sehr
breit mit drei glänzend schwarzen Längsstreifen, von denen der mittlere
getheilt, die Seitenstreifen an der Quernaht unterbrochen sind. Schild¬
chen gross und dick, der Thoraxrücken ist vorne fahlgelb — , hinten
und mit dem Schildchen schwarz — behaart ; die Haare haben seiden¬
artigen Glanz ; auf den glänzend rostgelben Brustseiten liegt ein grös¬
serer schwarzer Sterno pleural- und ein kleinerer Hypopleuralfleck ; die
Sternopieuren sind etwas weiss behaart. Kopf ganz rothgelb ; die grossen
Augen sind deutlich fahlgelb pubescent. Stirn schmäler als ein Auge
mit undeutlich begrenztem gleichgefärbten Scheiteldreieck und mit
schwarzem deutlichen Ocellenhöcker. Stirn und auch das Scheiteldrei¬
eck sind fein schwarz behaart. Fühler von mittlerer Grösse, rothgelb ;
das dritte Glied von mehr kreisförmiger als nierenförmiger Gestalt ; es
trägt eine dunkle, nicht allzu lange nackte Borste. Wangen und Backen
weiss deh behaart, letztere nicht ganz so breit wie das dritte Fühler¬
glied. Schwinger blassgelb ; Hinterrücken glänzend schwarz. Hinterleib
glänzend rostgelb, an der Spitze dunkler; das zweite Glied doppelt so
lang wie das dritte. Beine rostgelb, Schenkel hell. Schienen und Tarsen
dunkel behaart und dadurch bräunlich schimmernd. Flügel gross und
breit, blassbräunlich, Fläche deutlich behaart; erste Längsader sehr
lang, bis zur Mitte des Flügelrandes laufend; zweite und dritte sehr
nahe aneinandergerückt, dritte und vierte parallel. — Länge des Kör¬
pers 5, Breite desselben 27*, Länge der Flügel 4 mm.
1 Exemplar aus Australien, Sammlung des Berliner Museums, Nr.
5421. — Aus Burrawang, Neu-Süd-Wales, gezüchtet von Herrn Fletcher
aus Exemplaren von Pseudophryne Bibronn.
121. Gaurax glaber n. sp.
Thorax und Schildchen gelb, stark glänzend mit zwei braunen seit¬
lichen Längsstreifen, die auch über das Schildchen laufen, so dass dieses
auf der Mitte gelb, an den Seiten schwarzbraun ist. Die Behaarung ist
ausserordentlich weitläufig, fein und hell. Die hinterste Dorsocentral-
borste und vier Schildborsten sind kräftig und lang. Brustseiten glänzend
gelb, ohne Flecken. Schwinger und Kopf desgleichen. Stirn mit einem
126
TH. BECKER
ausserordentlich grossen trapezförmigen glänzend gelben Scheiteldreieck,
das fast die ganze Stirn bedeckt. Fühler gelb, das dritte Glied an der
Wurzelstelle der Borste schwarz ; diese ebenfalls schwarz, besonders
dünn und pubescent. Hinterrücken glänzend rostgelb. Hinterleib des¬
gleichen, nach der Spitze zu rostbraun. Beine ganz gelb. Flügel farb¬
los, zweite, dritte und vierte Längsadern parallel. I1/* mm. lang.
1 Exemplar aus Batavia, Java (Jacobson), August, Museum von
Amsterdam.
122. Gaurax tenuiseta n. sp.
Thorax und Schildchen gelb, ersterer mit drei breiten braunen
Bückenstreifen und weisslicher Behaarung. Schildchen mit sechs deut¬
lichen schwarzen Borsten. Brustseiten mit den vier gewöhnlichen schwarzen
Flecken. Kopf ganz gelb, auch das kleine Scheiteldreieck, das gar keinen
Glanz zeigt ; Stirn deutlich mit schwarzen Haaren besetzt. Fühler und
Taster gelb ; das dritte Fühlerglied mit verhältnismässig zarter Borste.
Hinterleib pechbraun. Beine blassgelb. Flügel blassbräunlich, breit ;
dritte und vierte Längsadern schwach divergierend. IVa mm. lang.
1 Exemplar von der Insel Formosa : Takao 300 m. hoch (Sauter),
Ungar. Nat. Museum.
123. Gaurax piceus n. sp.
Thorax glänzend rostroth, fahlgelb behaart mit schwarzem Schildchen
und drei schwarzen Längsstreifen ; der mittlere ist kurz, er bricht auf
der Mitte des Kückens ab, die Seitenstreifen bestehen aus je zwei durch
die Quernaht getrennten Flecken ; Brustseiten rostroth mit einigen
schwarzen Flecken ; Schwinger blassgelb. — Kopf kugelrund ; Hinter¬
kopf und Stirn rostbraun, matt ; Scheiteldreieck kurz, glänzend gelb.
Fühler rothgelb, drittes Glied von gewöhnlicher Form mit etwas dünn
behaarter Bückenborste und verdunkelter Oberseite ; Untergesicht und
die linienförmigen Backen weissgrau, letztere mit Silberschimmer. Büssel
roth, Taster schwarz. — Hinterleib glänzend pechbraun, an der Wurzel
und am Bauche heller, fahlgelb behaart. Beine und Hüften rostgelb,
Schienen schwarzbraun, Hinterschenkel auf der Spitzenhälfte gebräunt,
Hinterschienen auf der Ober- oder Hinterseite deutlich gewimpert. Flügel
gross, blassbräunlich mit nicht besonders langer Behaarung. lVa—
2 mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Chip-Chip, Februar (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
124. Gaurax atrifrons n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, mit feinen weisslichen
Haaren, Schildchen mit vier Borsten. Schwinger gelbbräunlich. — Kopf
schwarz; Stirn 1 Vs mal so breit wie ein Auge, matt sammetschwarz.
CHLOROPIDÆ.
127
Scheiteldreieck an der Basis breit aber kurz, kaum bis zur Stirnmitte
reichend, glänzend pechbraun, am Yorderrande rostgelb ; Hinterkopf
schwarz ; Fühler dunkelrothbraun, Wurzelglieder etwas heller, mit der
gewöhnlichen zarten pubescenten Borste. Taster schwarz. — Hinterleib
glänzend pechbraun mit fahlgelber Behaarung und hellerer Wurzel,
namentlich am Bauche. Beine rostgelb ; Schienen rostbraun, Hinter¬
schienen und deren Tarsen etwas verdickt und verbreitert. Flügel gross,
breit, blassbräunlich mit braunen Adern ; hintere Querader schief ge¬
stellt. 2 Vs mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Kosempo. Juni (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
125. Gaurax oculatus n. sp.
Thorax mit Schildchen und Brustseiten ganz glänzend schwarz,
fein punktiert, fahlgelb behaart; Schwinger blassgelb. — Kopf braun;
Stirn mattbraun, wenig breiter als ein Auge; Scheiteldreieck glänzend
schwarz, breit aber kurz, nur bis zur Stirnmitte reichend. Augen nackt.
Untergesicht grau bestäubt ; Fühler rothgelb mit der gewöhnlichen pu¬
bescenten feinen Borste ; Taster schwarz. Hinterleib ganz glänzend pech¬
schwarz. Beine mit allen Hüften rothgelb, mit gebräunten Schienen,
namentlich Hinterschienen ; letztere auf der Oberseite deutlich bewim¬
pert. Flügel gross und breit, blassbräunlich mit braunen Adern. 2 mm. lang.
1 Exemplar von Formosa: Chip-Chip, Febr. (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
126. Gaurax nervosus n. sp.
Thorax mit dem Schildchen glänzend schwarz, stark punktiert und
weisslich behaart ; Schwinger rostgelb. — Kopf braun ; Stirn kaum
breiter als ein Auge, mattbraun mit glänzend schwarzem, nicht sehr
breiten aber langen, fast bis zum Stirnvorderrande reichenden Scheitel¬
dreieck. Augen zart pubescent. Fühler rothgelb, Borste fein, schwarz,
pubescent; Untergesicht braun, Wangen und Backen silberweiss be¬
stäubt ; Taster roth. Hinterleib pechbraun, an der Wurzel und am
Bauche blassgelb. Beine nebst Hüften ganz hellrothgelb. Flügel ganz
farblos mit blassgelben Adern. 2 mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Chip-Chip, Jan. (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
127. Gaurax nigricornis n. sp.
Thorax und Schildchen rostiroth bis rostbraun; Rücken schwarz.
Brustseiten auf der unteren Hälfte, namentlich auf den Sternopieuren
schwarz ; Behaarung weiss, Schwinger rostgelblich. — Kopf gelb ; Hinter¬
kopf pechschwarz. Stirn nicht viel breiter als ein Auge ; Scheiteldreieck
glänzend schwarz, klein, nicht über die Stirnmitte hinausreichend. Füh-
128
TH. BECKER
1er tiefschwarz ; Borste sehr zart und kaum sichtbar pubescent, fast
nackt ; Taster schwarz ; Backen weiss bereift. — Hinterleib schwarz ;
Beine rostgelb ; Hinter schenke] und Hinterschienen nebst Tarsen schwarz¬
braun; Vorderschienen und deren Tarsen braun. Flügel wasserklar mit
breiter schwarzbrauner Streifung am Vorderrande ; der Streifen reicht
in der Breite bis zur zweiten Längsader und läuft am Vorderrande bis
zur vierten Längsader; ein schwächerer brauner Längsfleck liegt ferner
über der vierten und fünften Längsader auf der Mitte der Flügelfläche.
Diese Flügelzeichnung ist ähnlich der bei der Art G. opaculus, hier
läuft aber der Bandstreifen nur bis zur dritten Längsader. 2 Va mm. lang.
3 Exemplare aus Java: Salatiga, Mai (De. v. Leeuwen) und Wono-
soba, April (Jacobson), Museum von Amsterdam.
Variante. Eins von diesen 3 Exemplaren, das ebenfalls tiefschwarze
Fühler und Taster hat, zeigt ganz gelbe Hinterschenkel und ganz rost-
rothe, nicht schwarzgefleckte Brustseiten, ohne sonst noch abzuweichen.
128. Gaurax pallidior n sp.
Thorax von rostrother Grundfarbe, auf dem Thoraxrücken und
Schildchen schwarz, welche Verdunkelung durch das Zusammenfliessen
von drei Längsstreifen entstanden zu sein scheint, da man an dem einen
Exemplar, das nicht voll ausgereift ist, noch drei dunklere Streifen be¬
merken kann. Behaarung weisslich. — Kopf gelb ; Hinterkopf pech¬
braun. Stirn kaum breiter als ein Auge ; Scheiteldreieck klein, glänzend
schwarz auf der mattrothen Stirn. Augen deutlich pubescent. Fühler
und Taster ganz hellrothgelb ; Fühlerborste ausserordentlich zart und
nur an der Spitze kaum wahrnehmbar pubescent. Backen schmal, weiss
bereift. — Hinterleib schwarz. Beine rothgelb ; Hinterschienen und deren
Tarsen, Spitze der Vorderschienen und deren Tarsen braun. — Flügel
wasserklar mit schwarzbraunem Vorderrandstreifen, der in der Breite
bis zur zweiten Längsader reicht und am Rande bis zur vierten Längs¬
ader läuft ; auf der Flügelfläche liegt ebenso wie bei G. nigricornis
ein brauner Längsstreifen über der vierten und fünften Längsader.
2 Va mm. lang.
2 Exemplare aus Java : Wonosobo, April (Jacobson) und Salatiga,
Mai (Dr. v. Leeuwen), Museum von Amsterdam.
Anmerkung. Diese Art hat mit G. nigricornis so viel gemein¬
sam, dass man anfangs wohl glauben könnte, die Färbungsunterschiede
seien vielleicht nur von geschlechtlicher Art. Da aber alle Thiere bei¬
der Arten Weibchen sind, so entfällt diese Annahme.
129. Gaurax æqualis n. sp.
Thorax ganz glänzend schwarz, Bücken mit deutlicher fahlgelber
Behaarung ; Schildchen mit zwei Haupt- und einigen Nebenborsten ;
CHLOROPIDÆ.
129
Schwinger blassbräunlich. — Kopf schwarz ; Stirn dunkelrothbraun,
matt, 1 Va -mal so breit wie ein Auge; Scheiteldreieck ziemlich breit, aber
nicht über die Stirnmitte hinausreichend, glänzend schwarz, häufig mit
gelbbräunlichen Flecken. Fühler rothgelb, drittes Glied an der Spitze
etwas gebräunt ; Borste etwas verdickt und pubescent. Gesicht mattgrau,
etwas vertieft, Taster schwarzbraun. Augen sehr gross rund, unter der
Lupe fast ohne Pubescenz ; Backen sehr schmal, fast linienförmig.
Hinterleib glänzend schwarz, ziemlich lang fahlbraun behaart. Beine
glänzend schwarzbraun mit rostgelben Schenkelgliedern und Tarsen.
Flügel gleichmässig blasshräunlich, deutlich behaart. 2 — 2 Va mm. lang.
5 Exemplare von Formosa : Polusha, Dezember und Kosempo,
Juni (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
130. Gaurax nigritarsis Skuse [ Batrachomyia ].
Ich gebe die Beschreibung von Skuse im Originaltext.
cf. — Long 23A ; alar. 2 Va lines. <j> long 3Va; alar. 3 Va lines.
Antennæ entirely black. Head ferruginoùs-ochre ; the pubescence
of the front and short bristles on the vertex black. Ocelli on a small
deep brown or black triangular patch. Eyes black, with pale yellow pu¬
bescence. Thorax ochreous-brown, shining, densely covered with short
black hairs; very indistinct traces of four light brownish bands simi-
lary disposed to those in B. quadrilineata; pleuræ and pectus bright
ochreous or ferruginous-ochreous with short black hairs, fringed at the
apex with short black bristles ; metanotum ochreous-brown, shining.
Halteres pale ochre-yellow or brownish-ochreous. Abdomen shorter than
the thorax (in dried specimens) as broad as it or a little broader, shi¬
ning, castaneous, tinged with ochreous-brown, the last two segments
wholly ochreous-brown in the £ ; clothed with short black hairs, inter¬
mixed with some yellowish hairs in the female; anal joint in the cf
nodose, in the j pointed. Legs densely clothed with yellow hairs.
Coxae and femora ochreous, the latter black at the apex. Tibiae and
tarsi black, the hind tibiae ochreous or brownish-ochreous, black at the
base and apex; ungues black. Wings considerably tinted with yellow
on the anterior portion of the basal half, the remainder hyaline ; veins
dark brown, ochreous-brown towards the base of the wing; very pale
reflections. Middle transverse vein erect in the cf, slanting in the j ;
posterior transverse vein straight, separated from the middle transver se
vein a distance equal to twice its length (rather more than this in
the $ ) and at a point mid-way between the latter and the tip of the
fifth longitudinal vein.
Larva, <j> long 5 Vs ; broad 2 lines. — Pupiparium, cf 4 Va, broad 2;
2 , long 5 Va, broad 2 Va.
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX.
9
130
TH. BECKEE.
Hab. — Illawara and N.-S. -Wales. Bred from two specimens of
Hyla phyllochroa , obtained by Mr. Fletcheb in June and November
respectively.
Gamp so cera Schin.
Yon dieser der Melanochaeta Bezzi, namentlich aber auch der
Gattung Gaurax Lw. nahestehenden Gattung lernten wir in unserer
paläarkti sehen Fauna nur eine Art mit gefleckten Flügeln, nume¬
rata Heegeb und eine mit ungefleckten Flügeln inornata Coeti ken¬
nen. Die Heimat dieser Gattung scheint offenbar Ostindien zu sein,
da wir hier einer grossen Zahl interessanter Arten begegnen. Hin¬
sichtlich der Fühlerborste ist zu bemerken, dass diese in der uns
vorliegenden Region etwas verschiedene Formen annimmt. Wie in der
Bestimmungstabelle übersichtlich zusammengestellt ist, finden wir diese
Borste wenig oder garnicht verdickt, dahingegen deutlich pubescent
oder behaart bei neun Arten, während die übrigen sechs eine deutlich
lancettförmig oder lanzenspitzenförmig verbreiterte Borste zeigen, die
dann allerdings etwas weniger lang behaart ist. Unsere beiden bekann¬
ten paläarktischen Arten bilden zwischen diesen beiden Formenreihen
den natürlichen Übergang insofern, als deren Borste nur etwas ver¬
breitert ist. Zur Theilung unserer Gattung in Untergattungen nach der
Form der Fühlerborste liegt ein genügender Grund nicht vor, da alle
Arten im Habitus, Grösse und Färbung einander ausserordentlich nahe
stehen und nicht gut getrennt werden können ; es würden auch noch
andere Schwierigkeiten hervortreten, da die Fühlerborsten Übergangs¬
formen und auch noch andere Verschiedenheiten zeigen, wie z. B. bei
G. lanceolata , curvinervis und Jacobsoni. Es ist vielmehr unsere ledig¬
lich auf die Kenntnis zweier paläarktischer Formen einseitig aufgebaute
Gattungsdiagnose dahin zu erweitern, dass die etwas verschiedenen
Formen der Fühlerborste in ihrer Entwickelungsreihe Berücksichtigung
finden. Gaurax Lw. hat ein mehr kreisförmiges drittes Fühlerglied mit
nur rückenständiger oder nur undeutlich apikaler feiner Fühlerborste.
Melanochaeta theilt mit Gaurax die Form des dritten Fühlergliedes,
die Fühlerborste ist aber verdickt.
Bestimmung stai) eile der Arten.
1. Flügel gefleckt. _ L. L , — ~~ . _ 2.
— ' Flügel ungefleckt. _ " J' „L „„ „„ „„ _ L „L „ . 10.
2. Fühlerborste deutlich lanzettförmig verbreitert.^ _ 3.
Fühlerborste nicht verbreitert. _ „„ „„ „„ 6.
CHLOROPIDÆ.
131
3. Das erste Fühlerborstenglied lang und dünne, das zweite lanzenspitzen¬
förmig verbreitert. Flügel gross und breit ; die vierte Längsader stark
nach oben aufgebogen und erheblich vor der Flügelspitze mündend ;
vier vordere Flügelzellen fleckenartig gebräunt. Jfe L lanceolata n. sp.
— Beide Fühlerborstenglieder verbreitert, das erste nicht verlängert ; vierte
Längs ader an der Flügelspitze mündend. „„ „„ „„ _ 4.
4. Auf der dritten Längsader liegt je ein schwarzer Fleck an der Flügelspitze
und auf der Mitte. „„ _ „„ „„ _ „„ _ „„ _ 5.
— Nur ein schwarzer Fleck an der Flügelspitze. Beine rostgelb.
maculipennis n. sp.
5. Vierte Längsader an der Spitze ein wenig nach vorne gebogen. Beine ganz
rostgelb; Vorderhüften schwarz. _ „„ |f| binotata n. sp.
— Vierte Längsader an der Spitze ein wenig nach hinten gebogen. Beine
rostgelb ; Schenkel auf ihrer Unterseite und Wurzelhälfte schwarzbraun
gestreift. „„ _ _ _ w notata Meijere.
6. Wurzelhälfte der Fühlerborste weiss. Zweite Längsader auf ihrer Mitte
bauchig nach oben gebogen, einen kreisförmigen schwarzen Fleck um-
schliessend. Beine blassrostgelb. _ . . L, ~~ curvinervis n. sp.
— Fühlerborste ganz schwarz. L _ ' _ _ „„ „„ „„ „„ „„ 7.
7. Beine ganz blassgelb. _ „„ 8.
— Beine nicht ganz blassgelb. Î1. jfi „„ 9.
8. Spitze der ersten Hinterrandzelle mit schwarzem Fleck, unipunctata n. sp.
— Ein schwarzer mondförmiger Fleck auf der Mitte der dritten Längsader ;
ein Fleck in der Spitze der ersten Hinterrandzelle und ein schwächerer
Fleck an der Spitze der vierten Längsader in der zweiten Hinterrandzelle.
lunifer n. sp.
9. Beine rostgelb ; auf der Mitte der Schenkel und Schienen je eine körre
spondierende Fleckenbinde ; auf den Flügeln ein grösserer schwarzer
Fleck auf und am Ende der dritten Längsader; ein kleinerer an der
vierten Längsader in der zweiten Hinterrandzelle. „ri latipennis n. sp.
— Beine rostgelb ; Schenkel mit Ausnahme der äussersten Wurzel und Spitze
breit braunschwarz ; hintere Schienen ebenfalls mit breiten Binden.
Flügel am Vorderrande, am Ende der zweiten und dritten Längsadern
und auf denselben mit einer unregelmässig begrenzten schwarzbraunen
Fläche, welche durch 4—5 helle kreisförmige Flecken unterbrochen ist.
poeciloptera n. sp.
10. Fühlerborste deutlich lanzettförmig verbreitert. . j „„ „„ 11.
— Fühlerborste nicht verbreitert. „„ 1. „,> 12.
11. Beine nebst Hüften rostgelb; Schenkel und Schienen auf der Mitte breit
braunschwarz; die drei letzten Glieder der Vordertarsen schwarz.
mutata n. sp.
— Beine nebst Hüften schwarz, nur die Schenkelglieder und alle Tarsen hell-
r ostgelb. L, . _ _ _ . „„ _ L infuscata n. sp.
12. Fühlerborste bis auf das Wurzelglied ganz weiss, pubescent. Beine glänzend
9*
132
TH. BECKER.
schwarz ; Yorderhüften, die Schenkelglieder, Kniee und die Tarsen bis
auf die letzten beiden Glieder blassgelb. _ _ L Jacob soni n. sp.
— • Fühlerborste ganz schwarz pubescent. _ _ „„ _ _ J}- ~~ 13.
13. Beine nebst Hüften rostgelb. Schenkel auf der Oberseite mit unbestimmter
streifenförmiger Bräunung. „„ _ w „„ „„ indistincta n. sp.
— Beine und Hüften blassgelb ; Schenkel mit schmalen schwarzbraunen Bin¬
den vor der Spitze ; Schienen mit bindenartiger Bräunung, divisa n. sp.
— Beine nebst hinteren Hüften schwarz ; Vorderhüften, Schenkelglieder und
Tarsen bis auf deren zwei letzten Glieder rostgelb . _ tarsalis n. sp.
131. Gampsocera maculipennis n. sp. Taf. II, Fig. 2, 11.
Thorax von rostgelber Grundfarbe, auf Rücken und Schildchen
glänzend rostbraun, weiss behaart und sehr fein punktiert ; auf dem
Schildchen zwei längere schwarze Randborsten. Brustseiten rostgelb mit
den gewöhnlichen rostbraunen Flecken. Kopf gelb ; Scheiteldreieck mit
einem fast das ganze Dreieck bedeckenden grossen ovalen glänzend
schwarzen Flecken; die Dreieckspitze bleibt gelb und erreicht fast die
Fühlerwurzel. Drittes Fühlerglied sehr kurz, aber sehr hoch, nieren¬
förmig, an der Spitze mit einer kurzen breitgedrückten, pubescenten
braunen Borste. Gesicht Taster und die schmalen Backen rostgelb.
Hinterleib pechbraun. Beine rostgelb. Flügel glashell mit gelbbraunen
Adern und einem in zwei Theile zerrissenen schwarzen Fleck, der an
der Flügelspitze am Ende der dritten und zwischen der dritten und
vierten Längsader liegt, ohne die letztere zu erreichen ; die vierte Längs¬
ader mündet an der Flügelspitze ; die hintere Querader ist nach aussen
hin gebogen. 2 mm. lang.
1 Exemplar von der Insel Formosa : Takao (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
132. Gampsocera notata Meijere. Taf. II, Fig. 3.
Diese Art ist der vorigen ähnlich, weicht aber ab durch kürzere
zweite Längsader und durch zwei getrennte schwarze Flügelflecken.
Thorax von rostgelber Grundfarbe. Rücken mit Ausnahme der
Seitenstreifen und das Schildchen glänzend pechschwarz, weiss behaart ;
Schildchen mit zwei längeren schwarzen Borsten. Brustseiten glänzend
rostgelb mit braunen Flecken. Kopf und Fühler wie bei der vorigen
Art, nur ist das Scheiteldreieck bis in die äusserste Vorderspitze hinein
glänzend schwarz. Hinterleib pechbraun. Beine rostgelb; Schenkel auf
ihrer Unterseite und Wurzelhälfte schwarzbraun gestreift. Flügel wasser¬
klar mit zwei schwarzen Flecken, welche auf der dritten Längsader
liegen, der eine an der Flügelspitze, der andere der äusseren Querader
gegenüber ; dieser schwarze Spitzenfleck reicht nicht bis zur vierten
Längsader, lässt vielmehr einen hellen gleichbreiten Streifen als Zwi-
CHLOROPIDÆ.
133
schenraum, jenseits der vierten Längsader aber ist die Spitze wieder
etwas gebräunt; jedoch tritt dieser Flecken nicht bei allen Exemplaren
auf ; auch der Fleck auf der Mitte der dritten Längsader wechselt sehr
in seiner Grösse. Die zweite Längsader ist auffallend kurz ; ihre Mün¬
dung liegt der äusseren Querader gegenüber; der dritte Randaderab¬
schnitt ist ungefähr fünfmal so lang wie der zweite. IV2 mm. lang.
1 Exemplar aus Mittel-Annam (Fruhstorffer), Wien. Hof-Museum
und 1 Exemplar von Java : Batavia (Jacobson), März, Museum von
Amsterdam.
133. Gampsocera lunifer n. sp. Taf. II, Fig. 4
Thorax von glänzend rostgelber Grundfarbe ; Thoraxrücken mit Aus¬
nahme der Seitenränder und das Schildchen glänzend schwarz mit kurzer
feiner fahlgelber Behaarung. Schildchen gewölbt mit zwei schwarzen End¬
borsten. Brustseiten glänzend gelb ; Schwinger desgleichen. Kopf gelb ;
Scheiteldreieck von mittlerer Grösse, glänzend rothgelb. Fühler gelb ;
das dritte Glied gross, nierenförmig mit schwarzer Endborste am obe¬
ren Rande, die an der Wurzel etwas dick, sehr schnell abfällt und spitz
endigt; sie ist nur wenig länger als das dritte Glied hoch. Hinterleib
rostbraun. Beine ganz gelb. Flügel wasserklar mit zwei schwarzen
Flecken : der eine von viereckiger Form liegt an der Flügelspitze neben
der dritten Längsader und bleibt von der vierten etwas entfernt; jen¬
seits der vierten ist die Ecke der zweiten Hinterrandzelle etwas ge¬
bräunt ; der zweite Fleck beginnt am Ende der zweiten Längsader und
bewegt sich bogenförmig bis über die dritte Längsader. IV* mm. lang.
1 Exemplar von Java : Batavia (Jacobson), Juni Museum von
Amsterdam.
134 Gampsocera triplex n. sp. Taf. IL Fig. 9.
Thorax von rostgelber Grundfarbe, glänzend. Thoraxrücken mit
Ausnahme der Seitenränder nebst dem Schildchen glänzend schwarz mit
weitläufiger weisser Behaarung. Schildchen mit vier schwarzen Borsten.
Brustseiten glänzend rostgelb mit schwarzbraunem Fleck auf den Sterno-
und Pteropleuren. — Kopf gelb; Stirn 1 Va-mal so breit wie ein Auge
mit glänzend gelbem Scheiteldreieck, das bis etwas über die Stirnmitte
reicht. Augen pubescent. Fühler gelb (das dritte Glied und die Borste
sind abgebrochen). Beine hellgelb. Flügel wasserklar, verhältnismässig
breit mit drei schwarzen Flecken : der grössere liegt in der ersten Hin¬
terrandzelle neben und an der dritten Längsader und hat dicht vor der
Flügelspitze eine spitze Endigung ; die beiden anderen sind klein, von
viereckiger und dreieckiger Form, neben der vierten Längsader und in
der Spitze der zweiten Hint er randzelle ; die dritte und vierte Längs¬
ader sind auffallend weit auseinander gebogen, so dass der da-
134
TH. BECKER
zwischenliegende Bandaderabschnitt ungefähr doppelt so lang ist wie
der dritte.
1 Exemplar von Java : Tosari (Kobus), Museum von Amsterdam.
Anmerkung. Dem Thiere fehlt das dritte Fühlerglied nebst
Borste. Ich habe aber keine Bedenken getragen, das Thier hier vorzu¬
führen, weil die Flügel in Form, Äderung und Fleckung so karakteri-
stisch sind, dass man das Thier sofort wird wiedererkennen können.
Aus dem oben angeführten Grunde habe ich aber diese Art in die Be¬
stimmungstabelle nicht mit aufnehmen können.
135. Gampsocera indistincta n. sp.
Thorax und Schildchen schwarz, graubraun bereift mit weisser
Pubescenz. Schildchen mit zwei schwarzen Borsten. Schulterbeule roth.
Brustseiten glänzend rostbraun. Mesopleuren zum Theil matt bereift.
Sterno- und Hypopleuren glänzend schwarz. Kopf rothgelb ; Augen pu¬
bescent. Scheiteldreieck breit und kurz, nur bis zur Stirnmitte reichend,
mattbraun. Fühler rothgelb ; drittes Glied nierenförmig, höher als lang,
oben an der Spitze mit deutlich kurz behaarter schwarzer Borste, die
etwas länger als das dritte Fühlerglied hoch und nicht breitgedrückt
ist. Untergesicht, Taster und die schmalen Backen rothgelb. Hinterleib
pechbraun. Beine rostgelb ; Schenkel obenauf mit unbestimmter strei¬
fenartiger Bräunung. Flügel blassbräunlich, ungefleckt mit normalen
Adern. 2 mm. lang.
2 Exemplare von Ceylon : Pattipola, 2000 m. hoch (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
136. Gampsocera mutata n. sp. Taf. Il, Fig. 12.
Thorax und Schildchen glänzend schwarzbraun, sehr fein punktiert,
deutlich weiss behaart. Schildchen halbkreisförmig gewölbt mit zwei
deutlichen Endborsten. Schulterbeulen glänzend rostroth ; Brustseiten
desgleichen ; Sternopieuren glänzend schwarz. Schwinger gelb. Kopf
rothgelb ; Scheiteldreieck an der Wurzel breit, nur bis zur Stirnmitte
reichend, glänzend schwarz. Fühler rothgelb ; drittes Glied doppelt so
hoch wie lang mit kurzer schwarzer deutlich zweitheiliger behaarter
Borste, die so lang ist wie das dritte Glied hoch, beide Glieder der
Fühlerboiste sind deutlich breitgedrückt. Das Untergesicht ist be¬
sonders kurz, der Mundrand hoch hinaufgeschlitzt, mit den Tastern
und den schmalen Backen rothgelb. Hinterleib pechschwarz. Beine mit
Hüften rostgelb; Schenkel und Schienen auf der Mitte breit schwarz;
Vordertarsen desgleichen. (Die Exemplare von Formosa haben hellere
Beinfärbung.) Flügel ungefleckt, fast wasserklar; die ersten drei Rand¬
aderabschnitte sind annähernd gleich lang. lVa^-2 mm. lang.
5 Exemplare aus Java : Batavia und Wonosobo (Jacobson), Museum
CHLOROPIDÆ.
135
von Amsterdam ; 5 Exemplare von der Insel Formosa : Takao und
Koshun (Sauter), Ungar. Nat. Mnsenm.
1B7. Gampsocera curvinervis n. sp. Taf. II, Fig. 7.
Grundfarbe vom Thorax blass rostgelb ; das vierborstige Schild¬
chen und der Rücken mit Ausnahme der Schulterbeulen und eines
Seitenstreifens glänzend pechschwarz ; Brustseiten auf den Meso-, Ptero-,
Sterno- und Hypopleuren mit schwarzen Flecken. Behaarung weissgelb¬
lich. Schwinger blassgelb. - — Kopf rostgelb ; Stirn fast doppelt so breit
wie ein Auge ; Scheiteldreieck nur von mittlerer Grösse, nicht viel
über die Stirnmitte hinausragend, glänzend schwarz, in die schwarze
Hinterkopffläche einmündend. Fühler hell rothgelb mit nur zart be¬
haarter dünner Borste, deren Haare nur auf der Spitzenhälfte schwarz,
auf der Wurzelhälfte weisslich sind. Gesicht rostgelb, auf der Mitte
»ostbraun. Wangen und Backen sehr schmal weisslich ; Taster roth¬
gelb. — Hinterleib glänzend pechbraun mit gelber Basis und gelbem
Bauche. Beine blass rostgelb. Flügel gross, deutlich behaart, mit hell¬
braunen, an der Spitzenhälfte dunkleren Adern, welche eine besondere
Krümmung zeigen, so namentlich die zweite und die vierte Längsader;
zwischen der zweiten und dritten liegt ein kreisrunder schwarzer Fleck,
in der ersten Hinterrandzelle zwei schmal verbundene und in der zwei¬
ten Hinterrandzelle zwei kleinere getrennte Flecken. 2 Va mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Chip-Chip, Januar (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
138. Gampsocera binotata n. sp. Taf. II, Fig. 5.
In der Anordnung der beiden Flügelflecken und in der Kürze der
zweiten Längsader ist die Verwandtschaft mit G. notata Meijere nicht
zu verkennen, jedoch ist die Form der Flecke wesentlich verschieden,
ebenso der Verlauf der vierten Längsader und die Farbe der Beine.
Thorax von glänzend rostgelber Grundfarbe. Schildchen und Tho¬
raxrücken mit Ausnahme der Schulterbeulen und eines Seitenstreifens
glänzend pechschwarz, fahlgelb behaart. Brustseiten fast fleckenlos, nur
auf den Pteropleuren liegt ein schmaler schwarzer Fleck; Schwinger
blassgelb. — Kopf rostgelb; Stirn lVa-mal so breit wie ein Auge ;
Scheiteldreieck von gewöhnlicher Grösse, nur wenig über die Stirnmitte
reichend, glänzend schwarz, in die schwarze Hinterkopffläche über¬
gehend. Fühler roth, drittes Glied länglich, auf seiner Oberseite deutlich
schwarz gefärbt, mit verbreiterter schwarzer Fühlerborste wie bei der Art
G. maculipennis. Untergesicht auf der Mitte glänzend schwarz ; Backen
schmal, weissgrau bestäubt, Taster schwarz. — Hinterleib glänzend
pechschwarz. Beine ganz rothgelb, nur die Vorderhüften schwarz. Flü¬
gel wasserklar mit zwei schwarzen Flecken auf der dritten Längsader :
136
TH. BECKER.
der ovale Spitzenfleck ist der grösste, der andere auf der Mitte hat im
Gegensatz zn G. notata Meijebe eine zweilappige Herz form; ferner
sieht man noch zwei kleine schwächere Flecken in der ersten und
zweiten Hinterrandzelle (s. Fig. 5, Taf. II). Die vierte Längsader mün¬
det schwach bogenförmig nach vorne aufbiegend an der Flügelspitze,
während diese Ader bei G. notata schwach S-förmig nach hinten neigt.
13A mm. lang.
1 Exemplar von Formosa: Chip-Chip, Februar (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
139. Gampsocera latipennis n. sp. Taf. II, Fig. 10.
Thorax von glänzend rostgelber Grundfarbe ; Schildchen und Rük-
ken mit Ausnahme der Schulterbeulen, eines Fleckens vor der Flügel¬
wurzel und vor dem Schildchen glänzend schwarz mit heller Behaarung.
Schwinger blassgelb. — Kopf gelb ; Stirn schmal, kaum etwas breiter
als ein Auge. Scheiteldreieck gelb ; auf dessen Mitte liegt ein runder
grösserer schwarzer Ocellenfleck, der die Dreiecksseiten nicht ganz er¬
reicht. Fühler rothgelb mit pubescenter, aber an und für sich nicht
verdickter oder verbreiterter Borste. Gesicht, Taster und Rüssel gelb ;
Wangen und Backen sehr schmal; Hinterkopf pechschwarz. Hinterleib
rostbraun, an der Wurzel, den Einschnitten und am Bauche heller.
Beine nebst allen Hüften blass rostgelb ; auf der Mitte aller Schenkel
und Schienen je eine korrespondierende schwarze Binde. Flügel sehr
breit, am Ende und auf der dritten Längsader mit einem schwarz -
braunen rundlichen Fleck ; ein kleinerer an der Spitze der vierten
Längsader. 2% mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Chip-Chip, Januar (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
140. Gampsocera lanceolata n. sp. Taf. II, Fig. 8, 13.
Thorax von glänzend rostgelber Grundfarbe ; Schildchen und Rük-
ken, mit Ausnahme der Schulterbeule, eines Seitenstreifens und eines
Fleckens vor dem Schildchen glänzend schwarz, hell behaart. Brust¬
seiten rostgelb mit vier deutlichen schwarzen Flecken ; a ach die Schul¬
terbeulen zeigen einen braunen Flecken ; Schwinger blassgelb. — Kopf
gelb ; Stirn breit, doppelt so breit wie ein Auge ; Scheiteldreieck sehr
klein, an der Basis kaum von Kälber Scheitelbreite, die Spitze kaum
die halbe Stirnlänge erreichend. Fühler hell rothgelb mit schwarzer
pubescenter Borste : das erste Glied derselben ist nicht wie gewöhnlich
kurz, sondern sehr lang und dünne ; das zweite Glied ist verbreitert,
so dass die Fühlerspitze dadurch die Gestalt einer Lanzenspitze be¬
kommt (s. Fig. 13, Taf. II). Gesicht, Rüssel und Taster rothgelb; Backen
schmal. — Hinterrücken und Hinterleib glänzend pechschwarz, hell
CHLOROPIDÆ.
137
behaart. Beine nebst den Hüften blass rothgelb ; Hinterschienen auf
ihrer Unterseite und Wurzelhälfte schwarz gefleckt. Flügel mit stark
nach vorne aufgebogenen Längsadern, so dass die vierte noch erheblich
vor der Flügelspitze in den Flügelvorderrand einmündet. Vorderrand-,
Band-, erste und zweite Hinterrandzelle ganz oder theilweise leicht
braun gefärbt oder gefleckt. 2lA mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Chip-Chip, Januar (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
141. Grampsocera pœciloptera n. sp. Taf. II, Fig. 6.
Thorax von glänzend rostgelber Grundfarbe. Thoraxrücken und
Schildchen mit Ausnahme der Schulterbeulen und eines Seitenstreifens
glänzend pechschwarz, weisslich behaart ; Brustseiten durch ausgiebige
Fleckenzeichnung stark verdunkelt. Schwinger blassgelb. — Kopf gelb;
Stirn 1 Va -mal so breit wie ein Auge; Scheiteldreieck breit, vorne ab¬
gerundet, bis zur Stirnmitte reichend und glänzend schwarz. Fühler
hell rothgelb; das dritte Glied auf der Oberseite geschwärzt, Borste
schwarz, pubescent, aber nicht besonders verdickt und nicht verbreitert.
Untergesicht schmal, glänzend rostgelb. Büssel und Taster gelb ; Backen
schmal, weissbereift, aber die untere Kante glänzend schwarz gestreift. —
Hinterleib glänzend pechschwarz ; dritter und vierter Bing oberseits
gelb mit schwarzem Mittelfleck. Beine nebst Hüften blass rothgelb, aber
mit breiten schwarzbraunen Binden auf der Mitte der Schenkel ; auch
die Schienen tragen solche Mittelbinden, die an den Vorderbeinen am
schmälsten sind. Flügel verhältnismässig schmal mit komplizierter Zeich¬
nung und schwarzbrauner Fleckung in der Vorderrand-, Band- und der
ersten Hinterrandzelle, welche Fläche durch 4 — 5 kreisförmige helle
Flecken unterbrochen wird. 1 lA mm. lang.
1 Exemplar aus Java : Wonosobo, Mai (Jacobson), Museum Am¬
sterdam.
142. Gampsocera unipunctata n. sp. Taf. II, Fig. 1.
Grundfarbe vom Thorax glänzend rostgelb ; Thoraxrücken mit drei
glänzend schwarzbraunen Längsstreifen, von denen der mittelste auch
die Oberfläche des Schildchens verdunkelt ; die beiden Seitenstreifen
sind undeutlicher. Brustseiten fleckenlos ; Behaarung kurz weisslich ;
Schwinger blassgelb. — Kopf ganz blassgelb, auch der Hinterkopf und
das Scheiteldreieck, das bis zur Mitte der Stirn reicht, nur der kleine
Ocellenhöcker ist schwarz ; die Stirn ist 1 Va-mal so breit wie ein Auge.
Fühler hell rothgelb, das dritte Glied auf der Oberseite etwas schwarz
mit einer nicht verdickten, verhältnismässig dünne behaarten schwarzen
Borste. Untergesicht schmal, gelb. Büssel, Taster und die schmalen
Backen desgleichen. — Hinterleib glänzend rostbraun, an der Wurzel
138
TH. BECKER.
heller. Beine ganz blassgelb. Flügel mit einem schwarzen Fleck an der
ersten Hinterrandzelle. Sehr kleine Art. l1/* mm. lang.
1 Exemplar aus Java : Wonosobo, April (Jacobson), Museum Am¬
sterdam.
143. Gampsocera Jacobsoni n. sp.
Grundfarbe vom Thorax rostgelb bis rostbraun; Schildchen und
Thoraxrücken, letzterer bis auf die äussersten Seiten glänzend schwarz,
weisslich behaart ; Brustseiten durch reichliche Fleckenbildung fast ganz
verdunkelt. Schwinger rostgelb. Kopf rostgelb ; Hinterkopf pechschwarz ;
Stirne fast zweimal so breit wie ein Auge. Scheiteldreieck glänzend
schwarz, breit, bis zur Mitte der Stirn reichend. Fühler roth ; drittes
Glied auf der Oberseite verdunkelt, mit einer dünnen aber weiss pu¬
be sc en ten Borste, bei der nur das kurze Wurzelglied schwarz ist. Gesicht
rostgelb ; Büssel verdunkelt, Taster roth. Hinterleib glänzend pech¬
schwarz. Beine glänzend schwarz ; Vorderhüften, Schenkelglieder, Kniee
und Tarsen bis auf deren letzten beiden Glieder blassgelb. Flügel un¬
gefleckt, Äderung normal. 2 Va mm. lang.
2 Exemplare aus Java: Wonosobo, April (Jacobson), Museum von
Amsterdam.
144. Gampsocera divisa n. sp.
Thorax von glänzend rostgelber Grundfarbe ; das vierborstige
Schildchen und der Thoraxrücken mit Ausnahme der Schulterbeulen
und eines Seitenstreifens glänzend schwarz, weisslich behaart. Brust¬
seiten mit den bekannten vier schwarzen Flecken. Schwinger blass¬
gelb. — Kopf rostgelb; Hinterkopf pechschwarz. Stirn H/a-mal so breit
wie ein Auge; Scheiteldreieck glänzend schwarz, bis zur Stirnmitte rei¬
chend. Fühler roth ; das dritte Glied auf der Oberseite schwarz mit
nicht verdickter oder verbreiterter schwarzer, deutlich pubescenter oder
behaarter Fühlerborste. Gesicht, Rüssel und Taster rothgelb. Backen
schmal. — Hinterleib pechbraun, an der Wurzel und am Bauche blass¬
braun. Beine mit allen Hüften blass rostgelb; die Schenkel mit einer
schwarzen Binde vor der Spitze ; auch die hinteren Schienen zeigen
auf ihrer Mitte eine bindenartige Bräunung. Flügel farblos, gross und
breit mit normaler Äderung. 17a — 2 mm. lang.
3 Exemplare von Formosa : Chip-Chip und Tainan, Januar, Feb¬
ruar, Juni (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
145. Gampsocera infuscata n. sp.
Hie gewöhnliche rostgelbe Grundfarbe ist hier ganz verdunkelt;
man sieht bei dem einen der beiden Exemplare nur noch schwache
Andeutungen einer rostbraunen Färbung ; die Thiere sind im übrigen
ganz 'schwarz, auch die Brustseiten. Behaarung weisslich ; Schwinger
CHLOROPIDÆ.
139
rostgelb bis braun. Kopf dunkelrostbraun mit breitem bis zur Stirnmitte
reichenden glänzend schwarzen Scheiteldreieck ; Fühler dunkelrothbraun
bis schwarz ; das dritte schwarze Glied ist nur auf seiner Unterseite
etwas rothbraun. Fühlerborste schwarz, lanzettförmig verbreitert und
pubescent wie bei der Art G. mutata. Küssel und Taster schwarz ;
Backen braun, schmal. Hinterleib glänzend pechschwarz. Beine schwarz,
nur die Schenkelglieder und Tarsen sind rostgelb. Flügel ungefleckt,
farblos mit normaler Äderung. 2 mm. lang.
2 Exemplare aus Java : Wonosobo, Mai (Jacobson), Museum von
Amsterdam.
146. Gamps ocera tarsalis n. sp.
Thorax, Schildchen und Brustseiten bis auf die rostrothen Schul¬
terbeulen und Seitenstriemen ganz glänzend schwarz und weiss behaart. —
Kopf gelb; Stirn 1 Vernal so breit wie ein Auge; Scheiteldreieck glän¬
zend schwarz, bis zur Stirnmitte reichend. Fühler roth, drittes Glied
obérseits schwarz mit schwarzer nicht verdickter pubescenter Borste.
Untergesicht und Taster rothgelb. — Hinterleib glänzend schwarz. Beine
schwarz, Vorderhüften, Schenkelglieder und Tarsen bis auf deren beide
letzten Glieder hell rostgelb. Flügel farblos, ungefleckt mit normaler
Äderung. 2 Va — 3 mm. lang.
2 Exemplare von Java : Wonosobo und Telaga Mendjer, Mai
(Jacobson), Museum von Amsterdam.
Pseudeurina Meijere.
Nach Meijere :
Stirne vorgezogen, flach, vorne abgerundet, dicht kurz behaart,
die sehr kurzen Fühler darunter versteckt, das dritte Glied rundlich
mit spitzer Oberecke, die Borste zart pubescent (fast nackt). Untergesicht
stark zurückweichend, die beiden ovalen Fühlergruben nur durch einen
schmalen Kiel getrennt. Taster zylindrisch. Saugflächen des Büssels
kurz. Augen etwas länger als breit, kurz behaart. Schildchen abgerun¬
det, am Rande beborstet. Hinterleib wie der Thorax nur sehr kurz be¬
haart, der erste Ring nicht besonders verlängert. Hinterschenkel nicht
verdickt; Hinterschienen gekrümmt, am Ende ziemlich dick, ohne Dor¬
nen. Randader bis zur vierten Längsader fortgesetzt ; letztere biegt sich
vom Ende der Diskoidalzelle an etwas nach oben und verläuft der
dritten Längsader parallel.
Durch die Kopfbildung steht die Gattung Eurina Meig. nahe. Sie
unterscheidet sich von derselben durch das zugespitzte dritte Fühler¬
glied, durch die bis zur vierten Längsader fortgesetzte Randader und
durch die Borsten des Schildchens.
140
TH. BECKER.
Anmerkung. Es ist nicht unwahrscheinlich, dass die hier ge¬
schilderte Gattung mit Cephaloconus Walk, zusammenfällt ; die Schil¬
derung der Kopfform deutet darauf hin ; doch kann man ohne Typen¬
vergleichung ein bestimmtes Urtheil nicht abgeben.
147. Pseudeurina maculata Meijere.
Kopf blassgelb, Stirne braun mit schmalen blassgelben Augenrän¬
dern und ebenso gefärbtem Scheiteldreieck, welches sich fast bis an
die Fühler in feiner Linie fortsetzt, durchaus matt und dicht, aber
sehr kurz behaart. Nur der Ocellenhöcker schwarz. Fühler braungelb,
das dritte Glied am oberen Bande etwas verdunkelt. — Thorax blass¬
gelb matt, mit drei breiten nur durch feine gelbe Linien getrennten
matten dunkelbraunen Längsstriemen. Schildchen bräunlich, am Bande
gelb. Hinterrücken glänzend schwarz. Brustseiten etwas glänzend, gelb
mit drei schwarzen Fleckchen : neben dem Prothoraxstigma, auf den
Meso- und auf den Pteropleuren. — Hinterleib mässig glänzend, blass¬
gelb mit schwarzen Hinterrändern an den Segmenten und ziemlich
breiter schwarzer Mittelstrieme, welche sich in jedem Segmente hinten
erweitert. Es bleibt somit von der Grundfarbe in jedem Segmente jeder-
seits ein halbkreisförmiger Fleck übrig, indem auch die schwarzen
Hinterränder sich nach den Seiten hin stark erweitern. Her Bauch ganz
gelb. Hie vorderen Beine ganz blassgelb, nur die letzten Tarsenglieder
verdunkelt. Hinterbeine mit schwarzem Wische am Ende der Schenkel,
die Endhälfte der etwas gebogenen und namentlich am Ende ziemlich
dicken Schienen ganz schwarz und schwarz behaart, ebenso wie die
drei letzten Tarsenglieder. — Flügel glashell; die Entfernung der bei¬
den Queradern etwa doppelt so gross wie die Länge der hinteren Quer¬
ader. Körperlänge 4*5 mm., FlügeUänge 4 mm.
Yon Java : Passuruan. 4 Exemplare : (Kobus), Museum von Am¬
sterdam.
’ ; \ \
Microneurum Beck.
Bestimmung stabeile der Arten.
1. Frontorbitalleisten hell bestäubt, durch punktförmige unbestäubte Wurzel¬
flecken der zarten Orbitalbörstchen fleckenartig unterbrochen. Thorax und
Brustseiten schwarz matt, durch metallisch gelbgraue punktförmige Zeich¬
nung wie marmoriert. _ „„ signatum Wollast.
— Frontorbitalleisten nicht durch hellere Bestäubung und Zeichnung von der
Stirnfläche sich abhebend. „„ ÍÍ fL* ™ „„ _ „„ 2.
2. Stirn mattschwarz mit breitem blattförmigen blauschwarzen wenig glän-
CHL0R0P1DÆ.
141
zenden Scheiteldreieck ; drittes Fühlerglied roth, oben braun. 1 mm. lang.
minimum Meijere.
— Stirn rothbraun bis schwarz mit kleinem glänzend schwarzen Scheiteldreieck ;
drittes Fühlerglied ganz rothgelb. I.V4 — IVa mm. lang, .„funicolo, Meijere.
Beschreibung der Arten.
148. Microneurum signatum Wollast.
Der Yerbreitungs bezirk dieser Art reicht also von der Insel Ma¬
deira bis Formosa mit Arabien als Zwischenstation.
9 Exemplare von der Insel Formosa : Takao (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
149. Microneurum funicola Meijere. [Siphonelia.]
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, schwarz behaart. Schild¬
chen halbkreisförmig, etwas matt mit zwei längeren und vier etwas
kürzeren Randborsten. Brustseiten glänzend schwarz ; Schwinger braun. —
Kopf schwarz ; Stirn rothbraun bis schwarz mit glänzend schwarzem
kleinen Scheiteldreieck, das mit seiner Spitze die Fühler nicht erreicht
und auf der Mitte eine Längsfurche zeigt. Behaarung deutlich, aber
kurz schwarz. Fühler rothgelb ; drittes Fühlerglied mit zarter nackter
Borste ; Taster rothgelb. Backen schmal, glänzend roth. Hinterleib glän¬
zend schwarz ; Beine desgleichen ; Kniee, Wurzel und Spitze der Schie¬
nen und die Tarsen rothgelb. Flügel milchweisslich mit ganz blass¬
gelben Adern ; zweiter Randaderabschnitt nur halb so lang wie der
dritte; hintere Querader schräg gestellt. \XU — I1/» mm. lang.
Eine Reihe von Exemplaren aus .Java, Sammlung des Museums
in Amsterdam ; 5 Exemplare aus Ceylon : Colombo (Biró), Ungarisches
Nat. Museum.
De Meijere erzählt über die Lebensweise Folgendes : «Von dieser
Art fand Jacobson wieder sehr zahlreiche Stücke an dem in meiner
Beschreibung dieser Art erwähnten Bindfaden ; desgleichen traf er sie
in erstaunlicher Menge an den herabhängenden Perlenschnüren chine¬
sischer Laternen. Sie setzen sich überhaupt immer an herabhängende
Gräser, Fäden u. s. w., nie an aufgerichtete. Nach Herrn Jacobson’s
Mittheilung stechen sie und findet man dementsprechend den Hinter¬
leib öfters mit Blut gefüllt.» — Weitere ergänzende Mittheilungen über
diese blutsaugende Fliege findet man bei de Meijere in Tijdschrift voor
Entomologie, LII 196. (1909).
150. Microneurum minimum Meijere. [Siphonelia.]
Nach de Meijere:
Sehr kleine Art von gedrungener Gestalt. Stirn mattschwarz, das
Scheiteldreieck blauschwarz, wenig glänzend, breit blattförmig, die
142
TH. BECKER.
Fühler sehr kurz, das rundliche dritte Glied unten roth. Rüssel schwarz,
verlängert. Untergesicht schwarz. Taster rothgelb. Backen tief umgebo¬
gen, fast doppelt so breit wie das dritte Fühlerglied, glänzend schwarz ;
von der Seite gesehen sind die Backen scheinbar sehr schmal. Thorax
und Hinterleib schwarz, mässig glänzend, Stirn und Thoraxrücken mit
anliegenden, kurzen und breiten gelben Härchen, welche weitläufig ge¬
lagert sind und am Thorax unregelmässige Längsreihen bilden. —
Hinterleib nackt. Beine schwarzbraun ; die Kniee, die Vorderschienen
ganz und die hinteren Schienen an der Spitze, desgleichen alle Tarsen
gelb. — Flügel weisslich ; zweite Längsader sehr kurz, die dritte und
vierte parallel, letztere an der Flügelspitze mündend. Schwinger schwarz¬
braun. Körperlänge 1 mm.
2 Exemplare von Java: Semarang (Jacobson), Museum von Am¬
sterdam ; 1 Exemplar von der Insel Formosa : Takao (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
Biese Art steht M. funicolo, Meijere sehr nahe, hat dasselbe
Flügelgeäder, nur ist die hintere Querader schiefer gestellt und der
kleinen Querader noch mehr genähert. Bei M. funicolo sind jedoch die
Fühler ganz gelbroth, das glänzend schwarze Stirndreieck tritt viel
deutlicher hervor, der Thorax ist dicht kurz schwarz behaart und na¬
mentlich fehlen die für M. minimum karakteristischen gelben Härchen ;
auch ist letztere noch kleiner. Ebenfalls wie M. funicolo soll M. minimum
Blut saugen.
Notonaulax Beck.
151. Notonaulax fascipes n. sp.
Es fehlt diesem Exemplar leider das dritte Fühlerglied, allein es
ist so karakteristisch gezeichnet, dass es auch ohne Fühler kenntlich
gemacht und nicht verkannt werden kann.
Thorax von glänzend schwarzer Grundfarbe, auf dem Rücken matt
braun, deutlich punktiert mit drei tief gefurchten Punktreihen. Schild¬
chen kurz, aber sehr grob behaart mit vier blassbraunen Randborsten.
Behaarung sehr kurz schwarz. Brustseiten auf der oberen Hälfte dicht
grau bestäubt, auf der unteren glänzend pechschwarz. — Kopf pech¬
braun ; die etwas wulstartig vorgezogene Stirn gelb ; sie ist fast doppelt
so breit wie ein Auge, kurz dunkel behaart; das Scheiteldreieck ist
ganz undeutlich und von der Stirnfläche nicht getrennt; Untergesicht
und die schmalen Backen grau bestäubt, jedoch ist der untere Rand
der seitlichen Mundeinfassung glänzend schwarz ; Taster rostgelb ; die
Wurzelglieder der Fühler gelb, drittes Glied ('?). — Hinterleib pech¬
braun mit schmalen gelben Hinterrandsäumen. Beine rostgelb ; Hüften
CHLOBOPIDÆ.
143
und eine auf Schenkel und Schiene korrespondierende Fleckenbinde
schwarz. Flügel wasserklar mit blassbraunen parallelen Längsadern, aber
deutlich verdickter schwarzer Eandader. 2% mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Chip-Chip, Januar (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
152. Notonaulax marina n. sp.
Mit unseren paläarktischen Arten zwar verwandt, aber nicht gleich.
Von schlankem Bau, nackt. Thoraxrücken mit Schildchen und
auch den ganzen Brustseiten matt schwärzlich graubraun und mit drei
deutlich vertieften Furchen ; Schildchen mit zwei Hauptborsten ; Schwin¬
ger schwarzbraun. — Kopf schmal; Augen gross pubescent; Stirn
schmal, nicht breiter als ein Auge. Stirn rothbraun mit hellrother Mit¬
tellinie. Scheiteldreieck mattbraun, breit, aber nur bis zur Stirnmitte
laufend. Untergesicht und Fühler rothbräunlich, Borste kurz, schwarz,
nackt; Taster gelb, innerer oberer Mundrand schwarz. — Hinterleib
matt schwarzbraun. Beine schmutzig rostgelb mit verdunkelten Schen¬
keln und einer schwarzen Mittelbinde auf den Hinterschienen. Flügel
blass bränlichgrau mit normalen braunen Adern. llU mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Tainan, Februar (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
Dicræus Lw.
153. Dicræus orientalis n. sp.
Die sehr langen schmalen Flügel und die langen parallel laufen¬
den drei mittleren Längsadern, namentlich der zweiten kennzeichnen
die vorliegende Art als einen Dicraeus ; das Einzige was sie vor un¬
seren paläarktischen Arten auszeichnet ist die besonders deutliche Stel¬
lung und Ausbildung der Frontorbitalborsten, sowie überhaupt die sehr
deutliche präcise Beborstung und das grössere unter den Bauch ge¬
schlagene Hypopygium.
Thorax von schwarzer Grundfarbe, Rücken und Schildchen durch
braune Bestäubung ziemlich matt. Behaarung sehr kurz und schwarz.
Schildchen mit vier Borsten. Thorax mit einer Humerai-, drei Notopleu-
ral-, einer Dorsocentral- und einer Supraalarborste. Die Schulterbeule ist
auf ihrer oberen Hälfte glänzend schwarz, auf der unteren gelb ; im
Anschluss daran zieht sich ein schmaler gelber Streifen am äussersten
Seitenrande des Thoraxrückens bis zur Flügelwurzel hin ; die Brust¬
seiten sind stark glänzend pechschwarz; Schwinger gelb. — - Kopf gelb;
Hinterkopf und Stirn bis auf einen vorderen schmalen Streifen schwarz¬
braun, matt, etwas breiter als das nackte Auge mit drei deutlichen
Orbitalborsten, von denen eine in der Nähe des Scheitels, die andern
144
TH. BECKER.
beiden dicht neben einander auf der Mitte der Stirn stehen ; Scheitel¬
dreieck gross, glänzend schwarz bis an den Stirnvorderrand reichend.
Fühler ganz schwarz mit schwarzer nackter Borste ; Taster und der
innere obere Mundrand sind ebenfalls schwärzlich; Backen gelb, etwas
schmäler als das dritte Fühlerglied. — Hinterleib glänzend schwarz¬
braun, letzter Ring des & verlängert ; Hypopygium verhältnismässig
gross, unter den Bauch geschlagen, so lang wie der letzte Hinterleibs¬
ring. Beine nebst Yorderhüften rostgelb ; Schenkel auf der Mitte breit
braunschwarz, Schienen an der Spitzenhälfte und die Tarsenendglieder
ebenfalls braun. Flügel lang blassbräunlich ; dritter Yorderrandabschnitt
nicht länger als der vierte ; der zweite reichlich viermal so lang wie der
dritte. 2 — 2 Vs mm. lang.
48 Exemplare von Formosa: Chip-Chip, Januar (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
Oscinella Beck.
Yon dieser Gattung sind aus unserem Faunengebiete (s. das Re¬
gister) nachstehende Arten beschrieben:
Oscinis dimorpha O. S. ; lineiplana Walk. ; noctilux Walk. ;
femoraia Walk. ; pulchrifrons, cinerea , lutea, marginata , ornatifrons
Meijere; argyropa, papuana Kertész; selachopina, pruinosa Thoms.
Als zweifelhafte Art müssen wir mangels der Type 0. femorata
Walk, lassen. — 0. pulchrifrons Meijere habe ich in meine Gattung
Parahippelates gestellt; die Arten argyropyga, papuana Kert., sowie
marginata Meutere zur Gattung Gaurax , so dass nur acht Arten übrig
bleiben, denen nun allerdings eine grössere Reihe hinzugestellt wer¬
den kann.
Wir dürfen bei der Zutheilung der Arten dieser Region in die
uns bekannte Gattung nicht so scharf Vorgehen und die Grenzen so
eng stecken, wie wir dies bei unseren paläarktischen Arten gewöhnt
sind. Wir konnten dies bei unserer Fauna thun und die abweichenden
Formen in verschiedene Untergattungen stellen, weil uns der Umfang der
Fauna mit Ausnahme von vielleicht noch einzelnen Arten ahmählig ganz
bekannt geworden ist. Hier aber auf einem bisher so fremd gebliebe¬
nem Gebiete, angesichts eines wesentlich anders entwickelten Formen¬
kreises und mit einer verhältnismässig geringen Anzahl wäre es meiner
Ansicht nach nicht richtig, auf jede etwas abweichende Form sofort
eine Untergattung zu errichten. Wir begegnen hier vielfach Arten, die
nach unseren paläarktischen Gattungsbegriffen nicht gut mehr in der
Gattung Platz haben würden : so ist die Fühlerborste meistens pubes¬
cent, mitunter deutlich behaart; die Augen sind gewöhnlich pubescent,
CHLOROPIDÆ.
145
seltener nackt ; das dritte Fühlerglied hat mitunter eine etwas nieren¬
förmige oder eckige Gestalt ; Mundborsten sind häufig vorhanden, auch
treffen wir Arten, deren Thoraxrücken deutlich beborstet ist. Ich habe
alle diese Formen, die dem Habitus nach sehr wohl einer Oscinella
entsprechen, hier zusammen gelassen ; es muss einer späteren intensi¬
veren Forschung Vorbehalten bleiben, zu untersuchen, ob und in wie
weit es möglich sein wird und nöthig ist, einzelne dieser Arten als
besondere Gattung aufzufassen und abzuzweigen.
Bestimmung stab eile der Arten.
1. Thoraxrücken schwarz, glänzend oder mattglänzend ohne deutliche Be-
stäubung.„„ _ _ „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ 2.
— Thoraxrücken gelb bis rothgelb, mit oder ohne dunklere Längsstreifen. 12.
— Thoraxrücken deutlich bestäubt, dunkel oder hell._ „„ _ „„ 17.
2. Flügelfläche schwärzlich, am Hinterrande grau. Schildchen, Stirn und
Scheiteldreieck gelb ; Fühler rothgelb. Beine schwarz, Mittelschienen und
Tarsen rothgelb . . „„ „„ „„ J „„ „„ noctilux Walk.
— Flügelfläche glashell oder nur schwach graubräunlich getrübt oder weiss¬
lieh. „„ „„ _ „„ _ L' „„ 3.
3. Thoraxrücken glänzend. _ „„ „„ „„ _ _ . 4.
— Thoraxrücken durch Punktierung etwas matt, Schildchen ebenso, nackt.
Stirnfläche und Scheiteldreieck glänzend rostbraun, letzteres nicht punktiert.
Fühler und Gesicht rostgelb bis roth. Beine schwarzbraun, Hüftgelenke
und Hintertarsen rostgelb. Flügel weisslich. „„ siphonelloides n. sp.
— Thoraxrücken durch Punktierung etwas matt, fahlgelb behaart. Stirnfläche
mattschwarz, Scheiteldreieck glänzend schwarz, gross, deutlich punktiert.
Fühler und Gesicht rostbraun und schwarz. Beine schwarz ; Schenkel¬
glieder, Kniee, Wurzel und Spitze der Schienen und die Tarsen rostgelb.
Flügel weisslich. _ _ _ „„ „„ „„ 12 fi „„ sorella n. sp.
4. Schildchen gelb. „„ _ „„ „„ „„ _ _ _ „„ _ L ~~ 5.
— Schildchen schwarz. „„ _ _ _ „„ „„ „„ „„ „„ „„ _ 6.
5. Stirn, Gesicht und Taster schwarz, Fühler rothgelb, Stirn und Scheitel¬
dreieck glänzend schwarz. Beine gelb, Schenkel und Schienen auf der
Mitte breit braun ; Tarsenglieder braun. „„ „„ " _ lucidifrons n. sp.
— Stirn, Gesicht, Fühler und Taster roth. Beine gelb. Brustseiten gelb mit
schwarzem Fleck auf den Mesopleuren. „„ M „„ L mesopleuralis n. sp.
/ . Beine ganz rothgelb. Stirn, Gesicht, Fühler und Taster roth bis gelb
drittes Fühlerglied vorne braun. Scheiteldreieck glänzend schwarz.
impura n. sp.
— Beine auf Schenkeln und Schienen mehr oder weniger mit braunen
Binden. _ „ „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ _ _ l. _ 7.
7. Scheiteldreieck gross, glänzend schwarz. _ _ _ _ „„ „„ „„ 9.
Annales Musei Nationalis Hung arici. IX.
10
146
TH. BECKER.
: — Scheiteldreieck klein, mehr oder weniger glänzend . „„ I; „„ 8.
8. Stirne vorne rothgelb, hinten braun, Scheiteldreieck nur wenig glänzend ;
Fühler roth. Thoraxrücken etwas weisslich bereift. Beine gelb. Schenkel
und Hinterschienen auf der Mitte schwarzbraun. _ subpilosa n. sp.
— Stirn dunkelrothbraun bis schwarz ; drittes Fühlerglied hellroth ; Scheitel¬
dreieck glänzend. Beine gelb, Schenkel und Schienen auf der Mitte braun.
minuta n. sp.
9. Stirn und Gesicht ganz schwarz ; Wurzelglieder der Fühler roth, drittes
Glied schwarzbraun, etwas höher als lang mit langer behaarter Borste.
Beine rostgelb, Hinter- und Mittelschenkel auf der Mitte breit schwarzhraun.
nigrifrons n. sp.
— Stirn und Gesicht ganz schwarz ; alle drei Fühlerglieder schwarz, drittes
kreisrund mit nackter Borste. Beine rostgelb, Schenkel mit breiter, Schie¬
nen mit schmaler Binde. „„ „„ „„ _ _ „„ _ „„ simili frons n. sp.
— Stirne vorne wenigstens rothgelb. Gesicht und Fühler roth. . 10.
10. Fühler hellrothgelb. :ljj „„ „„ . _ ' „„ „„ . _ . 11.
— Fühler roth, drittes Glied an der Spitze schwarz. Beine braun, Schenkel
verdunkelt, Metatarsus der Hinterbeine weiss . J} lacteipes n. sp.
11. Beine blassgelb; Hinterschenkel oben etwas braun, Tarsen und Vorder¬
schienen desgleichen. Flügel blassbräunlich ; dritte und vierte Längsader
parallel ; zweite Längsader kurz ; Queradern von einander entfernt.
bispinosa n. sp.
: — Beine gelb ; Schenkel oben auf der Spitzenhälfte etwas gebräunt. Flügel
blassbräunlich ; dritte und vierte Längsader annähernd parallel ; zweite
Längsader nicht kurz. Queradern einander genähert. . . similis n. sp.
12. Scheiteldreieck glänzend gelb. „„ „„ „J „„ „„ U . . 13.
— Scheiteldreieck mattgelb, ziemlich gross. Thoraxrücken glänzend gelb mit
drei etwas undeutlichen röthlichen Längstreifen. Flügel blassbräunlich :
dritte und vierte Längsader an der Spitze divergierend ; hintere Querader
sehr schräge gestellt, fast in gleicher Richtung wie die fünfte Längsader.
orientalis n. sp,
. — Scheiteldreieck mattgelh, klein. Thoraxrücken durch Bereifung ziemlich matt
rothgrau ohne deutliche Streifung. Flügel fast wasserklar ; dritte und vierte
Längsader an der Spitze nicht divergierend, fast parallel ; hintere Querader
senkrecht zur vierten Längsader oder nur wenig geneigt, similans n. sp.
13. Drittes Fühlerglied gelb. _ _ „„ HBr. ' „„ . . „„ „„ 14.
— Drittes Fühlerglied schwarz bis schwarzbraun. _ 16.
14. Flügel farblos mit brauner Spitze. Thoraxrücken glänzend gelb ohne Strei¬
fen. „„ „„ „„ „„ _ „„ „„ _ „„ _ „„ „„ L lutea Meijere.
— Flügel gleichmässig wasserklar. Brustseiten ohne dunkle Flecken. 15.
15. Thoraxrücken glänzend gelb mit drei röthlichen Längsstreifen, weiss be¬
haart. _ „„ .L. ui ú formosa n. sp.
— Thoraxrücken glänzend hellgelb mit vier glänzend schwarzen Längsstreifen.
quadristriatà n. sp.
CHLOROPIDÆ.
147
1 6. Fühler ganz schwarz. Thoraxrücken rothgelh, etwas glänzend mit vier
schwarzen Längsstreifen. ;!• _ ' ^ filia n. sp.
*— Drittes Fühlerglied ganz schwarz, Wurzelglieder gelb. Thoraxrücken gelb
mit drei undeutlichen schwärzlichgrauen Längsstreifen, der mittlere mit¬
unter getheilt. ÎM „„ _ „„ „„ „„ -kJ „„ & maculata n. sp.
=— Drittes Fühlerglied nur zur Hälfte schwarz. Thoraxrücken gelb mit 3 — 4
schwach röthlichen Längsstreifen. „„ _ „„ „„ semimaculata n. sp.
17. Schildchen gelb ; drittes Fühlerglied gelb oder roth. „„ 18.
• — Schildchen dunkelgrau bis schwarz, höchstens an der Spitze gelb. „„ 19.
18. Scheiteldreieck klein, glänzend roth. Thoraxrücken matt braungrau. Beine
rothgelh ; Hinter- und Mittelschenkel mit einer, Hinterschienen mit zwei,
Mittelschienen mit einer braunen Binde. „„ _ „„ ß : taeniata n. sp.
— Scheiteldreieck klein, mattgelh. Thoraxrücken mattgrau mit drei schwar¬
zen Streifen, stark punktiert und dicht fahlgelb behaart. Beine gelb, Hin¬
terschienen mit schwacher brauner Binde. _ L „„ Ij tibiella n. sp.
19. Scheiteldreieck ganz fehlend. Thoraxrücken und Schildchen grau bestäubt,
Spitze des Schildchens gelb, weiss behaart. Kopf gelb, Untergesicht schwarz.
Hinterleib hellgelb mit braunen Binden. Beine gelb. _ defecta n. sp.
— Scheiteldreieck deutlich vorhanden _ C| ÜV'* _ Vi - V ™ 20.
20. Thoraxrücken deutlich zweifarbig gestreift. „„ _ _ 21.
— Thoraxrücken einfarbig, nicht oder nur ganz undeutlich' gestreift. >ß 22.
21. Thoraxrücken braun mit sechs weissen Streifen. Beine weissgelb ; Vorder¬
schenkel, Schiene und Spitze der Tarsen schwarz. „„ lineiplana Walk.
— Thoraxrücken aschgrau, auf der Mitte und an den Seiten braun gestreift
mit drei Paar Dorsocentralborsten. Scheiteldreieck matt aschgrau. Fühler
schwarz. Beine lang, rostgelh. Hinterschenkel und Schiene braun, die beiden
letzten Tarsenglieder schwarz. Hinterleib aschgrau.^. _ cinerea Meutere.
— Thoraxrücken aschgrau mit drei ungleich breiten braunen Längsstreifen ;
nur mit einem Paar Dorsocentralborsten. Scheiteldreieck mattbraun, Füh¬
ler hellrothgelb. Beine gelb mit braun bandierten Schenkeln. Hinterleib
rostgelh mit schwarzbraunen Binden und Flecken. inaequalis n. sp.
22. Thoraxrücken mit vier Paar Dorsocentralborsten. _ „„ |J „„ „„ _ 23.
— Thoraxrücken nur mit einem hinteren Paar. „„ _ L pl 24.
23. Scheiteldreieck schwarz, wenig glänzend, bis zur Mitte der Stirn reichend.
Thoraxrücken schwarz, etwas gelbgrau bereift. Stirne, Fühler und Beine
rothgelh. Flügel blassbräunlich m „„ „„ „„ _ pruinosa Thoms.
— ■ Scheiteldreieck glänzend schwarz, bis über die Stirnmitte reichend. Thorax¬
rücken schwarz, dicht aschgrau bestäubt. Stirn vorne roth, hinten schwarz.
Fühler schwarzhraun. Beine überwiegend schwarz. Flügel am Vorderrande
etwas gebräunt. „„ _ _ _ „„ „„ _ „„ > _ ornatifrons ' Meijere.
24. Scheiteldreieck matt oder nur mit schwachem Glanz. „„ 25.
— Scheiteldreieck glänzend schwarz. Thoraxrücken schwarz, schwach grau
bestäubt ; drittes Fühlerglied rothgelh ( cf ) oder braun ( j ). Flügel glas¬
hell, Spitze braun. „„ _ „„ L jj _ m dimorpha 0. S.
10*
148
TH. BECKER.
25. Thoraxrücken mit drei durch dichtere Punktierung hervorgerufenen Längs¬
linien. _ „„ „„ „„ „„ „„ „„ _ „„ 26.
— Thoraxrücken gleichmässig punktiert. _ _ _ _ „„ „ 27.
26. Thoraxrücken dicht grau bestäubt, hell behaart ; drittes Fühlerglied roth-
gelb mit stumpfer Oberecke ; Stirn gelb. Hinterleib roth-, weiss- und
schwarzgefleckt und gestreift. Beine rothgelb, Schenkel mit braunen Bin¬
den. Flügel fast farblos. HA mm. lang. „ _ _ „„ poecilog aster n. sp.
— Thoraxrücken matt braungrau. Gesicht und Fühler gelb bis roth. Hinter¬
leib gelb mit breiten braunen Yorderrandsbinden. Beine rothgelb, Schen¬
kel und Schienen auf der Mitte verdunkelt. 3 mm. lang.
selachopina Thoms.
27. Beine ganz hellrothgelb. Thoraxrücken schwach gelbgrau bestäubt, etwas
glänzend, fahlgelb behaart. Brustseiten rostroth. Fühler rothgelb.
intrita n. sp.
— Beine nicht ganz rothgelb. S _ % __ „„ „„ _ „„ „„ 28.
28. Thoraxrücken matt schwarzhraun. „„ _ „„ m „„ „„ „„ 29.
— Thoraxrücken matt aschgrau. „„ „„ _ u ~~ „A L„ „„ „„ 30.
29. Drittes Fühlerglied schwarzhraun, pubescent mit mikroskopisch pubescen-
ter Fühlerborste. Stirn schwarz. Beine desgleichen ; Kniee, Wurzel und
Spitze der Schienen und die Tarsen rostgelh. Vierte Längsader gebogen.
Sehr kleine Art von Va — 3A mm. Länge. A Vi pygmaea n. sp.
— Fühler und Taster rothgelb. Fühlerborste nackt schwarz. Thoraxrücken
dicht punktiert, kurz schwarz behaart. Stirn matt rothbraun. Beine roth-
gelb ; Schenkel und Hinterschienen auf der Mitte braun. Flügel blassbräun¬
lich mit braunen normalen Adern . „„ _ j, punctulata n. sp.
30. Stirne röthlichbraun ; drittes Fühlerglied rothgelb, vorne braun. Hinter¬
leib pechbraun. Beine rothgelb ; Schenkel und Hinterschienen auf der
Mitte breit schwarzhraun. Flügel farblos, fast milch weiss. H/a mm. lang.
pallidinewis n. sp.
— Stirne gelb ; drittes Fühlerglied rothgelb. Hinterleib gelb mit breiten
braunen Vorder randbinden. Beine gelb; Schenkel und Schienen mit brau¬
ner Binde. Flügel farblos. 1 mm. lang. „„ _ p griseicollis n. sp.
— Stirne blassgelb. Fühler und Taster hellgelb ; Borste nackt, an der Wurzel
weiss. Hinterleib blassgelb mit schwarzen Flecken und Binden. Beine
rothgelb, Hinterschenkel auf der Mitte braun. Flügel weisslich mit farb¬
losen Adern, an der Spitze der ersten Längsader ein kleiner brauner
Fleck. 1— HA mm. lang. „„ . . _ V „„ paenultima n. sp.
154. Oscinella noctilux Walk. (Oscinis) cf.
Die Beschreibung von Walker macht den Eindruck, dass wir es
hier mit einer wirklichen Oscinella zu thun haben. Ich habe daher
diese Art mit in die Tabelle aufgenommen und gebe mangels der Type
die WALKERsche Beschreibung.
Mas . Atra, capite pallide flavo, subtus albo ; antennis luteis, arista
CHLOROPIDÆ.
149
nuda ; seutello, maculis duabus pectoralibus abdominisque apice albis ;
tibiis tarsisque intermediis testaceis, alis nigricantibus postice cinereis,
halteribus niveis.
Male. Black. Head pale yellow, black hindward, white beneath ;
antennæ pale luteous, third joint very short, arista bare; scutellum
white; pectus with a white spot on each side; abdomen white at the
tip ; middle legs with testaceous tibiæ and tarsi ; hind wings blackish,
cinereous hindward; halteres snowwhite. Length of the body 3A line;
of the wings lVa line.
Yon den Aru-Inseln bei Neu- Guinea.
155. Oscinella siphonelloides n. sp.
In ihrem Habitus erinnert diese Art sehr an unsere Siphonelia
Arten ; aber die kurzen Saugflächen des Rüssels machen es unmöglich,
sie zu Siphonelia zu stellen; diese Übergangsform bleibt passender bei
Oscinella.
Thorax und Schildchen schwarz, matt, beide etwas abgeflacht ;
Behaarung nicht sichtbar ; Schildchen halbkreisförmig, an der Spitze
mit zwei längeren, die Seitenränder im übrigen mit sehr kurzen Börstchen.
Brustseiten glänzend pechschwarz. Stirn und Scheiteldreieck sind von
einander kaum getrennt ; am Scheitel ist die Färbe schwarz und geht
nach dem Stirnvorderrande allmälig ins Rostgelbe über, fettglänzend.
Fühler, Untergesicht und Taster rothgelb ; das dritte Fühlerglied klein
mit sehr zarter nackter kurzer Borste ; Untergesicht weiss bereift und
diese Bereifung zieht sich fort bis an den Augenunterrand und zeichnet
so die obere Hälfte der Backen, während der untere Theil glänzend
pechbraun ist. Der Mundrand springt nicht vor, ist vielmehr abgerun¬
det. Rüssel kurz mit kurzen Saugflächen. Augen querliegend, nackt;
Backen etwas breiter als das dritte Fühlerglied. Schwinger schwarz¬
braun. Hinterleib pechschwarz; Beine desgleichen; Yorderhüften, Schenkel¬
glieder und Tarsen rostgelb. Flügel milchweiss mit fast farblosen Adern ;;
hintere Querader etwas schräg gestellt. 2 mm. lang.
1 Exemplar von Formosa : Takao (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
156. Oscinella lucidifrons n. sp.
Thorax glänzend schwarz, Rücken fein schwarz behaart. Brust¬
seiten glänzend ; Schildchen gelb mit vier schwarzen Borsten. Kopf
schwarz ; Augen gross, nackt. Stirn und Scheiteldreieck glänzend schwarz,
letzteres gross, bis zu den Fühlern reichend. Fühler rothgelb ; drittes
Glied ziemlich gross mit schwach pubescenter Borste. Wangen und die
schmalen Backen weiss betäubt. Taster schwarz. Schwinger rostgelb.
Hinterleib glänzend schwarz, an der Wurzel gelb. Beine nebst Hüften
gelb ; Schenkel und Schienen auf der Mitte breit schwarzbraun, die
150
TH. BECKER.
letzten Tarsenglieder desgleichen ; Vordertarsen ganz schwarz. Flügel
lang und schmal, Längsadern lang, gerade und schwarz ; Flügelfläche
etwas rauchgrau getrübt, an dem Vorderrande etwas stärker. IV2 mm. lang.
1 Exemplar von J ava : Batavia (Jacobson), Museum von Am¬
sterdam.
157. Oscinella mesopleuralis n. sp.
Thorax von glänzend gelber bis rother Grundfarbe, aber der
Thoraxrücken glänzend schwarz. Schildchen gelb mit vier Borsten.
Brustseiten mit sclrwarzem Fleck auf den Mesopleuren. Augen gross»
nackt. Stirn rotti, mit grossem glänzend schwarzen Scheiteldreieck. Ge¬
sicht, Taster und Fühler roth ; drittes Glied ziemlich gross mit dunkler
Oberseite und zarter, etwas pubescenter Borste. Schwinger hellgelb.
Hinterleib glänzend pechbraun. Beine ganz blassgelb. Flügel wasser¬
klar, schmal : dritte und vierte Längsadern an der Spitze etwas diver¬
gierend ; Queradern einander nahe gerückt, hintere etwas schräg gestellt.
IV4 mm. lang.
1 Exemplar aus Australien : Queensland, Brisbane (Biro), Ungar.
Nat. Museum.
158. Oscinella impura n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, ohne Punktierung, spär¬
lich behaart. Schildchen mit vier Borsten ; am Seitenrande des Bückens
hinter der Schulterbeule liegt ein schmutzig gelber Fleck, der sich bis
zu den Flügelwurzeln hinzieht und sich auch über die Brustseiten fort¬
setzt, zwischen den Mesopleuren und Pteropleuren einen Streifen bil¬
dend ; auch Spitze des Schildchens und Schwinger sind rostgelb. Augen
gross, sehr zart pubescent ; Stirn rothgelb mit breitem bis zur Mitte
der Stirn reichenden glänzend schwarzen Scheiteldreieck. Gesicht, Taster
und Fühler rothgelb, drittes Glied an der Spitzenhälfte braun mit fast
nackter Borste. Hinterleib glänzend braun mit hellen Säumen. Beine
ganz rothgelb, letztes Tarsenglied gebräunt. Flügel wasserklar mit nor¬
malen Adern. IV2 mm. lang.
1 Exemplar aus Australien: N.-S. -Wales, Parramatia (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
159. Oscinella subpilosa n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, ohne Punktierung ; erste-
rer spärlich weiss behaart, letzteres mit vier schwarzen Borsten; über
der ganzen Fläche liegt ein zarter weisslicher Beif, der den Glanz
jedoch nicht beeinträchtigt. Brustseiten glänzend. Augen gross, nackt ;
Stirn vorne rothgelb, hinten rothbraun mit kleinem, nur bis zur Mitte
der Stirn reichenden glänzend schwarzen Scheiteldreieck. Gesicht, Taster
und Fühler roth ; drittes Glied mit zart pubescenter Borste. Schwinger
CHLOROPIDÆ.
151
gelblich. Hinterleib pechbraun, etwas matt. Beine gelb ; Schenkel und
Hüften bis zur Spitze, Hinterschienen auf der Mitte schwarzbraun.
Flügel blassbräunlich. 1 mm. lang.
1 Exemplar aus Australien: Sydney, Botany Bay (Bíró), Ungar.
Nat. Museum.
160. Oscinella minuta n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz, sehr fein punktiert.
Schildchen mit nur zwei deutlichen Randborsten. Brustseiten glänzend
schwarz ; Schwinger rostgelb. Augen gross, pubescent. Stirn verhältnis¬
mässig schmal, nicht breiter als ein Auge, dunkel rothbraun, matt mit
breitem aber sehr kurzen, nicht bis zur Mitte der Stirn reichenden
glänzend schwarzen Scheiteldreieck. Fühler hellrothgelb, mit heller
etwas pubescenter Borste. Gesicht braun. Beine gelb, Schenkel und
Schienen auf der Mitte braun. Flügel farblos ; Längsadern gerade, etwas
nach dem Yorderrande gedrängt, so dass die vierte Längsader an der
Flügelspitze ausmündet. Queradern etwas genähert ; der letzte Abschnitt
der fünften Längsader ist SV^-mal so lang wie die Entfernung der
Queradern von einander. 1 mm. lang.
2 Exemplare von Indien : Bombay (Biró), Ungar. Nat. Museum.
161. Oscinella nigrifrons n. sp.
Thorax und Schildchen schwarz, letzteres mit zwei längeren und zwei
kürzeren schwarzen Borsten. Brustseiten glänzend schwarz. Kopf schwarz ;
Augen gross, pubescent. Stirn UA-malso breit wie ein Auge, matt schwarz
mit grossem fast zu den Fühlern reichenden glänzend schwarzen Scheitel¬
dreieck. Fühler an der Wurzel roth, drittes Glied breit, etwas höher als
lang, schwarzbraun mit langer, feiner, deutlich pubescenter Borste ;
Untergesicht schwarz. Schwinger gelbbraun. Hinterleib pechbraun. Beine
rothgelb. Hinter- und Mittelschenkel mit brauner Binde. Flügel farblos
mit feinen dunklen Adern. 3A — 1 mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea: Friedr. Wilhelmshafen (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
162. Oscinella lacteipes n. sp.
Thorax und Schildchen stark glänzend mit weitläufig gestellten
fahl schimmernden Haaren. Schildchen mit vier Borsten ; Brustseiten
glänzend. Kopf: Stirn vorne rothgelb, im übrigen ist sie durch das
sehr grosse und breite glänzend schwarze Scheiteldreieck fast ganz be¬
deckt. Fühler roth ; drittes Glied etwas nierenförmig, höher als lang,
an der Spitze schwarz mit deutlich pubescenter Borste. Augen gross,
pubescent ; Untergesicht und Taster roth. Schwinger schwarzbraun,
Hinterleib pechschwarz. Beine : Schenkel und Schienen schwarzbraun ;
Tarsen rostgelb, letztes Glied braun ; Metatarsus der Hinterbeine weiss-
152
TH. BECKER.
gelb. Flügel schwach bräunlich ; die vierte Längsader fast an der Spitze
mündend; dritte und vierte etwas divergierend. 1 mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Friedr. Wilhelmshafen (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
163. Oscinella similifrons n. sp.
Hat am meisten Ähnlichkeit mit nigrifrons bei anderer Fühler¬
form und Färbung.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz mit einem ausserordent¬
lich feinen Beif, der aber den Glanz nicht unterbricht. Schildchen mit
vier Borsten; Brustseiten glänzend. Augen gross, zart pubescent. Stirn
mattschwarz mit grossem breiten bis zur Fühlerwurzel reichenden glänzend
schwarzen Scheiteldreieck, das die Stirn fast ganz bedeckt, mit schwarzer
kaum pubescenter Borste. Untergesicht und Taster schwarz. Hinterleib
glänzend schwarz. Beine rostgelb ; Schenkel mit breiter, Schienen mit
schmaler brauner Binde. Flügel wasserklar, schmal. % — 1 mm. lang.
1 Exemplar aus Australien : Queensland, Brisbane (Biró), und
1 Exemplar aus Formosa: Tainan, Oktober (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
Anmerkung. Man könnte versucht sein zu glauben, dass unsere
Art frit L. eine der beiden verwandten similifrons oder nigrifrons dar¬
stelle ; das ist aber nicht der Fall, schon die sehr geringe Grösse spricht
dagegen.
164. Oscinella bispinosa n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend schwarz mit einem zarten brau¬
nen Beif. Thoraxrücken mit zwei Paar Dorsocentralborsten, ausser der
gewöhnlichen hinteren Borste noch eine zweite auf der Mitte. Schildchen
mit nur zwei starken Borsten. Brustseiten glänzend schwarzbraun, jedoch
Meso- und Pteropleuren etwas mattgrau bereift. Kopf : Augen gross,
nackt ; Stirn etwas breiter als ein Auge, schwarz, vorne am Stirnrande
aber gelb mit grossem breiten bis zu den Fühlern reichenden glänzend
schwarzen Scheiteldreieck, dessen Spitze vorne auch noch von der gel¬
ben Binde gelb gefärbt wird. Fühler hell rothgelb ; drittes Glied mit
pubescenter langer Borste. Taster und Gesicht rothgelb, letzteres weiss
bereift. Schwinger rostgelb. Hinterleib schwarzbraun. Beine rostgelb.
Hinterschenkel oben an der Spitze, Yorderschienen und die Tarsen
braun. Flügel blassbräunlich ; zweite Längsader kurz, zweiter Bandader¬
abschnitt nicht länger als der dritte ; fünfte Längsader vor dem Bande
abbrechend. Queradern entfernt ; ihre Entfernung von einander ebenso
lang wie der letzte Abschnitt der fünften Längsader. 1 V* mm. lang.
6 Exemplare aus Neu-Guinea: Simbang, Huon-Golf und Friedr.
Wilhelmshafen (Biró), Ungar. Nat. Museum.
CHLOROPIDÆ.
153
165. Oscinella similis n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend gelb ohne die geringste Bestäu¬
bung, weitläufig fahlgelb behaart. Schildchen mit vier deutlichen Borsten.
Brustseiten glänzend schwarz. Schwinger rostgelb. Augen gross, pu¬
bescent. Stirn schwarz, matt, am äussersten Stirnrande vorne gelb mit
grossem glänzend schwarzen Scheiteldreieck, das bis zu den Fühlern
reicht. Fühler rothgelb, drittes Glied gross mit zart pubescenter Borste.
Taster und Untergesicht roth, letzteres unten weiss bereift. Backen wie
gewöhnlich sehr schmal. Hinterleib glänzend schwarz. Beine gelb ; Schen¬
kel oben auf der oberen Spitzenhälfte mit braunem Wisch. Flügel
wasserklar mit gewöhnlicher Äderung. 1 XU mm. lang.
1 Exemplar aus Australien : N.-S. -Wales, Sidney (Bíró), Ungar.
Nat. Museum.
166. Oscinella orientalis n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend gelb mit drei undeutlichen röth-
lichen Längsstreifen. Schildchen etwas flach mit vier Borsten. Behaarung
sehr zart weiss. Brustseiten glänzend gelb ohne Flecken. Schwinger weiss-
lich. Kopf in allen Theilen gelb ; Augen gross, pubescent ; Stirn 1 ^-mal
so breit wie ein Auge. Scheiteldreieck mässig gross, nicht ganz bis zu
den Fühlern reichend, mattgelb. Fühler nicht besonders gross, Borste
schwach pubescent. Hinterleib pechbraun. Beine ganz gelb. Flügel breit,
schwach bräunlich ; dritte und vierte Längsader an der Spitze diver¬
gierend ; hintere Querader sehr schräge, so dass sie mit der vierten
Längsader einen sehr stumpfen Winkel ausmacht und beinahe mit ihr
zusammenfällt. 17a mm. lang.
1 Exemplar aus Vorderindien : Matheran, 800 m. hoch (Biró),
Ungar. Nat. Museum.
167. Oscinella lutea Meijere.
Thorax und Schildchen glänzend gelb ; auf dem Kücken sieht man
drei Paar feine weissliche Dorsocentralborsten, am Schildrande ein Paar.
Brustseiten glänzend, ohne Flecke. Kopf ganz gelb ; Stirn seidenartig
glänzend, das grosse gelbe Scheiteldreieck stark glänzend. Fühler rund¬
lich, Borste nackt, dunkel, an der Wurzel gelb ; beim cf ist das dritte
Fühlerglied gelb, beim £ schwarzbraun. Schwinger blassgelb. Hinterleib
gelbbräunlich, Beine lang, gelb. Flügel lang und schmal, glas hell, im
Spitzenviertel vom Ende der zweiten Längsader an geschwärzt; dritte
und vierte Längsadern parallel. Queradern so weit von einander ent¬
fernt wie die Länge des letzten Abschnittes der fünften Längsader. 2 —
27a mm. lang. S. die ausführliche Beschreibung bei Meijere.
Von Neu-Guinea: Seleo, 2 Exemplare (Biró), Ungar. Nat. Museum
und Museum von Amsterdam.
154
TH. BECKER.
168. Oscinella formosa n. sp.
Thorax und Schildchen gelb, ziemlich glänzend mit drei röthlichen
Längsstreifen, die nicht sehr scharf begrenzt und auch nur auf der vor¬
deren Thoraxhälfte deutlicher sind. Behaarung zart, weiss. Schildchen
mit vier Borsten. Brustseiten ohne dunkle Flecke. Augen nackt. Kopf
ganz gelb. Schilddreieck glänzend, fast bis an die Fühler heranreichend ;
drittes Fühlerglied von mittlerer Grösse, Fühlerborste nackt. Hinterleib
gelb. Beine rostgelb. Flügel farblos, verhältnismässig breit mit normalen
Adern. 3A — 1 mm. lang.
2 Exemplare von Formosa: Takao (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
169. Oscinella quadristriata n. sp.
Thorax und Schildchen glänzend hellgelb, ersterer auf dem Rücken
mit vier glänzend schwarzen mitunter grauen nicht sehr breiten Längs¬
streifen. Behaarung weitläufig schwarz. Schildchen mit vier schwarzen
Borsten. Brustseiten ohne dunkle Flecke. Kopf in allen seinen Theilen
ganz gelb ; Augen zart pubescent ; Stirn mit glänzend gelbem breiten
aber sehr kurzen, kaum bis zur Mitte der Stirn reichenden Scheitel¬
dreieck ; drittes Glied ziemlich gross mit nackter Borste. Hinterleib
und Beine gelb. Flügel wasserklar, ziemlich breit ; die vierte Längs¬
ader ungefähr an der Flügelspitze endigend ; zweiter Randaderabschnitt
kaum länger als der dritte ; dritte und vierte Längsadern annähernd
parallel. 3 A mm. lang.
3 Exemplare von Australien: N.-S.-Wales, Sydney (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
170. Oscinella filia n. sp.
Thorax und Schildchen rothgelb, schwach glänzend mit vier brei¬
ten schwarzen Längsstreifen. Behaarung sehr fein und dicht, schwarz.
Schildchen mit vier deutlichen schwarzen Borsten. Brustseiten mit
schwarzen Flecken an den bekannten Stellen. Augen gross, nackt. Stirn
rothgelb, so breit wie ein Auge mit gleichgefärbtem glänzenden schma¬
len und nur bis zur Stirnmitte reichenden Scheiteldreieck. Fühler ganz
schwarz ; drittes Glied nicht gross mit deutlicher nackter schwarzer
Borste. Taster gelb. Backen schmal, nicht viel breiter als das halbe
dritte Fühlerglied. Schwinger weisslich. Hinterrücken glänzend schwarz.
Hinterleib rostbraun. Beine ganz rothgelb. Flügel blass bräunlich;
erste Hinterrandzelle an der Mündung der hinteren Querader etwas ver¬
breitert ; die Entfernung der beiden Queradern von einander ist grösser
als der letzte Abschnitt der fünften Längsader. l.Va mm. lang.
2 Exemplare von Neu-Guinea : Simbang, Huon-Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
CHLOROPIDÆ.
155
171. Oscinella maculata n. sp.
Thorax und Schildchen gelb, kaum etwas glänzend, fein schwarz
behaart mit vier kaum hervortretenden röthlichen Längsstreifen, mit¬
unter im ganzen bräunlich ohne Streifung. Schildchen mit vier schwarzen
Borsten. Brus ts eiten mit schwarzem Fleck auf den Mesopleuren und
Sternopieuren, Augen gross, nackt. Stirn gelb, so breit wie ein Auge,
mit gleichgefärbtem breiten und sehr kurzen, nicht bis zur Stirnmitte
reichenden glänzenden Scheiteldreieck. Fühler gelb, drittes Glied schwarz,
von gewöhnlicher Grösse mit zart pubescenter etwas weisslicher Borste.
Taster gelb, Schwinger desgleichen. Hinterrücken glänzend rostbraun.
Hinterleib rostgelb. Beine ganz rothgelb. Flügel blassbräunlich, fast
wasserklar ; erste Längsader kurz ; zweite lang ; vierte an der Flügel¬
spitze mündend, gebogen. Zweiter Bandaderabschnitt lVs-mal so lang
wie der dritte. Queradern so weit oder weniger von einander entfernt
als der letzte Abschnitt der fünften Längsader lang. 1 mm. lang.
6 Exemplare von Neu-Guinea : Simbang, Berlinhafen (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
172. Oscinella taeniata n. sp.
Thoraxrücken matt braungrau, sehr kurz schwarz behaart. Schild¬
chen schmutzig gelb mit vier deutlichen schwarzen Borsten. Brustseiten
fleckenartig rostgelb bis rostbraun. Schwinger bräunlich. Kopf: Augen
gross, pubescent ; Stirne rothgelb, so breit wie ein Auge mit glänzend
rostgelbem, nicht breiten, aber sehr spitzen, bis fast an die Fühler
reichenden Scheiteldreieck. Fühler rothgelb mit pubescenter Borste ;
Taster gelb. Hinterrücken glänzend pechschwarz ; Hinterleib schwarz¬
braun. Beine gelb ; Hinterschenkel auf der Mitte mit brauner Binde :
Hinterschienen nach der Spitze zu etwas keulförmig verdickt, im ersten
Drittel mit schmaler brauner Binde ; das verdickte Enddrittel der Schiene
schwarz ; ebenfalls verdunkelt sind die letzten drei Tarsenglieder. An
den Mittelbeinen liegt nur eine sehr schmale Binde auf der Mitte der
Schenkel und auf deren Schiene eine schmale braune Binde vor der
Spitze. Die Vorderbeine sind nicht gezeichnet. Flügel etwas blassbraun ;
dritte und vierte Längsadern etwas divergierend. 1 lh mm. lang.
1 Exemplar von Neu-Guinea : Simbang, Huon-Golf (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
173. Oscinella tibiella n. sp.
Thoraxrücken mattgrau mit drei ziemlich breiten schwarzen Längs¬
streifen, sehr dicht und kurz fahlgelb behaart. Schildchen rothgelb, ein
wenig halbkreisförmig verlängert, oben etwas flach, dicht schwarz be¬
haart und mit zwei feinen Endborsten. Brustseiten matt schwarzgrau.
Kopf gelb; Augen pubescent; Stirn lVs-mal so breit wie ein Auge mit
156
TH. BECKER.
undeutlichem gelben Scheiteldreieck, das sich nur durch matte etwas
dunklere Färbung abhebt und nicht weit hinter der Stirnmitte verläuft.
Fühler rothgelb ; drittes Glied nicht besonders gross mit kurzer nackter
brauner Borste ; Taster gelb ; die gelben Backen so breit wie das dritte
Fühlerglied. Schwinger gelb. Hinterleib gelb mit breiten mattbraunen
Vorderrandsbinden. Beine gelb mit schwachen braunen Binden an allen
Schienen, die nicht immer binden-, sondern häufig nur fleckenartig
auftreten. Flügel blassbräunlich mit gleichgefärbten Adern ; zweite Längs¬
ader sehr lang; zweiter Bandaderabschnitt ^Va-mal so lang wie der
dritte. 2 mm. lang.
1 Exemplar von Australien: N.-S. -Wales, Springwood (Biró), Ung.
Nat. Museum.
174. Oscinella humeralis n. sp.
Thorax von rostgelber Grundfarbe ; Rücken und Schildchen grau¬
braun bestäubt, schwach glänzend mit sehr feiner kurzer weisser Be¬
haarung. Schildchen mit vier Borsten ; Schulterbeule und ein Fleck
dahinter rostgelb. Brustseiten pechschwarz bis braun ; Meso- und Ptero-
pleuren mit grauer Bereifung. Schwinger rostgelb. Kopf gelb ; Augen
gross, pubescent ; Stirn 1 Va-mal so breit wie ein Auge mit wenig deut¬
lichem mattgelben Scheiteldreieck, das nur bis zur Stirnmitte reicht.
Taster, Gesicht und Fühler rothgelb ; drittes Glied ziemlich gross mit
schwarzer fast nackter Borste. Hinterleib pechbraun. Beine ganz roth¬
gelb. Flügel blassbräunlich ; zweite Längsader kurz ; zweiter Randader¬
abschnitt nicht länger als der dritte ; vierte Längsader an der Spitze
mündend, hier mit der dritten ein wenig divergierend. HA mm. lang.
1 Exemplar von Ceylon : Pattipola, 2000 m. hoch (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
175. Oscinella pruinosa Thomson.
Thorax und Schildchen von glänzend schwarzer Grundfarbe, mit
graugelblicher Bereifung, vier Paar Dorsocentralborsten, deutlichen Hu¬
merai-, Notopleural- und Supraalarborsten. Behaarung verschwindend
oder fehlend. Schildchen mit vier Borsten. Brustseiten dicht aschgrau
bestäubt. Schwinger gelblich. Kopf gelb ; Augen nackt ; Stirn kaum
breiter als ein Auge ; das Scheiteldreieck ist breit, aber kurz, nicht
über die Stirnmitte hinausreichend, von rostbrauner Farbe, aber grau
bereift und matt ; Stirn etwas gewölbt vortretend ; Fühler rothgelb ; das
dritte Glied hat eine ganz regelmässige ovale Form mit feiner nackter
Borste ; die Backen sind ziemlich breit, fast so breit wie der halbe
Augendurchmesser. Mundrand stark abgerundet, aber doch mit einer
weissen Mundborste. Taster gelb. Hinterleib mattbraun mit scharfen
weissen Hinterrandsäumen und gelbem, ziemlich grossen schwarz be-
CHLOBOPIDÆ.
157
borsteten Hypopygium. Beine ziemlich lang und ganz gelb. Flügel
blassbräunlich, lang und schmal; die zweite, dritte und vierte Längs¬
adern sind lang und alle ein wenig nach vorne gebogen ; dritte und
vierte parallel. Entfernung der Queradern von einander gleich der
Länge des letzten Abschnittes der fünften Längsader. Fast 3 mm. lang.
1 Exemplar aus Sidney. Type im Beichsmuseum von Stockholm.
176. 0 sein ella dimorpha Ost.- Sack. [Oscinis.]
Da ich die Type nicht gesehen habe, gebe ich nachstehend Osten-
Sa cken’s Beschreibung:
cf . Antennæ red ; legs reddish-yellow, except the hind femora and
tibiae, which are brown.
J . Antennæ dark brown ; legs brown, except the fore coxae, the
base of the tibiae and of the tarsi, which are pale yellow.
Male. Head black, vertex and posterior part of the front shining
black, encroaching in the shape of an angle on the anterior half
of the front, which is ferruginous-red. Face and palpi reddish-yellow.
Antennæ ferruginous-yellow; third joint rounded- oblong, arista micro-
scopically pubescent, yellowish at the base. Thorax black, slightly
grayish-pollinose ; scutellum with two pairs of bristles ; the intermediate
very long. Abdomen black. Halteres reddish-yellow. Wings hyaline,
veins yellowish-brown ; apex of the wing infuscated beyond the tip of
the second vein ; venation like Walker, Ins. Brit. Dipt. II Tab. XYII
f. 4b ; but the small crossvein nearer to the origin of the third vein ;
the tip of the fifth vein nearly touches the margin; the posterior
crossvein is much less oblique ; a distinct fold replaces the absent basal
crossvein and the fifth vein shows a distinct break at the intersection
of this fold. Legs reddish yellow ; hind femora and tibiae brown, the
latter yellow at base and at the tip ; the anterior femora are slightly
infuscated on the upper side ; fore coxae yellow ; the other coxae black,
but the trochanters yellowish. Length 27 a — 3 mm.
Female. Like the male, but the antennæ and the palpi are brown ;
legs brown, except the fore coxae, the trochanters, the base of the
tibiae and the tarsi, which are reddish-yellow ; tip of the tarsi infus¬
cated. The infuscation of the tip of the wing is a little less intense ;
the marginal cell is often slightly tinged with brownish. Length 3 —
37^ mm.
Von den Philippinen.
177. Oscinella ornatifrons Meijere.
Ich habe die Type gesehen und gebe die Beschreibung nach de
Meijere :
Von schmaler Gestalt. Stirn in der vorderen Hälfte rothgelb, in
158
TH. BECKER.
der hinteren schwarz. Scheiteldreieck gross, glänzend schwarz, blatt¬
förmig, die Stirnmitte überragend, am Scheitel den Angenrand nicht
ganz erreichend. Hinterkopf schwarz. Fühler kurz, schwarzbraun, die
untere Hälfte des dritten Gliedes rothgelb, letzteres rundlich, die Ober¬
ecke etwas vorspringend. Borste schwarz, ziemlich dick, pubescent.
Untergesicht und die schmalen Backen rothgelb, weisslich schimmernd.
Taster rothgelb ; Rüssel schwarz. — Thorax schwarz, dicht aschgrau
bestäubt ; vier Paar Dorsocentralborsten. Schildchen von derselben Farbe,
mit vier Randborsten, die zwei mittleren jedoch doppelt so lang wie
die seitlichen. Hinterleib glänzend schwarz, an der äussersten Wurzel
rothgelb, die Hinterränder der letzten Ringe schmal, matt gelbbraun. —
Hüften, Schenkelringe und Schenkel an der äussersten Basis rothgelb;
an den Vorderbeinen die Kniee, an den Mittelschienen die Wurzel der
Schienen und der Metatarsus von derselben Farbe, im übrigen sind die
Beine schwarz. — Flügel lang, etwas gebräunt, besonders intensiv am
Vorderrand jenseits der ersten Längsader, ohne dass es jedoch eine
scharfe Grenze gibt ; dritte und vierte Längsadern etwas divergierend.
Schwinger gelb. Körper- und Flügellänge 2*5 mm.
Aus Java : Semarang (Jacobson), Januar. Museum von Amsterdam.
178. Oscinella griseicollis n. sp.
Thorax und Schildchen dicht aschgrau bestäubt, kaum etwas glän¬
zend, sehr kurz schwarz behaart, reihenweise punktiert. Schildchen
halbkreisförmig, etwas flach mit zwei schwarzen Endborsten. Brustseiten
grau bestäubt. - — Kopf gelb ; Augen gross, schwach pubescent ; Stirn
gelb, lYs-mal so breit wie ein Auge mit breitem, sehr kurzen, matt
schwarzgrauen Scheiteldreieck, das nicht bis auf die Stirnmitte reicht.
Fühler rothgelb ; '"drittes Glied ziemlich gross mit nackter Borste.
Schwinger gelblich. Hinterleib gelb mit breiten braunen Vorderrand¬
binden. Beine gelb ; Schenkel und Schienen mit braunen Binden auf
der Mitte. Flügel fast farblos mit blassbraunen normalen Adern. —
1 mm. lang.
1 Exemplar von Formosa: Takao (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
179. Oscinella punctulata n. sp.
Thorax und Schildchen matt dunkelbraun, sehr dicht punktiert,
kurz schwarz behaart und etwas streifenförmig bestäubt : man sieht
vier etwas dunklere Streifen. Schildchen mit 4 — 6 Randborsten. Brust¬
seiten glänzend pechschwarz, aber Meso- und Pteropleuren matt grau
bestäubt. Schwinger gelbbraun. — Augen gross, pubescent. Stirn etwas
breiter als ein Auge, dunkel rothbraun, vorne am Rande heller roth,
Untergesicht und Fühler desgleichen; drittes Glied von gewöhnlicher
Form und Grösse mit nackter Borste ; Taster roth ; Rüssel gross,
CHL0R0P1DÆ.
15
glänzend schwarz. — Hinterleib pechbrann, an der Wurzel und
an den Einschnitten gelb mit weisslicher Behaarung. Beine rost¬
gelb; Hüften» Schenkel und Hinterschienen auf der Mitte braun. Flü¬
gel gross, breit, ziemlich wasserklar mit braunen normalen Adern.
2 — 2 Va mm. lang.
2 Exemplare aus Australien: N.-S. -Waled, Sydney (Biró), Ungar.
Nat. Museum.
180. Oscinella lineiplena Walk. [Oscinis. ]
Mas. Fusca; capite subtus testaceo, apud oculos albo, vitta fron¬
tali alba; thorace pectoreque lineis sex albidis; abdomine sordide tes¬
taceo, pedibus albidis, tibiis tarsisque apice femoribusque anticis nigris ;
alis subcinereis, halteribus albidis.
Male . Brown. Head testaceous in front and beneath, white about
the eyes, with a white stripe on the front ; thorax and pectus with six
whitish stripes on each, thorax with an indistinct middle testaceous
stripe ; abdomen dull testaceous ; legs whitish ; tibiae and tarsi at the
tips and fore femora black ; wings greyish, veins black, discal trans¬
verse vein oblique, parted by more than its length from the border
and by full twice its length from the præbrachial transverse ; halteres
whitish. Length of the body 2 lines, of the wings 3 lines.
Yon den Aru-Inseln bei Neu- Guinea.
Anmerkung. Nur unter grossem Vorbehalt führe ich die Wal¬
ker’ sehe Art hier mit auf, denn es ist sehr wohl möglich, dass diese
Art gar keine Oscinelline ist; es könnte vielleicht eine Sciomyzine
oder Sapromyzine sein ; die Grösse deutet schon darauf hin.
181. Oscinella cinerea Meijere.
Thorax und Schildchen bläulich aschgrau mit einem schmalen
braunen Mittelstreifen und zwei breiteren Seitenstreifen, spärlich schwarz
behaart, aber mit drei Paaren längerer Dorsocentralborsten. Schildchen
nackt, mit vier deutlichen Bandborsten. Brustseiten ganz matt aschgrau
bestäubt. Schwinger rostgelb, oben am Knopfe braun. — Kopf gelb ;
Augen verhältnismässig klein, schräg liegend, nackt ; Stirn nach den
Fühlern hin etwas verengt, am Scheitel etwa doppelt so breit wie ein
Auge, rothgelb, oben zu beiden Seiten des matt schwarzgrauen Scheitel¬
dreiecks dunkelrothbraun. Fühler ganz schwarz ; drittes Glied klein mit
nackter schwarzer Borste. Taster deutlich gelb ; Backen von halber
Augenhöhe breit ; Hinterkopf aschgrau. Hinterleib aschgrau, schwarz
behaart. Beine rostgelb ; Hinter- und Mittelschenkel auf der Mitte,
Schienen an der Spitze graubraun, die beiden letzten Tarsenglieder
schwarz. Hinterbeine stark verlängert. Flügel schmal, graubräunlich mit
dunklen etwas ausgelaufenen Längsadern ; dritte und vierte konvergie-
160
TH. BECKER.
rend. Entfernung beider Queradern von einander etwas länger als das
letzte Stück der fünften Längsader. 3 mm. lang.
Aus Neu-Guinea: Seleo, Berlinhafen (Biró), Ungar. Nat. Museum.
182. Oscinella similans n. sp.
Der 0. orientalis auffallend ähnlich, etwas kleiner, namentlich
mit anderer Flügeladerung.
Thorax und Schildchen gelb, von geringem Glanze ; auf dem
Thoraxrücken liegt eine graugelbe Bestäubung, eine Streifung ist kaum
wahrzunehmen. Schildchen mit zwei Haupt- und zwei kleineren Neben¬
borsten. Brustseiten durch weissliche Bereifung matt ohne Flecken. —
Kopf ganz gelb, nur der Ocellenhöcker schwarz ; Scheiteldreieck sehr
klein, kleiner als bei orientalis , ebenfalls matt. Hinterleib pechbraun.
Beine gelb. Flügel schmal, fast farblos mit blassgelben Adern ; die
zweite Längsader geht fast gerade, nicht bogenförmig in die Bandader
wie bei 0. orientalis ; die vierte Längsader ist ganz gerade und endet
hinter der Flügelspitze ; sie divergiert nur äusserst schwach mit der
dritten ; bei orientalis ist sie deutlich geschwungen, wodurch die Diver¬
genz mit der dritten Längsader deutlich hervortritt, auch mündet sie
direkt an der Flügelspitze ; schliesslich hat die hintere Querader nicht
die auffallend schräge Stellung wie bei orientalis, steht vielmehr fast
senkrecht zur vierten Längsader oder nur wenig geneigt. 1 V* — 1 Va mm. lang.
19 Exemplare von Formosa: Tainan, Februar, Oktober (Sauter),
Ungar. Nat. Museum.
183. Oscinella intrita n. sp.
Thorax von rostrother Grundfarbe, auf dem Rücken und Schildchen
aber glänzend schwarz, fein punktiert mit etwas gelbbraunem Reif über¬
zogen, der aber den Glanz nicht stark beeinträchtigt, und mit deutlich
fahlgelben Haaren ; nur eine hintere Dorsocentralborste ; Schildchen mit
vier fast gleichgrossen Randborsten. Schulterbeulen und Brustseiten rost-
roth mit unbestimmter dunkler Fleckung. Kopf gelb ; Augen gross, pu¬
bescent ; Stirn kaum breiter als ein Auge, hinten wie der Hinterkopf
schwarzbraun ; Scheiteldreieck breit aber kurz, schwarz, mattglänzend ;
Fühler rothgelb, drittes Glied gross mit fast nackter Borste ; Rüssel
und die etwas vorstehenden Taster roth. Backen sehr schmal, schmäler
als das halbe dritte Fühlerglied. Hinterleib pechbraun, schwach glänzend,
fahlgelb behaart. Beine ganz hellgelb. Flügel schwach graulich getrübt,
gross und breit mit normaler Äderung. 1 V* mm. lang.
1 Exemplar von Formosa: Chip-Chip, Febr. (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
184. Oscinella pallidinervis n. sp.
Breitgebaute Art ; Thoraxrücken und Schildchen dicht grau be-
CHLOROPIDÆ.
16 J.
stäubt, matt mit kurzen feinen weissen Haaren, auch die Schildborsten
sind weiss ; Schwinger blassgelb ; Brustseiten mit Ausnahme der Meso-
und Pteropleuren glänzend pechbraun. — Kopf: Augen gross, pubescent;
Stirn wenig breiter als ein Auge, röthlichbraun mit kurzem nur bis zur
Stirnmitte reichenden schwarzen mattglänzenden Scheiteldreieck. Fühler
roth, drittes Glied mit etwas stumpfer Oberecke und verdunkeltem
Vorderrande ; Borste sehr kurz, nackt, deren Endtheil weisslich schim¬
mert ; Taster gelb, Rüssel glänzend schwarz ; Backen grau bereift, schmal,
von halber Fühlerbreite. — Hinterleib pechbraun, wenig glänzend, fein
weiss behaart. Beine nebst Hüften rostgelb ; Schenkel und die Hinter¬
schienen mit breiter schwarzbrauner Binde. — Flügel milchweisslich,
Randader blassgelb ; erste Längsader ziemlich lang ; zweite, dritte und
vierte fast parallel; kleine Querader hinter der Mitte der Diskoidalzelle.
1 Va mm. lang.
1 Exemplar von Formosa: Tainan, Febr. (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
185. Oscinella pœcilogaster n. sp.
Grundfarbe vom Thorax schwarz, aber Rücken, Schildchen und
auch die Brustseiten sind dicht aschgrau bestäubt ; die sehr kurze Be¬
haarung ist weisslich ; auf dem etwas flachen Rücken machen sich drei
durch Punktierung bewirkte schwache Längslinien bemerkbar ; Schildchen
mit zwei Borsten, Thorax mit einer Dorsocentral-, einer Supraalar-,
einer Humeral- und zwei Notopleuralborsten ; Schwinger blassgelb. —
Kopf: Augen undeutlich pubescent, ziemlich gross. Stirn gelb, kaum
breiter als ein Auge. Scheiteldreieck kurz, kaum bis zur Stirnmitte
reichend, matt grauschwarz ; Fühler, Taster und Rüssel gelb ; drittes
Fühlerglied mit deutlicher stumpfer Oberecke und nackter Borste ;
Backen schmal, gelb. — Hinterleib buntgefärbt ; Grundfarbe blassgelb ;
erster, zweiter und dritter Hinterleibsring auf der Oberseite roth mit je
einem schwarzen Seitenflecken und dreieckigem Mittelfleck ; auf den
letzten beiden Ringen vereinigen sich die drei schwarzen Flecken zu
einer in der Mitte zackig erweiterten Vorderrandsbinde. Beine rothgelb,
Hinterschenkel auf der Mitte breit braun ; Vorder- und Mittelschenkel
nur mit unbestimmter Fleckung auf der Oberseite. Flügel schwach grau¬
lich mit bräunlichen normalen Adern. \XU mm. lang.
2 Exemplare (cf) von Formosa: Tainan, Febr. (Sauter), Ungar.
Nat. Museum.
186. Oscinella sorella n. sp.
Diese Art ist eng verwandt mit 0. siphonelloides.
Thorax und Schildchen schwarz, durch dichte Punktierung nur
mattglänzend, kurz fahlgelb behaart ; die Beborstung am Schildchen und
11
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX.
162
TH, BECKER.
auch am Thorax ist nur schwach. Brustseiten glänzend pechschwarz. —
Kopf schwarz, Augen gross, zart pubescent ; Stirn matt, fast doppelt so
breit wie ein Auge mit grossem glänzenden schwarzen Scheiteldreieck, das
bis zu den Fühlern reicht, an den Seiten aber nicht scharf begrenzt ist ;
auf seiner Mitte liegt eine feine eingeschnittene Linie und die Fläche
ist deutlich punktiert. Fühler dunkel rothbraun, das dritte Glied mit
abgerundeter Oberecke und kurzer nackter, etwas weisslicher Borste.
Gesicht und Backen schwarz, letztere an der unteren Hälfte wulstig und
punktiert, wie das bei den Siphönella- Arten meistens der Fall ist. —
Hinterleib glänzend pechschwarz, fast nackt. Beine nebst Hüften schwarz ;
Schenkelglieder, Kniee, Spitze der Schienen und die Tarsen rostgelb.
Flügel weisslich mit blassbraunen Adern ; die erste Längsader ist lang
und reicht bis zur Flügelmitte ; dritte und vierte Längsadern parallel.
2 — 2 Va mm. lang.
35 Exemplare von Formosa: Tainan, Febr. (Sauter), Ungar. Nat.
Museum.
Anmerkung. Beide Arten 0. poecilogaster und sorella sind
Übergangsformen zur Gattung Siphönella. Wenn man bei dieser Gat¬
tung den Schwerpunkt auf den schmalen, deutlich verlängerten Büssel
legt, so kann man diese beiden Arten nicht bei ihr lassen.
187. Oscinella frit L. 6 Exemplare von Java: Wonosobo, April
und Salatiga, Oktober (Jacobson), Museum von Amsterdam.
188. Oscinella frit var. pusilla Meig. mit hellen Schienen, von
Formosa : Tainan, Oktober (Sauter), Ungar. Nat. Museum.
189. Oscinella pygmæa n. sp.
Thorax schwarzbraun. Bücken bräunlich, matt, Schildchen mit
zwei Borsten. Schwinger schwarz ; Kopf desgleichen ; Stirne vorne etwas
rothbraun mit mattglänzendem kleinen schwarzen Scheiteldreieck. Füh¬
ler dunkelbraun, pubescent mit mikroskopisch pubescenter Borste. Hinter¬
leib schwarz. Beine desgleichen ; Kniee, Wurzel und Spitze der Schienen
und die Tarsen mit Ausnahme der Spitze rostgelb ; auf den braun¬
schwarzen Schienenbinden zeigt sich noch in der Nähe der Basis ein
heller gelber Bing, so dass zwei nicht scharf unterbrochene Binden
vorhanden sind. Flügel blassbräunlich ; die vierte Längsader ist ziem¬
lich stark nach dem Vorderrande hin aufgebogen. Va — 3A mm. lang.
2 Exemplare von Java: Bekassi im Juni (Jacobson).
Anmerkung. Herr Jacobson schreibt dazu : Auf dem Stengel
einer Pflanze fand ich eine Anzahl Ameisen in Kampfstellung sitzend.
Bingsum die Stelle, wo die Ameisen sassen, flog eine grosse Menge
dieser kleinen Fliegen ; sobald eine derselben sich dem Stengel zu sehr
näherte, wurde sie von den Ameisen vertrieben; die Ursache konnte
CHLOROPIDÆ.
163
ich nicht entdecken. Schildläuse oder dergleichen fanden sich am Sten¬
gel nicht.
190. Oscinella defecta n. sp.
Grundfarbe schwarz bis gelb ; breit gebaute Art. Thoraxrücken,
Brustseiten und das Schildchen mit Ausnahme seiner gelben Spitze
dicht grau bestäubt ; das Schildchen ist etwas länger als gewöhnlich ;
die feine Behaarung und die feinen Borsten sind weiss ; auf dem
Thoraxrücken sieht man ausserdem noch drei schmale bräunliche, nicht
allzu deutliche Längslinien. Schwinger blassgelb. — Kopf fast ganz
gelb, Hinterkopf auf der Mitte verdunkelt. Augen ziemlich gross, deut¬
lich pubescent ; auf der gelben Stirn, die nicht viel breiter ist als ein
Auge, ist kein Scheiteldreieck sichtbar, auch auf derjenigen Stelle, wo
sonst das Dreieck liegen müsste, ist die Stirnfläche gleichmässig fein
behaart ; von dem schwarzgrau bestäubten Ocellenhöcker geht nur eine
schmale wenig bemerkbare Rinne bis zum Stirnvorderrande. Fühler
klein rothgelb mit heller nackter Borste ; der Mundrand ist etwas hoch¬
gezogen und gleichzeitig etwas vorgestreckt ; das Untergesicht etwas
konkav und hier glänzend schwarz, auch der obere innere Mundrand
ist geschwärzt wie der Rüssel, während die Taster hellgelb sind. —
Hinterleib hellgelb mit braunen Vorderrandbinden. Beine rothgelb, nur die
Hinterschenkel und Hinterschienen auf der Mitte mit einem unbedeuten¬
den braunen Wisch. Flügel weisslicli mit farblosen Adern ; die kleine
Querader steht weit diesseits der Mündung der ersten Längsader in der
Nähe der Flügelbasis auf der Mitte der Diskoidalzelle, dritte und vierte
Längsadern parallel. 2 mm. lang.
1 Exemplar aus Java: Salatiga (De. v. Leeuwen), Museum von
Amsterdam.
191. Oscinella pænultima n. sp.
Der vorigen in allgemeiner Körperfärbung etwas ähnlich. Thorax
von dunkler Grundfarbe, jedoch Rücken, Schildchen und Brustseiten
dicht hellaschgrau bestäubt mit sehr kurzer weisser flaumartiger Be¬
haarung, mit einer Dorsocentral-, einer Supraalar-, zwei Notopleural-
und zwei Schildborsten, welche schwarz sind. Schwinger blassgelb. Kopf
blassgelb, Hinterkopf verdunkelt. Augen ziemlich gross, pubescent Stirn
wenig breiter als ein Auge mit einem kleinen matt braungrauen Scheitel¬
dreieck, das nur bis zur Mitte der Stirn reicht. Orbiten, Backen und
der Clypeus weiss bereift, Fühler, Rüssel, Taster hellgelb ; drittes Glied
mit einer kurzen an der Wurzel weissen Borste. Backen etwas schmäler
als das dritte Fühlerglied. — Hinterleib blassgelb mit schwarzen Flecken
und Binden : auf dem zweiten Ringe liegt im Seitenwinkel je ein
schwarzer Fleck ; der dritte hat eine durchgehende schwarze Vorderrand-
11*
164
TH. BECKER.
binde ; auf dem vierten und fünften Ringe liegen je drei schwarze
Flecken, einer auf der Mitte und zwei an den Seiten. Beine "rothgelb,
Hinterschenkel auf der Mitte braun, mitunter zeigen auch die beiden
anderen Schenkel auf ihrer Oberseite einen braunen Streifen. Flügel
weisslich mit farblosen Adern. Randader etwas gelblich mit einem klei¬
nen dunklen Flecken an dem Endpunkte der ersten Längsader ; dritte und
vierte Längsadern an der Spitze ein wenig divergierend. 1 — LA mm. lang.
2 Exemplare aus Java : Semarang (Jacobson) und Salatiga (Dr. v. Leeu-
wen), Museum von Amsterdam.
192. Oscinella semimaculata n. sp.
Diese Art bildet mit den beiden vorhin beschriebenen 0. filia
und maculata eine kleine Gruppe nahe stehender Arten ; sie unter¬
scheiden sich in der Streifung des Thoraxrückens und in der Färbung
der Fühler und der Brustseiten, auch die Flügeladerung gibt kleinere
Unterschiede. Ich vermag diese drei Arten nicht als eine einzige Art mit
Variationen aufzufassen, wenn es auch möglich und wahrscheinlich ist,
dass sie sich aus der gleichen Stammform entwickelt haben,
Thorax ziemlieh glänzend gelb mit 3 — 4 schwachen schwärzlichen
bis röthlichen Längsstreifen ; mitunter verschwindet die Streifung und
macht einer nur unbestimmten Bräunung Platz. Behaarung kurz schwarz ;
Brustseiten nur mit einem schwarzen Fleck auf den Mesopleuren. —
Kopf gelb ; Stirn etwas breiter als ein Auge; Scheiteldreiek klein, kaum
bis zur Stirnmitte reichend, glänzend gelb, Taster und Fühler gelb ;
drittes Glied auf der oberen Seite ungefähr zur Hälfte schwarz mit
schwarzer mikroskopisch pubescenter Borste. Hinterleib schwarzbraun,
dunkler als bei den anderen Arten. Beine ganz gelb. Flügel wasser¬
klar, Äderung wie bei 0. maculata. I1/* mm. lang.
4 Exemplare von Formosa : Tainan (Sauter) und 5 Exemplare aus
Neu-Guinea: Simbang, Huon-Golf (Biró). Ungar. Nat. Museum.
193. Oscinella inæqualis n. sp.
Thoraxrücken und Schildchen dicht aschgrau bestäubt, auf dem
Rücken mit drei ungleich breiten rothbraunen Streifen; der mitllere
ist nur linienartig, die seitlichen breit. Behaarung sehr kurz weiss ;
Borsten schwarz ; auf dem Schildchen nur zwei. Brustseiten ganz asch¬
grau. Schwinger blassgelb. Kopf gelb, Hinterkopf auf der Mitte schwarz¬
braun ; Stirn 1 Vs -mal so breit wie ein Auge; Scheiteldreieck ziemlich
gross, bis über die Stirnmitte hinaus reichend, mattbraun. Taster und
Fühler hellrothgelb, Borste kurz nackt, an der Wurzel gelb ; Backen
schmäler als das dritte Fühlerglied. Augen gross, pubescent. — Hinter¬
leib rostgelb mit schwarzbraunen Binden und Flecken : am zweiten
Ring zwei schwarze Seitenflecken, am dritten Ringe eine Binde, welche
CHLOROPIDÆ.
165
fast den ganzen Eing einnimmt und nur einen schmalen Hinterrand-
saum stehen lässt; sie steht mit den Seitenflecken des zweiten Binges
in Verbindung; der vierte und der fünfte Ring haben schmälere Vorder¬
randsbinden, die auf der Mitte eine dreieckige Verlängerung zeigen;
■die Hinterleibsspitze ist wieder ganz gelb. Beine gelb mit braun ban-
dierten Schenkeln. Flügel wasserklar mit farblosen Adern. l'Va mm. lang.
3 Exemplare von Formosa: Tainan, Febr. (Sauter), Ungar. _\at.
Museum.
194. Oscinella selachopina Thoms.
Thorax und Schildchen von schwarzer Grundfarbe, braungrau be^
reift und reihenweise punktiert, so dass sich drei Reihen zusammen¬
gedrängter Punkte ergeben, ähnlich wie bei der Gattung ElcicMptera.
Das Schildchen soll halbkreisförmig sein (ist nicht mehr sichtbar) ; die
sehr kurze Behaarung ist weisslich. Brustseiten glänzend pechbraun,
Meso- und Pteropleuren grau bestäubt. Schwinger rostgelb. — Kopf
matt braungrau. Stirn stark vortretend, vorne abgerundet und auf ihrer
Oberfläche im Ganzen etwas vertieft, was aber auch durch Eintrock¬
nung enstanden sein kann ; ein Scheiteldreieck ist nicht zu sehen, statt
dessen zieht sich eine kleine Leiste vom Ocellenhöcker nach abwärts.
Augen nackt, rund, verhältnismässig klein. Gesicht etwas zurückwei¬
chend. Backen breit, schmutzig gelb, so breit wie Vs der Augenhöhe ;
unter dem Stirnrande liegen die kleinen rothen Fühler mit kurzer
nackter Borste. Hinterleib braun mit feinen gelben Hinterrandsäumen.
Beine rostgelb ; Schenkel und Schienen auf der Mitte verdunkelt. Flü¬
gel schwach graubräunlich mit dunklen normalen Adern. 3 mm. lang.
Aus Sydney. Type im Reichsmuseum zu Stockholm.
Melanochæta Bezzi.
195. Melanochæta flavofrontata Beck.
Es ist dieselbe Art, die ich in Unter- Aegypten fand ; ich bemerke
nur eine geringe Verdunklung an den Vorderbeinen, wodurch sich diese
Exemplare aus Hinter-Indien etwas abheben, welche Verdunklung sich
bei einem Exemplar so weit steigert, dass Vorderschiene und Tarsen
schwarzbraun sind und dass man an der Innenseite der Vorderschenkel
dicht vor der Spitze einen kleinen braunen Flecken findet ; für gewöhn¬
lich zeigt sich nur eine Bräunung der Vordertarsen und die Spur einer
braunen Mittelbinde auf den Hinterschienen. 1 Va — 2 mm. lang.
10 Exemplare aus Mittel- Annam (Fruhstorfer). Wiener Hof¬
museum.
166
TH. BECKER.
Cephaloconus Walk.
boem. Corpus breviusculum, subconvexum. Caput thorace vix bre¬
vius ; facies elongata, porrecta, conica ; peristoma minimum. Proboscis
et palpi brevissima. Antennæ brevissima», articulo 3° conico, arista
nuda. Scutellum productum. Abdomen longieonicum, thorace paulo bre¬
vius. Pedes breviusculi, tibiis tarsisque gracilibus. Alæ mediocres.
Female. Body rather short, slightly convex. Head nearly as long
as the thorax ; the face elongated, porrect and conical ; peristoma very
small. Proboscis and palpi very short. Antennæ very short; 3rd joint
conical ; arista simple, slender, about four times the length of the 3rd
joint. Scutellum prominent. Abdomen elongate-conical, shorter and a
little narrower than the thorax. Legs rather short ; tibiæ and tarsi
slender. Wings of moderate size ; veins straight ; præbrachial vein
beyond the discal transverse vein slightly converging towards the cu¬
bital vein.
196. Cephaloconus tenebrosus Walk.
boem. Cinereo-niger, obscurus, capite nitente lineis quinque flavis,,
antennis luteis, metathorace testaceo, tibiis, tarsis halteribusque pallide
flavis, alis nigris postice cinereis.
Female. Cinereous black, dull. Head shining black, with five yellow
lines— two above, one on each side and one beneath; front piceous,
slightly interlined with yellow. Antennæ luteous. Metathorax testaceous.
Tibiæ and tarsi pale yellow. Wings black, cinereous along the hind
border ; veins black ; discal transverse vein straight, nearly upright,
parted by half its length from the border, and by a little more than
twice its length from the præbrachial transverse vein ; halteres pale
yellow. Length of the body 2 lines ; of the wings 3 Va lines. New-
Guinea.
Anmerkung. Ich reproduziere vorstehend die Walker* sehe-
Beschreibung seiner Gattung Cephaloconus , von der ich annehme, dass
sie hierher gehört; jedoch geschieht dies immerhin nur mit gewissem
Vorbehalt, da es mir nicht möglich war, die Type vergleichen zu kön¬
nen ; sie scheint mir mit Pseudearina Meijere als Gattung zusammen
zu fallen.
CHLOROPIDÆ.
167
ERKLÄRUNG DER FIGUREN.
Tafel I.
Fig. 1. Formosina gigas Beck.; ganze Figur. 14: 1.
Fig. 2. Chlorops sulcata Beck. ; Kopf, schematisch vergrössert.
Fig. 3. Chlorops stigmatella var. Beck. ; desgleichen.
Fig. 4. Chlorops stigmatella Beck. ; desgleichen.
Fig. 5. Chlorops striatifrons Beck. ; desgleichen.
Fig. 6. Phyladelphus cristatus Beck. ; Fühler, vergrössert.
Fig. 7. Ochtherisoma imitator Beck. ; ganze Figur. 14:1.
Fig. 8. Euryp aria rara Beck.; Kopf, vergrössert
Fig. 9. Anthracophaga albovariata Thoms. ; Ansicht der Rückenzeichnung,
vergrössert.
Fig. 10. Hemisphaerisoma politum Beck. Kopf. 14 : 1.
Fig. 11. Hippelates nigricornis Thoms.; Fühler, vergrössert.
Fig. 12. Disciphus peregrinus Beck. ; Schema vom Thorax und Schildchen.
Fig. 13. Disciphus peregrinus Beck.; Flügel. 14 : 1.
Fig. 14. Disciphus alatus Beck. ; Flügel. 14 : 1.
Fig. 15. Par ahipp elates aequalis Beck.; Kopf. 14: 1.
Fig. 16. Hippelates citreiformis Beck. ; Fühler, vergrössert.
Fig. 17. Chlorops frontata Beck. ; Kopf, vergrössert.
Fig. 18. Loxotaenia gracilis Mejj. ; Kopf. 14 : 1.
Fig. 19. Chlor omer us pallidior Beck.; Schildchen, vergrössert.
Fig. 20. Par ahipp elates nudisela Beck. ; Schildchen, vergrössert.
Fig. 21. Hippelates tripes Beck.; Hinterbein, vergrössert.
Fig. 22. Hippelates citreiformis Beck. ; Hinterbein, vergrössert.
Tafel II.
Fig.
1. Gampsotera
unipunctata Beck. ;
Flügel.
14 : 1.
Fig.
2.
«
maculipennis Beck.
; «
«
Fig.
3.
«
notata Meijere ;
«
«
Fig.
4.
«
lunifer Beck. ;
«
«
Fig.
5.
«
binotata Beck. ;
«
«
Fig.
6.
«
poecilopterci Beck. ;
«
«
Fig.
7.
«
curvinervis Beck. ;
«
«
Fig.
8.
«
lanceolata Beck. ;
«
«
Fig.
9.
«
triplex Beck. ;
«
«
Fig.
10.
«
latipennis Beck. ;
«
«
Fig.
11.
«
maculipennis Beck.
; Fühler
, vergrössert.
Fig.
12.
«
mutata Beck. ;
«
«
Fig.
13.
«
lanceolata. Beck. ;
«
((
Fig. 14. Epicelyphus principalis Beck.; ganze Figur. 14: 1.
Fig. 15. Epicelyphus principalis Beck.; Schema vom Thorax und Schildchen.
Fig. 16. Dactylothyrea infumata Meijere ; Schema vom Thorax und Schildchen.
Fig. 17. Dactylothyrea in fumata Meijere; ganze Figur. 14: 1.
Fig. 18. Dactylothyrea infumata Meijere ; Fühler, vergrössert.
Fig. 19. Meroscinis conica Beck. ; Schema vom Thorax und Schildchen.
168
TH. BECKER
Fig. 20. Pselaphia macrocera Beck.; ganze Figur. 14 : 1.
Fig. 21. Anthracophaga sulcifrons Beck. ; Kopf mit Scheiteldreieck, ver-
grössert.
Fig. 22. Chlor ops antennata Beck. ; Kopf, vergrößert.
Alphabetisches Register der Gattungen.
Seite Seite
Anatrichus Lw. „„ ™ ™ ™ _ _ _ ™ 116 Hippelates Lw . ™ ™™ ™ ™ ™ 100
Anthracophaga Lw. ™ ™ .... .... ... . . 74 Homalura Meig. .... .... .„ _ £ ™ .... 36
Assuania Beck. .1. .... .... .... .„. , . 81 Loxotænia Beck. ™ . 83
Batrachomyia Macleay, Krefft. ™ 117 Melanochaeta Bezzi . .... 165
Cephaloconus Walk. . ... _ 166 Meroscinis Meijere. .. .... M. ....' .... .... 87
Cerais Wulp. _ _ „ .... .... .„ 37 Metopostigma Beck _ _ .... ™ 52
Chloromerus Beck. . _ .. „„ „„ 40 Microneurum Beck. JE . ..„ .... 140
Chloropisca Lw . .... m .... .... _ _ 73 Notonaulax Beck . .... ™ „„ .... .... 142
Chlorops Meig. ..„ .... .... . ... .... 53 Ochterisoma Beck. .. . £ .... _ 39
Chloropsina Beck. . __ .... 51 Oscinella Beck . .... . 144
Chromatopterum Beck. . ™ .... 82 Pachylophus Lw. _ .. _ ™ .... .... 41
Dactylothyrea Meijere .... .... ™ 96 Parahippelates Beck. .... ........ .._ 109
Dicræus Lw. . 143 Parectecephala Beck.,, . ™ .... ™ 52
Disciphus Beck. .... .... .... .... .... .... 98 Phyladelplrus Beck. ™ . .. . 49
Elachiptera Macq. .... J _ J ™.™ 99 Prionoscelus Beck. .... ™ . . 99
Epicelyphus Beck. . ... .... .... 95 Pselaphia Beck. . . % .... 117
Eurina Meig. ™ . .... . 41 Pseudeurina Beck., . .... .... .... .... .... 139
Euryparia Beck. . ... ™ ™ .... 84 Scoliophthalmus Beck. . . .... 113
Formosina Beck.™ . ;, . . .... 78 Semaranga Beck . ..1 .... ... . 48
Gampsocera Schin. .. . ™ ... .. . 130 Siphlus Lw. .... ™ ... .... £ .... 50
Gaurax Lw.™ . .... .... ™ .... . 117 Steleocerus Beck. ... .... .... .... .... ™ 44
Hemisphærisoma Beck., . . 47 Thyridula Beck . .... .... .... ™ .... 94
Alphabetisches Verzeichnis der Arten .
Seite Seite
æqualis Beck., Gaurax. .... .... ... . 128 atrifrons Beck., Gaurax.. _ .... .... .... 126
aequalis Beck., Paraliipp elates _ _ 111 australis Beck., Formosina ........ .... 80
alatus Beck., Disciphus ,,„ . 99 Bataviæ Beck., Hippelates.... ™- .... .... 108
albifrons Walk., Chlorops .... „„ „„ , 71 bilineatus Meijere, Hipjielates™ 103
albipennis Beck., Scoliophthalmus™ 114 binotata Beck., Gampsocera „„ ™ „„ 135
albipilus Beck., Scoliophthalmus „„ 114 bispinosa Beck.. Oscinella ™ „„ 152
albiseta Beck., Meroscinis., . . ™ 93 breviseta Beck., Gaurax . . J. lâ ™ 122
albitarsis Kertész, Hippelates . 106 breviventris Beck., Thyridula . 94
albopilosa Beck., Chlorops™ .... _ _ i 64 canaliculata Beck., Chlorops ™ ™ ™ 71
alboyariegata Meijere, Anthraco- capitatus Beck., Hippelates ™ ™ 105
phaga . . ™ .. . ™ ™ „„ 77 carinata Beck., Chlorops ™ ™ ™ ™ 59
antennata Beck., Chlorops ™ ^ ™ 69 cinerea Meij., Oscinella ™ ™ ™ ™ 159
argentea Walk., Chlorops ™ ™ 36 citreiformis Beck., Hippelates ™ 108
argyrops Kertész, Gaurax ™ ™ . 123 conciusata Walk., Chlorops ™ ™ 53, 73
CHLOROPIDÆ.
169
conica Beck., Meroscinis ™ „ _ _ 'Jj
cornifer Beck., Phyladelplius ™ ™
cristatus Beck., Phyladelphus „„ ™
curvinervis Beck., Gampsocera „„
defecta Beck., Oscinella™ „„ _ _ _ „„
delicata Beck., Chloropsina ™ ™
dimidiata Wied., Chlorops ™ iA A.
dimidiata Beck., Meroscinis™ „„ „„
dimorpha O.-Sack., Oscinella™ ™
divisa Beck.. Gampsocera _ _ „„
dorsocentralis Beck., Semaranga
elegantula Beck., Meroscinis , ™
ensifer Thoms., Steleocerus ™ À. „„
erinaceus Lw., Anatrichus 1, A ™
farinosa Beck., Chlorops _ _ „ „„
fascipes Beck., Notonolaux „ _
femoralis Beck., Prionoscelus ... . .
femorata Beck., Chlorops . A _
ferruginosus Beck., Hippelates™ „„
filia Beck., Oscinella.„ . . .
finitima Beck., Meroscinis _ „ _
flavofrontata Beck., Chlorops . .
flavofrontata Beck., Melanocliæta A
flavus Thoms., Hippelates , . A :'M
formosa Beck., Oscinella . A ™
formosus Beck., Steleocerus .
frit L., Oscinella A 0 ™ „„ ™ „„
frontata Beck., Chlorops A A a —
funicola Meij., Microneurum „„ ™
fuscipennis Meij., Eurinä ™ ™ „„ A
fuscipennis Thoms., Chlorops A A,
fuscipleuris Beck., Parahippelates ™
fusiformis Beck., Gaurax™ „„ „„
gigas Beck., Formosina™ ™ „„ A _
glaber Beck., Gaurax _ _ _ „„ A
gracilis Meij., Loxotænia .1 _ _ _
griseicollis Beck., ' Oscinella _ _ A
grossiseta Beck., Assuania ™ „„
humeralis Beck., Oscinella . . .
hyalipennis Meij., Dactylothyrea
imitator Beck., Ochtherisoma „„
impura Beck., Oscinella „„ „„ „„ „„
inæqualis Beck., Oscinella „„ „„
incisa Meij., Chlorops „„ „„ ™ „„ a'
indica Beck., Parectecephala
indistincta Beck., Gampsocera .
infumata Meij., Dactylothyrea ™ ..
infuscata Beck., Eurina™ ... „„
Seite
infuscata Beck., Gampsocera „„ „„ 138
intrita Beck., Oscinella . . „„ 160
Jacobsoni Beck., Gampsocera .... 138
javanensis Beck., Chlorops ™ . . 71
Jacteipes Beck., Oscinella™ „ _ _ _ 151
lævifrons Beck., Chlorops, ™ ™ ™ 66
lanceolata Beck., Gampsocera ™ 136
latipennis Beck., Gampsocera ™ , , 136
lineatus Beck., Hippelates ™ ™ ™ 105
lineiplena Walk., Oscinella ™ ™ 159
lucens Beck., Formosina . ™ ™ SO
lucidifrons Beck., Oscinella - ™ 149
lunifer Beck., Gampsocera „„ ™ ™ 133
lutea Meij., Oscinella . ™ „ .... 153
macrocera Beck., Pselaphia ™ ™ ™ 117
maculata Beck., Oscinella . A. 155
maculata Meij., Pseudeurina . . 140
maculipennis Beck., Gampsocera ™ 132
maculipennis Wied., Homalura „„ 36
magnicornis Wulp, Cerais™ ™ ™ A 37
magnus Beck., Prionoscelus .... ™ 99
major Beck., Hippelates ™ „ _ AA 106
marina Beck., Notonaulax , „ _ „ ™ 143
megacephalus Lw., Siphlus .... ™ ™ 50
Meijerei Beck., Meroscinis™ ™ ™ ™ 92
mesopleuralis Beck., Hippelates 109
mesopleuralis Beck., Oscinella . 150
minima Beck., Chlorops .... . A 66
minimum Meij., Microneurum ™ 141
minor Meij., Hippelates ™ .... ™ ™' 105
minuta Beck., Oscinella™ ..... ™ A .... 151
mixtus Beck., Hippelates... A . 107
modestus Beck., Hippelates ™ . .. 107
mutata Beck., Gampsocera . .A 134
nervosus Beck., Gaurax _ ™ ™ ™ .... 127
nicobarensis Schin., Chlorops ... .... 63
nigricornis Beck., Gaurax . A A 127
nigricornis Thoms., Hippelates ™ ™ 103
nigrifrons Beck., Oscinella „„ ™ ..... 151
nigritarsis Skuse, Gaurax . 129
nigroscutellata Beck., Assuania ™ .... 81
nigroscutellata Beck., Elachiptera ™ 99
nitidifrons Beck., Meroscinis . . .... 93
noctilux Walk., Oscinella™ ™ ™ .. . 148
notata Meig., Chloropisca .... _ .. .... 73
notata Meij., Gampsocera ™ ™ ™ 132
nudisela Beck., Parahippelates ™ ™ 113
obliquus Beck., Scoliophthalmus ™ 114
Seite
89
49
49
135
163
51
36
91
157
138
48
89
45
116
65
142
100
70
105
154
92
64
165
103
154
46
162
68
141
42
54
112
122
79
125
84
158
82
156
97
39
150
164
63
52
134
97
43
170
TH. BECKER
Seite
obscurellus Beck., Steleocerus .... 45
occultus Beck., Scoliophthalmus .... 115
ocliracea Beck., Chlorops . .... .... 72
ochracea Beck., Formosina .... ..... „. 81
ochrostoma Beck., Chlorops .... .... .... 69
oculata Beck., Chlorops . ... ....ál 72
oculata Beck., Chloropsina ... .... .... ... 51
oculatus Beck., Gaurax... ... . ■ .... .... 127
opaculus Beck., Gaurax .... .... .... — 121
orientalis Beck., Dicræus . . .... .... 143
orientalis Beck., Eurina„. .... .... .... 44
orientalis Beck., Oscinella ... .... .. 153
ornatifrons Meij., Oscinella.... . 157
paenultima Beck., Oscinella .... _ ... 162
pallidinervis Beck., Oscinella .... 160
pallidior Beck., Chloromerus ........ 40
pallidior Beck., Gaurax .... . ; .... 128
paludosa Meij., Chlorops .... .... .... .... 62
papuanus Kertész, Gaurax . 124
pauper Beck., Chlorops. . 67
pellucida Beck., Meroscinis .... ™ .... 92
peregrinus Beck., Disciphus .... .... .... 98
piceus Beck., Gaurax .„. .... .... . . 126
pictipes Beck., Chlorops „ .... ™ .... 60
pcecilogaster Beck., Oscinella .... . 161
pœciloptera Beck., Gampsocera _ _ 137
polita Beck., Chloropisca . . 73
politum Beck., Hemisphaerisoma .... 47
postmacula Walk., Chlorops _ _ -J> 54
principalis Beck., Epicelyphus ™ ™ 95
prominens Beck., Scoliophthalmus 115
pruinosa Thoms., Oscinella .... 156
pubescens Beck., Chromatopterum 82
pubicollis Beck., Gaurax .... „ _ 4 .... 121
pulchrifrons Meij., Par ahipp elates .... Ill
punctulata Beck., Oscinella ™ . 158
purus Beck., Chloromerus .... .... .... 40
pusilla Meig., var. frit L. Oscinella 162
pygmaea Beck., Oscinella r... . . ™ 162
quadrilineata Meij., Anthracophaga 75
quadrilineatus Skuse, Gaurax 125
Se.te
quadristriata Beck., Oscinella .... _ 154
rara Beck., Euryparia . „.. .... 85
recta Beck., Meroscinis™ .... .... .... ... 91
rubicundus Beck., Gaurax™ .... .... „.. 122
rubra Meij., Chlorops „. .... ..„ .„ .... 61
rubricollis Beck., Chlorops . . 68
rufescens Meij., Pachylophus _ .... 41
Sauteri Beck., Metopostigma .„ .... 52
scutellaris Beck., Chlorops .. .... _ _ 57
scutellata Meij., Meroscinis ™. .. . ™ 90
selachopina Thoms., Oscinella __ .... 165
semimaculata Beck., Oscinella.... 164
setarius Beck., Hippel ate s... . 107
signatum Woll., Microneurum... „„ 141
similans Beck., Oscinella .... .... .... ™ 160
similifrons Beck., Oscinella .1 _ « 152
similis Beck., Oscinella .... _ _ ... 153
simplex Beck., Chlorops . 67
siphonelloides Beck., Oscinella .„ .... 149
sorella Beck., Oscinella .„ . ..- 161
sternopleuralis Beck., Hippelates.,.. 109
stigmatella Beck., Oscinella .... .... 59
striatifrons Beck., Chlorops .... .... 57
subpilosa Beck., Oscinella _ ;. ... 150
sulcata Beck., Chlorops .... ..„ .... ™ 58
sulcifrons Beck., Anthracophaga ..„ 76
taeniata Beck., Oscinella . . .... 155
tarsalis Beck., Gampsocera ™ „. . 139
tenebrosus Walk., Cephaloconus .... 166
tenellus Beck., Steleocerus _ .... 46
tenuiseta Beck., Gaurax .._ .... .... .... 126
tibiella Beck., Meroscinis . 90
tibiella Beck., Oscinella .... .... .... 155
triangulatus Beck., Gaurax . . 1 -;3
trifasciata Meij., Anthracophaga .... 76
tripes Beck., Hippelates . . .... 104
triplex Beck., Gampsocera .... ™ .... 133
unipunctata Beck., Gampsocera _ ... 137
vicaria Walk., Chlorops .... .... .... .„. 53
vicarius Walk., Scoliophthalmus .... 116
vittipennis Thoms., Gaurax _ .... 124
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNG ARICI.
191 H
NUOVI STUDI SOPRA DIVERSI GRILLACRIDI
DEL MUSEO NAZIONALE DI BUDAPEST.
Pel Dr Achille Griffini.
La Direzione della Sezione Zoologica del Museo Nazionale di
Budapest, colla consueta cortesia, volle inviarmi recentemente in esame*
alcuni Grillacridi indeterminati esistenti in quel ricco Museo, affidando¬
mene la classificazione.
Due di questi Grillacridi erano già stati da me veduti nel prece¬
dente invio fattomi dal Museo di Budapest nel 1909 ed al quale si
riferisce la mia Nota pubblicata negli Annali del Museo stesso.1 Li
avevo però allora lasciati indeterminati non sembrandomi di possedere
ancora sufficienti dati per poter esattamente definirne la posizione
sistematica.
Altri 6 esemplari mi venivano ora comunicati per la prima volta.
Mi sono attivamente occupato dello studio di tutti, approfittando
della pratica che sempre più ho acquistata di questa famiglia di Ortotteri
in seguito all’ esame di molti esemplari di varie collezioni.
Nella presente nota rendo conto di tali nuovi studi fatti sul
materiale scientifico del Museo di Budapest, descrivendo alcune forme
che, se non considero come nuove specie, considero però come varietà
o sottospecie distinte e rimarchevoli.
Mi è grato dovere il ringraziare anche questa volta il chiarmo
Sigr Dr G. Horváth, Direttore della Sezione Zoologica del Museo
Nazionale Ungherese, ed il distinto entomologo, Sigr D. Kuthy, con¬
servatore nel Museo stesso, per la grande cortesia che in ogni occasione
vollero addimostrarmi.
Bologna, Bo. Istituto tecnico, 14 Dicembre 1910.
Gen. HYPERBAENUS Brunner 1888.
Hyperbænus Bollisi Giglio-Tos.
d\ Hyperbaenus Bohlsi Giglio-Tos 1895, Ortott. del Paraguay race, dal
Dr. J. Bohls ; Zool. Jahrb., Abt. System., Jena, Band Vili, Heft Y, pag. 148. —
1 Studi sopra alcuni Grillacridi del Museo Nazionale di Budapest. (Annales
Mus. Hung. VII. 1909. p. 307 — S36.)
172
Dì ACHILLE GRIFFINL
Caudell 1906, The Locust, and Gryllidæ coll, by Foster in Paraguay; Proceed
U. S. Nat. Museum, Washington, vol. XXX, pag. 240. — Kirby 1906, Synon. Catal.
of Orthoptera, Vol. II, Part I, London, pag. 148.
cf ? . Hyperbaenus Bohlsi Griffini 1908, Int. a quattro Grillacr. del! Ame¬
rica merid. ; Xoölog. Anzeiger, Leipzig, Band XXXIII, pag. 61.
Habitat : Paraguay' (Auctores omnes).
Riferisco con dubbio a questa specie una J appartenente al Museo
di Budapest, la quale porta la seguente indicazione di provenienza :
«Asuncion, Paraguay, Anisits. »
Il dubbio dipende dal non essere questa $ accompagnata da alcun cf ,
mentre le specie del genere Hyperbaenus si distinguono essenzialmente
pei caratteri dei cf spesso molto diversi anche quando le $ sono assai
simili, come avviene appunto per VH. Bollisi Giglio-Tos e per YH.
Fiebrigi Griff.
La o ora esaminata corrisponde abbastanza bene al tipo ÿ che
io descrissi e che appartiene al K. Zoolog. Museum di Berlino; ha però
dimensioni minori. Le sue tibie posteriori hanno superiormente 5 spine
per parte, oltre le solite spine apicali ; la lamina sottogenitale è atte¬
nuata all’ apice e quivi distintamente emarginata.
Le dimensioni principali di questa £ sono :
Lunghezza
del corpo .„. . .... ,
... mm.
19
«
del pronoto . .
«
4
«
delle elitre .... .... .... L - ..
«
25
«
dei femori anteriori .... ....
«
5
«
dei femori posteriori .
«
11
((
dell’ ovopositore.... .... ....
«
7
Gen. GRYLLACRIS Serville 1831.
Gryllacris vittipes Walker.
5 . Gryllacris vittipes Walker 1869, Catal. Dermapt. Saltat. Brit. Museum
London, pag. 168 — 169. — Kirby 1906, Synon. Catal. of Orthoptera, Vol. II, Parti
London, pag. 141.
Habitat: Ins. Phdippinae (Walker).
La descrizione data dal Walker di questa sua specie, altrimenti
non conosciuta, è come al solito incerta, e potrà pur essere come tante
altre inesatta. Ben studiandola però, appaiono de essa diversi caratteri
che concordano con quelli della specie di Borneo da me descritta nel
Í909 sotto il nome di Gr. Byak.
NUOVI STUDI SOPRA DIVERSI GR1LLA0RIDI.
17&
La concordanza si rileva per quanto riguarda il colore delle man¬
dibole, le striscie oscure sui femori, e la forma dell’ ovopositore.
Walker non parla del labbro, ed i caratteri che egli dà delle
antenne e delle vene delle elitre («veins of the ground hue») non cor¬
rispondono a quelli della mia specie. Ma come fidarsi delle sue diagnosi ?
Ad ogni modo, tenuto conto di tutte le circostanze, considero
qui la mia Gr. Dyak come sottospecie borneense della Gr. vittipes Walk..
Gryllacris vittipes subsp. Dyak Griff.
Ç. Gryllacris Dyak Griffini 1909, Studi sui Grillaci-, del Mus. di Oxford;
Atti Soc. Ital. Scienze Natur., Milano, Vol. XL VII, pag. 306 — 309.
Habitat: Borneo.
Nota. Verisimiliter distincta præcipue propter venulas elytrorum
fusco circumdatas, necnon propter notas antennarum et labri.
Di questa sottospecie osservo ora, nelle collezioni del Museo di
Budapest, un’ altra 5 , pure proveniente da Borneo, ove fu raccolta dal
Sigr XÁNTUS.
Essa corrisponde assai bene ai tipi; solo ha il clipeo all’ incirca
tutto egualmente ferrugineo. Le sue dimensioni principali sono :
Lunghezza del corpo _ M „„ mm. 28*5
« del pronoto _ H| _ „„ « 6*6
« delle elitre „„ „„ _ Jr „„ « 31*5
« dei femori anteriori _ „„ « 1 1 *6
« dei femori posteriori „„ _ « 21*8
« dell’ ovopositore _ „„ M « 1 3
i
Questo esemplare portava, in schedis, il nome inedito Gr. nigro -
striata Brunner.
Gryllacris maculipes Walker.
cf. Gryllacris maculipes Walker. 1869, Calai, cit., pag. 171. — Kirby 1906,
Synon. Catal. cit., pag. 144. (ç? ex Corea; non Ç ex Borneo).
Habitat : Corea (Walker).
Quando Walker descrisse il , tipo di questa specie, proveniente
dalla Corea, fece seguire la descrizione di una 5 proveniente de Borneo,
che dubitativamente considerò come appartenente alla stessa specie.
Dalle sue diagnosi, come al solito, poco si capisce, solo sembra
che nella $ proveniente da Borneo le fascie oscure delle ali fossero
meno regolari e meno sottili e che in essa inoltre solo le tibie del
174
DI ACHILLE GRIFFINI.
primo paio presentassero due anellature nere, una presso la base ed
nna presso l’apice.
Io finora non conobbi in natura la Gr. maculipes Walk., però
trovando oggi nelle collezioni del Museo di Budapest un esemplare d\
di Borneo, che potrebbe riferirvisi, e che presenta però sia per le fascie
delle ali come per le anellature delle tibie i caratteri della J di Borneo
descritta da Walker e non quelli del tipo cT della Corea, credo di poter
istituire la sottospecie seguente :
Gryllacris maculipes subsp. irregularis m.
Ç. Gryllacris maculipes Walker 1869, Catal. cit., pag. 171. — Kirby 1906,
43ynon. Catal. cit., pag. 144. (Ç ex Borneo; non r? ex Corea).
Habitat: Borneo.
Noia. A specie typica differt præcipue tibiis anticis solis post
basim et ante apicem nigro annulatis ; tibiis intermediis tantum post
basim nigro annui atis, tibiis posticis tantum puncto nigro extus post
basim signatis ; fasciis fuscis alarum latioribus et irregularibus.
cf (adhuc non descriptus). Corpus statura minore sed robusta
crassiusculum, pallide flavido testaceum; capite rufo; pronoto magna
parte nigrato, excepta metazona et parte postica loborum lateralium;
pedibus pallide testaceis, femoribus omnibus ante apicem nigro fasciatis,
geniculis pallidis, tibiis post basim plus minusve nigro signatis, ante¬
rioribus etiam ante apicem nigro signatis; elytris testaceis' sub hyalinis,
venis venulisque pallidis, areolis compluribus plus minusve infuscatis;
alis subhyalinis, leviter flavidis, venulis transversis latiuscuíe fusco
cinctis; abdomine toto pallido.
Longitudo corporis '4 J _ _ _ „„ mm. 22
« pronoti „„ 4 — . « 5*1
« elytrorum „„ . . M « 24
« femorum anticorum _ „„ « 7*8
« femorum posticorum _ „„ « 13
« segmenti VIII abdominis « 3*8
Typus cT (Musei Nation. Hungarici) aD° Xántus in Borneo collectus.
Forma apud Gr. Modiglianii Griff, et praesertim apud Gr. Kuthyi
<xRiFF. locanda, a qua differt praecipue propter colorem apicis abdominis,
structuram laminae subgenitalis d\ et picmram pronoti, necnon propter
annulos nigros pedum.
Caput ab antico visum ovoideum, crassiusculum, sed pronoto
minime latius. Vertex sat convexus, anterius angustatus. Fastigium ver-
NUOVI STUDI SOPRA DIVERSI GRILLACR1DI.
175
licis fere perpendiculare, latitudine primi articuli antennarum, margini-
bus lateralibus distincte et subacute carinulatis. Maculæ ocellares fastigii
verticis subtiles, flavæ, sat distinctae ; macula ocellaris frontalis valde
distincta, flavida, angusta, verticalis, fere linearis. Frons valde inæ qualis,
grosse punctata et rugosa, inferius depressa ; sulci suboculares distincti ;
organa buccalia solito modo confecta.
Color capitis rufo-ferrugineus, occipite et vertice sensim pallidiori¬
bus, apice clypei etiam pallidiore, labro et fronte fere badiis, genis
posterius pallidis. Palpi pallidi. Antennæ pallide ferrugineæ.
Pronotum ] atum, a supero visum latius quam longius, sub lente
sparse pubescens, dorso inæ quali. Margo anticus in medio rotundato
leviter prominulus, ibique levissime subcalloso limbatus. Sulcus anticus
valliformis optime expressus, latus, excavatus, ideoque margo anticus fere
reflexus. Post sulcum anticum utrinque callus oblique transversus, sat parvus
sed distinctus, adest. Sulculus longitudinalis fere linearis, posterius et
lateraliter a depressione fere U -formi cinctus. Metazona inæqualis, rugu-
losa ; gibbulis lateralibus et mediis anteeam sitis conspiciendis. Margo
posticus rectissime truncatus. Lobi laterales longiores quam altiores,
postice leviter altiores, margine infero recto, angulo postico rotundato
margine postico subverticali breviusculo, sinu humer» li fere indistincto
sulcus V-formis optime excavatus, sulcus posticus minus distinctus.
Pars supera pronoti subtota nigra, hoc colore cum toto margine
antico contiguo, sed posterius transverso, in metazonam non extenso,
ideoque metazona (circiter 1 mm. lata) transverse tota testacea, attamen
posterius subtiliter nigro limbata. Color niger maximæ superfìcis pro¬
noti, verisimiliter e plurimis picturis nigris simul confusis est confectus,
in utroque latere sulculi longitudinalis plagam haud magnam fere
obtriangularem rufam et apud eam, extus, plagam vel maculam testa¬
ceam eodem modo modicam, verticem posterius vergentem, includit.
Color niger in utroque lobo laterali descendit, anterius semper cum
margine antico contiguus, posterius semper a margine postico remotus,
in medio a margine infero etiam remotus, sulcum V-formem replens et
postice etiam sat late marginans. Propterea pars infera et postica lobo¬
rum lateralium cum metazona est testacea, limbo tamen hic illic sub¬
tiliter nigrato.
Elytra abdomen et femora postica optime superantia, tamen haud
valde longa, testacea, leviter subhyalina, venis venulisque concoloribus
vel pallidioribus, campo antico pallidiore magis sub hyalino, campi)
postico areolis compluribus dilute totis brunneis (in dimidio basali), vel
brunneis maculam pallidam includentibus, vel tantum ad venulas leviter
brunneis (in dimidio apicali). Alæ fere subtriangulares, subhyalinæ, tamen
176
T>1 ACHILLE GRIFFINI.
flavido tinctæ, venulis fuscis late fusco cinctis, fascias fuscas nullo
modo regulares efficientibus, fascia submarginali angusta.
Pedes robustiusculi, flavidi ; femoribus anticis ante apicem annulo
lato atro ornatis, femoribus intermediis annulo simili præditis, superne
leviter interrupto, femoribus posticis tantum utrinque ante apicem atro
maculatis. Tibiæ anticæ post basim et ante apicem latiuscule atro annu-
latæ ; tibiæ intermediæ tantum post basim extus et supra atro macu-
latæ ; tibiæ posticæ tantum post basim extus macula puncliformi atra
signatæ. Tarsi fiavidi. Spinæ tibiarum 4 anticarum sat longæ (præcipue
primæ basales in margine interno), utrinque solito modo 4. Femora
postica basi bene incrassata, ad apicem sat regulariter attenuata, parte
attenuata breviuscula et haud gracili, subtus margine externo spinulis
7 fuscis, basi testaceis, armata, margine interno spinulis 1—2 eodem
modo coloratis. Tibiæ posticæ superne post basim planiusculæ, utrinque
spinis 7 fuscis, basi pallidis, præditæ.
Abdomen totum fulvo-testaceum. Segmentum dorsale octavum cf
productum, convexum ; segmentum nonum convexum, cucullatum, poste¬
rius subverticale, apice subrotundato, in medio vertical iter depressiusculo
subsulcato, leviter attenuato et leviter bilobo. Cerci flavidi, longi, subti¬
les, Segmenta ventralia valde pubescentia.
Lamina subgenitalis cf subrectangularis, transversa, sed etiam sat
longa, utrinque longitudinaliter tumidula, apice lobo medio elongato
angustiore tamen haud valde angusto prædita ; hoc lobo posterius verso,
lateribus subparallelis, ideoque longitudinaliter subrectangulare, apice
haud angustato, sed ibi late angulariter inciso, lobulis omnino diver¬
gentibus, verticibus subacutis. Styli circiter longitudine hujus lobi, cum
eo paralleli, in apicibius tumescentiarum lateralium laminæ orientes.
Questo esportava, in schedis, il nome inedito Gr. nigrosignata
Brunner,
Le specie prossime a quella ora descritta, si possono con essa
provvisoriamente riunire in un gruppo coi seguenti caratteri :
«Species Sumatranæ, Borneenses et Coreanæ ; statura minore;
elytris plus minusve testaceis; alis subhyalinis fusco-fasciatis, vel fuscis
hyalino areolatis ; geniculis omnibus testaceis, dum femora tibiæque
alio colore sunt picta vel apud geniculum sunt nigro annulata.»1
1 Questa pittura delle zampe si verifica anche nel gruppo della Gr. fasciata
Walk., che comprende piccole specie di Borneo e di regioni vicine (Gr. fasciata
Walk., Gr. bar amica Kirby, Gr. nigrata Brunner, forse in parte sinonime), nelle
quali però le ali sono ialine senza fascie oscure, e le elitre sono più corte, nerastre^
con una macchia basale e una fascia trasversale al mezzo di colore ferrugineo.
NOUVI STUDI SOPRA DIVERSI GRILLACRIDI.
177
Colloco così, provvisoriamente, colla Gr. maculipes Walk, e colla
Gr. Kuthyi Griff., anche la Gr. Modiglianii Griff, e la Gr. Beccarli
Griff., quantunque principalmente l’ultima vada con tutta probabilità
collocata piuttosto presso la Gr. genualis Walk.
Ecco intanto il prospetto di queste specie :
A) Alæ brunneæ, tantum areolis maculam subovalem subhyalinam includen¬
tibus. Caput testaceum, fronte superne, sub antennis, tuberculis duobus
nigris prædita. Femora et tibiæ primi paris maxima superficie picea ; femora
et tibiæ secundi et tertii paris partim piceo signata. Pronotum lobis late¬
ralibus totis nigris, dorso ferrugineo, partim testaceo et partim piceo :
Gr. Beccarii Griffini 1908, Sulla Gryllacr. genualis e sopra una nuova
sp. affine ; Wiener Entom. Zeitung, XXVII. Jahrg., pag. 230 — 232 ( Ç ).
Habitat : Sumatra.
A AJ Alæ hyalinæ vel subhyalinæ, fusco fasciatæ. Caput rufum vel rufo-
ferrugineum, vel badium :
B) Femora et tibiæ primi paris maxima parte nigro -castanea ; femora et tibiæ
secundi et tertii paris maxima parte albido-straminea ; pronotum testaceum
lineolis nigris pictum :
Gr. Modiglianii Griffini 1908, Intorno ad ale. Gryllacr. di Sumatra e di
isole vicine; Annali Mus. Civ. Genova, Ser. 3, Vol. IV, pag. 11 — 12 (J).
Habitat : Sumatra.
BB) Femora et tibiæ testacea ; femora omnia ante apicem nigro annulata ;
tibiæ post basim et sæpe etiam ante apicem nigro annulatæ. Elytra
sæpe areolis compluribus plus minusve infuscatis :
C) Apex abdominis cT ater. Lamina subgenitalis c? trapetioidea, apice incisa.
Tibiæ omnes annulo post-basali et annulo ante-apicali minus distincto, atris,
signatae. Pronotum atrum, postice et antice (antice latius) superne testaceum,
parte infera loborum lateralium anterius testacea, posterius atra :
Gr. Kuthyi Griffini 1909, Studi sopra ale. Grillacr. Mus. Nazion. di
Budapest; Annales Mus. Nation. Hungarici, VH, pag. 311 — 313, fig. 1 (cf).
Habitat : Sumatra.
CC) Apex abdominis cT cum reliquo abdomine concolor, pallidus. Pronotum
haud ut in C) pictum. Lamina subgenitalis c? aliter confecta:
D) Fasciæ fuscæ alarum subregulares, subtiliores. Tibiæ omnes post basim et
ante, apicem nigro annulatæ, ideoque nigro biannulatæ. Pronotum lineis et
plagis nigris pictum : _
G)\ maculipes Walker 1869, Catal. Hermapt. Saltat. Brit. Mus. London,
pag. 171 (tantum cT).
Habitat: Corea.
DD) Fasciæ fuscæ alarum irregulares, latiores. Tibiæ anticæ solæ annulo
post-basali et annulo ante-apicali atris signatae ; tibiæ intermediae
tantum annulo post-basali incompleto et tibiæ posticae tantum puncto
post-basali atro praeditae. Pictura nigra pronoti marginem anticum
Annales Musei Nationalis Hungarici . IX.
12
178
Dl ACHILLE GRIFFINI.
attingens ; metazona et pars postica loborum lateralium testacea.
Lamina subgenitalis cf subrectangularis, posterius lobo medio elongato
angustiusculo, apice inciso, prædita :
Gr. maculipes subsp. irregularis m., hujus operis, pag. 174-, (cf). —
Grgllacris maculipes Walkeb 1869, op. cit., pag. 171 (tantum $ ).
Habitat : Borneo.
Gryilacris fumigata De Haan.
cf. Gryilacris fumigata De Haan 1842, Bijdr. tot de kennis der Orthoptera ;
Verhand. over de Nat. Gesch. der Nederl. overzeesche Eezittingen, Leiden, pag.
219. — Gerstaecker 1860, Über die Locust. Gatt. Gryilacris; Arch. f. Naturgesch.,
Band XXVI, pag. 264. — Brunner 1888, Monogr. der Stenopelm. u. Gryllacr.,
Verhandl. k. k. Zool. Bot. Gesellsch., Wien, Band 38, pag. 328 — 329. — Pictet et
Saussure 1891, De quelques Orth, nouveaux; Mittheil. Schweiz. Entom. Gesellsch.,
Vol. VIII, pag. 304 — 305, Tab. 1, fig. 7 (cum nova descriptione). — Kirby 1906,
Catal. cit., pag. 139. - — Griffini 1910, Notes sur quelques Gryllacridæ du Mus.
Zoolog, de St. Pétersbourg ; Annuaire du Musée Zoolog., St. Pétersbourg (cum
notis, adhuc non editis).
J . Gryilacris fumigata Griffini 1908, Note sopra ale. Grillacridi ; Bollett.
Mus. Zool. Anat. Comp. Torino, vol. XXIII, No. 587, pag. 3—4. — Griffini 1909,
Int. ad ale. Gryilacris del Mus. R. d’Hist. Natur, e del Mus. du Congo, di Bruxelles
Atti Soc. Ital. Scienze Natur., Milano, vol. XLVII, pag. 173 — 174 (cum notis).
d",$. Giyllacris fumigata Griffini 1910, Prosp. delle Gryllacr. hyalino-
fasciatae ; Appendice; Atti Soc. Ital. Scienze Natur. Milano, vol. XLIX, pag. 16 (cum
synonymia).
Habitat : Java (auctores omnes) ; Insula Madura (Griffini, sec
specimen Musei Bruxellensis).
Di questa specie, dapprima De Haan descrisse imperfettamente
il cT , delle cui dimensioni indicò solamente la lunghezza delle elitre in
linee 18. (Calcolando la linea equivalente a mm. 2*167, questa lunghezza
risulta eguale a mm. 39).
Gerstaecker e Brunner non conobbero in natura la Gr. fumigata ,
e non fecero che riportare o tradurre la diagnosi originale di De Haan.
Invece Pictet et Saussure, nel 1891, diedero la descrizione più
particolareggiata anch’essi di un d di questa specie, e ne figurarono
alcuni organi dell’apice dell’addome.
Nel 1908 e nel 1909 ho descritte due j della Gr. fumigata , di
cui la prima appartenente alla mia collezione e la seconda al Museo
di Storia Naturale di Bruxelles. Ultimamente poi ne vidi un c? nelle
collezioni comunicatemi dal Museo Zoologico di Pietroburgo, del quale
ho dato alcune indicazioni nella memoria che ho scritta sulle specie
di quel Museo e che sarà presto pubblicata nell’Annuario del Museo
stesso.
NOUYI STUDI SOPRA DIVERSI GRILL ACRIDI.
179
Riassumendo, le lunghezze date finora degli esemplari fin qui
descritti sono le seguenti :
J
cT
d1
?
?
(De Haan)
(PlCT.,
Sauss.)
Mus.
Petropol.
(Griffini)
(Coll.
Griffini)
Mus.
Bruxell.
(Griffini)
corpus _ „ „„ „„ U ™
mm.
33
29*5
29
27*3
prono tum „„ „y
«
6-5
6*8
7*8
7
elytra „„ J „„ L „„ _
« 39
37
33*2
37
35
fern, antic. _ „„ „„ „„
«
9*3
10*8
1 0*2
fern, postic. j _ % $
«
17*5
16-2
19
17*6
ovipositor _ „„ JJ li
« — —
—
—
25*2
19-8
La Gr. fumigata fu finora raccolta esclusivamente a Giava e nella
vicina isola Madura, come venne indicato dagli Autori.
Ora, nelle collezioni del Museo di Budapest, io vedo un esemplare
c? di questa specie, invero di dimensioni piuttosto grandi e con dispo¬
sizione alquanto insolita dei disegni, con tui ti i femori inferiormente
neri o marginati di nero, cogli orli esterni del pronoto anteriormente
e inferiormente pallidi, mentre il margine anteriore di questo ha una
grossa macchia nera, insomma un esemplare che per tali particolarità
di colorazione e per qualche altro piccolo carattere poti ebbe tutt’al più
descriversi come varietà della Gr. fumigata.
Ma questo esemplare porta l’indicazione di provenienza: «D. 0.
Afrika, Nyassa !»
Io conosco l’accuratezza lodevole del Museo di Budapest; nondi¬
meno fino a prova contraria ritengo non ammissibile tale provenienza,
nè per la Gr. fumigata, nè per una sua varietà o sottospecie. Proba¬
bilmente l’esemplare in discorso fu venduto o donato al Museo da
qualche collezionista che per errore o per confusione vi appose l’etichetta
recante l’indicazione della provenienza africana sopra riportata.
Ad ogni modo, io descriverò quell’esemplare, nel modo seguente :
Gryllacris fumigata var. elegans m.
c? . A speciminibus typicis solitis differt præcipue : statura leviter
maiore et robustiore; femoribus omnibus subtus nigris vel nigro mar¬
ginatis; occipite et vertice cum fastigio, cum pane media frontis et
cum clypeo pallide testaceis ; labro aterrimo, nitido ; pronoto utrinque,
in sulcos U -formes, late atro plagiato, necnon maculis minoribus prae¬
dito, margine antico in medio transverse late atro maculato, marginibus
antico et infero loborum lateralium haud nigro limbatis.
12*
180
Dl ACHILLE GRIFFINI.
Longitudo corporis .... „„ „„
.... mm.
32
« pronoti .... ....
8*6
« elytrorum .... .... .... _
_ «
44
« femorum anticorum _
«
12
« femorum posticorum „„
_ .... «
21
Habitat: D. 0. Afrika, Nyassa (secundum schedam typi apposita,
sed summa probabilitate propter errorem).
Typus : 1 cf , Musæi Nation. Hungarici.
Forma corporis ut in specie. Statura leviter maior et magis robusta.
Color pallide testaceus, atro varius, nitidus.
Caput ovatum, quam in specie parum minus angustum. Forma
partium capitis ut in specie. Fastigium verticis latitudine circiter 1 V*
primi articuli antennarum, in medio depressiusculum, lateribus leviter
tumidulis, parum distincte carinulatis.
Color capitis testaceus pallidus. Vitta vel macula atra irregularis
supra utrumque oculum oriens, posterius versa, adest. Vittæ duo sub¬
oculares latæ, atræ, intus a colore pallido frontis recte divisæ, extus
a colore pallido genarum minus bene limitatæ, superne circum oculum
cum macula supra oculum oriente coniunctæ. Clypeus totus pallidus,
basi utrinque tantum anguste breviterque atro marginatus. Labrum
aterrimum, nitidum, basi transverse breviter angusteque pallido macu*
lata, apice transverse angustissime in medio pallido marginato. Mandi¬
bulae atræ extus tantum apud basim longitudinaliter anguste testaceae;
maxillae testaceae ; palpi maxillares testacei, ad articulationes breviter
atrati ; palpi labiales cum parte infera capitis testacei. Scrobes antenna¬
rum intus et subtus anguste et haud definite atro marginati, angulo
infero tamen pallido. Antennae articulo basali testaceo, extus et supra
atro marginato, intus, apud basim, parum castaneo ; articulo secundo
* atro, anterius castaneo; articulis sequentibus (circiter 15) atris, dein
gradatim fuscis.
Pronotum forma ut in specie. Sulcus anticus valliformis latus,
bene expressus ; sulculus longitudinalis subtilis, longiusculus ; metazona
leviter ascendens, margine postico sat rotundato, et in medio, apud
marginem posticum, leviter fossulata. Lobi laterales ut in specie.
Color pronoti pallide testaceus parum nebulosus sed atro varius.
Margo posticus metazonæ cum margine posiico loborum lateralium,
usque circum angulum posticum horum loborum, subtiliter atro limbatus ;
cæterum, margo inferus et anticus loborum lateralium cum lobis ipsis
concolor, pallidus. Margo anticus partis superæ pronoti in medio trans¬
verse et sat late atro maculatus, macula subrectangulari usque ad sulcum
NOüVI STUDI SOPRA DIVERSI GRILLACRIDI.
181
valliformem extensa, mm. 3*6 lata, mm. 1 longa, in medio subtillime
rufescente. Post sulcum valliformem utrinque macula sat parva, gemi¬
nata, fere malleiformis, atra, obliqua, adest; hæ duo maculæ postice
divergentes. Sulculus longitudinalis leviter fuscus. Posterius plaga vel
macula magna oblique elongata, atra, secundum ramum posticum sulci
U- formis, in utroque lobo laterali descendit, haud perfecte limitata,
usque fere ad verticem inferum huius sulci extensa. Hæ 2 maculæ
superne posterius convergentes, tamen haud coniunctæ, ibique ramulum
fuscum subtilem anterius versus maculam malleiformem emittentes,
ramulumque posticum fuscum undulatum ad latera metazonæ extus
versus et subinterruptum.
Elytra circiter ut in specie, sed venis fere omnibus (præcipue basi,
ubi venulis crassiusculis) fusco-piceis, disco praesertim basi et apice
grisescente, in medio ut ad marginem anticum magis subhyalino. In
tertia parte apicali, magis grisescente, areolæ paucæ maculam pallidiorem
includentes conspiciuntur.
Alæ ut in specie, lineola hyalina venulis extus apposita omnino
subtillima, areolis nonnullis præcipue in dimidio antico maculam par¬
vam vel maculas parvas subhyalinas includentibus.
Pedes ut in specie, pallide testacei, nitidi, geniculis atris necnon
apice tibiarum atro et tarsis atro-fuscis. Femora omnia subtus utrinque
atro marginata, hoc colore etiam in sulcum inferum plus minusve
extenso. Apex femorum superne et ad latera breviter ater. Basis tibiarum
atra, in pedibus 4 posticis brevius, sed post geniculum atrum in his
pedibus puncto atro etiam ornata. Apex tibiarum breviter ater. Spinæ
4 tibiarum anticarum longæ, atro-fuscæ, summo apice breviter pallidiores.
Femora postica et eorum spinæ ut in specie. Tibiæ posticæ spinis
utrinque 7 atris, basi pallidis, armatæ.
Pars supera apicis abdominis villosa, in specimine exsiccato et
partim contracto ac corrugato parum bene visenda, tamen ut in specie
constructa. Segmentum dorsale ultimum cT convexum, utrinque gibbulo-
sum et utrinque subtus mucrone inferius intusque verso, atro-fusco,
instructum, forma ut in figura la Picteti. Cerei pallidi, valde longi et
flexuosi, apice acuminati. Lamina subgenitalis cT forma ut in fig. 7 Picteti,
posterius in medio magis angustata, nigro-fusca, stylis ut in specie,
divergentibus, corniformibus, fuscis, apice et basi breviter pallidioribus.
Gryllacris auriculata Krauss.
cf. Gryllacris auriculata Kbauss 1902, Orthopt. aus Austral, u. d. Malaysch.
Archip. gesamm. von Semon ; Jenaische Denkschriften, Vili, pag. 766, Taf. LXVII,
fig. 14. — Kirby 1910, Synon. Catal. of Orthoptera, Vol. Ill, Additions, pag. 571.
182
D' ACHILLE GRIFFINI.
y. Gryllacris sp. Griffini 1909, Studi sopra ale. Grillacr. del Museo Naz.
di Budapest ; Annales Mus. Nation. Hungarici, VII, pag. 321 — 322.
c?,y. Gryllacris auriculata Griffini 1909, Studi sopra ale. Gryllacr. del
Museum d’hist. natur, de Genève ; Revue Suisse de Zoologie, Tome 17, pag. 399 — 401.
?cf. Gryllacris pallidula Serville 1839, Hist. Natur, des Insectes Orthoptères*
Paris, pag. 395. — Kirby 1906, Synon. Catal. of Orthoptera, Vol. II, pag. 142.
Habitat: Java.
Rivedo ora, fra i Grillacridi comunicatimi dal Museo di Budapest,
la y che nel 1909 riferii dubitativamente a questa specie senza però
determinarla con sicurezza.
In seguito, però, nelle collezioni inviatemi dal Museo di Ginevra,
osservai un cf ed una y della stessa specie, meglio corrispondenti alla
descrizione originale di Krauss, e che riferii alla Gr. auriculata insieme
alla y del Museo di Budapest, della quale diedi nuovamente i princi¬
pali caratteri.
Resterebbe ora a discutersi la questione relativa alla Gr. pallidula
Serville, unica ormai fra le specie descritte da quell’Autore che sia
rimasta incertissima.
Brunner nella sua Monografia (1888) esprime il dubbio che la
Gr. pallidula Sérv. possa essere sinonima della sua Gr. inconspicua
(pag. 342). Però la Gr. inconspicua, quantunque abbia le venature delle
ali leggermente bruniccie, per il che concorderebbe colla Gr. pallidula
Sérv., presenta sempre la sommità del capo di colore bruno ed il pro¬
noto spesso dotato di qualche segno oscuro ; inoltre non ha quasi
lucentezza.
La Gr. auriculata Krauss invece è dotata di corpo lucido e di
capo tutto pallido, come dovreble essere nella Gr. pallidula Sérv., ma
invece ha le elitre a venature pallide, quindi nepur essa in tutto
concorda colla specie di Serville, che rimane finora indecisa.
Se il tipo di Serville fosse stato una y , i caratteri dell’ ovoposi¬
tore, che l’Autore non avrebbe mancato di descrivere, avrebbero potuto
guidare al riconoscimento della sua specie. L’ovopositore infatti nella
Gr. auriculata Krauss è lungo e dritto, mentre nella Gr. inconspicua Br.,
di cui ho descritto la y nel 1908, è breve e falcato.
Ma il tipo di Serville era un d ; l’Autore non ne ha fatto cono¬
scere la struttura degli organi situati all’apice dell’addome ; quindi le
incertezze sulla Gr. pallidula Sérv. credo dureranno ancor per lungo
tempo.
NOUVI STUDI SOPRA DIVERSI GR1LLACR1DI.
183
Gryllacris diluta var. Huoniana m.
d%Ç. Gr. (Papuogryllacris) sp. Griffini 1909, Studi sopra ale. Grillaci*. del
Mus. Nazion. di Budapest ; Annales Mus. Nation. Hungarici, VII, pag. 328 — 329 et 335.
Dei due esemplari del Museo di Budapest, da me brevemente
descritti nel 1909 senza assegnarvi nome specifico, rivedo ora la $ ,
inviatami nuovamente in esame, insieme ad un nuovo cf, in ottimo
stato, pure proveniente da Simbang, Huon Golf.
Questo cf è pure tutto di color testaceo pallido uniforme, e si può
dire che pei principali caratteri di struttura coincide bene coll’altro ;
esso è alquanto più grande, ma si noti però che il suo addome è esteso.
Mi decido dunque a considerare questa forma come varietà della
Gr. diluta , e le assegno il nome di var. Huoniana.
I tre tipi, appartenenti al Museo di Budapest sono i seguenti :
A) Un cf — N. - Guinea : Erima, Astrolabe Bay; Coll. Biro 1897.
B) Un d1 — N.-Guinea: Simbang, Huon Golf; Coll. Biro 1899.
C) Una ? — N. -Guinea: Simbang, Huon Golf; Coll. Biro 1898.
Le loro dimensioni principali sono :
A
B
C
Longitudo
corporis . U „„
mm. 25
30
25*5
«
pronoti . £ . .
« 7
7%5
67
«
elytrorum J, „„ Æ „„
« 33
30*4
28
«
femorum anticorum
« 97
9*8
9
«
femorum posticorum
« 17*5
18
16*3
«
oviposit oris „„ „„
« —
—
19
La diagnosi della varietà potrebbe cosi formularsi :
Speciei typicæ valde affinis. Corpus totum pallide testaceum, uni¬
color, leviter crassius, minus compressum. Caput leviter latius, fere
orbiculare, fronte eodem modo punctata, fastigio verticis ut in specie.
Pronotum interdum brevius, ideoque latius, margine postico leviter
sinuato, lobis lateralibus posterius distinctius altioribus. Elytra et alæ
ut in specie. Pedes ut in specie; femoribus posticis parte apicali atte¬
nuata minus longa et minus angustata.
cf. Segmento abdominali dorsali ultimo ut in specie, sed lamina
subgenitali breviore et magis transversa, lobo medio longiore et inter¬
dum angustiore, apice furcato bilobo, lobulis optime distinctis, diver¬
gentibus, apicibus subacutis.
5 . Ovipositor circiter ut in specie, sed lamina subgenitali magis
ampla, magis convexa, subtus subtota fere inflata, apice rotundata,
integra; segmento ventrali ultimo præcipue ad apicem tumidulo.
184
Dü ACHILLE GR1FFINL
Nel cf di Simbang gli stili ed i cerei sono depressi, questi ultimi
quasi nastriformi. Ciò dipenderà da deformazione subita.
Le macchie ocellari solo in questo cf si possono distinguere,
quantunque poco esattamente ; di esse quelle del vertice sono confuse,
sub triangolari, quella frontale appare piuttosto grande, triangolare iso¬
scele col vertice lungamente acuto volto in alto e la base curvilinea
convessa.
Io credo dunque di poter rilevare, come già feci per le specie
papuane del gruppo della Gr. punctipennis e della Gr. Horváthi, che
anche nelle specie del gruppo della Gr. diluta si verifichino attual¬
mente molte mutazioni. Ciò sarà confermato anche dalla rimarchevo¬
lissima varietà seguente.
Gryllacris diluta var. trianguligera m.
5 . Cum specie et præsertim cum var. Huoniana quoad formam
optime congruens, sed colore maxime distincta, praecipue capite castaneo,
fronte fere atra, macula ocellari frontali mirabiliter distinctissima, flava,
acute delineata, triangulari æquilatera, lateribus omnibus sensim curvis,
concavis, angulis optime acutis.
Longitudo corporis _ „„ _
mm. 28 '5
«
pronoti _ „„ .
« 7
«
elytrorum „„ „„ „„ _
« 29*8
«
femorum anticorum
« 9*6
«
femorum posticorum
H « 17
«
ovipositoris„. „„
« 22*8
Habitat : Simbang, Huon Golf, Nova Guinea.
Typus: 1 J (Musæi Nation. Hungarici) a D° Bíró, anno 1899
collecta.
Corpus modice crassiusculum, fulvo testaceum, pronoto superne
castaneo diluto picto, geniculis dilute castaneis, capite maxima parte
castaneo.
Caput haud multo latum, tamen latiusculum, ovoideum, fronte
valde impresso punctata, minus nitida. Occiput et vertex convexa, nitida,
dilute castanea; fastigium verticis saturate castaneum, fere atrum, macu¬
lis ocellaribus lateralibus angustis, pallide flavis, optime distinctis.
Genæ colore occipitis, inferius magis magisque obscuriores, margine
postico angusto distincte flavido. Frons saturate castanea, fere atra.
Macula frontalis triangularis æquilatera, lateribus longitudine circiter
2 mm., curvis, concaviusculis, verticibus omnibus aequaliter optime acu-
NOUVI STUDI SOPRA DIVERSI GRILLACRIDI. 185
t
t angulis. Clypeus ad apicem pallidior, irregulariter fulvescens ; labrum et
mandibulæ colore frontis; palpi pallidi. Antennæ articulis 2 basalibus
colore frontis, paucis sequentibus eodem colore sed gradatim dilutioribus,
cæteris fulvescentibus.
Pronotum convexum, nitidum, margine postico truncato, limbato,
in medio minime sinuato ; lobis lateralibus posterius valde quam ante¬
rius altioribus, ideoque margine postico verticali sat alto ; sulcis dorsi
ut in specie; sulco V -formi loborum lateralium bene impresso, sulco
postico perparum impresso.
Color dorsi pronoti dilute castaneus, in lobos laterales descendens
inter ramos sulcorum V-formium. Reliqua pars loborum fulvescens,
nebulosa, hoc colore in colorem castaneum dorsi sensim transeunte.
Margo anticus et margo posticus dorsi castaneo-fusci, fere atri.
Elytra grisescentia subhyalina, venis venulisque dilute picescenti-
bus, exceptis venis radialibus præcipue basi testaceo - fulvis. Alæ sub-
hyalinæ, venis venulisque fuscescentibus.
Pedes ut in specie ; femoribus crassiusculis. Femora postica basi
valde incrassata, spinis numero solito et forma solita. Spinæ tibiarum
posticarum utrinque 6, fortiores, fuscæ, basi pallidæ. Genicula breviter
diluteque picescentia (4 antica fere indistincte). Apex tibiarum posticarum
etiam brevissime dilute picescens.
Abdomen fulvescens. Ovipositor ut in specie, rectus, longus, sub¬
tilis, ferrugineus, nitidus, apice acuminatus. Lamina subgenitalis ampla,
convexa, præcipue basi fere inflata, apice rotundata.
Varietà dunque notevole, non più grande degli esemplari soliti
della Gr. diluta Griff., ma presentante dei lineamenti accentuati, una
impronta di particolare robustezza, concordante col colore carico del
pronoto e particolarmente del capo, e coH’apparire della macchia oceì-
lare tanto ben delineata, simmetrica ed evidente, mentre quasi mai, in
questa specie, tale macchia è un po’ ben distinta.
Nota. Il sottogenere Papuogryllacris , tutto composto di specie
abitanti la Nuova Guinea ed alcune isole vicine, per alcuni caratteri
appare segnare il legame fra il gen. Gryllacris ed il genere australiano
Epacra Brunner, tuttora incompletamente noto.
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALES HUNG ARICI.
1911.
SYSTEMATISCH-PHYLOGENETISCHE STUDIEN
AN VIPERIDEN.
(Taf. Ill — V and 6 Textfiguren.)
Von L. V. Méhely.
Bekanntlich hat Merrem für diejenigen Viperiden, deren Scheitel
mit regulären, symmetrisch angeordneten Schildern bekleidet ist, die
Gattung Pclias errichtet,1 die von den meisten früheren Herpetologen
(Wagler, Gray, Duméril, Cope, Peters, Günther, etc.) adoptiert, von
anderen aber (so von Schlegel, Jan, Strauch und Boulenger) mit der
LAURENTischen Gattung Vipera vereinigt wurde, deren Arten einen be¬
schuppten Scheitel besitzen. Obwohl die Berechtigung der letzteren Auf¬
fassung gegenwärtig allgemein anerkannt wird, glaube ich doch, dass
Merrems Pelias wenigstens als Untergattung aufrechtgehalten werden
könnte, zur näheren Umgrenzung derjenigen Formen, die durch einen
eiförmigen, vom Halse undeutlicher abgeschnürten Kopf, eine nicht auf¬
geworfene Schnauzenspitze, zwischen dem Auge und den Oberlippen¬
schildern nur eine Schuppenreihe, wohlentwickelte Sincipitalschilder,
ein festeres Gefüge des Apparatus palato-maxillaris und einen stramme¬
ren Leib gekennzeichnet werden. Dieser Untergattung, deren Typus die
gewöhnliche Kreuzotter ( Vipera berus L.) ist, würde sich dann ebenbür¬
tig entgegenstellen die Untergattung Vipera s. str., deren Arten einen
herzförmigen, vom Halse scharf abgeschnürten Kopf, eine mehr oder
weniger aufgeworfene Schnauzenspitze, zwischen dem Auge und den
Oberlippenschildern zwei oder mehr Schuppenreihen, einen mit Schuppen
bekleideten Scheitel, im Leben sehr beweglich zusammengefügten Appa¬
ratus palato-maxillaris und einen schlaffen Leib besitzen. Als Typus der
letzteren Untergattung wäre Vipera aspis L. zu betrachten.
Aus der Untergattung Pelias war bis zum Jahre 1893 nur die
gewöhnliche Kreuzotter (Vipera berus L.) bekannt, in diesem Jahre
beschrieb ich aber aus der ungarischen Tiefebene eine neue Form als
var. rdkosiensis ,2 die bald darauf von G. A. Boulenger zur Art erhoben,
1 Tentamen systematis Amphibiorum, Marburgi, 1820, p. 148.
2 Zool. Anz., 1893, p. 190.
STUDIEN AN V1PEEIDEN.
187
zugleich aber mit dem von Bonapabte für eine identische Form der
Abruzzen bedingungsweise vorgeschlagenen Namen 1 belegt und Vipera
Ursinii genannt wurde,2 die auf Grund des im Museum zu Philadelphia
befindlichen BoNAPAETEschen Typus bereits von Cope als Pelias berus
var. Ursinii unterschieden wurde.3 Nachträgliche Untersuchungen be¬
nahmen mir alle Zweifel an der Bichtigkeit der BouLENGEEschen Deu¬
tung, so dass ich mich dieser Auffassung vollkommen anschliessen
durfte.4 Auf diese Weise wurde die Wissenschaft mit einer neuen
Peliatide bereichert und da Boulengeb bald darauf auch die von Chbistoph
im Jahre 1 86 1 beschriebene,5 aber bis zu jener Zeit nicht anei kannte
Vipera Renardi für eine besondere Art erklärte,6 waren binnen kurzem
drei Arten der Pelias- Gruppe bekannt geworden, die alsbald im Boulen-
GEESchen Cataloge synoptisch behandelt wurden 7 und' auf eine allge¬
meine Anerkennung Anspruch erheben durften.
Die von Boulengee durchgeführte Eintheilung der Pelias-G ruppe,,
mit den Arten berus, Ursinii und Renardi , befriedigte auch vollkommen
die Herpetologen und in den verflossenen vierzehn Jahren hatte nie¬
mand das Bediirfniss empfunden, an dieser Deutung zu rütteln. Und
dennoch scheinen mir die Akten über diese Gruppe noch nicht definitiv
abgeschlossen zu sein, vielmehr bin ich auf Grund eines neueren Unter¬
suchungs-Materials veranlasst worden die Meinung zu fassen, dass die
Beurtheilung der Pe/ias-Gruppe, hauptsächlich aber des Formenkreises
von Vipera Ursinii eine erneuerte, tiefer greifende Grundlage erfordert.
Durch die dankenswerthen Bemühungen des Herrn Hauptmann
Geoeg Yeith in Bilek bin ich im Herbst 1910 in die Lage versetzt
worden die Pelias- Form der Hercegovina in ziemlich vielen Exemplaren
untersuchen zu können, wodurch ich alsbald die Überzeugung gewann,
dass nicht nur diese Form selbst, sondern auch der ganze Formenkreis,
dem dieselbe angehört, bisher ziemlich mangelhaft beurtheilt wurde.
Die Form der Hercegovina gehört zweifelsohne dem Formenkreis
der Vipera Ursinii an, wenn aber dieselbe in der letzteren Zeit kurz¬
weg für V. Ursinii angesprochen wurde, so ist dies wohl nur einem
ungenügenden und zum Theil mangelhaft conserviertem Material zu¬
zuschreiben. Hat man ein reichlicheres, lebendes und tadellos conser-
1 Iconogr. Faun. Ital. Anfìbi, 1835.
2 Proc. Zool. Soc., 1893, p. 596, tab. LI.
3 Proc. Ac. Philad., 1859, p. 342.
4 Zool. Anz., 1894, p. 57.
5 Bull. Moscou, XXIV, 1861, p. 599.
6 Proc. Zool. Soc., 1893, p. 757, tab. LXIV.
7 Catal. Snakes, III, 1896, p. 472.
188
L. y. MÉHELY
viertes Material zur Hand, so wird es sofort klar, dass diese Form
einen für sich abgeschlossenen, besonderen Typus darstellt, der von
V. Ursinii unbedingt abgetrennt werden muss. Ich bin überzeugt, dass
sich die Trennung auch in der Natur so scharf vollzogen hat, dass sich
beide Formen, obwohl äusserst nahe verwandt, als besondere Arten
gegenüberstehen ; hierbei will ich aber zugeben, dass über die Artberech¬
tigung der hercegovinischen Form unter Umständen viel Tinte vergos¬
sen werden könnte, da die Richtigkeit meines Standpunktes nur auf
Grund eines reicheren Materiales und nur bei gehöriger Vertiefung in
den Gegenstand erkannt werden kann.
Wird man durch die im allgemeinen gewiss vollkommen richtige
Anschauung beherrscht, dass zwei Formen, deren Schuppenreihen, Bauch-
und Schwanzschilder dieselbe Anzahl aufweisen und die einander auch
im Gesamthabitus und den Hauptzügen ihrer Organisation nahe stehen,
nicht zwei selbständigen Arten angehören können, so kann die hercego-
vinische Form nur für eine Subspecies von Vipera Ursinii gegolten
lassen werden, sobald man aber die höchst interessante Thatsache er¬
kannt hat, dass diese beiden Formen durch ganz entgegengesetzte
Organisationsmerkmale gekennzeichnet werden, demnach Produkte
entgegengesetzter E volutions rieht ungen sind, die auch
durch prinzipiell abweichende ethologis che Eigen¬
schaften getrennt werden, kann man keinen Augenblick im
Eweifel sein, dass Vipera macrops, wie ich die hercegovinische Peliatide
benennen will, eine selbständige Art der Ursinii- Gruppe darstellt, die
sich von V. Ursinii auch in der Beschaffenheit ihres Schädels deutlich
unterscheidet.
Um einen tieferen Einblick in die genetische Verkettung dieser
Formengruppe zu gewinnen, war ich genöthigt auch das verwandte
Material von V. Ursinii und V. Renardi in den Kreis meiner Unter¬
suchungen zu ziehen, wobei ich seitens meiner Fachgenossen mit der
grössten Liberalität unterstützt wurde. Aufrichtigen Dank schulde ich
hierfür den Herren : Prof. Werner, Hofrath Dr. Steindachner und
Prof. Siebenrock in Wien, Prof. Camerano und Graf Peracca in Turin,
A. Brauner in Odessa, Sanitätsrath Dr. Boediger und 0. zur Strassen
in Frankfurt a. M., Schulrath Dr. Schreiber in Görz und Dr. Krumbach
in Rovigno, in erster Linie aber dem Herrn Hauptmann G. Veith in
Bilek, dessen Bemühungen ich das prächtige Material aus der Hercego¬
vina zu verdanken habe.
Aus meinen Untersuchungen ergab sich nun, dass der Formenkreis
von Vipera Ursinii, mit den Arten : Ursinii, macrops und Renardi eine
einheitlich geschlossene phylogenetische Gruppe bildet, die der bisher
STUDIEN AN VIPERIDEN.
189>
nur durch eine Art vertretenen Berus- Gruppe betreffs ihrer meisten
Charaktere scharf gegenübersteht. In Anbetracht der weiten Verbreitung
von Vipera berus ist es nicht unmöglich, dass dieser Formenkreis in
der Zukunft ebenfalls in mehrere Arten oder Unterarten zerspaltet wer¬
den wird, in welcher Eichtung auch bereits der erste Schritt erfolgt ist,
da Prof. Nikolski neuerdings die Westkaukasische Form als Vipera
Kaznakovi abtrennte.1
Die beiden Formenkreise lassen sich gegenwärtig folgendermassen
unterscheiden.
I. TJrsinii-Gruppe.
Tracht kleiner, Länge nicht über 60 cm. Schnauze stumpf zuge¬
spitzt, oben flach oder vom Schnauzensaum medialwärts vertieft. Auge
bald klein, bald ziemlich gross ; der verticale Durchmesser desselben
kann auffallend kürzer, ebenso lang oder deutlich länger sein als der
Abstand des Auges vom Lippenrand. Obere Spitze des Rostralschildes.
gerade abgestutzt und derselben gewöhnlich nur ein Apicale angeschlos¬
sen, welches aber ausnahmsweise in zwei Platten zerlegt sein kann.
Frontale gewöhnlich lang, beträchtlich länger als breit, meist länger
als dessen Abstand vom Eostraischild und länger als ein Parietale ; der
Vorderrand desselben erreicht fast die die Vorderecken der Supraocularia
verbindende Linie ; vom Supraoculare wird es häufig durch eine lange
Platte getrennt. Supraoculare lang und schmal, etwa so lang als der
Abstand des hinteren Augenrandes vom Hinterrand des Nasale. Das
Nasenloch befindet sich im unteren Theil des Nasalschildes. Das oberste
Præoculare ist verlängert und stosst häufig an das Nasale an. Das letzte
Supralabiale ist gewöhnlich auffallend grösser als das vorletzte. Schup¬
pen des Rumpfes schmäler und kräftiger gekielt als bei V. berus , in
19 oder 21 Längsreihen. Ventralschilder 120 — 148, Subcaudalia 20 — 37
Paare. Dorsalband gewöhnlich hell, mit dunkler Einfassung ; zwischen
diesem und der lateralen Makelreihe häufig eine dorsolaterale Flecken¬
reihe eingeschaltet. Lippenschilder und Kehlschuppen rein weiss oder
dunkel gerandet. Unterseite des Halses weiss ; Bauch und die Unter¬
seite des Schwanzes schiefergrau, weissgefleckt oder weiss mit schwarz¬
grauen Flecken, die ziemlich reguläre Längsreihen bilden können ;
Schwanzspitze unterseits höchst selten gelb. Im Farbenkleid ist kein
Geschlechtsdimorphismus ausgesprochen.
1 A. M. Nikolski, De nova g. Viperee specie e Caucaso ; Mitteil. Kaukas..
Mus., Y, Tiflis, 1910, p. 81, tab. Y.
L. V. MÉHELY
H9Q
IL Berus-Gruppe.
Tracht grösser, Länge bis 80 cm. und mehr. Schnauze breit ab¬
gerundet oder abgestutzt, oben flach. Auge gross, der verticale Durch¬
messer desselben übertrifft wenigstens bei Männchen gewöhnlich den
Abstand des Auges vom Lippenrand. Obere Spitze des Rostralschildes
stumpfwinkelig zwischen zwei Apicalschilder eingekeilt. Frontale kurz
und breit, nur etwas länger als breit, meist deutlich kürzer als der
Abstand desselben vom Rostraischild und kürzer als ein Parietale ; der
Yorderrand desselben bleibt weit hinter der die Vorderecken der Supra-
ocularia verbindenden Linie zurück ; vom Supraoeulare ist es stets durch
3 — 5 kleinere Schildchen getrennt. Supraoeulare kürzer, stets beträcht¬
lich kürzer als der Abstand des hinteren Augenrandes vom Hinterrand
des Nasale. Das Nasenloch ist grösser und liegt in der Mitte des Nasal¬
schildes. Das oberste Præoculare ist gewöhnlich kurz und stosst nur
höchst ausnahmsweise an das Nasale an. Das letzte Supralabiale ist
meist kleiner als das vorletzte. Schuppen des Rumpfes breiter und
schwächer gekielt als in der Ursinii- Gruppe, in 21 Längsreihen. Ventral
Schilder 134 — 158, Subcaudalia 26 — 46 Paare. Dorsalband einfarbig,
ohne dunkler Einfassung; eine dorsolaterale Fleckenreihe niemals vor¬
handen. Im Farbenkleid ist ein deutlicher Geschlechtsdimorphismus
ausgesprochen ; die Männchen sind oben meist silbergrau mit schwarzem
Dorsalband und schwarzer lateraler Makelreihe, unten schwarzgrau ; die
Weibchen sind oben braun mit dunkelbraunem Dor'salband und ähnlich
gefärbten lateralen Makeln, unten schiefergrau, mit weissein oder rothem
Kinn und weisser oder rother Kehle.
Schlüssel zur Bestimmung der Hauptformen der
Ursinii - Grup p e.
A) Schuppen des Rumpfes in 19 Längsreihen. Supralabialia gewöhnlich 8.
Ober- und Hinterrand des Nasalschildes eingekerbt.
a) Auge klein, der verticale Durchmesser desselben gewöhnlich deutlich
kürzer als der Abstand des Auges vom Lippenrand. Apicale gross, meist
deutlich breiter als ein Supraoeulare, manchmal in zwei Platten zer¬
legt. Sincipitalschilder regelmässig entwickelt. Nasalschild gross, gewöhn¬
lich beträchtlich höher als das Auge. Kehlschuppen meist 4 — 5 Paare.
Lippenschilder und Kehlschuppen gev öhnlich wreiss. V. Ursinii Bonap.
b) Auge grösser, der verticale Durchmesser desselben meist länger als der
Abstand des Auges vom Lippenrand. Apicale klein, höchstens so breit
als ein Supraoeulare, manchmal fehlend. Sincipitalschilder meist un-
STUDIEN AN V1PERIDEN.
191
regelmässig entwickelt, sehr oft in kleinere Schilder zerlegt. Nasal¬
schild klein, höchstens so hoch als das Auge. Kehlschuppen meis t
3 Paare. Lippenschilder und Kehlschuppen meist dunkelgerandet.
V. macrops n. sp.
B) Schuppen des Kumpfes in 21 Längsreihen. Supralabialia gewöhnlich 9.
Oberrand des Nasalschildes ganzrandig. Lippenschilder und Kehlschuppen
stets scharf dunkelgerandet. . . _ „„ „„ „„ _ V. Renardi Christ.
Vipera Ursinii Bonap.
Pelias chérsea (non Linné) Bonaparte, Iconogr. Faun. Ital. Anfibi, 1835.
Pelias Ursinii Bonaparte, 1. c.
Pelias ber us (part.) Bonaparte, Amphib. Eur., Mem. Accad. Torino (2) II ?
1839, p. 440.
Pelias herus var. Ursinii Cope, Proc. Ac. Philad., 1859, p. 342.
Vipera berus (part.) Tourneville, Bull. Soc. Zool. France, 1881, p. 41, tab. I,
fig. 785; Camerano, Accad. Se. Torino (2) XXXIX, 1888, p. 35, tab. I, fig. 16 — 18.
Vipera berus var. rákosiensis Méhely, Zool. Anz., 1893, p. 190.
Vipera rákosiensis Méhely, Magy. Tud. Akad. Math. Természettud. Értesítő,
Budapest, XII, 1894, p. 87.
Vipera Ursinii Boulenger, Proc. Zool. Soc., 1893, p. 596, tab. LI ; Feuille
Jeunes Natur., 1893, p. 8 ; Catal. Snakes, III, 1896, p. 473 ; Méhely Zool. Anz.,
1894, p. 57, 86 ; Magy. Tud. Akad. Math. Természettud. Köziem. Budapest, XXVI,
1895, p. 85, tab. I & II ; Werner, Verb. zool. -bot. Ges. Wien, XLIY, 1894, p. 237
Kept. Amphib. Österr.-Ungarns, 1897, p. 73.
Untersuchungs-Material.
I. Aus der Sammlung des Ungarischen National-Museums :
1. Vier Exemplare (ad. cf, ad. $ und zwei semiadulte tf) vom Rákos bei
Budapest.
2. Ein adultes cf von Rákos-Keresztúr.
3. Ein ad. Ç von Puszta-Szt.-Mihály.
4. Ein ad. $ von der Babád puszta.
5. Ein ad. cf und ein ad Ç von Bugacz bei Kecskemét.
6. Ein ad. cf von Örkény.
7. Zwei Stücke (ad. cf und ad. $ ) von Kolozsvár.
8. Ein ad. Ç aus Slavonien.
9. Ein ad. cf von Laxenburg (Nieder-Österreich).
II. Aus der Sammlung des Herrn Prof. Werner in Wien : .
1. Acht Exemplare (2 ad. cf> 4 ad. Ç, 1 juv. cf und 1 neugeborenes Ç)
von Laxenburg.
2. Ein ad. cf von Guntramsdorf.
3. Zwei ad. cf von Grammat-Neusiedl.
4. Ein ad. Ç von Münchendorf bei Laxenburg.
5. Ein ad. $ von Bruck an der Leitha.
6. Ein ad. Ç von Ach au.
192
L. V. MÉHELY
7. Ein jnv. Ç von Ebreichsdorf.
8. Ein semiadnltes Ç vom Neusiedlersee (Fertő-tó) in Ungarn.
III. Aus der Sammlung des Turiner Museums :
Zwei Exemplare (juveniles cT und Ç ) vom Gran Sasso.
Tracht und Grösse.
Vipera Ursinii erinnert in der Gesammterscheinung an V. berus?
erreicht aber nicht die Länge der letzteren ; das grösste mir bekannte d1 2
ist 463 mm., das $ 473 mm. lang, Prof. Weener1 hatte aber ein 492 mm.
und Boulenger 2 ein 500 mm. langes 5 ans Laxenburg in der Hand.
Kopf relativ kleiner als bei V. herus, von oben länglich eiför¬
mig (Taf. IY, Fig. 1 — 3), beim cf schmächtiger; die Länge des Kopfes
verhält sich zur Breite bei erwachsenen cT wie L6 — L7 : 1, bei erwach¬
senen o wie 1*4— 1*5:1. Schnauze stumpf zugespitzt, spitziger als bei
V. berus, oben űach, öfters aber — bei erhöhtem Scbnauzensaum —
etwas vertieft. Scbnauzenkante stumpf. Zügelgegend zwischen dem Nasen¬
loch und dem Auge, wie auch unmittelbar unter und hinter dem Auge
vertieft. Auge klein (Taf. Ill, Fig. 1 und 2) ; der horizontale Durch¬
messer gewöhnlich gleich mit dem Abstand des Auges von der Mitte
des Nasenloches, der verticale Durchmesser ist gewöhnlich deutlich
kürzer und nur ausnahmsweise ebenso lang als der Abstand des
Auges vom Lippenrand.3 Schwanz beim cT länger, pfriemenförmig, beim
5 kürzer, allmählich verjüngt; bei den 8 — 9, bei den 5 IOV2 — 12-mal
in der Totallänge enthalten.
1 Zool. Anz., 1894, p. 87.
2 Proc. Zool. Soc., 1893, p. 598.
3 Boulenger konstatierte bei 40 Laxenburger Exemplaren, dass der verticale
Durchmesser den Abstand des Auges vom Lippenrand nicht übertrifft (Proc. Zool.
Soc.. 1893, p. 597). Laut Werner ist das Auge «kleiner als bei V. berus und sein
verticaler Durchmesser niemals grösser als sein Abstand vom Mundrande»
^Kept. Amphib. Österr.-Ungarns, 1897, p. 74).
STUDIEN AN V1PERIDEN,
193
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX. 13
194
L. y. MÉHELY
Pholidose.
Rostrale von den mittleren Seitenecken basalwärts meist deutlich
verengt, zwischen den genannten Ecken breiter als die von der basalen
Ausschweifung gemessene Höhe. An das Rostrale schliesst gewöhnlich
nur ein Apicale an (Taf. IV, Fig. 1 — 4); dasselbe ist gewöhnlich eine
grosse, querbreite , sechseckige Platte , die gewöhnlich auffallend
oder wenigstens deutlich breiter ist als ein Supraoculare,1 dabei
auch gewöhnlich grösser als das vordere Canthaie; öfters ist das'
Apicale in zwei Schildchen zerlegt2 (Taf. IV, Fig. 5), die insgesamt
ebenso breit sind wie ein ungetheiltes. Das vordere Canthaie ist meist
kleiner, öfters aber ebenso gross als das hintere. Sincipitalschilder
(das Frontale und die beiden Parietalia) stets wohl entwickelt, d. i.
niemals in kleinere Schilder zerlegt,3 vielmehr habe ich
zwei Fälle beobachtet ( cT vom Rákos und cf von Guntramsdorf), in wel¬
chen das Frontale dermassen ausgebreitet ist, dass es beiderseits mit
den Supraocularia zusammenstosst (Taf. IY, Fig. 2 und 4). Frontale
lVs — lVs-mal länger als breit, meist länger oder wenigstens ebenso
lang als dessen Abstand vom Rostraischild 4 und länger als ein Parie¬
tale ; der Vorderrand des Frontale bleibt mehr zurück hinter der die
Yorderecken der Supraocularia verbindenden Linie als bei V. macrops.
Parietalia gewöhnlich grösser als bei V. macrops, gewöhnlich länger
oder wenigstens ebenso lang als das Supraoculare. Supraoculare etwa
doppelt so lang als breit und meist gleichlang mit dem Abstand des
hinteren Augenrandes vom Hinterrand des Nasalschildes ; vom Frontale
durch eine lange Platte oder durch 2 — 4 kleinere Schildchen getrennt,
höchst ausnahmsweise aber an dasselbe anstossend. Her Raum zwischen
dem Apicale, den vier Canthalia und dem Frontale wird von drei bis
neun Præfrontalschildern ausgefüllt.5 Auge von 7 — 11 (gewöhnlich 8 — 9)
1 21 Fälle von 31; in 4 Fällen ist das Apicale ebenso sclimal wie bei
V. macrops.
2 Unter 31 Fällen 6-mal (das juvenile $ vom Gran Sasso besitzt ebenfa]s
zwei Apicalia).
3 Boulenger fand bei 51 Laxenburger Exemplaren die Sincipitalschilder
stets gut entwickelt, Prof. Werner gewahrte dasselbe bei 25 und ich bei
31 Exemplaren, nur bei einem Stück aus den Basses Alpes sind die Parietalia in
kleinere Schildchen zerlegt (Boulenger, Feuille Jeun. Nat., 1893, p. 9), ob aber
dieses Stück zu der typischen V. Ursinii gehört, ist vorläufig unentschieden.
4 13-mal länger, 6-mal ebenso lang, 12-mal kürzer. Bei ungarischen Stücken
ist das Frontale gewöhnlich kürzer, bei österreichischen meist länger alg der Ab¬
stand vom Rostrale.
5 Bei ungarischen Stücken meist 7, bei österreichischen meist 4.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
195
Meinen Schildchen umgürtet1 und von dem unter demselben befind¬
lichen vierten Supralabiale meist durch zwei, seltener drei, in einer
Reihe liegende Schildchen getrennt.2 Das oberste Præoculare ist ver¬
längert und stosst sehr häufig mit dem Nasale zusammen.3
Nasale gross, obwohl gewöhnlich kürzer, stets beträchtlich
höher als der verticale Augendurchmesser ; am Ober- und Hinterrand
gewöhnlich eingekerbt. Das Nasenloch (eine hufeisenförmige
Spalte) befindet sich im unteren Theil des Nasalschildes. Temporal¬
schilder ungekielt. Supralabialia 7 — 9 (gewöhnlich 8), von denen das
unter dem Auge befindliche vierte das grösste ist ; das fünfte aber,
welches zum Theil ebenfalls unter dem Auge liegt, kann ebenso gross
sein; das letzte ist meist auffallend grösser als das vorletzte.4
Sublabialia 8 — 11, gewöhnlich 9 — 10. An das Inframaxillare schliessen
bald vier, bald nur drei Sublabialia an ; 5 im letzteren Fall
wird das vierte Sublabiale durch ein intercalares Schildchen
ferngehalten (Taf. Ill, Fig. 1 und 2), was bei V. macrops äusserst
selten vorkommt ; höchst ausnahmsweise stossen fünf Sublabialia an
das Inframaxillare an. Kehlschuppen gewöhnlich vier bis fünf
Paare.6 Die Schuppen des Rumpfes fast ausnahmslos in 19 Längs¬
reihen,7 kräftig gekielt, die unterste Reihe vollkommen glatt, die an¬
schliessende aber stets deutlich gekielt. Ventralsehilder bei
den cf 120 — 135, bei den $ 125 — 141; Anale ungetheilt ; Subcaudalia
bei den cf 30 — 37, bei den £ 20 — 28.
Schädel.
Ohne hier auf die Einzelheiten des Schädelbaues näher einzu¬
gehen, möchte ich nur diejenigen Eigenthümlichkeiten des Schädels von
Vipera Ursinii hervorheben, die sich gegenüber denen von V. macrops
1 Es sind vorhanden : 7 Schildchen 2-mal ( 3*4%),
8 « 27 « (46-5%),
9 « 27 « (46-5%),
10 « 1 « ( 1-7%),
11 « 1 « ( 1*7%).
In 42 Fällen zwei, in 15 Fällen drei Schildchen.
3 Yon 58 Fällen 29-mal.
4 Yon 58 Fällen 21 -mal kleiner.
5 Yon 58 Fällen 26-mal vier, 30-mal drei und 2-mal fünf.
6 Yon 58 Fällen nur 3-mal drei und 3-mal sechs Kehlschuppen.
7 Boulenger fand unter 40 Laxenburger Exemplaren dreimal 21 und einmal
20 (Proc. Zool. Soc., 1893, p 597), bei weiteren 11 Exemplaren einmal 21 und einmal
20 Schuppenreihen (Zool. Anz., 1894, p. 65).
13*
198
L. y. MÉHELY
als deutliche Unterschiede zu erkennen geben. Das Cranium viscerale
ist bei beiden Arten fast genau von derselben Beschaffenheit, das Cra¬
nium cerebrale hingegen weist deutliche
Unterschiede auf, wie dies aus der Ver¬
gleichung von Fig. 1 und 3 klar hervorgeht.
Die Hirnkapsel von V. Ursinii (Fig. 1)
fällt hauptsächlich dadurch auf, dass der
hinter den Postfrontalien hegende Theil
seiner ganzen Länge nach ziemlich gleich¬
breit und in der Parietalgegend von oben
abgeflacht erscheint. Das Præmaxillare ist
zwischen den Endpunkten des Proc. maxil¬
laris etwas breiter als die Nasenkapsel
an den Turbinali en. Processus nasalis des
Præmaxillare beträchtlich breiter als bei
V. macrops.
Ein besonderes Interesse verdient das
paarige, sehr charakteristisch gebaute 1 Tur¬
binale (Huxley, Owen ; Septomaxillare Par¬
ker und Bettany ; Riechbein Meckel,
Leydig ; Concha Stannius, Ethmoideum
D’Alton, Wiedersheim ; Cornet inférieur
Cuvier). Dasselbe ist von ungefähr drei¬
eckiger Form und lässt ein Mittelstück oder
Körper und drei Fortsätze unterscheiden
(Fig. 2). Das Mittelstück überdacht das
Jacobson’ sehe Organ und ist auf der Unter¬
seite zur Aufnahme dieses Organes schalen¬
artig tief ausgehöhlt.2 Der vordere, an das
1 Wie ich bereits in einer früheren Arbeit (Weitere Beiträge zur Kenntniss
der Archæo- und Neolacerten; Ann. Mus. Hung. VITI, 1910, p. 220, tab. VI) gezeigt
habe, ist das Turbinale bei den Lacerten so charakteristisch gebaut, dass es schon
an und für sich die Unterscheidung der Arten ermöglicht. Dasselbe kann ich jetzt
für die Schlangen aussagen, bei welchen selbst Schwesterarten auf Grund der
Turbinalia mit Sicherheit unterschieden werden können (Vergi. Fig. 2, 4 und 6).
Der Vomer ist ebenfalls sehr charakteristisch gebaut, die Unterschiede sind jedoch
meist geringer.
2 Diese Aushöhlung wird lateral-, medialwärts und von hinten durch einen
genau angepassten Ausschnitt des Vomers begrenzt, so dass die zur Aufnahme des
Jacobson’ sehen Organes bestimmte Knochenkapsel lediglich vom Turbinale und dem
Vomer gebildet wird, wogegen bei den Eidechsen auch das Maxillare an deren
Bildung betheiligt ist.
pm
Fig. 1. Cranium cerebrale von
Vipera Ursinii Bonap. von oben.
Adultes $ aus Laxenburg. Vergr.
4. co = der dreitheilige Condylus
occipitalis, /“^Frontale, n=Na-
sale, oZ=Occipitale laterale, op=
Opistlioticum, os = Occipitale
superius, mit dem Epioticum
verschmolzen, Parietale, p/=
Praefrontale, pm=Præmaxillare,
po = Prooticum, ptf— Postfron¬
tale, tu — Turbinale.
STUDIEN AN V1PERIDEN.
197
Præmaxillare anschliessende Fortsatz ist lang, scharf zugespitzt, conti-
nuirlich in das Mittelstück übergehend ; der hintere, mit dem Frontale
verbundene Fortsatz ist ungefähr von der gleichen Länge und endet
gelenkkopf artig ; der laterale Fortsatz ist ziemlich schmal, stark nach
aufwärts gebogen und von unten in querer Richtung vertieft. Sehr
charakteristisch ist der Yorderrand des Mittelstückes, der im ersten und
zweiten Drittel seiner Breite je eine scharfe Spitze hervorbringt. Die
Praefrontalia stossen in der Medianlinie nicht zusammen und ihre
vordere Ecke ist breit abgerundet. Frontalia schlank, deutlich länger
und schmäler als bei V. macrops ; ihre hintere, late¬
rale Ecke stosst in einer längeren Naht an das
kräftig gebaute Postfrontale an. Die Naht zwischen
dem Parietale und dem Prooticum, wie auch die
zwischen den beiden Hälften des Occipitale superius 1
ist scharf ausgeprägt. Das Opisthoticum wird vom
Occipitale laterale durch eine deutliche Naht getrennt2
und entsendet nach hinten zu einen kurzen, gedrun¬
genen Fortsatz, dessen Spitze den Hinterrand des
Occipitale laterale nicht erreicht. Condylus occipitalis
deutlich dreitheilig.
Das Palatinum und Pterygbideum der einen
Seite ist mit 16 — 19 Hackenzähnen bewaffnet.3 Der Unterkiefer ist, wie
bei V. macrops, ziemlich stark gebogen, das Articulare ist aber hinter
der Gelenksfläche des Quadratum deutlich kürzer als bei V. macrops.
Im Unterkiefer sind auf einer Seite 15 — 16 Zähne vorhanden.
Bemerkenswerth ist noch, dass die Knochensubstanz des Schädels
ziemlich derb, nahezu elfenbeinartig ist, mit sehr wenig Diploë, wogegen
die Schädelknochen von V. macrops beträchtlich zarter gebaut sind.
Maasse des Schädels: Totallänge 15*5 mm., grösste Breite in der
Parietalgegend 5 mm., Länge des Unterkiefers 17*7 mm., Länge des
Turbinale 3*5 mm.
Fig. 2. Die beiden
Turbinalia von Vi¬
pera Ursinii Bonap.
von unten, 6*5-mal
vergrössert. $ von
Puszta-Szt.-Mihály.
1 Laut C. K. Hoffmann (Bronn’s Klassen und Ordnungen des Thier-Reichs,
VI. Bd., III. Abth., III. Schlangen, 1890, p. 1427) soll das Occipitale superius der
Schlangen unpaarig sein, bei V. Ursinii jedoch ist dieser Knochen stets durch eine
deutliche Medialnaht in zwei Hälften zerlegt, die beim Macerieren auseinanderfallen.
2 Laut Hoffmann (1. c., p. 1430) fehlt den Schlangen ( Tropidonotus natmx)
ein discretes Opisthoticum, indem es jederseits mit dem Occipitale laterale ver¬
wachsen ist, welche Behauptung für V. Ursinii nicht zutrifft.
3 Sowohl am Palatinum und Pterygoideum, als am Unterkiefer sind nur die
fest angewachsenen Zähne gezählt worden ; zur Seite dieser Hauptzähne findet man
noch mehrere, in die Sehleimhaut lose eingebettete kleinere Zähne.
198
L. V. MÉHELY
Farbenkleid.
Oberseite hell bräunlich, meist mit einem grünlichen Stich; auf
den Flanken dunkler, zu beiden Seiten des Dorsalbandes bräunlich- oder
weissgelb aufgehellt. Auf der Oberseite des Kopfes befinden sich dunkel¬
braune bis fast schwarze Flecken, die insgesamt ungefähr die Gestalt
eines Andreaskreuzes (X) ergeben. Sind die Flecken rein entwickelt, so
sind sie folgendermassen vertheilt : je einer befindet sich auf der Grenze
zwischen den beiden Canthali a und den anschliessenden Praefrontalia,
ein medialer Flecken liegt auf dem Frontale, ferner je ein bogenförmiger
Streifen zu beiden Seiten des Kopfes, der am Supraoculare entspringt,
dann auf das Parietale hinüberzieht und sich daselbst nach aussen wen¬
dend am Hinterkopf bis zur lateralen Makelreihe herabsteigt. Die beiden
letzteren Streifen, deren Concavität meist noch eine rundliche Makel
umgürtet, nähern sich auf den Parietalien fast bis zur Berührung und
bilden insgesamt das Kopfkreuz. Zwischen den Hinterschenkeln des
Kopfkreuzes entspringt das hell- oder dunkelbraune, öfters olivgrün an¬
gehauchte Dorsalband, welches stellenweise, obwohl meist nur am Vorder¬
körper, aus sechseckigen Makeln besteht, die durch tiefe Ein¬
buchtungen der hellen Grundfarbe derart getrennt werden, dass sie meist,
nur mit ihren medialen Spitzen Zusammenhängen, stel¬
lenweise aber auch vollkommen isoliert sein können.
Das Dorsalband nimmt meist nur die Breite von sieben Schuppenreihen
ein und wird zu beiden Seiten von einem scharf abstechenden
schwarzen Saum continuirlich oder wenigstens an den Ausbuch¬
tungen eingefasst.
Seitentheile des Kopfes hell graubraun, Lippenschilder, Kinn,
Kehle und Vordertheil des Halses gewöhnlich einfarbig weiss,
ausnahmsweise können aber einige Supra- und Sublabialschilder (meist
das 4. und 5.), namentlich bei jüngeren Stücken, einen mehr oder
weniger deutlichen dunklen Hinterrand erhalten und auch die
seitlichen Kehlschuppen spurweise dunkelgerandet sein. Neu¬
geborene Stücke haben einfarbig weisse Lippenschi 1-
der, ein weisses Kinn und weisse Kehle.
Der Postocularstreifen beginnt am Auge, durchquert das letzte
Supralabiale und verlängert sich gewöhnlich auf die Hals¬
seite; hinter dem letzten Supralabiale verbindet es sich ge¬
wöhnlich mit dem Hinterschenkel des Kopfkreuzes
(Taf. Ill, Fig. 1 und 2) ; von unten schliessen an den Postocularstreifen
die hinteren, weissgefärbten Supralabialia an, doch niemals so streifen¬
artig wie bei V. Renardi. Auf der Flanke wird der Postocularstreifen
STUDIEN AN VIPEEIDEN.
199
in eine meist scharf ausgesprochene Makelreihe aufgelöst, die bei den
einzelnen Individuen aus Makeln sehr verschiedener Form und Grösse
besteht. Zwischen dieser lateralen Makelreihe und dem Dorsalband ist
gewöhnlich eine dunkle dorsolaterale Fleckenreihe ein¬
geschaltet, deren Flecken länglich und kleiner sind als die Makeln
der lateralen Reihe. Auf der untersten Schuppenreihe des Rumpfes be¬
findet sich gewöhnlich eine deutlich ausgesprochene dunkle Flecken¬
reihe.
Bauch und Unterseite des Schwanzes dunkelschiefergrau, mit
mehreren weissen Fleckenreihen, oder weiss, am Hinterrand eines jeden
Schildes mit mehreren schwarzgrauen Flecken. Unterseite des Schwanzes
niemals gelb.
Ein Geschlechtsdimorphismus ist im Farbenkleid nicht ausge¬
sprochen, höchstens sind bei der Form der ungarischen Tiefebene die
weissen Flecken des Bauches bei den Weibchen grösser und zahlreicher
und gewinnen manchmal die Oberhand, derart, dass nur die Bauchmitte
schiefergrau bleibt, wogegen bei den Männchen meist die schiefergraue
Grundfarbe vorherrscht, worin sich eine Annäherung an V. berus aus¬
spricht. Dem umgekehrten Fall begegnen wir bei den Stücken vom Gran
Sasso, bei welchen gerade das Männchen durch die weisse Grundfarbe
des Bauches ausgezeichnet würd.
Varietäten.
Wie die meisten Reptilien, so neigt auch Vipera Ursinii zur Bil¬
dung von Lokalrassen. Färbung und Zeichnung, wie auch die Beschaffen¬
heit des Schuppenkleides sind von Standort zu Standort etwas ver¬
schieden, doch diese Abweichungen sind im Allgemeinen so geringfügig,
dass an ein Aufstellen scharf geschiedener Varietäten kaum gedacht
werden kann. Selbst die Stücke sehr verschiedenartiger und ganz iso¬
lierter Standorte unterscheiden sich nur wenig von einander, so sind
die Exemplare der ungarischen Tiefebene, ferner die des Siebenbür-
gischen Hügellandes (Mezőség) und die von Nieder-Österreich ziemlich
desselben Schlages. Anders verhält es sich aber mit den Stücken vom
Gran Sasso in den Abruzzen, die zwar in den Hauptzügen mit den
Vorhergenannten übereinstimmen, ihrem subalpinen Standorte ent¬
sprechend aber Eigenartigkeiten aufweisen, die sie auf den ersten Blick
unterscheiden lassen.
Ich bin überzeugt, dass die subalpine Form der Abruzzen, also
der Typus der Art, und die ungarische und österreichische Tiefland¬
form (meine var. rákosiensis) auseinandergehalten werden müssen, nur
200
L. V. MÉHELY
kann ich leider diese Trennung — in Ermangelung eines ausreichenden
Materials — nicht in überzeugender Weise durchführen.
Die Form der Abruzzen kennen wir vor Allem aus Bonaparte’s
Beschreibung und Abbildung, die sich auf ein anscheinend junges Thier
beziehen. Ein Exemplar, angeblich der Bonaparte’ sehe Typus, befindet
sich im Museum zu Philadelphia, welches von Cope ebenfalls für jung
betrachtet wird («In its light colors, our specimen partakes of the
character of a young animal»).1 Ferner befinden sich in meinen Händen
zwei Stücke ( cf , J ) vom Gran Sasso aus dem Turiner Museum, die ich
ebenfalls für jung ansehen muss (Totallänge des messbaren Männchens
303 mm.). Somit scheinen alle bekannten Stücke jung
zu sein und wenn dies thatsächlich der Fall ist, so kann diese Form
von der Tieflandform kaum getrennt werden, da sich in der Collection
des Herrn Prof. Werner ein juveniles Männchen von Laxenburg be¬
findet, welches denen vom Gran Sasso äusserst ähnlich ist. Falls jedoch
die italienischen Stücke erwachsen sein sollten, was sich vorläufig nicht
mit Sicherheit entscheiden lässt, müsste die ungarische und österreichische
Tieflandform als eine besondere Unterart abgetrennt, respective meine
rakosiensis restituiert werden.
Angesichts dieser Sachlage muss ich mich darauf beschränken, die
hauptsächlichsten Charaktere der italienischen Form anzuführen und
ferneren Untersuchungen anheimstellen darüber zu entscheiden, ob die
von mir hervorgehobenen Eigenthümliclikeiten auch bei Stücken wieder¬
kehren, die sich bestimmt für erwachsen erweisen.
Bezeichnend für die Form der Abruzzen ist ausser der geringen
Körpergrösse die vollkommen flache Schnauze; das einem Wappenschild
ähnliche, sehr lange Frontale (Taf. IY, Fig. 1, f), dessen Länge den
Abstand vom Rostrale beträchtlich übertrifft; Dorsalband hell zim-
metbraun, an den Ausbuchtungen schwarzgesäumt ; Rückenfeld zu
beiden Seiten des Dorsalbandes hell gelblichweiss; Postocular-
streifen mit dem Hinterschenkel des Kopfkreuzes hufeisenförmig ver¬
bunden (Taf. Ill, Fig, 1) und beim £ auf die Halsseite verlängert;
beim cf die mittleren Supralabialia am Hinterrand schwach dunkel¬
gesäumt, beim j auch die Sublabialia kräftiger dunkelgerandet und die •
Kehlschuppen dunkel besprenkelt ; Unterseite beim cf weiss, am Hinter¬
rand eines jeden Bauchschildes mit etwa sechs schwarzgrauen Flecken,
die ziemlich regelmässige Längsreihen bilden, beim £ schiefergrau, mit
weisslicher Marmelung.
1 Proc. Acad. Philadelphia, 1859, p. 342.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
201
Geographische Verbreitung .
Vipera Ursinii ist durch Bonaparte von den steinigen Triften der
Abruzzen aus der Provine Ascoli bekannt geworden, an welchem Orte
sie von Orsini gesammelt wurde.1 Der Bonaparte’ sehe Typus befindet
sich im Museum zu Philadelphia 2 und ist wohl allen europäischen
Herpetologen unzugänglich, so dass die beiden jungen Exemplare vom
Gran Sasso, die sich im Turiner Museum befinden und von Prof.
Camerano als V. berus beschrieben und abgebildet worden sind,3 als
Cotypen der Art betrachtet werden können. Yon diesen beiden Stücken,
die mir von Prof. Camerano bereitwilligst zur Untersuchung anvertraut
wurden, befindet sich das 5 in einem fast unbrauchbaren Zustand, das
cf ist aber gut erhalten, so dass ich die kleine Mühe nicht scheuen
durfte, den Kopf desselben von oben und von der Seite genau abzu¬
bilden, damit meine Fachgenossen gehörig unterrichtet seien über dieses
beachtenswerthe Exemplar.
Unsere Art kommt ferner auch in den französischen Basses Alpes
vor, aus welcher Gegend bereits A. Tourneville ein Exemplar als
V. berus beschrieben und abgebildet hat ; 4 neuerer Zeit wurde aus der¬
selben Gegend (Digne) von G. A. Boulenger ein zweites Exemplar be¬
schrieben,5 das sich im Besitze des British Museums befindet. Wenn
auch über die Art selbst kein Zweifel obwalten kann, bleibt es vorläufig
doch nur eine Voraussetzung, dass das letztere Stück thatsächlich der
typischen Form angehört, da die Ausfolgung desselben — trotz der
Fürsprache des Herrn Boulenger — von der Behörde des British
Museums verweigert wurde.
Ausser diesen subalpinen Fundorten, woselbst unsere Art nur sehr
sporadisch vorzukommen scheint, sind neuerer Zeit eine grössere Anzahl
von Standorten bekannt geworden, die aber alle der typischen Tief¬
ebene, zum Theil sogar der Steppe angehören. Y or allem habe ich selbst
die Art zuerst vom Käkos-Felde, in der Nähe von Budapest,6 dann auch
vom mittleren Theil Siebenbürgens aus der Umgebung von Kolozsvár
(Szénafüvek, Bükk) verzeichnet7 und zu gleicher Zeit wurde dieselbe
1 Iconogr. Faun. Ital., 1835.
2 Proc. Acad. Philad., 1859, p. 342.
3 Accad. Sc. Torino (2) XXXIX, 1888, p. 35, tab. I., fig. 16—18.
4 Bull. Soc. Zool. France, VI, 1881, p. 44, tab. I, fig. 785, a , b.
5 Feuille des Jeunes Naturalistes, 1893 p. 8.
6 Zool. Anz., 1893, p. 190.
1 Zool. Anz., 1894, p. 68.
202
L. y. MÉHELY
durch Boulenger aus dem Wiener Becken bekannt,1 wo sie laut
Kikcheoth «nach Westen bis zu den östlichen Abhängen der Anninger
Höhe, südwärts bis Traiskirchen und Tribuswinkel, besonders aber sehr
zahlreich in der nächsten Umgebung von Laxenburg vorkommt».
Zu den obigen gesellen sich als neue Fundorte für Ungarn:
Bákos-Keresztúr, Puszta-Szt. -Mihály, Babád puszta, Örkény, Bugacz (bei
Kecskemét) und Slavonien, deren Belegstücke im Besitze des Ungarischen
National-Museums sind ; ferner die Gegend des Neusiedlersees (Fertő-tó),
woher sich ein Exemplar in der Sammlung des Herrn Prof. Webneb
befindet und das Eisenburger Comitat (Yas megye), woher Prof. Weener
zwei Exemplare gesehen hat.2
Für Österreich kann ich auf Grund der mir von Herrn Prof.
Werner anvertrauten Stücke, ausser Laxenburg, die folgenden Fundorte
anführen : Guntramsdorf, Grammar-Neusiedl, Münchendorf, Achau, Eb-
reichsdorf und Bruck an der Leitha.
Lebensweise.
Uber die Lebensweise dieser in der Ungarischen Tiefebene und im
Wiener Becken so häufigen Giftschlange sind wir leider noch durchaus
nicht befriedigend unterrichtet.
In der Umgebung von Budapest bewohnt sie das von der Donau
östlich gelegene Flachland und kommt selbst in der nächsten Umgebung
der Hauptstadt, so am Angyalföld und am Bákos vor, ohne dass über
ihren Biss etwas verlauten würde. Wie man mir versichert, hat man am
Angyalföld Schulknaben dabei angetroffen, wie sie sich ganz gemüthlich
mit gefangenen Exemplaren dieser Schlange spielten, ohne gebissen
worden zu sein. Auch Prof. Werner hält die Spitzkopfotter für weniger
bissig als die gewöhnliche Kreuzotter, da er niemals vernahm, dass in
der Gegend von Laxenburg, wo das Thier enorm häufig ist, jemand
von demselben gebissen worden wäre ; ferner sah Prof. Werner zwei
ungarische Exemplare (aus dem Eisenburger Comitat), die obwohl sie
frisch gefangen und vollkommen gesund waren, sich auf keine Weise
zum Beissen bewegen liessen.3
Bei Laxenburg bewohnt sie laut Werner4 die ausgedehnten Wie¬
sen, wo sie in den zahllosen Mauslöchern sowohl Nahrung als Versteck
1 Proc. Zool. Soc., 1893, p. 599.
2 Zool. Anz., 1894, p. 87.
3 Zool. Anz., 1894, p. 87.
4 Bept. Amphib. Oesterreich-Ungarns, 1897, p. 75.
STUDIEN AN V1PER1DEN.
20a
findet. Boulenger schreibt, dass sie sich nach der Mittheilung von
Kirchroth hauptsächlich von Lacerta agilis und Mäusen nährt.1
Vipera macrops n. sp.
Vipera berus (part.) Werner, Zool. Anz., 1893, p. 423.
Pelias berus Tomasini, Wissensch. Mitth. Bosnien u. d. Herceg. II, 1894,
p. 650.
Vipera Ursinii Werner, Wiss. Mitfch. Bosn. u. d. Hercegov., VI, 1899, p. 821
825, 830, 836, 840; Gugler, Bl. f. Aquar,- n. Terrarienkunde, XIV, 1903, p. 145, fig.
Vipera Ursinii (part.) Werner, Rept. Amphib. Oesterr.-Ungarns, 1897, p. 75
Unter suehung s-Matericil.
1. Zwanzig Exemplare von Korito (Hercegovina), gesammelt vom
Herrn Hauptmann Georg Veith in Bilek. Von diesen Stücken befinden
sich sechse (4 ad. £, 1 juv. £ und 1 juv. cf) im Besitze des Ungarischen
National-Museums, sechse (5 ad. cf und 1 ad. £ ) im Besitze des k. k.
naturhistorischen Hofmuseums in Wien, zweie (1 ad. und 1 juv. £)
im Besitze des Herrn Prof. Werner in Wien, drei (ad. £ ) im Besitze
des Herrn Hauptmann Veith, zweie (ad. cf und £ ) im Besitze der
zoolog. Station zu Rovigno und ein ad. £ im Besitze des Herrn k.
Schulrath Dr. E. Schreiber in Görz.
2. Fünf Exemplare aus der Sammlung des Herrn Prof. Werner
in Wien von folgenden Fundorten : Gipfel der Dinara (ad. $ ) und
Hrbljina (2 ad. £ ) in Bosnien, ferner Brestica (ad. cf) und Bjelasica
planina (ad. cf) in der Hercegovina.
3. Sechs Exemplare im Besitze des Museums zu Sarajevo von
folgenden Fundorten: Ljubusa planina (ad. £ ), Sator planina (ad. £ ),
Kalinovik (ad. cf), Voljak (ad. cf) und Lebrsnik (neugeborenes cf) in
Bosnien, ferner Veliki Veles (ad. £ ) in der Hercegovina.
4. Zwei Exemplare (ad. cf und £ ) aus Bosnien im Besitze des
Senckenbergischen Museums zu Frankfurt a. M.
Tracht und Grösse .
Vipera macrops erinnert in der Tracht an V. Ursinii, erreicht
auch die Länge der letzteren Art, bleibt aber gewöhnlich kleiner
und schmächtiger. Das grösste mir bekannte cf ist 450 mm., das
grösste £ 453 mm. lang.
1 Proc. Zool. Soc., 1893, p. 599.
204
L. V. MÉHELY
Kopf von oben betrachtet kurz eiförmig (Taf. Y. Fig. i , 3
und 4), ziemlich klein und gedrungen; kürzer, aber in der Tem¬
poralgegend breiter als bei gleichlangen Stücken von V. Ursinii,1
ohne Rücksicht auf das Geschlecht etwa 1*4 — L6-mal länger als breit.2
Es ist sehr bemerkenswert)!, dass der Kopf der Männchen nicht — wie
es bei anderen Arten die Regel — schmächtiger ist als der der Weib¬
chen, vielmehr finden wir beim Vergleich gleichlanger, tadellos con-
servierter Stücke, dass der Kopf der Männchen sonderbarer Weise
gedrungener (d. i. kürzer und in der Temporalgegend breiter) ist
als derjenige der Weibchen! Schnauze — wie bei V. Ursinii — stumpf
zugespitzt, aber kürzer und oben vollkommen flach. Schnauzen¬
kante stumpf, aber etwas schärfer als bei V. berus. Zügelgegend zwi¬
schen dem Nasenloch und dem Auge, wie auch die Gegend unmittelbar
unter und hinter dem Auge vertieft. Auge ziemlich gross, gewöhn¬
lich deutlich grösser als bei V. Ursinii (Taf. Ill, Fig. 4), fast so gross
als bei V. berus ; der horizontale Durchmesser desselben erreicht oder
übertrifft etwas den Abstand des Auges von der Mitte des Nasenloches,
der verticale Durchmesser übertrifft meist (mit 0*1 — 0‘6 mm.) die
Entfernung des Auges vom Lippenrand, öfters aber ist derselbe mit
dem genannten Abstand gleichlang und ausnahmsweise sogar ein wenig
kürzer. Schwanz beim cf länger, pfriemenförmig, beim Ç kürzer, all¬
mählich verjüngt; beim cf etwa 6V2 — 8, beim $ 9 — lOVs-mal in der
Totallänge enthalten,3 somit relativ länger als bei V. Ursinii.
1 Diese Verschiedenheit wird durch den Bau des Schädels bedingt, da bei
dieser Art die Frontalia kürzer und breiter sind, ferner ist die Parietalgegend
lateralwärts und auch oberseits mehr liervorge wölbt als bei V. Ursinii (Vergi.
Textfig. 1 und 3).
2 Die Länge des Kopfes verhält sich zur Breite bei den cf wie 1*37 — D64: 1,
bei den Ç wie 1*39 — 1*65 : 1.
3 Genauer : bei den cf 6*61 — 8'28, bei den £ 9*23 — 10’53-mal.
STUDIEN AN VIPERIDEN,
205
206
L. V. MÉHELY
Anmerkung. Die im Besitze des k. k. naturhistorischen Hof¬
museums in Wien befindlichen Stücke sind mit gespreiztem Maul auf-
gestellt, infolgedessen das angegebene Yerhältniss der Kopflänge zur
Kopfbreite nicht ganz genau sein dürfte.
Pholidose.
Rostrale von den mittleren Seitenecken basalwärts gewöhnlich
gleichbreit, stets deutlich breiter als die von der basalen Ausschwei¬
fung gemessene Höhe. An das Rostrale schliesst stets nur ein Apicale
an (Taf. Y, Fig. 1 — 5) ; dasselbe bildet gewöhnlich eine längliche, nach
hinten zu verschmälerte sechseckige Platte, die auffallend kleiner ist
als bei V. Ursinii, bei erwachsenen Stücken höchstens so breit
als ein Supraoculare,1 dabei auch gewöhnlich deutlich kleiner als
ein vorderes Canthaie. Bei dem grössten Männchen aus Korito (Her¬
cegovina) und einem zweiten aus Kalinovik (Bosnien) ist überhaupt
kein Apicale vorhanden, auf Kosten dessen sind jedoch die bei¬
den vorderen, hinter dem Rostrale aneinander schliessenden Canthalia
beträchtlich vergrössert (Taf. Y, Fig. 6). Bei einem neugeborenen Männ¬
chen aus Lebrsnik (Bosnien) ist das Apicale so klein, dass es die Prae¬
frontalia nicht erreicht, aber von den beiden vorderen Canthalia ein¬
geschlossen wird (Taf. Y, Fig. 4). Das vordere Canthaie ist gewöhnlich
grösser und nur ausnahmsweise ebenso gross als das hintere.
Die Sincipitalschilder (das Frontale und die beiden Parietalia)
sind ziemlich oft (in 33%) normal, meist aber (in 67%) sehr un¬
regelmässig entwickelt, wobei die folgenden Yariationsrichtungen
Vorkommen :
1. Ziemlich häufig ist das Frontale vorne und hinten normal ent¬
wickelt (Taf. Y, Fig. 4). 11 Fälle (4 cf , 7 ç) von 33. In diesem Fall
ist das Frontale lVs — l2/3-mal länger als breit, gewöhnlich beträcht¬
lich länger als dessen Entfernung vom Rostraischild und viel
länger als das Parietale; die vordere Spitze des Frontalschüdes er¬
reicht genau oder wenigstens beinahe die die Yorderecken der Supra-
ocularia verbindende Linie.
2. Am häufigsten ist der Fall, dass das Frontale vorne normal,
hinten aber in kleinere Schilder zerlegt ist (Taf. V, Fig. 1). 13 Fälle
(6 cf , 7 ÿ ) von 33.
3. Das Frontale ist hinten normal entwickelt, vorne aber mit
1 Id 29 Fällen von 33 ; 2 Exemplare besitzen ein so breites Apieale als
V. Ursinii.
STUDIEN AN VJPERIDEN.
207
einem oder mehreren Præfrontalschildern verschmolzen, infolgedessen
es eine abnorme Länge erreicht (Taf. Y, Fig. 2 und 5). 6 Fälle (1 cf ,
5 <j> ) von 33.
4. Das Frontale ist vorne mit einem oder mehreren Præfrontal¬
schildern verschmolzen, dabei aber hinten in kleinere Schilder zerlegt
(Taf. Y, Fig. 3). 3 Fälle (1 cf, 2' ÿ) von 33.
In allen diesen Fällen können die Parietalia normal entwickelt
oder in kleinere Schilder aufgelöst sein, doch sind dieselben auch ini
Falle normaler Entwickelung gewöhnlich kleiner als bei V. Ursinii
und meist beträchtlich oder wenigstens deutlich kürzer als ein
Supraoculare.
Supraoculare lang und schmal, 2 — 2Vs-mal länger als breit und
gewöhnlich genau oder wenigstens fast gleichlang mit dem Abstand
zwischen dem Hinterrand des Auges und dem Hinterrand des Nasalschil¬
des. Yom Frontale wird das Supraoculare öfters durch eine, lange Platte
oder durch 2 — 4 (gewöhnlich 2) kleinere Schilder getrennt.1 In einem
Fall (adultes £ von der Sator planina in Bosnien) sind die beiden
Supraocularia mit dem dritten Zwischenschildchen verschmolzen, so
dass sie an den rückwärtigen Theil des Frontalschildes anschliessen.
Der Kaum zwischen dem Apicale, den vier Canthalia und dem
Frontale wird gewöhnlich von zwei bis vier (meist drei, äusserst
selten fünf oder sechs) ziemlich grossen Praefrontalschildern ausgefüllt.2
Auge von 6 — 10 (meist 7 — 9) kleinen Schildchen umgürtet3 und vom
vierten Supralabiale durch eine Reihe zwei oder drei kleiner
Schildchen getrennt.4 Das oberste Præoculare ist verlängert und s t o s s t
meist an das Nasale an.5 Nasale relativ klein, im Yerhältniss zum
Auge meist auffallend kleiner als bei V. Ursinii und V. Renardi ;
kürzer als der horizontale und gewöhnlich niedriger oder höchstens
ebenso hoch, nur ausnahmsweise etwas höher als der verticale
1 Unter 66 Fällen sind zwischen dem Frontale und dem Supraoculare 14-mal
1, 30-mal 2, 18-mal 3 und 4-mal 4 Zwischenschildchen vorhanden.
2 Unter 33 Fällen sind 5-mal 2, 17 -mal 3, 9 -mal 4, 1-mal 5 und 1-mal 6
Præfrontalschildchen vorhanden.
3 Es sind vorhanden: 6 Schildchen 5-mal ( 8*2%),
7 « 15 « (24*6%),
8 » 19 « (31-1%),
9 « 18 « (29-5%),
lü « 4 « ( 6-5%).
4 In 33 Fällen sind 3, in 33 Fällen nur 2 Schildchen an dieser Stelle vor¬
handen.
5 In 46 Fällen von 66 stosst das oberste Præoculare an das Nasale an.
208
L. y. MÉHELY
Augendurchmesser. Am Ober- und Hinterrand ist das Nasale gewöhn¬
lich, manchmal aber auch am Vorder- und Unterrand eingekerbt.
Das Nasenloch befindet sich im unteren Theil des Nasalschildes. Tem¬
poralschilder ungekielt. Supralabalia 6 — 9 (gewöhnlich 8), von denen
normalerweise das vierte und gewöhnlich ein kleiner Theil des fünften
unter dem Auge liegt ; von diesen beiden Schildern ist meist das vierte
das grösste, oder aber sind beide gleichgross ; das 6. und 7. ist be¬
trächtlich kleiner, aber das letzte (8-te) ist gewöhnlich auffallend
grösser als das vorletzte.1 Falls weniger als 8 Supralabialia vorhan¬
den sind, so ist das 3. und 4., oder das 4. und 5., oder das 5. und 6.
verschmolzen. Sublabialia 7—11, gewöhnlich 9 — 10. An das Infra-
maxillare schliessen fast ausnahmslos vier Sublabialia an2 (Taf. III,
Fig. 4). Kehlschuppen sind meist nur drei Paare vorhanden.3 Die
Schuppen des Rumpfes stets in 19 Längsreihen; dieselben am Rücken
kräftig, gegen den Bauch zu schwächer gekielt ; die unterste Reihe ist
vollkommen glatt, die anschliessende meist nur spurweise, manch¬
mal aber deutlich gekielt. Ventralschilder bei den cf 124 — 131, bei den
5 127 — 135; Anale ungetheilt ; Subcaudalia bei den cf 30 — 35, beiden
5 21 — 27 Paare.
Schädel.
Die Hirnkapsel von Vipera macrops (Fig. 3) unterscheidet sich
von der von V. Ursinii hauptsächlich dadurch, dass der hinter den
Postfrontalien liegende Theil derselben nach hinten zu deutlich verengt
und in der Parietalgegend sowohl oberseits, als lateralwärts auffallend
gewölbt erscheint. Das Præmaxillare ist zwischen den Endpunkten
des Proc. maxillaris etwas schmäler als die Nasenkapsel an den Turbi-
nalien. Processus nasalis des Præmaxillare schlank, beträchtlich schmä¬
ler als bei V. Ursinii. Die Turbinalia (Fig. 4) weisen sehr charakte¬
ristische Eigenthiimlichkeiten auf. Der vordere Fortsatz derselben ist
lanzettförmig, auffallend kürzer als bei V. Ursinii und vom Mittel¬
stück deutlich abgeschnürt ; der hintere Fortsatz ist am Ende einfach
abgerundet; das Mittelstück ist massiver und der Vorderrand des¬
selben ist anstatt den zwei scharfen Spitzen von V. Ursinii nur mit
einer stumpf abgerundeten Hervorragung versehen ; der laterale Fort-
1 Die Grösse des letzten Supralabiale wird dadurch bedingt, dass es mit dem
oben und hinten anschliessenden Temporalschild verschmilzt, eine Eigenschaft,
die nicht nur in der Umwü-Gruppe, sondern auch bei Vipera aspis und ammo-
dytes fast regelmässig vorkommt.
2 In 57 Fällen 4, in 7 Fällen 3 und in 2 Fällen 5 Sublabialia anstossend.
3 In 5 Fällen 2, in 40 Fällen 3 und in 21 Fällen 4.
STUDIEN AN V1PERIDEN.
209
pm
satz ist länger, mehr heraufgebogen, mit längerer Hinterspitze als bei
V. Ursinii.1 Die Præ frontalia stossen in der Medianlinie in einem
Punkt zusammen und ihre vordere Ecke
ist stumpfspitzig vorgezogen. Frontalia
deutlich kürzer und breiter als bei V. Ur¬
sinii, ihre hintere laterale Ecke stosst
höchstens in einem Punkt mit dem zart¬
gebauten Postfrontale zusammen. Die
Naht zwischen dem Parietale und dem
Prooticum, wie auch die zwischen den
beiden Hälften des Occipitale superius ist
ziemlich verwischt, bei gehöriger Macera¬
tion fallen jedoch die letzteren Theile
auseinander. Opisthoticum mit dem Occi¬
pitale laterale verschmolzen und nach
hinten zu einen kräftigen, langen Fortsatz
entsendend, dessen Spitze den Hinterrand
des Occipitale laterale überragt. Condylus
occipitalis einheitlich, da die condylaren
Theile der Occipitalia lateralia denjenigen
des Occipitale basilare nicht überragen.
Palatinum und Pterygoideum der
einen Seite mit 21—23 Hackenzähnen
bewaffnet. Der Unterkiefer ist ähnlich
gebogen wie bei V. Ursinii, das Articulare
ist aber hinter der Gelenksfläche des Quadratum deutlich länger als bei
V. Ursinii. Im Unterkiefer sind auf einer Seite 20 — 21 Zähne vorhanden.
Die Knochen des Schädels sind be¬
trächtlich zarter gebaut als bei V. Ursinii.
Maasse des Schädels : Totalläiige
1 5*6 mm., grösste Breite in der Parietal¬
gegend 6 mm., Länge des Unterkiefers
18*7 mm., Länge des Turbinale 3*2 mm.
C11-T1 Big. 4. Die beiden Tnrbinalia
Die Beschaffenheit des Schädels von ö r .
von vipera macrops n. sp. von un-
V. macrops und V. Jjl sinii liefeit den ten, 0;5.maj vergrössert. Adultes
schönsten Beweis für die Dichtigkeit j von Korito.
Fig. 3. Cranium cerebrale von
Vipera macrops n. sp. Adultes Ç
von Korito (Hercegovina). Yergr.
4. Die Bezeichnungen wie an
Fig. 1.
1 Diese namhafte Umprägung der Tnrbinalia steht wohl mit dem Nahrungs¬
wechsel in Zusammenhang. V. macrops nährt sich nähmlich von Heuschrecken,
infolgedessen das den Geruch der Nahrung controllierende Jacobson’ sehe Organ,
mitsamt seiner Knochenkapsel, eine entsprechende Umgestaltung erleiden musste.
Annales Musei Nationalis Hungáriái. IX.
14
210
L. y. MÉHELY
des C o r r e 1 a t i o n s g e s e t z e s. Beide Schädel sind sich äusserst
ähnlich, dafür aber sind dieselben in allen Einzelheiten verschieden ; nicht
ein Knochen, nicht eine einzige Naht ist bei beiden vollkommen gleich.
Angesichts dieser Unterschiede lernt man erst recht zu würdigen die
klassisch schönen Worte Eimer’s: «Mehr als irgendwie sind wir bei diesen
correlativen Veränderungen berechtigt, das Beispiel von der Krystallisation
der Anorgane zu gebrauchen, die Vergleichung mit der kaleidoskopi-schen
Bildung von Figuren zu verwerthen : sowie irgend Etwas im ursprünglichen
Zustand, in der ursprünglichen Anordnung von Theilchen des Organismus
verändert wird, kommen auch andere Theilchen in Bewegung, alles ordnet
sich zu einem neuen Ganzen an, hat — oder bildet — «eine neue Art».4
Unser Fall ist zugleich ein beredtes Zeugniss dessen, dass man
bei der Unterscheidung von Schwesterarten, die äusserlich oft nur bei
Aufbietung aller Beobachtungsschärfe auseinandergehalten werden kön¬
nen, unumgänglich angewiesen ist den Schädelbau zu berücksichtigen.
Farbenhleid.
Oberseite hell graubraun, zu beiden Seiten des Dorsalbandes von
heller, reiner Farbe, auf den Rumpfseiten jedoch fein bestäubt, daher
dunkler. Auf der Oberseite des Kopfes befinden sich mehrere unregel¬
mässige sepiabraune Flecken, die insgesamt ungefähr die Gestalt eines
Andreaskreuzes (X) ergeben. Sind die Flecken nicht verschmolzen, so
sind sie in ähnlicher Weise vertheilt wie bei V. Ursinii. Zwischen den
Hinterschenkeln des Kopfkreuzes entspringt das gewöhnlich bis zur
Schwanzspitze conti n ui r lieh verlaufende sepiabraune Dorsal¬
band, welches beiderseits wellenförmig ausgebuchtet ist und zwar derart,
dass sowohl die Ein- als die Ausbuchtungen der beiden Seiten einander
meist entgegengestellt sind. Im Vergleich zu V. Ursinii ist bemerkens¬
wert]!, dass die Einbuchtungen der hellen Grundfarbe weniger tief
in das Dorsalband einschneiden, infolgedessen die rhomben¬
förmigen Elemente desselben in der Medianlinie breiter Zusammen¬
hängen und nicht den Charakter eines Fleckenbandes hervorrufen, wie
dies bei V. Ursinii und V. Renardi gewöhnlich der Fall ist. Die Aus¬
buchtungen des Dorsalbandes werden von einem dunkleren, meist nicht
schwarzen Saum eingefasst, der von der helleren Grundfarbe des Dor¬
salbandes viel weniger absticht als bei V. Ursinii und Renardi ,
infolgedessen das Dorsalband mehr an das der typischen V. berus
erinnert. Bemerkenswerth ist noch, dass das Dorsalband auch meist
1 Th. Eimer, Archiv f. Naturgesch., 1881, p. 492.
STUDIEN AN V1PERTDEN.
211
auffallend breiter ist als bei V. Ursinii und Renardi, da es auf den
breitesten Stellen neun Längsreihen der Rückenschuppen einnimmt.
Seitentheile des Kopfes im Leben hell graubraun, der untere Theil
der Supralabialia weiss oder schmutzig gelblichweiss aufgehellt ; längere
Zeit in Alcohol aufbewahrte Exemplare sind auf der ganzen Kopfseite
gelblichweiss. Hinterrand der Supra- und Sublabialia gewöhnlich von
einem mehr oder weniger kräftigen schwarzbraunen Saum be¬
gleitet (Taf. Ill, Fig. 4), welcher bei erwachsenen Weibchen meist
viel undeutlicher ausgesprochen ist, obwohl öfters auch erwachsene Weib¬
chen Vorkommen mit scharf dunkelgerandeten Lippenschildern. Neu¬
geborene Stücke und die Männchen besitzen stets deut¬
lich dunkelgerandete Lippenschilder. Das Rostrale, Men¬
tale, erste Sublabiale und das Inframaxillare bleibt stets ungedeckt.
Kinn, Kehle und Vordertheil des Halses weiss, aber die Kehlschuppen
sind dunkelgrau bestäubt, welche Bestäubung meist gegen die Schup¬
penränder zu gedrängt wird, infolgedessen die Kehlschuppen — nament¬
lich im männlichen Geschlecht — einen mehr oder weniger deutlichen,
öfters nur auf den Innen- und Hinterrand beschränkten dunklen
Saum erhalten. Iris im Leben hell kupferbraun oder kupferroth,
im oberen Theil und am Innenrand schwefelgelb.
Hinter dem Auge liegt ein schräger, dunkelkastanienbrauner, kur¬
zer, gewöhnlich scharf isolierter Postocularstreifen, der meist
nicht unmittelbar am Auge, sondern in ziemlicher Entfernung von dem¬
selben entspringt, sich gewöhnlich nur bis zum Hinterrande des letzten
Supralabiale erstreckt und hier scharf aufhört, d. i. mit dem Hin¬
terschenkel des Kopfkreuzes nicht verbindet (Taf. Ill,
Fig. 4), wogegen diese Verbindung bei V. Ursinii und Renardi meist
zustande kommt. Neben dem stets mehrmals eingebuchteten Unterrand
des Postocularstreifens ist die Grundfarbe der Kopfseite weiss aufgehellt,
infolgedessen, besonders bei jungen Stücken, ein mehr oder weniger
ausgesprochener weisser Saum entsteht, der jedoch niemals so scharf
ausgesprochen ist als bei V. Renardi. Auf der Rumpfseite setzt sich
der Postocularstreifen in Form einer kräftigen, dunkelbraunen Makel¬
reihe fort, die aus X -förmigen, länglichovalen oder rundlichen Makeln
besteht. Zwischen der lateralen Makelreihe und dem Dorsalband be¬
findet sich niemals eine, bei V. Ursinii und Renardi gewöhnlich
vorhandene, dorsolaterale Fleckenreihe ; nur bei einem einzigen Stück
fand ich an dieser Stelle einige verzeinzelte Flecken. Auf der untersten
Schuppenreihe des Rumpfes verläuft eine mehr oder weniger ausge¬
sprochene dunkle Fleckenreihe, die bereits am Halse beginnt.
Bauch und Unterseite des Schwanzes schiefergrau, mit weissen
212
L. y. MÉHELY
Tupfen und Flecken gewölkt, oder weiss mit schwarzgrauen Flecken,
die den Hinterrand eines jeden Bauchschildes einnehmen und manch¬
mal deutliche Längsreihen bilden. Bei manchen Stücken, insbesondere
bei den Männchen, überwiegt das Grau, bei anderen das Weiss, —
ein altes Männchen von Korito ist auf der ganzen Unterseite einfarbig
schwarzgrau, dagegen ein altes Weibchen vom Yeliki Yeles (Bosnien)
fast rein weiss. Hie Schwanzspitze ist unterseits niemals gelb.
Ein Geschlechtsdimorphismus ist im Farbenkleid äusserst schwach
ausgedrückt, höchstens sind die Lippenschilder und die Kehlschuppen
bei den Männchen kräftiger dunkelgerandet.
Melanotische Formen.
Vipera maorops ist im Gegensatz zu V. Ursinii und V. Renardi
durch melanotische Formen ausgezeichnet, die zwar, soweit mir bekannt,
niemals die einförmige tiefschwarze Farbe der Prester- Form von V.
berus erreichen, immerhin aber einen deutlichen Melanismus zur Schau
tragen. Unter 33 Exempdaren befinden sich 3 melanotische Stücke, die
deutlich beweisen, dass der Melanismus bei dieser Aid keine allzu sel¬
tene Erscheinung ist und schon ein Charakteristicum der Entwickelungs¬
richtung bildet.
Ein altes, ungewöhnlich grosses Männchen (450 mm. lang) aus
Korito könnte leicht mit einer männlichen V. berus verwechselt wer¬
den. Hie Grundfarbe der Oberseite ist graubraun, auf den Flanken
dunkler ; Kopfflecken, Horsalband und die laterale Makelreihe sind ein¬
heitlich tief schwarzbraun ; Lippenschilder und Kehlschuppen auf weis-
sem Grunde schiefergrau bestäubt und dunkel schiefergrau gesäumt ;
die vorderen Yentralschilder sind weiss, schiefergrau marmoriert, die
rückwärtigen fast rein schiefergrau, nur am hinteren Seitenrand mit
einem weissen Strich und in der Nähe desselben am Hinterrand eines
jeden Schildes mit einigen weissen Punkten gezeichnet; Unterseite des
Schwanzes , rein schwarzgrau.
Noch interessanter ist ein mit partiellem Melanismus behaftetes
357 mm. langes Männchen aus Korito, welches schon der Prester -
Form von V. berus sehr nahe steht. Hasselbe ist am Kopf und auf
dem Bücken bis beinahe zur lateralen Makelreihe einfarbig braun¬
schwarz, so dass das Horsalband nur noch auf dem Schwänze deutlich
hervortritt. Unterseits weicht das Stück von den normalen nicht ab.1
1 Diese beiden Stücke befinden sich im Besitze des Herrn Hauptmann G».
Yeith und sind im k. k. naturhistorischen Hofmuseum in Wien aufgestellt.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
213
Ein drittes Stück 1 stammt ans Bosnien (Hrbljina). Dasselbe ist
oben und auf den Flanken uniform schwarzbraun, auf der Bauchseite
aber rein weiss.
Geographische Verbreitung .
Vipera macrops kommt nur in den höheren Lagen Bosniens und
der Hercegovina, wie auch in Montenegro vor, woselbst sie allgemein
verbreitet und stellenweise sehr häufig zu sein scheint. In erster Linie
gehört hierher das von Prof. Werner aus Bosnien vom Gipfel der
Dinara als V. berus verzeichnete Weibchen,2 welches ich selbst unter¬
suchen konnte. Ebenfalls aus Bosnien stammen die beiden Stücke (cf
und 5 ) die Dr. E. Schreiber im Jahre 1893 ohne näherer Fundorts¬
angabe als V. Ursinii dem Senckenbergischen Museum zu Frankfurt
a. M. geschenkt hat.3 4 Ferner dürfte es unzweifelhaft sein, dass auch
diejenigen Stücke zu dieser Art gehören, die Bitter von Tomasini in
der Hercegovina auf der Linie Gacko-Avtovac bis Korito antraf und
für die gewöhnliche Kreuzotter («Pelias berus») ansprach/1 wie auch
diejenigen, die Gugler von der Baba planina als V. Ursinii verzeich¬
nete.5 6 Sicher hierher zu stellen sind ferner die von Prof. Werner für
V. Ursinii aus Bosnien (Hrbljina und Ljubusa planina) und aus der
Hercegovina (Brestica, Yeliki Veles und Bjelasnica planina) angegebenen
Fundorte,0 wie auch die im Museum zu Sarajevo befindlichen Stücke
von Kalino vik, vom Yoljak, Lebrsnik, von der Ljubusa planina, vom
Yeliki Veles und von der Sator planina, die ich selbst untersucht habe.
Prof. Werner verzeichnet V. Ursinii auch für Montenegro 7 8 (Niksic),
dieses Stück habe ich aber nicht gesehen, ebensowenig wie das von
Werner s von der Insel Veglia (Castelmuschio) als V. Ursinii ange-
1 Eigenthum des Herrn Prof. Weener in Wien.
2 F. Werner, Zool. Anz., XVI, 1893, p. 423. Das von Prof. Werner daselbst
vom Vlasic -Plateau in Bosnien angeführte cf gehört, wie die Anzahl der Ventral-
platten (144-j-1/i) bekundet, zu V. berus.
3 0. Boettger, Katalog. Rept-.Samml. Mus. Senckenb. Ges., II, 1898>
p. 130.
4 Tomasini, Wissensch. Mittheil, aus Bosnien und der Hercegovina, II, 1894,
p. 650.
5 Gugler, Blätter f. Aquarien- u. Terrarienkunde, XIV, 1903, p. 145, mit
Abbildung.
6 F. Werner, Wissensch. Mittlieil. aus Bosnien und der Hercegovina, VI,
1899, p. 825.
7 Ibidem, p. 830, 836.
8 Werner, Bept. u. Amphib. Oesterr.-Ungarns, 1897, p. 75.
214
L. V. MÉHELY
führte Exemplar, welches vielleicht ebenfalls zu V. macrops gestellt
werden könnte.
Wie aus den obigen Angaben ersichtlich, bewohnt V. macrops den
nordwestlichen Theil der Balkanhalbinsel, und zwar von Bosnien bis
Montenegro, also etwa bis 42° 40' nördl. Breite, und da — wie Prof.
Werner bemerkt1 — alle Eundorte «nicht über 100 Km. von dem
dinarischen Gebirgszuge entfernt sind, so dürfte das Gebiet dieser Art
wohl durch die Flüsse Yerbas, Narenta, Lim und Moraca begrenzt
sein». «Sie scheint vorwiegend im Gebirge zu Hause zu sein, und zwar
bis zu bedeutender Höhe und kommt wahrscheinlich nirgends gemein¬
sam mit V: berus vor». «In der wärmeren Hercegovina (untere Na¬
renta, Trebinje, Bilek) wird V. Ur Sini i (unsere V. macrops) durch berus
vertreten, welche wieder im Gebirge (Veles, Bjelasiea, Baba planina)
fehlt, dagegen im grössten Theile Bosniens allein vorkommt und bis
in den Hohen Balkan vordringt».
Neuerdings wurde der V. macrops von Herrn Hauptmann Georg
Yeith eifrig nachgeforrscht, der im Oktober 1910 nicht weniger als 20
Exemplare eigenhändig erbeutete und mir dieselben zur Untersuchung
überliess. Über die Fundorte dieses interessanten Thieres theilt mir der
Herr Hauptmann in seinem Schreiben vom 11. November folgendes mit:
«Als Fundort kenne ich vorläufig die Gegend rings um das
Gacko polje (Gacko, Avtovac, Gat), dann die Baba planina nach Süden
bis Korito. Ich zweifle nicht, dass dies nur ein kleiner Theil ihres
Verbreitungsgebietes ist, ich bin aber noch nicht weiter gekommen.»
«Das Terrain ist der typische innerhercegovinische Karst (Kalk).
Die Schlange bevorzugt den nicht zu schweren, mit hohem Gras oder
niedrigen Eichengebüsch bewachsenen Karstboden. Diese Fundorte, wo
sie stellenweise sehr häufig ist, haben tatsächlich eine grosse äussere
Ähnlichkeit mit den Hängen der Abruzzen, die ich von meiner italie¬
nischen Schlachtfelder-Expedition genau kenne.»
«Seehöhe des Verbreitungsgebietes von 1000 Meter aufwärts;
unter 1000 M. habe ich keine gefunden, bei 1600 M. ist sie noch
häufig. »
«Klima: sehr rauh. Im Winter, der dort schon im November
beginnt und bis inclusive April dauert, liegt der Schnee monatelang
meterhoch ; das eigentliche Frühjahr begannt nicht vor Mai. Auch im
Sommer gibt es dort mehr kühle als warme Tage.»
«Jahresdurchschnitt der Niederschlagsmenge des Gebietes
p. 840.
1 F. Werner : Wissensch. Mittheil, aus Bosnien u. der Hercegovina, VI, 1899
STUDIEN AN VIPEKIDEN.
215
nach den seit 20 Jahren bei der Gendarmeriekaserne Kobila glava
(zwischen Avtovac und Konto, cca 1050 M. hoch) vorgenommenen
Messungen cca 1600 mm., in regenreichen Jahren oft über 2000, heuer
sollen schon über 3000 gemessen sein.»
Lebensweise.
Über die Lebensweise dieser Schlange habe ich keine eigene Er¬
fahrungen und verdanke alles, was ich hierüber angeben kann, der
freundlichen Mittheilung des Herrn Hauptmanns Veith.
Die Nahrung des Thieres soll, «soweit aus den Excrementen
und ausgewürgten Mageninhalt geschlossen werden konnte, ausschliess¬
lich in Heuschrecken bestehen». Diese Erfahrung deckt sich voll¬
kommen mit den Beobachtungen Tomasini’s, der hierüber betreffs der
vermeintlichen Kreuzotter der Hercegovina folgendes berichtet: «Über
das, was fett macht oder nicht, macht sich die Kreuzotter wenig Sor¬
gen. Sie nimmt, nach dem Mageninhalt der von mir geöffneten, mit
wahrscheinlicher Ausnahme der Lurche, was sich erwischen lässt, und
das sind — - namentlich an trüben Tagen — auch die Heuschrecken.
Mehrere Kreuzottern, welche ich zur Zeit, wo es viele Heuschrecken
gibt, d. i. im Hochsommer, fing, hatten nur solche Kaukerfe und Be¬
st an dth eile dieser im Magen und im Darm. Ich fand nicht eine Spur
von anderem Futter bei etwa sechs Kreuzottern, welche ich im Juli
töltete. Nebst den Heuschrecken, welche fast allen dort vorfindlichen
Arten angehörten, fand ich bei dem erwähnten halben Dutzend Kreuz¬
ottern nur eine Unmenge von Eingeweidewürmern. Wenn sie nicht
giftig wäre, würde es sich sonach fast empfehlen, die Kreuzotter der
Heuschrecken halber zu schonen ; das Pelias berus auch andere Insec-
ten frisst, habe ich selbst nicht erfahren».1
Demnach frisst V. macrops laut Tomasini’s Erfahrungen im Hoch¬
sommer nur Heuschrecken, Herr Hauptmann Veith berichtet mir aber
in seinem Brief vom 29. September 1910, dass «ein erwachsenes Stück,
das einen deutlichen Wulst aufwies, so dass ich eine gefressene Maus
vermuthete, spie im Käfig denselben aus : es war eine dicht zusammen¬
gepresste Masse von mindestens 100 Heuschrecken», woraus erhellt,
dass sich unsere Schlange auch noch im September von Heuschrecken
ernährt.
Diese für eine Viperide sehr sonderbare Ernährungsweise mag
auch mit dem ungewöhnlichen Benehmen des Thieres in Zusammen-
1 Wiss. Mitth. Bosn. Hercegov., II, 1894, p. 651.
216
L. y. MBH ELY
hang stehen. «Das Benehmen beim Fang — schreibt mir Herr
Hauptmann Yeith — erinnert, so absurd dies klingen mag, am ehesten
an das alter Bingeinattern. Sie rollt sich in der Hand zusammen, bläst
sich ganz glatt auf, zischt grimmig und schnappt mit geschlosse¬
nem Maule; nur wenn man sie schmerzlich zwickt, und auch dann
erst nach längerer Überlegung, beisst sie wirklich. Im Käfig beisst sie
nie. Ich konnte, während gegen 20 Stück zusammen in einem recht
engen Käfig sassen, sie ohne weiteres wie einen Haufen Maccaroni mit
der blossen Hand herausheben ; sie zischten wohl, aber keine biss.
Ganz frisch gefangene benehmen sich dabei geradeso wie solche, die
schon drei Wochen im Käfig sassen. Ich glaube, dass die typische Nahrung
(Heuschrecken), zu deren Bewältigung die Schlange den Giftapparat
nicht braucht, sie mit der Zeit ganz auf denselben vergessen lässt».
Soweit die sehr interessanten Beobachtungen des Herrn Haupt¬
manns Yeith, die abermals in vollem Einklänge stehen mit den Erfah¬
rungen Tomasini’s, dem ein Bauer in Gacko ein Exemplar dieser Schlange
brachte, das er beim Fang einfach im Tabaksbeutel versorgt hatte, ohne
gebissen worden zu sein.1
Ich selbst habe drei vom Herrn Hauptmann Yeith erhaltene
Stücke längere Zeit im Terrarium gehalten und kann das gutmüthige
Wesen der Schlange nur bestätigen. Ich untersuchte die drei Stücke
mehreremals, hielt sie öfters minutenlang in der Hand, ohne den lei¬
sesten Versuch zum Beissen wahrgenommen zu haben. Die Schlangen
theilten mit zwei Coelopelkis iacertina, einer grösseren Anzahl von
Lacerta oxycephala und einer Lacerta mosor ensis ihre Wohnung, be¬
kümmerten sich aber durchaus nicht um ihre Quartiersgenossen ; auch
zwei weisse Mäuse, die ich ihnen beigesellte, wurden unbeachtet ge¬
lassen. Einmal hielt ich den Schlangen eine mit einer langen Pincette
erfasste Lacerta oxycephala vor, um sie beissen zu lassen, aber ver¬
gebens. Die Schlangen wurden von der sich in der Pincette windenden
Eidechse eine nach der anderen gebissen, ohne dass dieselben den Biss
erwiderten, vielmehr machte sich eine jede sofort aus dem Staube und
verkroch sich unter den Moospolster des Terrariums. Auch mit einem
Stabe gereizt konnte ich keine der Schlangen zum Beissen bewegen.
Bei heiterem Wetter sonnten sich die Schlangen behaglich auf dem
Steinblock des Terrariums und konnten ganz gemüthlich angefasst, auf¬
gehoben oder weitergeschoben werden, ohne dass sie auch nur den ge¬
ringsten Unwillen verrathen hätten ; nur einmal, an einem düsteren,
nebeligen Februartage verrietli ein Stück eine hochgradige Erregtheit,
1 L. c., p. 650.
/
STUDIEN AN VIPERIDEN.
217
fauchte zornig bei der leisesten Berührung, ohne sich aber zum Beissen
bewegen zu lassen.
Die drei Stücke, lauter Weibchen, bekundeten übrigens, von An¬
fang an eine verschiedene Individualität. Zwei heller gezeichnete Stücke
wraren äusserst gutmüthig und mehr gelassen in ihren Bewegungen, das
dritte, dunkler gezeichnete und kräfstigste Exemplar war aber stets leb¬
hafter und reagierte mit Unwillen auf äussere Reize, ohne aber jemals
gebissen zu haben. Leider sind Anfang März, nach fünfmonatigem
Lasten, in kurzen Interwallen alle drei Stücke eingegangen.
Anders verhielt sich das Stück, welches Gugler auf der Baba pla-
nina erbeutete, da dasselbe, sobald er es in die Hand nahm, sofort
zubiss,1 der Biss aber, nachdem die Hand am Gelenk fest abgebunden
und die nur von einem Giftzahn geschlagene Wunde aufgeschnitten
wurde, verlief ohne böse Folgen.
Tabellarische Übersieht der zwischen Vipera Ursinii und
V. maerops bestehenden Unterschiede.
Vipera Ursinii Bonap.
1. Kopf länglich eiförmig, beim d.
schmächtiger.
2. Schnauze länger, oben öfters ver¬
tieft.
3. Auge kleiner, der verticale Durch -
messe ' desselben gewöhnlich deut¬
lich kürzer als der Abstand des
Auges vom Lippenrande.
4. Schwanz relativ kürzer.
5. Apicale gross, querbreit, gewöhn¬
lich deutlich breiter als das Supra-
oculare und grösser als das vor¬
dere Canthaie ; öfters in zwei Plat¬
ten zerlegt.
6. Das vordere Canthale gewöhnlich
kleiner als das hintere.
7. Sincipitalschilder stets regelmässig
entwickelt.
8. Anzahl der Praefrontalschilder 3—9
(meist 7).
Vipera macro ps n. sp.
1. Kopf in beiden Geschlechtern kurz
eiförmig.
2. Schnauze kürzer, oben stets flach.
3. Auge grösser, der verticale Durch¬
messer desselben meist deutlich
länger als der Abstand des Auges
vom Lippenrande.
4. Schwanz relativ länger.
5. Apicale klein, länglich, höchstens
so breit als das Supraoculare und
kleiner als das vordere Canthale ;
manchmal fehlend.
6. Das vordere Canthale gewöhnlich
grösser als das hintere.
7. Sincipitalschilder meist unregel¬
mässig, oft in kleinere Schilder
zerlegt.
8. Anzahl der Praefontalschilder 2 — 4
(meist 3, äusserst selten 5 oder 6).
1 Blätter f. Aquarien- und Terrarien-Kunde, XIV, 1903, p. 145.
218
L. V. HÉHELY
9. Nasale gross, meist beträchtlich
höher als das Auge.
10. An das Inframaxillare stossen bald
vier, bald nur drei Sublabialia an.
11. Kehlschuppen gewöhnlich vier bis
fünf Paare.
12. Die von unten gerechnete zweite
Schuppenreihe des Rumpfes deut¬
lich gekielt.
13. Hirnkapsel hinter den Postfronta¬
lien ziemlich gleich breit, in der
Parietalgegend flach.
14. Processus nasalis des Præmaxillare
breit.
15. Das Turbinale trägt am Vorder¬
rand zwischen dem vorderen und
dem lateralen Fortsatz, zwei scharfe
Spitzen ; der vordere Fortsatz ist
lang, scharf zugespitzt.
16. Das Opisthoticum entsendet nach
hinten zu einen kurzen, stumpfen
Fortsatz.
17. Condylus occipitalis dreitheilig.
18. Postocular streifen mit dem Hinter¬
schenkel des Kopfkreuzes meist
verbunden und meist auf die Hals¬
seite verlängert.
19. Labialschilder und Kehlschuppen
bei Neugeborenen weiss, bei älte¬
ren Stücken nur ausnahmsweise
dunkelgerandet.
20. Zwischen dem Dorsalband und der
lateralen Makelreihe meist eine
dorsolaterale Fleckenreihe.
21. Dorsalband schmäler, der schwarze
Saum desselben scharf abstehend.
22. Melanotische Formen unbekannt.
23. Die Art bevorzugt das Tiefland.
24. Die Nahrung besteht aus Wirbel-
thieren.
9. Nasale klein, meist niedriger oder
höchstens so hoch als das Auge.
10. An das Inframaxillare stossen ge¬
wöhnlich vier Sublabialia an.
11. Kehlschuppen gewöhnlich 3 Paare.
12. Diese Schuppenreihe meist nur
spurweise gekielt.
13. Hirnkapsel hinter den Postfron¬
talien nach hinten zu deutlich ver¬
engt, in der Parietalgegend gewölbt.
14. Processus nasalis des Præmaxil¬
lare schmal.
15. Das Turbinale trägt daselbst nur
eine mittlere, stumpfe Hervor-
ragung ; der vordere Fortsatz ist
kurz lancettförmig.
16. Der Fortsatz des Opisthoticums ist
lang und kräftig.
17. Condylus occipitalis eintheilig.
18. Postocular streif en isoliert, mit dem
Hinterschenkel des Kopfkreuzes
nicht verbunden und auf die Hals¬
seite nicht verlängert.
19. Labialschilder und Kehlschuppen
sowohl bei neugeborenen als bei
alten Stücken (namentlich bei den
Männchen) mehr oder weniger
dunkelgerandet.
20. Daselbst keine Fleckenreihe.
21. Dorsalband breiter, der dunkle
Saum desselben wenig abstehend.
22. Melanotische Formen kommen öf¬
ters vor.
23. Die Art bevorzugt subalpine Ge¬
genden.
24. Die Nahrung besteht aus Heu¬
schrecken.
I
STUDIEN AN VIPERIDEN.
219-
Vipera Renardi Christ.
Pelias Renardi Christoph, Bull. Moscou, XXXIV, 1861, II, p. 599.
Vipera herus (part.) Strauch, Syn. Viper., 1869, p. 32 ; Schlang. Buss. Reichs,,
1873, p. 206.
Vipera herus Boettger, Ber. Senckenb. Ges., 1892, p. 149.
Vipera Renardi Boulenger, Proc. Zool. Soc., 1893, p. 598 ; Proc. Zool. Soc.,
1893, p. 757, tab. LXIV ; Catal. Snakes, III, 1896, p. 475 ; Méhely, Zool. Anz., 1894,.
p. 69 ; Magy. Tud. Akad. Math. Természettud. Köziem., 1895, p. 100.
Untersuchungs-Material.
1. Zwei erw. cf von Alexandrowsk (Gonv. Ekaterinoslaw) von
Herrn A. Brauner in Odessa.
2. Ein erw. cf von Wossilienka (Gouv. Ekaterinoslaw) von Herrn
A. Brauner in Odessa.
3. Ein erw. cf von Pjatigorsk (Nord-Kaukasus) von Herrn A. Brauner
in Odessa.
4. Ein junges £ von Tschinas (Turkestan) von Herrn G. A. Bou¬
lenger in London.
Tracht und Grösse.
In der Gesamterscheinung wie Vipera Ursinii , aber grösser, fast
so gross als V. berus ; das grösste cf laut Boulenger 585 mm., das-
grösste 5 395 mm., mein grösstes cf 553 mm. lang.
Die Form des Kopfes wie bei V. Ursinii; die Länge verhält sich
zur Breite bei cf wie 1*81 — 1*53:1. Schnauze etwas mehr zuge¬
spitzt und vor dem Kinn stärker vorgezogen als bei V. Ursinii
(Taf. Ill, Fig. 3), oben flach oder mit erhöhtem Schnauzensaum ver¬
sehen, in welchem Fall die Oberfläche der Schnauze mehr oder weniger
vertieft erscheint. Schnauzenkante gewöhnlich schärfer als bei
V. Ursinii. Auge bei den mir zur Verfügüng stehenden Stücken so
klein als bei V. Ursinii (Taf. Ill, Fig. 3), da der zwischen dem Auge
und dem Lippenrand befindliche Abstand den verticalen Durchmesser
des Auges stets (mit 0*3 — 0*5 mm.) üb er trifft, doch scheinen die
Stücke aus dem östlichen Russland und aus Turkestan ein grösseres
Auge zu besitzen. Für die letzteren gab Boulenger an: «Horizontal
diameter of the eye equal to its distance from the centre or the ante¬
rior border of the nostril; its vertical diameter* equal to or a little less
than its distance from the oral border»,1 später sprach er sich aber
1 Proc. Zool. Soc., 1893, p. 758.
220
L. y. MÉHELY
iiber dieselben Stücke folgendermassen aus: «eye as in V. berus w,1 bei
der letzteren Art lesen wir aber «eye usually larger in males than in
females, its vertical diameter equal to or greater than its distance from
the mouth».2 Demnach scheint Boulengek nachträglich draufgekommen
zu sein, dass der verticale Augendurchmesser bei den südrussischen
Stücken den Abstand vom Lippenrand auch übertreffen kann, was auf
meine Stücke aus dem Gouv. Ekaterinoslav und aus Ciskaukasien durch¬
aus nicht passt, da dieselben (lauter erwachsene Männchen) stets ein
sehr kleines Auge besitzen.
Zügel gegend wie bei V. Ursinii vertieft. Schwanz bei cf länger,
pfriemenförmig, bei ç kürzer, allmählich verjüngt; die Schwanzlänge
ist bei meinen Stücken bei cf 7*5 — 8'7-mal (laut Boulengek 7 '5— 8’5-mal);
bei J laut Boulengek 8 — 10 -mal in der Totallänge enthalten.
Maße (in mm.) und Schuppenanzahl
Alexan-
drowsk
Wossi-
lienka
Alexan-
drowsk
Pjatigorsk
ad. cf
ad. cf
ad. cf
ad. cf
Totallänge . ™ .... ... . __
553
460
455
401
Schwanzlänge. in der Totallänge enthalten
8*7
8*2
8*0
7*5
Yerticaler Augendurclimesser . ...
2-7
2*3
2-1
2
Abstand des Auges vom Lippenrand .... ....
3-2
2-7
2-6
2-5
Schuppenreihen. .. ... . ... . ... .... ....
21
21
21
21
Ventralia .... . . .... . .
142
140
147
143
Subcaudalia . .... .... SL „„ .... „„
37
36
36
35
Kehlschuppen... .... „„ . . ....
yi
4/s
5/5
Vs
Schwanzlänge . . . . .... . . .
63
55*5
55
53
Pholidose.
Ko strale von den mittleren Seitenecken basalwärts gleichbreit,
etwas breiter als die von der basalen Ausschweifung gemessene Höhe.
An das Rostrale schliesst stets nur ein Apicale an ; dasselbe ist meist
(wie bei V. Ursinii) ein quer liegendes Sechseck und bei er¬
wachsenen Stücken gewöhnlich deutlich breiter als das Supra-
oculare, dabei auch meist grösser als das vordere der beiden Can-
thalia (Taf. IV, Fig. 7), manchmal ist aber das Apicale länglich und so
klein als bei V. macrops (Taf. IV, Fig. 6). Das vordere Canthaie ist
1 Catal. Snakes, III, 1896, p. 475.
‘2 Catal. Snakes, III, 1896, p. 477.
STUDIEN AN V1PER1DEN.
m
meist kleiner als das hintere. Frontale und die beiden Parietalia
regelmässig entwickelt ; Frontale 1 Va — 1 Va -mal länger als breit,
stets beträchtlich länger als dessen Entfernung von der oberen
Spitze des Rostralschildes und länger als ein Parietale ; die vordere
Spitze des Frontalschildes kommt sehr nahe der die Vorderecken
der beiden Supraocularia verbindenden Linie. Supraoculare etwa doppelt
so lang als breit und gewöhnlich gleichlang mit dem Abstand des
hinteren Augenrandes vom Hinterrand des Nasalschildes; vom Frontale
manchmal durch eine lange Platte, meist aber durch 2 — 4 kleine
Schildchen getrennt. Her Raum zwischen dem Apicale, den vier Can-
thalia und dem Frontale wird von drei bis sieben (meist drei)
ziemlich grossen Præfrontalschildern ausgefüllt. Auge von 7 — 10 (meist 9)
kleinen Schildchen umgürtet und von dem vierten Supralabiale durch
1 — 3 (meist 2) kleinen Schildchen getrennt. Has obere Præoculare ist
verlängert und stosst fast ausnahmslos an das Nasale an. Nasale
gross, meist kürzer als der horizontale, aber stets beträchtlich
höher als der verticale Augendurchmesser. Am Oberrand ist das Nasale
nur spur weise oder gar nicht, am Hinterrand aber gewöhnlich
deutlich eingekerbt. Has Nasenloch befindet sich im unteren Theil dea
Nasalschildes. Temporalschilder ungekielt. Supralabialia bei meinen
Stücken stets neune, von denen das vierte und ein kleiner Theil des
fünften unter dem Auge steht ; das 4. ist das grösste, das 5. gewöhnlich
fast ebenso gross, 6—8. an Grösse allmählich abnehmend, das letzte (9.)
auffallend grösser als das vorletzte. Sublabialia 10 — 12 (meist 10).
An das Inframaxillare schliessen gewöhnlich vier, ausnahmsweise fünf
Sublabialia an. Kehlschuppen 4 5 — Vs. Rumpfschuppen stets in 21 Längs¬
reihen ; 1 am Rücken kräftig, gegen den Bauch zu schwächer gekielt ;
die unterste Reihe ist vollkommen glatt oder spur weise gekielt,,
die anschliessende aber schon kräftig gekielt. Ventralschilder bei
den cf 140 — 147 (laut Boulenger 130 — 148), bei den ç laut Boulenger
137 — 442. Anale ungetheilt. Subcaudalia bei den cf 35 — 37 (laut Bou¬
lenger 31 — 36), bei den $ laut Boulenger 24 — 30.
Schädel.
Her Schädel von Vipera Renardi vereinigt die Charaktere der¬
jenigen von V. Ursinii und V. macrops, seinen Grundzügen nach steht
er aber dem von V. Ursinii näher, namentlich erscheint der hinter
den Postfrontalien liegende Theil der Hirnkapsel seiner ganzen Länge:
1 Boulenger fand unter 17 Stücken eines mit 19 Schuppenreihen.
222
L. V. MÉHELY
pm
nach ziemlich gleichbreit und in der Parietalgegend von oben abgeflacht
(Fig. 5). Das Præmaxillare ist zwischen den Endpunkten des Proc.
maxillaris deutlich breiter als die Nasenkapsel an den Turbinalien.
Processus nasalis des Præmaxillare so schlank als bei V. macrops. Die
Turbinalia (Fig. 6) entsprechen im Bau denen von V. Ursinii, mit dem
Unterschied, dass der Vorderrand des Mittelstückes die zweite, mehr
lateralwärts gelegene scharfe Spitze ent¬
behrt, anstatt derselben aber einen
rundlichen, in nächster Nähe des late¬
ralen Randes gelegenen Höcker trägt.
Wäre dieser Unterschied nicht vorhan¬
den, so könnte V. Renardi von V. Ur¬
sinii auf Grund der Turbinalien nicht
getrennt werden, der bestehende Unter¬
schied schafft jedoch zwischen diesen
innigst verwandten Arten eine deutliche,
obwohl an und für sich ziemlich geringe
Kluft. Allerdings von grossem Interesse
ist die Feststellung, dass V. Renardi
auch betreffs der Turbinalien viel näher
zu U. Ursinii als zu V. macrops steht.
Die Præfrontalia stossen in der
Medianlinie nicht zusammen, entsprechen
demnach den Verhältnissen bei V. Ur¬
sinii , ihre vordere Ecke ist aber — wie
bei V. macrops — stumpfspitzig vorge¬
zogen. Frontalia länger und schmäler
als bei V. macrops, jedoch nicht so
Fig. 5. Cranium cerebrale von Vi¬
pera Renardi Christ. Adultes cT von
Alexandrowsk. Vergr.4. vo~ Vomer,
die übrigen Bezeichnungen wie an schlank als bei V. Ursinii ; die, hintere
laterale Ecke derselben stosst — wie bei
V. Ursinii — in längerer Naht an das
sehr kräftig gebaute Postfrontale an, dessen freier Hinterrand deutlich
ausgeschweift ist. Die Naht zwischen dem Parietale und dem Prooticum
ist scharf ausgeprägt, aber die zwischen den beiden Hälften des Occipi¬
tale superius befindliche ist nur angedeutet. Am Prooticum ist in der
Nähe des Vorderrandes ein mehr oder weniger scharf ausgeprägter
schräger Knochenkamm bemerkbar, der — wenigstens im weiblichen
Geschlecht — weder bei V. Ursinii p noch bei V. macrops vorkommt.
Das Opisthoticum ist mit dem Occipitale laterale vollkommen ver¬
schmolzen und entsendet nach hinten zu einen kräftigen Fortsatz,
ähnlich dem von V. macrops , dessen Spitze aber den Hinterrand des
STUDIEN AN VIPERIDEN.
Occipitale laterale nicht erreicht.1 Condylus occipitalis — wie bei
V. Ursinii — deutlich dreitheilig.
Palatinum und Pterygoideum der einen Seite mit 20 — 22 Hacken¬
zähnen bewaffnet. Der Unterkiefer ist weniger gebogen als bei V. Ursinii
und V. macrops, mit relativ niedrigerem Coronoideum. Am Unterkiefer
ist das Articulare hinter der Gelenksfläche des Quadratum deutlich
kürzer als bei V. macrops. Im Unterkiefer sind auf einer Seite 16 — 20
Zähne vorhanden.
Die Schädelknochen sind — wie bei V. Ursinii — derb gebaut,
nahezu elfenbeinartig.
Maasse des Schädels: Totallänge 18 mm., grösste Breite in der
Parietalgegend 5*7 mm., Länge des Unter¬
kiefers 22*5 mm., Länge des Turbinale
4 mm.
Der Schädel von V. Renardi bekun¬
det unverkennbar, dass diese Art die phy-
letische Stammform des ganzen Formen¬
kreises darstellt, aus welcher sowohl
V. Ursinii, als V. macrops hervorge¬
gangen ist. Alle Charaktere des Schädels
befinden sich auf einer Stufe, die im
Laufe der phylogenetischen Entwickelung
zum Theil emporgehoben, zum Theil aber herabgerückt wurden und je
nachdem die Plus- oder Minusvariationen gefestigt wurden, entstanden
die neuen phvletischen Formen, wie dies aus dem Yergleich der ein¬
zelnen Knochen hervorgeht. Das Frontale z. B. wurde bei V. Ursinii
verschmälert und verlängert, bei V. macrops hingegen verkürzt und
verbreitert ; der hintere Fortsatz des Opisthoticum wurde bei V. Ursinii
verkürzt, bei V. macrops hingegen verlängert; der Proc. nasalis des
Præmaxillare wurde bei V. Ursinii verbreitert, bei V. macrops aber
verschmälert, etc. Die Veränderungen der einzelnen Schädelknochen
haben aber bei den Descendenten nicht dasselbe Tempo eingehalten,
aus welchem Grunde auch das Ausmass der Veränderungen ein ver¬
schiedenes ist.
V Ursinii ist der Stammform auch betreffs des Schädelbaues
näher geblieben als V. macrops , wie dies namentlich die sehr ähnliche
Beschaffenheit der Turbinába, der Postfrontalia, des Parietale, des Con¬
dylus occipitalis und des Schädelumrisses bekundet. Dieser Umstand
Fig. 6. Die beiden Turbinába
von Vipera Renardi Christ, von
unten, 6‘5-mal vergrössert. Adul¬
tes cT von Alexandrowsk.
1 Bei einem zweiten männlichen Stück aus Alexandrowsk sind diese Fort¬
sätze gerade so kurz wie bei dem in Fig. 1. abgebildeten Stück von V. Ursinii.
2'24
L. V. MÉHELY
scheint mir nur dadurch erklärt werden zu können, dass V. macrops
sich bereits vor längerer Zeit von der Stammform loslöste, während
die Trennung von V. Ursinii erst neuerer Zeit erfolgt sein dürfte.
Möglicherweise ist ein Zweig von V. Renardi aus dem Chersonesus
oder aus Bessarabien über Rumänien und Serbien bereits in der Dilu¬
vialperiode nach Bosnien und in die Hercegovina vorgedrungen, zu
welcher Zeit ein Einwandern in die ungarische Tiefebene noch nicht
möglich war, da das letztere Gebiet wegen seiner damaligen ausgedehn¬
ten Sümpfe von V. Renardi gemieden werden musste.1 Demnach hatte
der viel früher nach Bosnien gelangte Zweig vollauf Zeit sich den ört¬
lichen Verhältnissen anpassend in V. macrops umzugestalten, während
die erst nach dem Austrocknen der Sümpfe in der Alluvialzeit nach
Ungarn gelangten Emigranten bisher nur leichtere Änderungen erleide-
ten, die eben in V. Ursinii zum Ausdruck gekommen sind.
Farbenkleid.
Das Farbenkleid von Vipera Renardi entspricht dem von V. Ursinii,.
mit dem Unterschied, dass die Supra- und Sublabialia, das Rostrale,
das Mentale, die Inframaxillaria und die Kehlschuppen scharf dunkel-
gerandet sind und das Rostrale auch einen oder mehrere mediale Flecken
aufweist (Taf. Ill, Fig. 3). Der Postocularstreifen ist scharf ausgespro¬
chen; derselbe entspringt am Auge, verbindet sich meist deutlich mit
dem Hinterschenkel des Kopfkreuzes und übergeht dann auf die Hals¬
seite (Taf. Ill, Fig. 3) ; von unten wird derselbe stets von einem hell-
weissen, streifenartigen Saum begleitet, der dadurch zustande kommt,
dass die Centren der in dieser Richtung liegenden Schilder und Schuppen
weiss bleiben. Der Postocularstreifen wird auf der Flanke zu einer
dunklen Makelreihe aufgelöst, zwischen welcher und dem Dorsalband
gewöhnlich noch eine dorsolaterale Fleckenreihe eingeschaltet erscheint.
Bemerkenswerth ist noch, dass zwei Männchen auf der Unterseite des
Schwanzes gegen die Spitze zu auf orangegelbem Grunde dunkel¬
gefleckt sind, worin den östlichen Formen gegenüber ein deutlicher
Unterschied besteht, da bei den letzteren laut Boulenger «The tip of
the tail is never yellow.»2
1 Laut A. Brauner meidet die Steppenkreuzotter (V. Renardi) das Wasser
und feuchte Gegenden (Zapiski Novorossijskago Obsc. Jest., Odessa, XXV, 1903, p. 47).
2 Proc. Zool. Soc., 1893, p. 760.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
225
Varietäten.
In Anbetracht der verschiedenen Augengrösse und der bald voll¬
kommen flachen, bald wieder deutlich vertieften Oberfläche der Schnauze
könnte man veranlasst werden zwei Formen zu unterscheiden und zwar
eine westliche, mit kleinem Auge und flacher Schnauze, ferner eine
östliche mit grossem Auge und vertiefter Schnauze. Zu der ersteren
wären die Stücke von Bessarabien, aus dem Chersoner Gouv. und der
Krim, zu der letzteren aber die Stücke aus dem südöstlichen Russland
und aus Turkestan zu rechnen. Diese anscheinend vollkommen berech¬
tigte Auffassung wird jedoch durch den Umstand in Frage gestellt, dass
das mir aus Ciskaukasien (Pjatigorsk) vorliegende erwachsene Männchen
ein ebenso kleines Auge besitzt als die flachschnauzigen Stücke aus
'dem Gouv. Ekaterinoslaw, dabei aber eine geradeso vertiefte Schnauze
zur schau trägt, wie die grossäugigen Stücke aus Sarepta, Turkestan, etc.
Demnach könnte die ciskaukasische Form entweder für ein Bindeglied
zwischen den anderen zwei Formen, oder aber für eine dritte besondere
Form betrachtet werden, lauter Möglichkeiten, deren definitive Feststel¬
lung nur auf Grund eines reicheren Materials zu erhoffen wäre.
Scheint schon die westliche und die östliche Steppenform deutlich
verschieden zu sein, kann sehr leicht auch die bis zu alpinen Höhen
vordringende kaukasische Gebirgsform einen abweichenden Charakter
angenommen haben, nur wird die bei den Vipern ziemlich variable
Augengrösse zur Definition dieser Formen kaum ausreichen und es
müssten noch weitere morphologische Unterschiede aufgefunden werden,
bevor diese Formen in überzeugender Weise auseinandergehalten wer¬
den können.
Geographische Verbreitung .
Vipera Renardi erfreut sich einer sehr weiten Verbreitung, da sie
von Bessarabien angefangen alle Steppengebiete des europäischen Russ¬
lands, ferner die Kirgisen-Steppe bis zum Ala-Tau, wie auch einen
grossen Theil von Cis- und Transkaukasien bewohnt.
In Bessarabien kommt sie laut Brauner im Benderischen Kreise
vor ; 1 im Chersonesus bewohnt sie den ganzen Östlichen Theil, woselbst
sie im Gegensatz zu der gemeinen Kreuzotter das Wasser und die
feuchten Gegenden meidet ; 2 in der Krim findet man sie überall in den
1 A. Brauner, Zapiski Novorossijskago Obscestva Jestestvo ispytatelej, XXV,
1903, p. 51.
2 Ibidem, p. 47.
Annales Musei Nationalis Hungarici . IX.
15
226
L. V. MÉHELY
Steppengebieten und theilweise auch im Vorgebirge, hingegen am Süd¬
ufer und in Jaila hat man sie bisher nicht gefunden.1
Christoph fand V. Renardi häufig in der Umgebung von Sarepta,2
woselbst sie auch laut Becker3 sehr gemein ist und die kahle Steppe
bewohnt; nur einmal begegnete ihr Christoph in einem mit Weiden
und niedrigem Gebüsch bestandenen Gebiet. Recht häufig kommt die
Art auch in der Gegend von Uralsk vor.4 In den Kirgisen- Steppen
wurde sie vom älteren Gmelin entdeckt, der sie am Tschebarkul See
in der kleinen Kirgisen-Horde in grosser Anzahl antraf.5 Nachher fand
sie Dr. Lehmann in der Emba-Steppe und Dr. Moritz zwischen Emba
und Ternir, ferner Dr. Severzow am Issembai, einem Nebenfluss des
llek.6 Uber ihr Vorkommen in der mittleren Kirgisen-Horde ist nichts
bekannt, im Semipalatinsker Distrikte dagegen, wo schon Pallas sie in
der Nähe der Semijarskaja Staniza beobachtet hat, ist sie im Anfänge'
der vierziger Jahre von Dr. A. von Schrenck in den Steppen am Ala-
Tau, an den Ufern des Urdshar, so wie auch im Tarbagatai selbst in
zahlreichen Exemplaren gefangen worden.7
Im Kaukasus hat sie Ménétries bis zu einer Höhe von 6000 Fuss
beobachtet und gibt an, dass sie namentlich auf dem Besch-Tau, südlich
von Pjatigorsk, gemein ist.8 Eichwald fand sie in den Steppen am
Nordabhange des Kaukasus, namentlich bei Kisljar, sowie auch in
Transkaukasien bei Tiflis, bei Bjelokljutsch und an der Schulawera,
einem Nebenflüsschen der Kzia, welche letztere sich unterhalb Tiflis in
die Kur ergiesst.9 M. Wagner erbeutete mehrere Exemplare dieser Art
in Grusien, sowie an den Abhängen des Kaukasus 10 und theilt zugleich
mit, dass die «Kreuzotter» auch auf den Höhen Ossetiens'11 in der
Alpenregion zwischen 7000 — 7500 Fuss Plöhe vorkommt und daselbst
ganz allein die Klasse der Reptilien repräsentiert. Dass diese Angaben
ausnahmslos auf V. Renardi bezogen werden können, dürfte darin seine
Bestätigung finden, dass diese Art laut A. Brauner am Pseaschcho-Pass
1 A. Brauner, 1. c., p. 54, XXVIII, 1905, p. 5.
2 Christoph, Bull. Soc. Moscou, II, 1861, p. 606.
3 Ibidem, I. 1855, p. 473.
4 Strauch, Mém. Acad. St.-Pétersbourg, (7) XIV. 1869, p. 53.
5 Reise durch Sibirien, IV, p. 318.
0 Strauch, 1. c., p. 54.
7 Ibidem, p. 54.
8 Ménétries, Catal. raissonnée, p. 73.
9 Eichwald, Fauna caspio-caucasia, p. 129.
10 Wagner, Reise nach Kolchis, p. 335.
14 Ibidem, p. 327-328.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
227
(in einem Rhododendrongebüsche, zwischen Felsen), ferner am Nord-
abhange des Kaukasus im oberen Theil des Labaüusses gefunden wurde.1
Meine Exemplare stammen von Alexandrowsk und Wossilienka
(Gouv. Ekaterinoslaw), ferner von Pjatigorsk (Nord-Kaukasus) und
Tschinas (Turkestan). Boulenger untersuchte Exemplare von folgenden
Fundorten: Ourkatsch, Tschinas, Sarepta, Emba, Smeinogorsk, Kuldja,
Varno e, und Kunges.2
Bezüglich der transkaukasischen Fundorte wäre eine genaue Nach¬
untersuchung wünsch en swrerth, da im westlichen Theil dieses Gebietes
(Suchum- und Batum-Kreis) auch die von A. M. Nikolski erst neuer¬
dings beschriebene Vipera Kaznakovi vorkommt.3
Phylog enetische Betrachtung en.
Als ich vor 17 Jahren mit Herrn G. A. Boulenger eine anregende
Correspondenz führte über die dazumal aufgetauchte Ummt-Frage,
äusserte sich mein hochangesehener College in einem Schreiben vom
1. Dezember 1893 folgendermassen : «I believe V. Ursinii approaches
nearest the prototype of the g. Vipera; and that it has remaind, as
a relict of the past, in some isolated districts wdiere it has not had to
compete with its allies V. berus and V. aspis ». In diesen wenigen
Worten ist ein phylogenetischer Gedanke ausgesprochen, den ich im
Grunde genommen, insoferne er sich nämlich auf den ganzen Formen¬
kreis von V. Ursinii bezieht, auch heute noch für vollkommen richtig
halte.
V. Ursinii steht wahrlich sehr nahe dem Urbilde der Vipern, wie
dies hauptsächlich die stets regelmässig entwickelten grossen Sincipital-
sehilder bekunden, die niemals in kleinere Schilder auf¬
gelöst werden. Boulenger fand unter 51, Prof. Werner unter 25
und ich selbst unter 31 Exemplaren der typischen V. Ursinii niemals
eines mit zerlegten Sincipitalschildern, nur über das Stück aus den
Basses Alpes berichtet Boulenger «les pariétales sont décomposées en
petites écailles»,4 vorläufig ist es aber unterschieden, ob dieses Stück
zu der typischen V. Ursinii gehört, und wenn auch, so bildet es eine
seltene Ausnahme unter 108 untersuchten Exemplaren.
1 A. Brauner, 1. c. XXY, 1903, p. 58.
2 Boulenger, Proc. Zool. Soc., 1893, p. 759.
3 A. M. Nikolski, De nova g. Viperæ specie e Caucaso ; Mittlieih Kaukas.
Mus., V, 1910, p. 82.
4 Feuille des Jeunes Naturalistes, 1893, p. 9.
228
L. V. MÉHELY
Noch mehr werden wir in der obigen Annahme bestärkt durch
gewisse, bei dieser Art gelegentlich auftauchende atavistische Erschei¬
nungen, die ich auf Taf. IY in Fig. 2 und 4 abgebildet habe, in
welchen Fällen das Frontale dermassen ausgebreitet erscheint, dass es
seiner ganzen Länge nach (Fig. 4) oder wenigstens in seinem vorderen
Theil [Fig. 2) an die Supraocularia anschliesst. Da sich diese Fälle bei
Exemplaren verschiedener Provenienz (Eäkos in Ungarn und Guntrams -
dorf in Niederösterreich) fast in genauem Ebenbilde wiederholen, darf
denselben eine hohe Bedeutung beigemessen werden. Betrachten wir
unbefangen diese Abbildungen, so haben wir namentlich in Fig. 4 ein
Bild vor uns, das fast dem Pileus einer typischen Colubride gleich¬
kommt. Wären die Hinterecken der Supraocularia nicht durch je ein
Schildchen von den Parietalia getrennt und wären die Schnauzen¬
schilder zu zwei Paaren verschmolzen, so hätten wir die Verhältnisse
eines Azemiophidier-Pileus (im Sinne Strauch’ s) vor uns, bei welchem
die Oberfläche des Kopfes mit neun aneinander schliessenden, regulä¬
ren Schildern bekleidet ist. Hiermit offenbaren die obigen Fälle einen
auf eine ehemalige colubriforme Stammform hinwei¬
senden atavistischen Zug, der durch lange Zeiträume
im Organismus der Art schlummerte und infolge eines
äusseren oder inneren Reizes wieder ausgelöst wurde.1
Wenn auch die grosse Bedeutung der oben berührten atavistischen
Erscheinungen keineswegs geläugnet werden kann, bleibt doch die regel¬
rechte Entwickelung der Sincipitalschilder die eigentliche Basis, die
1 Die von mir bei U Ursinii beobachteten eigentümlichen Variationen dür¬
fen um so mehr für Atavismen angesprochen werden, als sie erstens sehr ver¬
einzelt auftrete n, zweitens sehr ähnlich sind mit den entsprechenden Eigen¬
schaften weit zurückliegender Vorfahren, somit den beiden Criterien
des Atavismus vollkommen entsprechen.
Kohlbrugge vertritt zwar den Standpunkt, dass alle sogenannte atavische
Anomalien «neutrale Variationen» seien und behauptet, dass «die Lehre vom Ata¬
vismus nicht auf Thatsachen beruht» (Der Atavismus, Utrecht 1897), ich schliesse
mich jedoch Plate’s Auffassung an, der mit Recht darauf hinweist, dass es «sehr
wichtig ist, einen Begriff zu haben, der die Ähnlichkeit von Neubildungen erklärt
durch den Hinweis auf frühere Zustände, die zwar nicht im einzelnen, aber doch
im allgemeinen in der morphologischen und physiologischen Grundorganisation
sich vererbt haben und daher jetzt ähnliche Variationen wie früher erzeugen
können».
Die mir bei V. Ursinii aufgestossenen Fälle gehören in Plate’s Categorie
des progressiven Spontan-Atavismus», in welchem Fall eine Neubildung auftritt,
die einen früheren phyletischen Zustand nicht genau, aber doch in ähnlicher
Weise wiederholt (Plate, Vererbungslehre und Deszendenztheorie ; Festschr. zum
60-ten Geburtstage Richard Hertwigs, II, Jena, 1910, p. 589 — 593).
STUDIEN AN VIPERIDEN.
229
V. Ursinii für ein alterthümliches Glied der ganzen Evolutionskette
stempelt, da hierin eine primitive Eigenschaft ausgesprochen ist, der
sich noch ein zweiter Zug, nämlich die länglich eiförmige Kopfform der
ehemaligen colubriformen Stammform hinzugesellt. Trotz dieser alter-
thümlichen Züge scheint mir aber dennoch nicht V. Ursinii selbst die
gemeinschaftliche Stammform des ganzen Formenkreises darzustellen,
da das Farbenkleid Eigenthümlichkeiten aufweist, die gegen diese Auf¬
fassung sprechen. Erwachsene und junge Exemplare dieser Art besitzen
nämlich gewöhnlich eine reinweisse Kehle und auch ihre Lippenschilder
sind weiss, nur ausnahmsweise begegnen wir — meist jüngeren —
Stücken, die dunkelgerandete Lippenschilder und Kehlschuppen besitzen,
welche Eigenschaft ganz klar auf eine frühere, nicht allzu ferne Stamm¬
form hinweist, deren Lippenschilder und Kehlschuppen stets und zeit¬
lebens dunkelgerandet sind oder waren.
Eine solche Form ergibt sich uns in V. Renardi, mit ihren zeit¬
lebens kräftig dunkelgesäumten und gefleckten Lippenschildern und Kehl¬
schuppen, aus welchem Grunde V. Ursinii ganz naturgemäss auf diese
Art zurückgefühlt werden kann. Hier habe ich aber nicht die durch
eine oberseits vertiefte Schnauze gekennzeichneten östlichen Formen,
sondern die westliche Steppenform von V. Renardi im Sinne, die —
gerade wie V. Ursinii — ein kleineres Auge, eine oben vollkommen
flache Schnauze, ein grosses Nasalschild, eine ähnliche Anzahl von
Kehlschuppen, einen auf die Halsseite verlängerten Postocularstreifen,
ein ähnliches Dorsalband und eine dorsolaterale Fleckenreihe besitzt,
somit ein ziemlich getreues Ebenbild von V. Ursinii darstellt. Der
ganze Unterschied zwischen den beiden Formen beschränkt sich darauf,
dass bei V. Ursinii die Anzahl der Supralabialia von 9 auf 8 und die
Anzahl der Schuppenreihen von 21 auf 19 herabgesunken ist, ferner
dass die dunkle Zeichnung der Lippenschilder und Kehlschuppen schon
nur ausnahmsweise zum Ausdruck gelangt.
Diese Unterschiede sind so geringfügig, dass sie ‘eine unmittelbare
Descendenz durchaus zulassen und — • insbesondere in Anbetracht der
sehr ähnlichen Beschaffenheit der Turbinalia — sogar zu der Frage
berechtigen, ob V. Ursinii nicht nur für eine Subspecies von V. Renardi
aufzufassen wäre. Indessen glaube ich diese Frage vermeinen zu sollen.
Wir kennen wohl Fälle, in welchen gewisse Arten durch eine zweierlei
Anzahl der Schuppenreihen ausgezeichnet sind (so Coluber longissimus
Laue, mit 23 und 21, Coluber Hohenackeri Strauch mit 23 und 25,
Zamenis nummifer Beüss mit 23 und 25, Vipera aspis L. mit 21 und
23 Schuppenreihen), aber diese Verschiedenheit ist bei Exemplaren der¬
selben Standorte regellos anzutreffen, wogegen bei V. Ursinii an Exem-
230
L. V. MÉHELY
plaren sehr verschiedener Provenienz fast ausnahmslos 19 und bei
V. Renardi ebenfalls constant 21 Schuppenreihen Vorkommen. Da sich
fernerhin auch betreffs der Anzahl der Supralabialia, wie auch betreffs
der Zeichnung der Lippenschilder und Kehlschuppen eine ähnliche Sta¬
bilität ergibt, sind wir vollauf berechtigt diese beiden Formen für gut
geschiedene, obwohl sehr nahe verwandte Arten zu betrach¬
ten, umso mehr, als sich auch betreffs der Anzahl der Ventralschilder
namentlich im männlichen Geschlecht, ein deutlicher Unterschied offenbart.1
Viel schwieriger ist die genetische und systematische Beurtheilung
von V. macrops. Diese Art schliesst sich in mancher Beziehung so
innig an V. Ursinii an, dass sie der herkömmlichen Auffassung nach
nur als eine Unterart der letzteren angesehen werden sollte, betreffs
zahlreicher Eigenschaften besteht jedoch zwischen denselben ein so
schroffer Gegensatz, dass mir die artliche Vereinigung dieser Formen
durchaus unthunlich erscheint. Namentlich wenn man nur die herce-
govinischen Stücke, z. B. die von Korito berücksichtigt, findet man
gegenüber der typischen V. Ursinii (z. B. vom Bákos oder von Laxen¬
burg) sehr scharfe und unüberbrückte Unterschiede. Bei der Koritaner
Form ist der Kopf in beiden Geschlechtern kürzer und in der Temporal¬
gegend breiter, das Auge grösser, das Apicale und das Nasalschild klei¬
ner, die Sincipitalschilder sind meist unregelmässig entwickelt und sehr
oft in kleinere Schilder zerlegt, Praefontalschildchen und Kehlschuppen
sind in geringerer Anzahl vorhanden, die Lippenschilder und Kehl¬
schuppen sind auch bei erwachsenen Exemplaren meist dunkelgerandet,
der Postocularstreifen ist stets isoliert und auf die Halsseite nicht ver¬
längert und die dorsolaterale Fleckenreihe ist niemals vorhanden. Er¬
wägt man ferner die Thatsache, dass die Koritaner Form subalpine
Höhen bewohnt, gelegentlich auch ein melanotisches Farbenkleid anlegt
und sich von Heuschrecken nährt, so erhält man einen Complex von
Charakteren, welcher der V. Ursinii vollkommen fremd ist.
Hauptsächlich kann eine grosse Bedeutung zugeschrieben werden
der Eigenschaft, dass bei V. macrops das Apicalschild bedeutend redu-
ciert und manchmal sogar vollkommen unterdrückt ist, ferner, dass
die Sincipitalschilder sehr häufig in kleinere Schilder zerfallen,
wogegen bisher keine V. Ursinii mit zerlegten Sincipitalschildern an¬
getroffen wurde, hierbei aber diese Art durch ein grosses, öfters in
zwei Platten zerlegtes Apicalschild charakterisiert wird. Demnach scheint
die Auflösung der Sincipitalschilder der Entwickelungsrichtung von
1 Bei V. Renardi sind im männlichen Geschlecht 130 — 148, bei V. Ursinii
aber nur 120 — 135 Ventralschilder vorhanden.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
231
V. Ursinii vollkommen fremd geblieben zu sein, vielmehr begegnen wir
bei dieser Art nicht nur einer grossen Stabilität der Sincipitalschilder,
sondern auch gewissen, schon vorher berührten atavistischen Erschei¬
nungen, die gegenüber von V. macrops auf einen älteren Zustand hin-
weisen und als eine wieder activ gewordene latente Anlage aufgefasst
werden können, die vom Organismus der V. macrops bereits volkommen
überwunden zu sein scheint.
Bei V. macrops ist die Entwickelungsrichtung in eine neue Bahn
getreten. Die Sincipi talschilder sind schon selten in der ursprünglichen
Beinheit (unter 33 untersuchten Fällen nur 11 -mal) entwickelt, viel¬
mehr ist eine sec<undäre Zerspaltung wahrzunehmen,
die — was auch von Bedeutung ist - — nicht absolute regellos erfolgt,
sondern eine gewisse Stabilität erlangt hat. Betrachten wir
die in Fig. 1 und 3 (Tafel V) abgebildeten Fälle, so werden wir durch
eine grosse Ähnlichkeit der Sincipitalgegend überrascht, da das Frontale
in beiden Fällen quergespaltet und von demselben auf der linken Seite
mehrere vieleckige Schildchen abgelöst wurden, wobei auch die Parie¬
talia gleichförmig reduciert erscheinen. Ein ähnliches Bild wiederholt
sich noch öfters, selbst bei Stücken sehr entfernter Fundorte, so ist die
Sincipitalgegend des bosnischen Männchens im Senckenbergischen Museum
fast genau ähnlich der des auf Taf. Y, Fig. 1 abgebildeten Männchens
aus der Hercegovina. Diese der V. macrops eigene, der V. Ursinii aber
vollkommen fremde Entwickelungsrichtung bildet einen der haupt¬
sächlichsten Unterschiede zwischen den beiden Formen und dürfte uns
zu der Annahme berechtigen, dass diese beiden, durch ent¬
gegengesetzte Entwickelungsrichtungen gekennzeich¬
neten Formen artlich nicht mehr zusammengehören.
Wenn — woran kaum gezweifelt werden kann — Vipera Ursinii eine
archaische Form, etwa das Urbild der Vipern darstellt, so ist Vipera
macrops ein jüngeres Glied der Evolutionskette, welchem
infolge einer neuen Entwickelungsrichtung bereits der Stempel einer
besonderen Art aufgedrückt wurde. Diese Auffassung befindet sich in
vollem Einklänge mit meinen früheren Anschauungen, die ich betreffs
der Species-Criterien folgendermassen kennzeichnete: «Species-Unter-
schiede müssen meiner Ansicht nach entweder einen neuen Organisations-
Gedanken ausdrücken, oder wenigstens ein auffallend und constant ver¬
schiedenes Maass gleichgerichteter Charaktere verrathen >> . 1 In unserem
Falle liegt wahrlich ein neuer Organisations-Gedanke vor, da bei
1 L. V. Méhely, Materalien zu einer Systematik und Phylogenie der muralis-
ähnlichen Lacerten ; Ann. Mus. Hung., VII, 1909, p. 491.
232
L. y. MÉHELY
V. Ursinii eine grosse Stabilität, bei V. macrops hingegen eine Zer¬
bröckelung der Sincipitalschilder ausgesprochen ist. Selbstverständlich
ist der «Organisations-Gedanke» nicht im teleologischen Sinne gemeint,
sondern nur als das morphologische Resultat der Einwirkung eines
Anpassungszwanges.
So klar und einfach sich die Sache verhält soferne wir nur die
Koritaner Form vor Augen halten, so bedeutende Schwierigkeiten ergeben
sich, sobald wir auch die Formen anderer Gebiete heranziehen. Bosnien
und gewisse Gegenden der Hercegovina scheinen ein Übergangs¬
gebiet darzustellen, in welchem die Charaktere der V. macrops erst
im Werden begriffen zu sein scheinen und noch nicht die von einer
Art erforderliche Stabilität erreicht haben. Wohl gibt es auch hier
Exemplare (so das im Besitze des Senckenbergischen Museums befind¬
liche Männchen aus Bosnien), die die Charaktere von V. mctcrops ganz
rein zur Schau tragen, es kommen aber auch Stücke vor, die noch
manche Anklänge an V. Ursinii , respective an die westliche Steppen¬
form von V. Renardi bewahrt haben. Die in der Sammlung des Herrn
Prof. Werner befindlichen fünf Stücke von den folgenden Fundorten :
Dinara-Gipfel (Bosnien), Hrbljina (Bosnien), Brestica (Hercegovina) und
Bjelasica planina (Hercegovina), ebenso auch die sechs Exemplare im
Museum zu Sarajevo (Voljak, Kalinovik, Sator planina, Ljubusa planina,
Yeliki Yeles und Lebrsnik) besitzen fast ausnahmslos ein kleineres Auge
als die Koritaner Stücke, von denen sie auch darin ab weichen, dass sie
zum Theil ein längeres Parietale, ein höheres Nasalschild, vier Paar
Kehlschuppen und einen auf die Halsseite verlängerten Postocular-
streifen besitzen. Hierdurch entstehen Mischcharaktere, die eine scharfe
Abgrenzung der Koritaner Form sehr erschweren, obwohl noch immer
ein Complex von Charakteren übrigbleibt, der keinen Zweifel darüber
zulässt, dass auch diese Stücke zu V. macrops gehören. So haben alle
Stücke einen kurz eiförmigen Kopf und ein kleines Apicale, allen fehlt
die dorsolaterale Fleckenreihe, dabei haben die meisten unregelmässige
Sincipitalschilder, wie auch scharf dunkelgerandete Lippenschilder und
Kehlschuppen. Leider sind diese Exemplare grösstentheils so dürftig
erhalten, dass man — namentlich betreffs der Augengrösse — kein
sicheres Urtheil fällen kann, aus welchem Grunde in den besagten
Gegenden viel ausgedehntere Aufsammlungen erfolgen müssen, bevor
die Frage einer befriedigenden Lösung entgegenführt werden kann. Vor¬
läufig finde ich keinen Grund, das von V. macrops am Faden eines
tadellos conservierten Materiales entworfene Bild durch diese nur schwer
beurtheilbare Stücke beeinflussen zu lassen, umso weniger, als die
beiden Arten auf Grund der im Schädelbau aus ge-
STUDIEN AN VIPEBIDEN.
233
sprochenen Verschiedenheiten und hauptsächlich der
höchst abweichenden Beschaffenheit der Turbinali a,
sicher getrennt werden können.
Handelt es sich nun um die Beantwortung der Frage, ob V. macrSs
als directer Descendent von V. Ursinii aufgefasst werden könne,
so glaube ich diese Möglichkeit — so seltsam dies klingen mag — ab¬
lehnen zu müssen. Die gleiche Anzahl der Schuppenreihen, der Bauch-
und Schwanzschilder, das oben und hinten eingekerbte Nasalschild, wie
auch die übrigen für den ganzen Formenkreis charakteristischen Merk¬
male sprechen zwar deutlich für einen genetischen Zusammenhang der
beiden Formen, andererseits stossen wir aber auf Hindernisse, die eine
unmittelbare Ableitung von V. Ursinii sehr fraglich erscheinen lassen.
In erster Linie finden wir bei V. Ursinii betreffs der Form des
Kopfes einen deutlichen Geschlechtsdimorphismus (der Kopf der Männ¬
chen ist nämlich schmächtiger), der bei V. mctcrops durchaus nicht
ausgesprochen ist. Falls wir nun V. macrops auf V. Ursinii zurück¬
führen wollten, würde es unerklärlich bleiben, wie eine im Laufe langer
Zeiträume errungene Eigenschaft so kurzwegs über den Haufen geworfen
werden konnte. Ein zweites Hinderniss besteht darin, dass die Lippen¬
schilder und Kehlschuppen bei V. Ursinii bereits eine stark reducierte
Stufe erkennen lassen, da nur gelegentlich einige derselben dunkelgerandet
erscheinen, wogegen dieselben bei F. macrops , sowohl bei Neugeborenen
als auch im vorgerückten Alter viel allgemeiner dunkelgezeichnet sind, so
dass es bei Annahme einer unmittelbaren Descendenz wieder nicht einge¬
sehen werden könnte, wie sich ein bereits dem Schwunde anheimgefallener
Charakter abermals zur vollen Bliithe emporgeschwungen haben1 könne.
Angesichts dieser Thatsachen sind wir gezwungen anzunehmen,
dass V. macrops nicht unmittelbar auf V. Ursinii zurückgeht, viel¬
mehr dass beide Formen ebenbürtige Schwester arten
d a r s t e 1 1 e n, die auf eine gemeinschaftliche Stammform zurückgeführt
werden müssen. Als die gewünschte Stammform würde sich uns V. Renardi
ergeben, die zeitlebens durch dunkelgerandete und gefleckte Lippen¬
schilder und Kehlschuppen gekennzeichnet wird und in dieser Beziehung-
alle Schwierigkeiten ebnet, da es durchaus möglich ist, dass diese Eigen¬
schaft bei den Descendenten in verschiedenem Grade, bei V. Ursinii
mehr, bei V. macrops weniger reduciert wurde. Das oben berührte
morphologische Hinderniss bleibt aber für V. macrops auch in diesem
Falle bestehen, da V. Renardi betreffs der Kopfform ganz denselben
Geschlechtsdimo.rphismus bekundet1 als V. Ursinii, somit sich sehr
»
1 Sehr treffend ist dieser Unterschied in Boulenger’s Abbildung (Proc. Zool.
Soc., 1893, tab. LXIY, fig. c und e ) wiedergegeben.
234
L. V. MÉHELY
wohl zu der Stammform der letzteren Art, umso weniger aber zu der
von V. macrops eignet. Um diese Schwierigkeit aus dem Weg zu räu¬
men, müssen wir annehmen, dass eventuell auch V. Renardi eine Form
besass oder noch besitzt, welche betreffs der Kopfform keinen aus¬
gesprochenen Geschlechtsdimorphismus errungen hat, oder aber, dass
die bei V. macrops hervorgehobene Eigenschaft nur eine sporadische
Eigenschaft gewisser Localrassen darstellt, somit für die Beurtheilung
der genetischen Verkettung nicht ausschlaggebend ist. Nehmen wir
dieses Hinderniss für überwunden an, so kann die westliche Step¬
pe n f o r m von V. Renardi , infolge ihres kleinen Auges und ihrer
flachen Schnauze ganz unbeanstandet für die gemeinschaftliche
Stammform des ganzen Formenkreises betrachtet wer-
d e n, aus welcher sich sowohl die übrigen Formen von V. Renardi, als
auch die durch 19 Schuppenreihen ausgezeichneten westlichen Arten:
V. Ursinii und U. macrops entwickelt haben konnten. Biese Annahme
findet eine feste Stütze in der Beschaffenheit des Schädels, da derselbe
bei V. Renardi gemeinschaftliche Charaktere aufweist, die bei V. Ursinii
und V. macrops bereits differenziert erscheinen.
Ein muthmassliches Schema der genetischen Verkettung wäre
demnach folgendermassen zu entwerfen :
Renardi
Stepp enform)
V. Renardi
>-
(kaukasische Gebirgsform)
V. Renardi
(westliche Steppenform)
Von den mir bekannten Formen von V. Renardi scheint sich nur
die westliche Steppenform für die gemeinschaftliche Stammform des
Formenkreises zu eignen, da die östlichen Formen infolge ihrer deut¬
lich vertieften Schnauze schon zu sehr spezialisiert sind. Unter den
Bescendenten steht V. Ursinii noch sehr nahe zu der Stammform,
V. macrops aber ist, wie das gelegentlich vorkommende melanotische
Farbenkleid, die häufige Zerspaltung der Sincipitalschilder, das verklei-
STUDIEN AN VIPEKLDEN.
235
nerte Apicale und die reducieften Kehlschuppen bekunden, vom Urtypus
am meisten entfernt.
Falls obige Deutung das Kichtige getroffen hätte, würden wir das
Ent wickelungscent rum dieses Formenkreises in den
südwestlichen Steppen Russlands zu suchen haben.
Aus diesem Entwickelungsherd wäre dann eine spätere Ausstrahlung in
zwei Haupt- und mehreren Nebenrichtungen erfolgt ; erstens nach Osten
in die Kirgisensteppe und in den Kaukasus, zweitens nach Westen in
das ungarische Tiefland, aus welchem eine spätere Einwanderung in
das Wiener Becken, in die Abruzzen und in die Basses Alpes erfolgte.
Bei dem im allgemeinen gleichförmigen Charakter der russischen und
westasiatischen Steppen ist es nicht auffallend, dass die östlichen Aus¬
läufer der Emigration die Altmerkmale von V. Renardi nicht ein-
gebüsst haben, wogegen die westliche Linie, infolge des abweichenden
Milieus zu V. Ursinii umgewandelt wurde. Noch tiefere Umgestaltungen
erleidete der südliche Zweig der westlichen Linie, der von Bessarabien
aus vermuthlich über Rumänien und Serbien nach Bosnien und in dio
Hercegovina vordringend die V. macröps hervorbrachte.
In Anbetracht der äusserst nahen Verwandtschaft von V. Renardi
und V. Ursinii einerseits und der ziemlich tiefgreifenden Unterschiede
zwischen V. Renardi und V. macrops andererseits, dürfte angenommen
werden können, dass die Einwanderung in das ungarische Tiefland in
relativ jüngerer Zeit erfolgte, wogegen das Vordringen nach Bosnien
und in die Hercegovina viel früher erfolgt sein musste, da die Heraus¬
bildung einer so beträchtlich abweichenden Form eine lange Vergan¬
genheit voraussetzt
*
Indem ich die genetischen Beziehungen der einzelnen Glieder der
Ursinii- Gruppe nach Möglichkeit beleuchtet habe, möchte ich es nicht,
unterlassen, auf eine Erklärungs - Möglichkeit hinzuweisen, der
viel Bestechendes innewohnt und aus welcher — falls dieselbe richtig
wäre — hervorgehen würde, dass V. macrops für die phyletische
Stammform der ganzen Pelias-G ruppe aufzufassen wäre. Diese An¬
schauung könnte folgenderweise begründet werden.
1. Angesichts der so häufigen Zerstückelung der Sincipitalschilder
bei V. macrops könnte man diesen Zustand für einen primitiven
halten und annehmen, dass gerade jetzt die Ausbildung der regel¬
rechten Sincipitalschilder angebahnt wird, die durch Verschmelzung von
kleineren Elementen zustande kommen, etwa wie dieselben nach den
236
L. V. MÉHELY
Untersuchungen von Zacharias 1 bei den* extremen Formen der Bőiden
( Loxocemus , Ungalia, Calabaria und Casarea) aus der feinen Be-
schuppung primitiver Bőiden (Boa und Corallus) hervorgegangen sind.
2. Betreffs der phylogenetischen Entwickelung des Apicalschildes
liesse sich eine anscheinend vollkommen naturgemässe, continuirliche
Evolutionskette entwerfen, die — falls sie richtig' wäre — beweisen
würde, dass V. macrops für die Stammform des ganzen Formenkreises
und der Viperiden überhaupt zu betrachten wäre. Die einzelnen Ent¬
wickelungsetappen dieser Evolutionsreihe wären die folgenden :
a) Bei V. macrops kommen Exemplare vor, bei welchen die Can-
thalia anteriora hinter dem Rostrale in einer Medialnaht aneinander
schliessen, so dass noch überhaupt kein Apicale entwickelt ist (Taf. Y,
Fig. 6). 2 Fälle von 33.
b) Bei V. macrops ist schon ein ganz kleines zungenförmiges
Apicale entwickelt, das jedoch noch von den Canthalia anteriora derart
eingeschlossen wird, dass die letzteren hinter demselben zusammen-
schliessen, infolgedessen das Apicale die Præfrontalschildchen nicht
erreicht (Taf. Y, Fig. 4). 1 Fall von 33.
c ) Bei F. macrops ist bereits ein wohlentwickeltes, länglich sechs¬
eckiges, nach rückwärts verschmälertes Apicalschild vorhanden, das
jedoch noch schmäler ist als ein Supraoculare (Taf. Y, Fig. 1). Dies ist
für V. macrops der charakteristische Zustand. 29 Fälle von 33.
d) Derselbe Fall kommt manchmal auch bei V. Ursinii vor, aber
höchst ausnahmsweise und wohl nur als Rückschlag auf eine frühere
Stammform (Taf. IY, Fig. 4). 4 Fälle von 31.
e) Bei V. Ursinii ist bereits ein grosses, querbreites Apicalschild
vorhanden, welches breiter ist als ein Supraoculare (Taf. IY, Fig. 3).
Normalzustand für V. Ursinii. 21 Fälle von 31.
f) Zum Zeichen der fortgeschrittenen Evolution wurde bei V. Ursinii
das grosse Apicalschild in zwei Platten zerlegt (Taf. IY, Fig. 5). 6 Fälle
von 31.
g) Derselbe Zustand ist bei V. berus zur normalen Eigenschaft
geworden.
h) Die beiden Apicalia sind mehr oder weniger aufgeworfen.
Normalzustand bei V. aspis.
i) Die Apicalschilder werden secundär vermehrt und bekleiden
einen vorerst kurzen ( V. Latasti), dann aber einen langen fleischigen
Eortsatz (V. ammodytes).
1 Dr. H. C. E. Zacharias, Die Phylogenese der Kopfschilder bei den Bőiden ;
Zoolog. Jahrbücher, Abth. f. System., X, 1897, p. 56 — 90.
STUDIEN AN YIPERIDEN.
237
3. Betreffs des Farbenkleides wäre zu berücksichtigen, dass bei
V. macrops sowohl die neugeborenen als die alten Exemplare (nament¬
lich die Männchen) dunkelgerandete Lippenschilder und Kehlschuppen
besitzen, wogegen bei V. Ursinii die Neugeborenen ungezeichnete
Lippenschilder und Kehlschuppen besitzen und bei älteren Stücken nur
ausnahmsweise, vielleicht als Bückschlag, an den betreffenden Schildern
und Schuppen ein dunkler Saum auftritt.
4. Bei V. macrops scheint der Giftapparat noch eine sehr unter¬
geordnete Verwendung zu finden, woraus auf eine primitivere Ent¬
wickelungsstufe desselben geschlossen werden könnte.
5. Da bei V. macrops betreffs der Form des Kopfes kein Geschlechts¬
dimorphismus besteht, könnte diese Eigenschaft für eine primitive auf¬
gefasst werden.
6. Die Standorte von V. macrops gehören einem geographischen
Gebiete an, welches durch mehrere archaische und Übergangsformen
gekennzeichnet wird. In der südlichen Hercegovina leben die Archæo-
lacerten : Lacerta oxycephala DB. und Lacerta mosorensis Kolomb.,
etwas weiter nordwärts Lacerta Horváthi Méh., ferner La certa viridis
var. intermedia Méh., Vipera berus var. bosniensis Bttg., Molge vul¬
garis subsp. kapelana Méh. und Molge cristata subsp. Karelinii
Strauch, welche Formen dafür sprechen, dass dieses Gebiet ein Ent¬
wickelungscentrum oder wenigstens einen Umbildungsherd ersten Banges
darstellt.
Die hier aufgezählten Gesichtspunkte würden ergeben, dass Vipera
macrops eine uralte, phyletische Ausgangsform darstellt, aus welcher
sich sowohl V. Ursinii als V. Renardi und V berus entwickelt haben
konnte. Obwohl diese Voraussetzung auch in dem sehr einfachen Bau
der Turbinalien eine weitere Stütze finden würde, glaube ich dieselbe
doch abweisen zu müssen und zwar aus Gründen, die ich in der Beihen-
folge des obigen Erklärungsversuches darlegen will.
Ad 1. Die so häufige Zersplitterung der Sineipitalschilder von
V. macrops ist wahrscheinlich nicht primärer, sondern secundarer
Natur, was daraus hervorgeht, dass zahlreiche männliche und weib¬
liche Exemplare (33%) normal entwickelte Sineipitalschilder besitzen,
welcher Zustand nicht Vorkommen dürfte, falls hier erst eine Anbahnung:
der Sineipitalschilder im Flusse wäre.
Im Sinne Prof. Tornier’s dürfte es zwar keinem Zweifel unter¬
liegen, dass wie die grossen tafelförmigen Kopfschuppen anderer Bepti-
lien, so auch die Sineipitalschilder der Pelias- Gruppe «das Schluss¬
resultat sind der Vereinigung vieler kleiner Schuppen, welche bei anderen
primitiven Beptilien ihre Stelle einnehmen und von je einer Cutispapille
r
•238
L. y. MÉHELY
gebildet werden»,1 doch glaube ich, dass dieser Zeitpunkt für die Pelias-
Gruppe bereits sehr weit zurückliegt und dass als dieser Process ein¬
geleitet wurde, die Beschuppung der Kopfoberfläche noch bedeutend
feiner und homogener sein musste, als diejenige ist, die bei V. macrops
selbst im Falle der extremsten Zersplitterung angetroffen wird. Für
unseren Fall wird wohl eher Prof. Werner’s Auffassung zutreffen, der
die aus zahlreichen kleinen Schildchen bestehende Kopfbedeckung der
Schlangen für secundär betrachtet.2
Über die Ursachen der secundären Zerspaltung der Sincipital¬
schilder bei V. macrops kann ich leider nichts Positives angeben. Für
einen Rückschlag auf einen ehemaligen Entwickelungszustand ist die
Erscheinung zu allgemein, so dass nur die Annahme übrigbleibt, dass
hier infolge localer Reizwirkungen die Anbahnung einer neuen Ent¬
wickelungsrichtung vorliegt. Ob diese localen Reize mit den physika¬
lischen Verhältnissen der Standorte oder mit der veränderten Nahrung
(Heuschrecken) in Zusammenhang stehen, kann einstweilen nicht ent¬
schieden werden.
Angesichts der so häufigen Zerspaltung der Sincipitalschilder ist
es umso auffallender, dass die Præfrontalschildchen von V. macrops
im allgemeinen grösser und dem entsprechend auch von geringerer An¬
zahl sind als bei V. Ursinii (2 — 4, gegen 3 — 9). Es ist klar, dass hier
eine nachträgliche Verschmelzung stattfand, die vielleicht
mit dem rauhen Klima und den trocknenden Winden der Standorte in
Beziehung gebracht werden kann, ebenso wie bei den kaukasischen
Archæolacerten (Lacerta saxicola bithynica , Lacerta saxicola arme-
niaca , Lacerta caucasica , etc.), die in den höheren Lagen die Tendenz
erkennen lassen, sich vor allzugrosser Ausdünstung durch Anzüchten
eines derberen Schuppenkleides zu schützen.3 Wenn aber dieser Ten¬
denz entgegen die Sincipitalschilder von V. macrops gerade durch ihre
häufige Zersplitterung auffallen, so können hier vielleicht Ernährungs¬
störungen im Spiele sein. V. macrops scheint zwar hauptsächlich auf
Heuschrecken angewiesen zu sein, zu gewissen Zeiten wird sie jedoch
sicherlich zu Wirbeltieren greifen müssen, durch welche Unregelmässig¬
keiten auch die germinativen Theile so ungünstig beeinflusst werden
können, dass dem Organismus die Kraft und das Material abgeht, die
1 G. Tornier, Die Krieclithiere Deutsch-Ost-Afrikas, Berlin, 1897.
2 F. Werner, Untersuchungen über die Zeichnung der Schlangen, Wien,
1890, p. 89.
3 L. V. Méhely, Materialien zu einer Systematik und Phylogenie der muralis-
ähnlichen Lacerten ; Ann. Mus. Hung., VII, 1909. p. 543, 554, 509.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
239
schon erreichte phyletische Stufe genau einhalten zu können. Demzu¬
folge unterbleibt oft die regelrechte Ausbildung der Sincipitalschilder
an einer Körperstelle, die durch eine derbe Knochenlage ohnehin ge¬
nügend geschützt ist, wogegen die weniger geschützte Schnauzengegend
ein derberes Schuppenkleid anlegen muss.
Ad 2. Obwohl wir bisher keine Vorstellung darüber besitzen,
welchen Lauf die Phylogenese des Apicalschildes genommen haben
könne, dürfte es doch sehr wahrscheinlich sein, dass dieses Schild
durch Abspaltung aus den Internasalen einer colubriformen Ahnform
hervorgegangen ist. Dieser Zeitpunkt muss aber sehr weit zurückliegen.
Derjenige Zustand in welchem V. macrops kein oder ein sehr kleines
Apicale besitzt, ist zweifellos von grossem Interesse, kann aber nicht
für den phvletischen Ausgangspunkt, sondern höchstens als seltener
Kückschlag auf eine colubriforme Ahnform aufgefasst werden. Es ist
viel wahrscheinlicher, dass das bei V. Renardi noch sehr variable Api-
cale den Ausgang bildet und dass im Laufe der Phylogenese bei V.
macrops die kleine (Taf. IV, Fig. 6), bei V. Ursinii hingegen die
grosse Form dieses Schildes (Taf. IV, Fig. 7) constant geworden ist.
Ad 3. Betrachten wir V. Renardi für die gemeinschaftliche Stamm¬
form von 1". Ursinii und V. macrops, so kann der verschiedene Grad
der Intensität der Lippen- und Kehlzeichnung keinen Anstoss erregen.
In beiden Fällen ist eine Reduction eingetreten, bei I r. Ursinii aber in
grösserem Maasse als bei V. macrops.
Ad 4. Es geht nicht an die untergeordnete Verwendung des Gift¬
apparates von V. macrops zugleich auf eine morphologisch primitivere
Stufe zu beziehen, da der Giftapparat dieselbe hohe Entwickelung erlangt
hat als bei der Schwesterform ; viel eher kann angenommen werden,
dass der Giftapparat bei V. macrops infolge der eigenartigen Ernährungs¬
weise einer allmählichen Rückbildung entgegengeht. Anzeichen einer
Rückbildung sind thatsächlich vorhanden, da bei gleichgrossen Stücken
( $ ) der Giftzahn von V. Ursinii 3 mm., bei V. macrops hingegen nur
2*5 mm. lang ist. Bei V. Renardi (cf) beträgt die Länge des Gift¬
zahnes 4 mm.
Ad 5. Wohl ist bei V. macrops betreffs der Kopfform kein Ge¬
schlechtsdimorphismus ausgesprochen, doch ist zu erwägen, dass diese
Eigenschaft nur bei der Koritaner Form deutlich hervortritt und in
Anbetracht der in der Schwanzbildung scharf ausgeprägten geschlecht¬
lichen Unterschiede, zweifellos secundärer Natur ist.
Ad 6. Die Standorte von V. macrops gehören zweifellos einem
Gebiete an, welches einen Umbildungsherd ersten Ranges darstellt,
ohne zugleich ein primäres Entwickeluügscentrum sein zu müssen. Die
240
L. V. MÉHELY
südliche Hercegovina bildet ein eigenes, in sich geschlossenes geogra¬
phisches Gebiet, infolgedessen die hier einheimischen Formen einem
starken Anpassungszwange unterworfen sind und beträchtlich abweichen
von den verwandten Formen anderer Gebiete, woraus jedoch nicht noth-
gedrungener Weise folgt, dass dieselben primär, d. i. ursprünglich hier-
selbst entstanden sind.
Würde die Hercegovina das Entwickelungscentrum der Ursinii-
Gruppe darstellen, so müsste V. macrops oder wenigstens eine ihr
nahestehende Form auch über die Balkan-Halbinsel und Bessarabien,
namentlich aber über das südliche Gebirge der Taurischen Halbinsel
verbreitet sein, was jedoch durchaus nicht der Fall ist. Laut den Unter¬
suchungen von Semenow,1 Nikolski2 und Brauner3 besitzt die Krim
erstens eine ältere Gebirgsfauna, die zweifellos balkanischer Herkunft
ist, zweitens eine neuere Steppenfauna, die von Norden eingedrungen
ist und kaukasischer Herkunft sein soll. Zu der letzteren Fauna wird
auch V. Renardi hinzugezählt, welche Art in den nördlichen Steppen
der Krim sehr zahlreich vorkommt, dem südlichen Berglande und dem
Siidufer aber vollkommen abgeht.
Würde der Formenkreis der V. Ursinii balkanischer Herkunft
sein, so müsste gerade das südliche Gebirge der Krim V. macrops ,
oder eine sehr ähnliche Form besitzen, in Ermangelung einer solchen
ist es jedoch klar, dass die nördlichen Steppen der Krim aus einem
anderen Entwickelungscentrum die V. Renardi erhalten haben. Dass
dieses Centrum der Kaukasus nicht sein kann, geht daraus hervor,
dass die kaukasische Form von V. Renardi, wie dies die vertiefte
Schnauze bezeugt, schon viel zu sehr spezialisiert ist, als dass sie sich
zur gemeinschaftlichen Stammform des ganzen Formenkreises eignen
würde ; demnach müssen die Krimer Steppen, falls sie nicht selbst den
Entwickelungsherd der Ursinii- Grupp e darstellen, V. Renardi von We¬
sten her, aus dem Chersoner Gouv. erhalten haben.
*
Ob V. berus unmittelbar dem Formenkreise der V. Ursinii an¬
geschlossen werden könne, oder ob dieselbe mit V. Renardi gemein¬
schaftlich auf eine frühere Stammform zurückgeht, kann vorläufig kaum
entschieden werden. Mir scheint die erstere Möglichkeit die wahrschein¬
lichere zu sein.
1 Semenov, Einige Erörterungen über die vergangene Fauna und Flora der
Krim (Nach Brauner).
2 A. M. Nikolski, Die Erde und das Tierleben, p. 212 — 213 (Nach Brauner).
3 A. Brauner, Zapiski Novorossijskago Obscestva Jestest., Odessa, XXVIII,
1905, p. 14.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
244
Eine Anbahnung der HmiS-Charaktere finden wir schon bei V.
Ursinii , so den beginnenden Geschlechtsdimorphismus im Farbenkleid,
das kürzere Frontale und das gelegentliche Zerspalten des Apicale, wie
auch das oftmalige Fernbleiben des obersten Præoculare vom Nasale ;
auch bei V. macrops gewahren wir gewisse Anklänge an V. berus, so
den beginnenden Geschlechtsdimorphismus im Farbenkleid, das grosse
Auge, ähnlich gebaute Turbinalia, die beiden Arten zukommenden mela-
notischen Formen und das Fehlen der dorsolateralen Fleckenreihe : doch
scheinen mir diese Ähnlichkeiten blos Zeichen einer parallelen
Entwickelung zu sein, die eine unmittelbare Anknüpfung schon aus
dem Grunde nicht zulassen, da V. berus mit ihren 21 Schuppenreihen kaum
aus einer Form hervorgegangen sein kann, die nur 19 Schuppenreihen
besitzt. Anscheinend leichter kann V. berus an V. Renardi angeschlossen
werden, namentlich an die westliche Steppenform derselben, der die für
V. berus erforderliche gesamte Grundlage der Organisation innewohnt.
Eine flache Schnauze, gefleckte Lippenschilder und Kehlschuppen,
21 Schuppenreihen und eine ähnliche Anzahl der Bauchschilder sind
beiden Formen gemein ; was V. berus ausserdem noch besitzt (zwei api-
cale Schilder, ein verkürztes Frontale, ein aufgelöstes oberstes Præocu¬
lare, ein grösseres Auge und den Geschlechtsdimorphismus des Farben¬
kleides) kann im Laufe der Phylogenese zum Theil secundär hervor¬
gebracht worden sein und was V. berus nicht besitzt (die dorsolaterale
Fleckenreihe) kann durch Keduction verloren gegangen sein. Im allge¬
meinen steht V. berus nicht viel entfernter von V. Renardi als V. ma¬
crops und scheint ganz naturgemäss auf dieselbe zurückgeführt werden
können.
Die von mir befürwortete Evolutionsrichtung würde dafür sprechen,
dass im. Laufe der Phylogenese die Formelemente des Schuppenkleides
reduciert, namentlich die Anzahl der Schuppenreihen, wie auch die der
Lippenschilder, Kehlschuppen, Bauch- und Schwanzschilder vermindert,
die Schilder der Kopfoberfläche aber secundär aufgelöst werden können
und dass Hand in Hand mit dieser Auflösung in kleinere Schuppen¬
elemente das ursprünglich in Flecken aufgelöste Dorsalband zu einem
einheitlich zusammenhängenden, gewellten Band umgestaltet wird, wel¬
ches jedoch secundär sehr mannigfach reduciert werden kann.
Alle diese Ergebnisse befinden sich in vollem Einklang mit denen,
die ich in der Phylogenese der Lacerten erkannt zu haben glaube.
Zu einem anderen Resultat gelangte vor vielen Jahren Professor
Werner, der an der Pholidose von Zamenis -, Vipera und Crotalus die
Thatsache constatieren konnte, dass bei den Schlangen «mit fortschrei¬
tender Entwickelung die Anzahl der Schuppen und Schilder sich ver-
Annales Musei Nationalis Hung arici. IX. 16
242
L. V. MÉHELY
mehrt» und dass «die Anzahl der Angenschilder, resp. der Schildchen¬
reihen unter dem Auge mit der der Supralabialen und der Schuppen¬
reihen des Rumpfes in geradem Yerhältniss steht, dass also mit
der Yergrösserung einer dieser Zahlen auch die beiden anderen
wachsen».1
Für die genetische Kette von V. Renardi — Ursinii — macrops er¬
gibt sich im Gegentheil, dass bei fast genau gleicher Anzahl der das
Auge umringenden Schildchen2 im Laufe der Phylogenese die Anzahl
der Supralabialen, der Kehlschuppen und auch der Schuppenreihen des
Eumpfes herabgesetzt wird. Ob hier ein spezieller Adaptationsfall
vorliegt, oder aber ein allgemeines Gesetz realisiert wird, sollen erst
weitere Untersuchungen lehren, umso mehr, als die von mir behandelte
genetische Kette viel zu kurz und deren Glieder miteinander viel näher
verwandt sind, als dass den gewonnenen Eesultaten eine allgemeine
Beweiskraft zuerkannt werden könnte, wenn auch andererseits das obige
Ergebniss gerade infolge der letzteren Umstände eine naturgemässe
Grundlage erhält, der mehr Sicherheit innezuwohnen scheint als den
von Prof. Werner seinerzeit zusammengestellten muthmasslichen Evo¬
lutionsreihen von Zamenis, Vipera und Crotalus, wobei es dem Ver¬
fasser hauptsächlich um den Nachweis gewisser Correlationserscheinun-
gen zu thun war.
EBKLÄRUNG DER ABBILDUNGEN.
Alle Abbildungen sind bei fünffacher Vergrösserung mit dem Zeichenapparat
entworfen und nachträglich um ein Drittel verkleinert worden.
Tafel III.
Köpfe im Profil, po = das oberste Præoculare, n = Nasale, r = Rostrale,.
sp = Supralabialia, m = Mentale, sb = Sublabialia, if = Inframaxillaria.
Fig. 1. Vipera Ursinii Bonap. Junges cf vom Gran Sasso, im Besitz des.
Turiner Museums.
Fig. 2. Vipera Ursinii Bonap. Adultes Ç von Bugacz (in der Nähe von
Kecskemét). Mus. Hung.
1 F. Werner, Bemerkungen über die europäischen Tropidonotus-Arten,
sowie über eine merkwürdige Korrelationserscheinung bei einigen Schlangen
Biolog. Centralblatt, X, 1891, p. 233 — 238.
2 Betreffs dieser Schildchen ist bei V. Ursinii eine grössere Constanz er¬
reicht, da 8 und 9 Schildchen in je 46*5%, 7 Schildchen aber nur in 3*4% und
6 kein einzigesmal Vorkommen ; bei V. macrops hingegen kommen 7 Schildchen
noch in 24*6% und 6 in 8*2% vor.
STUDIEN AN VIPERIDEN.
243
Fig. 3. Vipera Renardi Christ. Adultes cf von Alexandrowsk. Mus. Hung.
Fig. 4. Vipera macrops. Adultes $ von Korito. Mus. Hung. Das Auge ist
nicht übertrieben, vielmehr befindet sich im Besitze des Herrn Dr. E. Schreiber
ein adultes Ç von ebendaher mit noch grösserem Auge (vergi. -Taf. V, Fig. 5).
Tafel IV.
Köpfe von oben, ap ~ Apicale, ca = Canthaie anterius, cp — Canthaie pos¬
terius, pf — Praefrontalia, so = Supraoculare, / = Frontale, p ^'Parietale.
Fig. 1. Vipera Ursinii Bonap. Junges cT vom Gran Sasso, im Besitz des
Turiner Museums.
Fig. 2. Vipera Ursinii Bonap. Adultes cf von Guntramsdorf (Nieder-Oester¬
reich), im Besitze des Herrn Prof. Werner in Wien.
Fig. 3. Vipera Ursinii Bonap. Adultes Ç von Puszta-Szt.-Mihály in der Nähe
von Budapest. Mus. Hung.
Fig. 4. Vipera Ursinii Bonap. Junges cf vom Bakos bei Budapest. Mus.
Hung.
Fig. 5. Vipera Ursinii Bonap. Adultes Ç von Bugacz (in der Nähe von Kecs¬
kemét). Mus. Hung.
Fig. 6. Vipera Renardi Christ. Adultes cf von Piatigorsk. Mus. Hung.
Fig. 7. Vipera Renardi Christ. Adultes cf von Wossilienka (Gouv. Ekateri-
noslaw). Mus. Hung.
Tafel V.
Köpfe von oben.
Fig. 1. Vipera macrops. Adultes cf von Korito, im Besitze der zoolog. Sta¬
tion zu Rovigno.
Fig. 2. Vipera macrops. Juveniles Ç von Korito, im Besitze des Herrn Prof.
Werner in Wien.
Fig. 3. Vipera macrops. Adultes $ von Korito. Mus. Hung.
Fig. 4. Vipera macrops. Neugeborenes cf von Lbrsnik, im Besitze des Mu¬
seums zu Sarajevo.
Fig. ó. Vipera macrops . Adultes Ç von Korito, im Besitze des Herrn Dr. E.
Schreiber in Görz. Beachtenswerth auch das enorm grosse Auge.
Fig. 6. Vipera macrops. Adultes cf von Kalinovik, im Besitze des Museums
zu Sarajevo. Kein scutum apicale !
16*
[X.
ANNALES MUSEI NATIONALES HUNGARICL
1911.
DEUX GENEES NOUVEAUX D’HYDBOCOBISES.
Par A. L. Montandon.
Horváthinia nov. gen.
Eorme ovalaire et aplatie, avtc une large tête construite à peu
près de la même façon que chez les Sphaerodema ; la partie anté¬
rieure anteoculaire très peu prolongée en avant, en triangle très obtus,
étroitement subarrondi au sommet en regardant l’insecte en dessus.
Yeux assez grands, mais non saillants, suivant bien la ligne des côtés
latéraux antérieurs de la tête.
Pronotum très transversal à côtés latéraux un peu arqués, le bord
antérieur presque droit, très obtusémeut sinué au milieu derrièie le
vertex; les angles latéraux antérieurs obtus, mais non obliquement
tronqués ou subarrondis derrière les yeux comme chez les Sphaero¬
dema.
Ecusson grand, triangulaire, plus large que long, légèrement acu-
miné au sommet et traversé longitudinalement par une fine carène
médiane lisse.
Cories bien développées, clavus parcouru dans toute sa longueur
par une ferte nervure un peu tectiforme, arquée, très accentuée ; com¬
missure du clavus un peu plus courte que la longueur de l’écusson.
Disque de la corie avec trois carènes longitudinales bien accentuées, un
peu arquées, la submarginale plus élevée et plus longue, séparant
franchement la marge de E corie qui est largement arrondie tout autour.
Membrane assez bien développée mais pas très largement val-
vante.
Hémélytres recouvrant assez exactement l’abdomen, ne laissant à
découvert qu’une faible partie assez étroite des derniers segments du
connexivum.
Pattes peu développées, mais très robustes ; l’extrémité des fémurs
atteignant tout juste les côtés latéraux du corps; ces fémurs assez
dilatés et un peu aplaiis aux paires intermédiaire et postérieure, dé¬
primés sur leur tranche postérieure et comme sillonnés dans le sens
de leur longueur; leurs tibias robustes, prismatiques avec leur arête
externe un peu dilatée, élargie ; un peu plus courts que les fémurs
DEUX GENEES NOUVEAUX d’hYDROCOEISES.
245
à la paire intermédiaire et un peu pins longs que les fémurs à la paire
postérieure.
Tarses intermédiaires et postérieurs composés de deux articles
assez grêles et bionguiculés, ces ongles longs et égaux entre eux
Fémurs antérieurs épais et très -dilatés sur leur tranche dorsale,
largement sillonnés sur leur tranche antérieure où vient s’appliquer le
tibia au repos ; ce dernier un peu arqué, assez dilaté, robuste, sillonné
de chaque côté dans toute sa longueur,- avec le tarse paraissant formé
d’un seul gros article cylindrique assez obtus à l’extrémité et sans
crochets apparents.
Hanches intermédiaires et postérieures assez rapprochées, les pai¬
res se rejoignant sur la ligne médiane.
Meso- et metasternum non carénés.
Eostre très court, atteignant à peine la base de la tête.
Cette nouvelle forme américaine de la famille des Belostomidae
que je me fais un plaisir de dédier à notre savant collègue M. le Dr.
Gr. Horváth du Musée de Budapest, ; ressembla un peu au premier
abord aux Sphaerodema , mais elle diffère de tous les genres connus
jusqu’à présent de la famille des Bffostomides par sa formé plus trapue
avec les pattes moins développées et plus robustes proportionnellement,
par son rostre très raccourci, par ses tarses antérieurs paraissant privé
d’ongles, par son écusson orné d’une faible carène longitudinale lisse
et par les nervures des cories beaucoup plus accentuées.
Horváthinia pelo coroide s n. sp.
D’un brun foncé assez uniforme, Tête un peu en forme de triangle
avec le sommet assez obtus, paraissant un peu arrondi en regardant
l’insecte en dessus ; les côtés latéraux, yeux compris, formant une ligne
assez droite sans sinuosité au devant des yeux, ces derniers triangulai¬
res à peine plus longs que larges, avec leurs côtés internes subparallèles.
"Vertex assez convexe parsemé de gros points enfoncés peu profonds,
ces points plus denses et mieux marqués dans une dépression assez
forte de chaque côté près de l’aagle antérieur des yeux. Tylus bien
visible, englobé en avant par le repli antérieur des joues. Rostre assez
robuste et court, le premier article plus de moitié plus court que le
second, le troisième subégal en longueur au premier.
Pronotum deux fois plus large en arrière que long sur la ligne
médiane ; le bord antérieur presque droit, très obtusément sinué au
milieu ; les côtés latéraux assez sensiblement arqués, surtout en avant,
246
A. L. MONTANDON
divergents en arrière sur toute leur longueur. Disque de la partie an¬
térieure du pronotum avec quelques petits points enfoncés, épars, assez
superficiels, plus denses sur le milieu du disque, avec un gros point
enfoncé de chaque côté sur le disque. Partie postérieure du pronotum
déprimée derrière le sillon transversal et assez fortement ponctuée,
chagrinée sur toute sa surface, avec les angles latéraux postérieurs
presque droits à peine aigus, très étroitement subarrondis au sommet,
et le bord postérieur du pronotum très largement et obtusément sinué
devant l’écusson.
Disque de la partie postérieure de l’écusson faiblement déprimé,
cbagriné-ponctué de chaque côté de la légère carène médiane lisse ; le
sommet de l’écusson légèrement acuminé, les côtés latéraux presque
droits.
Cories marquées de fortes nervures : une diagonale de chaque
côté, assez relevée, un peu tectiforme et légèrement arquée sur le cla¬
vus, et trois autres longitudinales sur le disque de la corie, l’externe
plus longue et mieux accentuée, parcourant toute la longueur de la
corie dont elle limite la marge; les discoidales moins fortes et aussi
plus irrégulières. Commissure du clavus un peu plus courte que l’écus¬
son. Bord externe des cories légèrement arqué, d’une courbure assez
régulière sur toute sa longueur, recouvrant presque entièrement le con-
nexivum dont on n’aperçoit qu’un très étroit ruban vers l’extrémité qui
suit assez exactement la même courbe que celle de la marge des cories.
Membrane bien développée, mais pas très largement valvante, de
même teinte que la corie.
Dessous du corps de même couleur sombre que la partie supé¬
rieure avec les fémurs un peu plus clairs, plus brillants et ponctués par
places, tibias et tarses plus foncés que les fémurs. Mesosternum très
vaguement tectiforme, metasternum un peu concave, à peine visible
entre les hanches postérieurs et intermédiaires très rapprochées sur la
ligne médiane, et les postérieurs peu éloignées des médianes. Côtés
latéraux de l’abdomen avec une très étroite bande soyeuse longitudi¬
nale. le long du bord interne des pièces du connexivum.
Longueur 25*5 — 29 mill.; larg. 13*5 — 15*5 mill.
Brésil : Bio Grande (Musée National Hongrois), Minas Geraes
usée de Stockholm).
Je n’ai encore vu que deux exemplaires de cette nouvelle forme
très remarquable chez laquelle la pièce génitale est frangée d’assez lon¬
gues soies sur ses bords et surtout à son extrémité, assez denses, pour
empêcher d’en reconnaître exactement la forme.
DEUX GENRES NOUVEAUX d’hYDROCORISES.
247
Sagocoris nov. gen.
Corps très aplati ; de forme ovale, à peine un peu plus atténuée
en avant qu’en arrière.
Bord antérieur de la tête légèrement incliné en avant, mais non
replié en dessous. Labre assez étroit, aussi long que large, arrondi à
l’extrémité, situé dans une échancrure du bord antérieur de la tête ;
cette échancrure visible seulement en regardant l’insecte en dessous ou en
avant, avec les joues un peu saillantes en dessous de chaque côté du labre.
Bos+re très court, gorge très courte à peme visible derrière la
base du rostre, un peu tectiforme, en carène très obtuse paraissant
faire suite à celle du prosternum qui est un peu plus relevée.
Pronotum très transversal avec son bord antérieur obtusément
sinué derrière la partie postérieure de la tête; les angles latéraux pro¬
éminents en avant, remontant jusqu’au niveau du milieu des yeux; ces
derniers avec un très faible processus externe, réduit à une petite ban¬
delette étroite sur le milieu de la convexité externe de l’œil, à l’en¬
droit où arrive l’angle antérieur du pronotum.
Prosternum non fermé au milieu derrière les hanches antérieures
Mesosternum tuméfié, relevé longitudinalement au milieu en carène
obtuse plus ou moins visiblement sillonnée au sommet dans toute sa
longueur.
Fémurs antérieurs très élargis, également dilatés sur la tranche
antérieure comme sur la tranche postérieure; tarse antérieur paraissant
uniarticulé, rigide et comme soudé au tibia. Tibias intermédiaires et pos¬
térieurs avec de très petites epines setiformes et espacées, disposées
longitudinalement sur les arêtes des tibias, un peu plus longues sur
Paréte interne près de laquelle il y a aussi mm rangée d’assez longues
soies très denses, souvent collées contre le tibia et alors peu visibles ;
à peine un peu plus de une fois et demi plus longs que leurs tarses
avec les ongles, ces tarses visiblement biarticulés, les deux articles sub-
égaux aux tarses intermédiaires, le premier un peu plus long que le
deuxième aux tarses postérieurs ; les ongles fins, bien arqués, et assez
longs, environ moitié de la longueur du dernier article.
Ecusson triangulaire, moins long que large. Commissure du cla¬
vus plus courte que l’écusson. Cories mal développées, ruguleuses à leur
surface, assez brusquement mais obtusément rétrécies derrière 1’ embo¬
lium, laissant largement à découvert les côtés et l’extrémité de l’abdo¬
men. Membrane à peine valvante près de la base à son côté interne,
réduite ensuite à un étroit ruban un peu élargi à l’extrémité de la corie
qui parait entourée par la membrane.
248.
A. L. MONTANDON
Cette nouvelle forme de la fam. N ciuco ridae, doit, maigre quel¬
ques dissemblances apparentes, être rattachée à la sous-fam. Laccoco-
linae avec laquelle elle conserve un air de proche parenté confirmé par
plusieurs caractères importants, malgré leur atténuation. Par la partie
antérieure de la tête non repliée en dessous et légèrement proéminente
au devant des yeux elle se rapproche baucoup du genre Aptinocoris
Montand. (Ann. Soc. Ent. de Belg. XLI. 1897. p. 64 — 15) également de
Nouvelle- Gruinée et que j’avais alors réuni avec quelque doute à la sous-
fam. Naucorinae, mais qui devra probablement être aussi rapproché de
la sous-fam. Laccocorinae tels que je les comprends aujourd’hui. Chez
Aptinocoris Montand, la gorge est plus allongée, le mesosternum paraît
un peu mieux caréné, la forme plus étroite et allongée de l’insecte à
élytres rudimentaires ne couvrant guère que la moitié de l’abdomen^
son pronotum un peu rétréci en arrière avec ses angles postérieurs sail¬
lants en lobes arrondis en arrière ; ses tibias postérieurs plus de deux
fois plus longs que le tarse avec ses ongles, sont autant de caractères
qui le séparent franchement du nouveau genre que je viens de décrire.
Sagocoris Bírói n. sp.
Tête assez grande, plus large que longue avec le bord antérieur
visiblement arqué au devant des yeux. Partie interoculaire aussi longue
que large ; les yeux étroits, assez allongés, deux fois plus longs que
larges au milieu, très atténués en avant, leur bord externe suivant assez
bien la courbe du bord antérieur de la tête, à côtés internes subparal¬
lèles, très faiblement convergents en arrière sur presque toute leur lon¬
gueur, sauf en avant où ils sont aussi étroitement convergents ; avec un
petit et très étroit processus externe sur le milieu de leur longueur, au
niveau des angles antérieurs du pronotum.
Vertex jaunâtre ocreux, presque lisse un peu brillant et finement
ponctué en avant, rembruni sur sa partie postérieure plus densément
ponctuée, presque granuleuse sur les côtés près des yeux et en arrière ;
avec deux lignes longitudinales brunes foncées qui arrivent presque au
bord antérieur, un peu divergentes en arrière où elles se confondent
plus ou moins sur le milieu du vertex avec la partie postérieure rem¬
brunie, ces deux lignes peu éloignées de la partie médiane qui est en¬
core marquée de très petits points bruns juxtaposés sur deux lignes
longitudinales subcontiguës.
Pronotum très transversal, près de quatre fois plus large en arrière
que long sur la ligne médiane où il est aussi un peu plus court que
la tête; à bord antérieur largement et obtusement sinué derrière le
DEUX GENEES NOUVEAUX d’hYDEOCOEISES.
249
vertex, beaucoup plus étroitement et faiblement sinué de chaque côté
derrière lex yeux, avec les angles latéraux antérieurs prolongés en avant
jusqu’au niveau du milieu de l’œil où ils forment un angle un peu
aigu ; les côtés latéraux bien visiblement arqués, surtout en avant et
divergents en arrière sur toute leur longueur, avec les angles postérieurs
à peine obtus, presque droits, assez largement arrondis au sommet. Le
bord postérieur du pronotum presque droit, très largement et obtusé-
ment sinué. Surface du pronotum assez, finement et uniformément gra¬
nuleuse, avec les marges assez largement et le bord postérieur plus
étroitement jaunâtres ; le disque parcouru par des bandes obliques mal
limitées, formant comme un grand V derrière le milieu du bord anté¬
rieur dont la partie interne entre les branches est également jaunâtre
pâle, et de chaque côté derrière les yeux un V renversé à branches
plus ouvertes postérieurement et à sommet atteignant le bord anté¬
rieur, derrière l’œil.
Ecusson à côtés latéraux presque droits, obtusément sinués, à surface
presque lisse au milieu, largement ruguleuse sur la base et sur les côtés.
Cories fortement arquées sur leur bord externe, avec 1’ embolium
très rétréci à sa base située très en dedans des angles latéraux posté¬
rieurs du pronotum ; très brusquement rétrécies derrière 1’ embolium,
sans sinuosité apparente cependant sur la marge. Commissure du clavus
environ moitié de la Longueur de l’écusson. Surface des cories assez
ruguleuse, les rugulosités formant de petites stries obliques, irrégulières ;
sans suture apparente entre le clavus et le disque de la corie. Cette
corie est noirâtre avec 1’ embolium jaunâtre ocreux sur ses deux tiers
antérieurs, et un point jaunâtre sur le disque assez rapproché de l’angle
postérieur interne de 1’ embolium. Membrane peu développée, rudimen¬
taire, très étroitement v vivante derrière le clavus et entourant comme
un croissant le bord postérieur arrondi de la corie avec laquelle elle
se confond., un peu élargie à l’extrémité où elle n’arrive pas cependant
sur les segments génitaux bien visibles en dessus.
Segments du connexivum brunâtres avec les angles postérieurs
assez saillants, aigus, dirigés en arrière.
Dessous du corps entièrement jaunâtre ocreux, recouvert sur la
poitrine et l’abdomen d’une très fine pubescence grisâtre. Pattes jau¬
nâtres, extrémité du dernier article des tarses rembrunie.
Longueur 10 — 10'5 mill. ; largeur max. 6*5 — 6*8 millimètres.
Nouvelle -Guinée : Montagnes Hansmann, Baie de l’Astrolabe.
c? et $ (Musée National Hongrois et ma collection). Cette curieuse
espèce est due aux savantes recherches du courageux explorateur hon¬
grois, M. L. Bieô, auquel je me fais un plaisir de la dédier.
250
A. L. MONTANDON
Le Museum Entomologique de Berlin possède aussi un exemplaire
cf de cette espèce, provenant également de la Nouvelle -Guinée ; Tana¬
mera (Exped. 1903. 8 Juillet).
Dans la petite série des exemplaires du Museum National Hon¬
grois, il y a aussi une forme immature qui n’est pas encore à sa der¬
nière mue, de taille plus faible que les imago, dont tous les détails,
sauf les cories non développées, rappellent assez exactement l’insecte
parfait, avec les mêmes dessins sur la tête et le pronotum, mais avec
les angles postérieurs des segments du connexivum un peu moins acu¬
mines et surtout moins proéminents.
Bucarest, Janvier 1911.
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNG ARICI.
1911.
ÚJABB ADATOK A NAGYBÁNYAI PYRARGYRIT
KRISTÁLYTANI ISMERETÉHEZ.
Zimányi Karol Y-tól.
(Öt ábrával.)
NEUE BEITRÄGE ZUR KRYSTALLOGRAPHISCHEN
KENNTNISS DES PYRARGYEITES VON NAGYBÁNYA.
Yon Karl Zimányi.
(Mit & Textfiguren.)
Már a XVIII. század végén és a XIX. század elején, a mikor a
bányászat a nagybányai Kereszthegyen még jelentéktelen volt, a bányá¬
szati, geológiai vagy mineralogiai munkákban Nagybányáról a vörös-
ezüstérczet is megemlítik ; 1 későbben az előfordulási viszonyokról is
kissé bővebben szólnak.2 A pyrargyritet Nagybányán többnyire vaskosan
vagy hintve, ritkábban kristály odva is találják.3
Legújabban Toborffy4 a magyarországi pyrargyritekről szóló dol-
1 Benkő F. : Magyar Mineralogia stb. Kolozsvár, 1786. p. 145. — J. Esmark :
Kurze Beschreibung einer mineralog. Beise durch Ungarn, Siebenbürgen und Ba¬
nat. Freiberg, 1798. p. 141 — 142. — F. A. Reuss : Lehrbuch d. Mineralogie. Leipzig,
1803. II. 3. p. 363. — Y. Schönbauer: Minerae Metallorum Hungáriáé et Transil-
vaniæ. Pesthini, 1806. I. p. 34. — G. C. Leonhard : Handbuch einer allgem. topograph.
Mineralogie. Frankfurt am M. 1808. II. p. 317. — J. Jonas : Beschreibung einer im
Jahre 1811 durch Oberungarn nach Nagybánya und Kapnik unternommenen Reise. —
Taschenbuch f. d. ges. Mineralogie. 1814. VIII. p. 172. — W. G. E. Becker: Journal
einer bergmänn. Reise durch Ungarn und Siebenbürgen. Freiberg, 1816. II. p.
148 — 149. — G. A. Zipser : Versuch eines topogr. mineralog. Handbuches von Ungarn.
Oedenburg, 1817. p. 261. — J. Jonas : Ungerns Mineralreich. Pest, 1820. p. 199.
2 Rivot et Duchanoy : Voyage en Hongrie exécuté en 1851. — Annales des
Mines. 1853. V. Ser. III. p. Ill — 112. 1. — A bányageologiai viszonyok mellett rövi¬
den az érczek előfordulására is kiterjeszkednek Gesell S. jelentései. — A magy. kir.
Földtani Intézet évi Jelentése 1889-ről 134—153. 1. és 1890-ről 137—161. 1.
3 B. V. Cotta und E. v. Fellenberg : Die Erzlagerstätten Ungarns und
Siebenbürgens. Freiberg, 1862. p. 147. — Szellemy G. : Nagybánya és vidékének
fémbányászata. Nagybánya, 1894. 95. 1.
4 Földtani Közlöny. 1910. XL. p. 360.
252
ZIMÁNYI KÁROLY
gozatában a többi közt a nagybányai pyrargyritet is leírta. A Toborffy-
tól megvizsgált pyrargyrit drúzás kvarczon, kisebb-nagyobb galenit-
kristályok közt nőtt fel, ez utóbbiakra itt- ott még egészen apró pyrar¬
gyrit kristálykák telepedtek. A példányok közelebbi lelethelyét ugyan
nem említi, de valószínűleg szintén a Kereszthegy főteléréről valók, mert
Gesell 1 szerint : « ólom kivételképen csak a főteléren, » de ott is cse¬
kély mennyiségben fordul elő.
Megvizsgált példányaimon a kisérő ásványok ugyan mások voltak,
de a kristályok jellegző kifejlődése, hasonlóképen a legtöbb alak is
ugyanaz volt, mint a melyeket Toborffy felsorolt.
Szellemy szerint a nagybányai teléreken a pyrargyrit kvarcz és
tetraédrit kíséretében fordul elő, legszebb kristályai a Kereszthegy fő-
telérén találhatók. Az 1908-ik évben a Kereszthegy főtelérén, a III. szint
felett levő fejtőközben ismét nagyon szép kristályodott pyrargyritet
találtak. Az előfordulás terjedelmét illetőleg nem volt ugyan gazdag,
azonban a kristályok szépség és nagyság tekintetében nemcsak Magyar-
ország többi ezüstbányáiból eddig ismertek közt az első helyen álla¬
nak, de a Harz-hegység, Freiberg vagy Pribram pyrargyritj eivel is ve¬
tekedhetnek. A múlt század elején Hodrusbányán,1 2 a «József»- táró¬
ban fordultak elő néha nagy kristályok.
Az 1909-ik év nyarán alkalmam volt a kereszthegyi és veresvízi
bányaműveknél ezeket a kiváló szép pyrargyriteket látni. A magy. kir.
bányaigazgatóság Nagybányán ottlétemkor nekem ezekből néhány pél¬
dányt és szabad kristályt a Nemzeti Múzeum ásványgyűjteménye részére
szíveskedett átadni.
A magam részéről sem mulaszthatom el, hogy itt is meg ne
köszönjem Neubauer Ferencz magyar kir. miniszteri tanácsos és bánya¬
igazgató úrnak azt a lekötelező szívességét, hogy megengedte a bánya¬
műveken múzeumunk részére a gyűjtést és a pyrargyritből a chemiai
elemzésre elég anyagot bocsátott rendelkezésemre. Köszönettel tartozom
Bertalan Miklós és Muzsnay Ferencz m. kir. bányafőmérnök uraknak
is, szakszerű tájékoztatásaikért valamint azért, hogy sok tekintetben
gyűjtéseimet előmozdították.
A példányokon még látható teléranyag tömör kvarcz, behintett
pyrittel és vörösezüstérczczel ; a telér üregeiben és hasadékaiban a
pyrargiritet kisérő ásványok a következők : pyrit apró hexaéderei,
ritkábban rosszul kifejlett kristálykái 2—3 mm nagyságú gömbös cso¬
portokban ülnek a pyrargyrit lapjain; 1 — 2 mm nagy tetraédrit kris-
1 Földt. Intézet évi Jelentése 1889-ről, 149. 1.
2 J. Jónás: Ungerns Mineralreich. Pestìi, 1820. p. 376.
NAGYBÁNYAI PYRARGYRIT.
253
tálykák n{2 11} és o*{lll} fényes, de nem sima lapjaival ; fekete, több¬
nyire gyöngefényű sphcilevit apró kristályai; kvctvcz, cctlcit e {01 12}
rkomboéderei és dolomit , a melynek kristálykái itt- ott drúzásan födik
a pyrargyritet, végül némely példányon miavcjyvit . 1
Kérésemre Loczka József múzeumi igazgató-ór úr szives volt a pyrar¬
gyritet megelemezni; ebbeli munkájának eredményéről alább egy külön
dolgozatban2 számol be részletesen. A pyrargyrit fajsúlya 5-852, arzén tar¬
talma csekély. A kicsi (1—3 mm), sima és fényes lapú kristályok közt
nagyok (2—4 cm) is vannak, a melyeknek lapjai ugyancsak fényesek, de
nem ritkán rostozottak. vagy lépcső¬
sen felépültek és üregesek. A fennőtt
kristályok egyik vége jól kifejlett,
míg az ellenkezőn csak kivétele¬
sen láthatunk egynéhány lapot.
Olykor a nagy kristályok a 2 — 3
cm széles üregek falai közt úgy
nőttek fel, hogy azokat mintegy át¬
hidalják; ebben az esetben jól ki¬
fejlett terminállapjaik nincsenek, de
oldalaikhoz és üregeikbe többé-ke-
vésbbé párhuzamos állásban apró
kristálykák nőttek. Kiemelem még
azt, hogy hazánknak eddig leírt
pyrargyritjai közt a Kereszthegyről
származókon van a legtöbb kristályalak és nemcsak az apró, nehány
milliméteres kristályok átlászók, de a nagyobbak (1—2 cm) közt is
találunk ilyeneket.
A legegyszerűbb kristályok kombinácziója : a{ll20}, e{0lT2} és
r{l0ll}, a melyekhez rendesen még p{ll23} nehány keskeny fényes
lapja is járul (1. ábra); gyakoribbak azonban a többalakú kombinácziók,
ezekből négy kristályt mértem, az első 2 — 3 cm nagyságú, a többi
három jóval kisebb (17a — 3 mm) volt. A biztosan megállapított alako¬
kat és a kristályok kombináczióját a következő táblázatban állítottam
össze; a csillaggal jelölt két alak új a pyrargyritre.
1 Eöldt. Közlöny 1910. XL. p. 624.
2 Loczka József : A nagybányai pyrargyrit chemiai elemzése. I. (Ann. Mus.
Hung. 1911. XL p. 318—323.)
254
ZIMÁNYI KÁROLY.
1.
a
{1120} = {10Ï}
¥
m
{1010} = {2ÏÏ}
r
{10Î1} =■ {100}
¥■
e
{01Ï2} _= {110}
¥
V
{1123} = {201}
n
{4153} = {401}
¥
*R
{5273} = {502}
¥
V
{2131} = {20Ï}
y
{3251} = {302}
¥
w
{3145} = {410}
<p
{4156} = {510}
.
s
{5167} = {610}
V
{1235} = {320}
.
a
{2573} = {423}
¥
*0
{2.5.7.12} = {750}
.
d
{1232} = {211}
.
q
{1671} = {324}
¥
Toborffy kristályain *R {5273), w (3145}, y {1235}, *0 {2.5.7.12}
és d {1232} alakok hiányzottak, ellenben a felsoroltakon kívül még
{9.2.ÏÏ.0}, ^{3142} és G' {7189}
fejlettek ki : így eddig a nagybá¬
nyai pyrargyriten összesen 20 alak
ismeretes.
*R {5273} új alaknak a nagy
kristály két ' [a : e = III] övében
egy keskeny és két széles finoman
rostozott lapja volt meg; ez utób¬
biakról két-két erősebb, a keskeny-
ről csak egy elég éles tükörképet
kaptam. Tekintve, hogy a szóban-
forgó övékben a rostozás oscilláló
ismétlődésektől és viczinális lapoktól
ered, a mért haj lások az alak meg¬
állapítására elfogadhatók (2. ábra).
Mérés : Számítás :
R: a = (7253) : (2ÏÏ0) = 29° 41' és 30° 50' 30° 50'
: = (7523) : (2110) = — 30 30
: = (5723) : (Ï210) = 29 30 és 30 28
*0 {2.5.7.12} szintén az [r : e — 124] soklapú övhöz tartozik és
tautozonális a {2573} alakkal; csak az, egyik kristályon találtam e(0IÏ2)
NAGYBÁNYAI PYKARGYRIT.
255
laptól jobbra, balra egy-egy keskeny, sima és egy szélesebb finoman
rostozott lapját, de mind a kettő élesen tükrözött (3. ábra).
Mérés : Számítás :
e:0={ 01Ï2) : (2.5.7.12) = 6° 37' 6° 49V
= : (2.7.5.12) = 6 59
A kristályok a {1120} uralkodása folytán rövidoszloposak, a tetőző
alakok közül első sorban e{0112} és még egy vagy két ditrigonalis
pyramis uralkodik az [r:e = Hl] övékből. Olykor a {1120} oszlop két
párhuzamos lapjának nagyobb fejlettsége következtében kissé össze¬
lapítottak ; gyakran különösen a nagyobb kristályokon az uralkodó
tetőzőlapok üregesek és ezek falaira calcitrhomboéderek nőttek.
Az a {1120} oszlop lapjai majdnem mindig két, egymásra közel merő¬
leges irányban rostosak, a kevésbbé meredek rostozás [a : r— 1 120 : 10Î1],
míg a meredekebb [a : q = 1120 : 1671] élekkel párhuzamos; a rostozást
q {1671} és vicinális lapjainak ismétlődése idézi elő az oszlopnak lap¬
jaival (4. ábra).
Az m{l0l0} keskeny lapjai tökéletesen simák, míg a szélesebbek
két irányban szimmetriásan rostosak [m : v] élek szerint ; durvább ros¬
tozás esetén m és q lapjainak ismétlődése a goniometeren jól látható és
méréssel is megállapítható (4. ábra).
A második kristályon m{l0l0} négy lapja a trigonális szimmetriá-
256
ZIMÁNYI KÁROLY
nak megfelelően fejlett ki, t. i. a három váltakozó oszlopéleken széles,
a negyedik lap pedig keskeny volt (5. ábra). A harmadik és negyedik
kristályon csak egy-egy éltompító lap fejlett ki.
r{lOll} lapjai keskenyek, vagy középnagyok, mindig simák és
kitünően tükrözők, ellentétben az [a : r : e = 121] öv többé-kevésbbé
rostos, sőt barázdált lapjaival. Ennek az övnek alakjai közül még leg¬
simábbak ^{1123} lapjai, a mi különösen szembetűnő az egyszerűbb
(1. ábra) kristályokon az erősen rovátkolt ${0112} mellett.
V {2131} lapjai gyakrabban rostosak [v : r] élekkel párhuzamosan,
a mit a {1120} és v-{213l}
TTL
csíkjainak ismétlődése okoz,
hasonló felületüek n{4153}
lapjai is; ellenben «{2573}
kisebb vagy nagyobb lapjai
simák és az első nagy kris¬
tályon e{0ll2} lapjaival lép¬
csősen ismétlődnek.
d alaknak a har¬
madik kristály egy dodekansá-
ban két kicsi, fényes lapocs¬
kája volt meg, helyzetét kü¬
lönben a méréseken kívül még
[1120:0112 == 221] és [lOll :
1210 = 212] megállapított övék
is meghatározták (3. ábra).
CL
7 7L
Eltekintve (/{1671} lap-
5. ábra.
jaitól okozott rostozástól, a
második és harmadik kris¬
tályon két-két nagyobb lappal lépett fel a kristály felnőtt végén
az alsó dodekansokban ; ellenben a másik végen a hemimorph ki¬
fejlődésnek megfelelőleg hiányzottak lapjai, mint ezt a 4. ábrán fel¬
tűntettem. Egy spanyolországi pyrargyriten Mauritz 1 ugyanezt figyelte
meg. A többi alak mind hiányos számú kis vagy keskeny lapokkal fej¬
lett ki, ez utóbbiaknak gyönge tükrözése okozta azt, hogy némely mé¬
rés eltérése nagyobb volt az elméleti értékektől.
A következő táblázatban a mért és Miers 1 2 alapértékéből számított
hajlásúkat állítottam össze, n a mért élek számára vonatkozik.
1 A magyar orvosok és természetvizsgálók XXXIII. vándorgyűlésének mun¬
kálatai. Budapest, 1906. p. 209 — 210.
2 Mineralogical Magazine etc. 1888. Vili. p. 43.
NAGYBÁNYAI PYRARGYRIT.
Mérés :
n
Számítás :
a:r =(1120)
( 10Ï1 ) = 54°
18'
17
54°
19'
0"
: y =
( 3251 ) = 15
26
4
15
33
43
: V =
( 2131 ) =24
57
9
24
53
47
a: R =
( 5273 ) = 30
39
3
30
49
41
: n =
(4153 ) =39
50
6
39
52
45
r :w = (10Ï1)
( 3145 ) = 12
11
1
12
22
15
•<P g§
( 4156 ) = 10
3
6
10
6
1
:§ =
( 5167 ) = 8
37
1
8
31
40
: e =
( 01Ï2 ) = 35
39
17
35
41
0
e:p =(0112)
( 1123 ) = 13
22
14
13
27
43
: V =
( 1235 ) = 8
10
' 2
8
10
24
: 0 =
(2.5.7.12)= 6
48
2
6
49
31
: a =
( 2573 ) = 39
2
4
39
2
10
: V =
( 2131 J = 50
21
1
50
20
42
: e' =
( Ï012 ) = 42
9
2
42
5
8
: cl =
( 1232 ) = 27
54
2
28
3
2
ICO
II
( 23Ï1 ) = 74
19
3
74
24
54
a : a' = (2573)
( 2735 ) = 28
19
3
28
24
16
: n =
( 4153 ) = 29
5
5
29
0
37
n : rí = (4153)
( 5Ï43 ) = 17
32
3
17
35
24
d:a =(1232)
( 2ÏÏ0 ) = 75
32
1
75
24
44
v: a =(2131)
( 12Ï0 ) = 72
20
2
72
24
5
q : a =(1671)
( 1120 ) = 24
15
8
24
15
14
:q =
! 1761 ) = 14
57
4
14
58
6
: m —
( 0110 ) = 12
6
4
12
9
15
o'
|t— H
o
II
( 2131 ) = 29
13
4
29
12
47
A mint a következő táblázatból láthatjuk, a magyarországi, kris-
tálytanilag . megvizsgált pyrargyriteken eddig 33 alak ismeretes ; ezek¬
nek túlnyomó része (19) a soklapú \a.r .e =±= 1 ï f] övhöz tartozik.
A betűjelzésben Danaú;1 követtem, az új alakokat pedig *-gal jelöltem.
1 T. D. Dana: The System of Mineralogy. 6-th edition. New- York 1892.
p. 132.
Annales Musei N ationalis Hungaricì. IX.
17
258
ZIMÁNYI KÁROLY
N
agy-
■Rnip-7 a 1
Hodrus-
Selmecz-
Felso-
Vihnye-
Körmöcz-
bánya1
JDUlLAa
bánya1
bánya2
kaj anel3
peszerény1
bánya4
a {1120} = {JOÏ}
¥
¥
¥
¥
*
¥
¥
m {lOlO} = {2ÎÏ}
¥
¥
¥
¥
¥
¥
ß {2130} = {514}
¥
.
.
★ {9.2.ÏÏ.0 = {12.9.21}
¥
¥
.
.
.
u {10Î4} = {211}
¥
.
r {10Tl} = {100}
¥
¥
¥
¥
¥
p {01 Î8} = {332}
.
.
.
¥
e {01Ï2} = {110}
¥
¥
¥
¥
¥
¥
¥
h {0332} ■= {554}
.
¥
8 {0221} = {111}
¥
p {1123} = {201}
¥
¥
¥
¥
¥
c {4371} = {403}
*
y {3251} = {302}
¥
¥
J {1 7.1 1 .28.6} = {1 7.0.Ï1}
.
.
?
V {2131} = {201}
*
¥
¥
¥
‘ R {5273} — {5.0.2}
¥
ip {3142} = {30Ï}
¥
.
•k
n {4153} = {401}
¥
G' {7189} = {810}
¥
§ {5167} = {610}
¥
'
4.
cp {4156} = {510}
¥
,
w {3145} = {410}
¥
.
t {2134} = {310}
.
¥
¥
¥
¥
¥
t' {5.3.8.11 — {830}
.
¥
¥
V {4.3.7.10 = {730}
.
¥
V {1235} = {320}
¥
.
.
{2.5.7.12} = {750}
¥
.
.
G {11.4.15.10} = {12.1.3}
¥
Y {7.4.1Ï.6} = {813}
.
¥
d {1232} = {211}
¥
« {2573} = {423}
¥
.
¥
q {1671} == {324}
¥
¥
.
¥
P {1562} = {323}
★
Alakok száma „„ „„ „„
20
13
12
9
8
7
3
Végül megköszönöm dr. Krenner József egyet, tanár úr ama szí¬
vességét, hogy méréseimet a budapesti tudom, egyetem ásványtani inté¬
zetében végezhettem.
*
1 Földt. Közlöny, 1910. XL. p. 360—372.
2 Levy : Description d’une collection des Minéraux etc. Londres, 1837. IL
p. 349. tab. XL Vili. Fig. 7. és Földt. Közlöny XL. p. 365—367.
3 Orvos és természettud. Értesítő, 1886. 9. évf. Vili. p. 16. és 1889. 14.
évf. XL p. 164. — Neues Jahrb. für Mineralogie etc. 1890. I. 286. 1.
4 Földt. Közlöny, 1902. XXXII. p. 44.
PYRARGYRIT YON NAGYBÁNYA.
259
Schon am Ende des XVIII. und am Anfänge des XIX. Jahrhun*
dertes, wo der Bergbau am Kereszthegy von Nagybánya ziemlich un¬
bedeutend war, wird in den verschiedenen Werken das Bothgültigerz
angeführt, später wird auch dessen Vorkommen eingehender behandelt.1
Der Pyrargyrit von Nagybánya kommt meist derb und eingesprengt,
seltener krystallisiert vor.2
Vor kurzem unterzog Toborffy 3 die Pyrargyrite mehrerer ungari¬
scher Fundorte einer krystallographischen Untersuchung. Die von ihm
untersuchten Pyrargyrite von Nagybánya sassen auf drüsigem Quarz,
zwischen Galenitkrystallen, auf welchen stellenweise winzige Pyrargyrit-
kryställchen sich lagerten. Toborffy gibt zwar den näheren Fundort der
Stufen, welche ihm zur Verfügung standen, nicht an, jedoch stammen
dieselben aller Wahrscheinlichkeit nach von dem Hauptgange des Kereszt¬
hegy, da nach A. Gesell3 4 Blei nur auf dem Hauptgange vorkommt.
Die Begleitmineralien meines Untersuchungsmaterials waren an¬
dere, jedoch die charakteristische Ausbildung und der grösste Theil der
Formen waren die gleichen, wie es Toborffy beschrieb ; im folgenden
fas^e ich die Ergebnisse meiner Beobachtungen zusammen.
Auf den Gängen von Nagybánya kommt der Pyrargyrit mit Quarz
und Tetraëdrit vor ; die schönsten Krystalle finden sich auf dem Haupt¬
gange des Kereszthegy.5 Im Jahre 1908 wurde wieder sehr schöner,
krystallisirter Pyrargyrit gefunden; das Vorkommen war nach seiner
Ausdehnung nicht reich, aber die Krystalle sehr schön und gross, ähn¬
lich denjenigen vom Harz, Freiberg oder Pribram. Zu Anfang des ver¬
gangenen Jahrhunderts sollen in Hodrusbánya auf dem «Josephi»-
Stollen 6 manchmal Krystalle von bedeutender Grösse vorgekommen
sein. Gelegentlich meiner Sammelreise im Sommer des Jahres 1909 in
Nagybánya übergab mir die kön. ungar. Montandirektion daselbst von
diesen neuen Pyrargyritvorkommen einige Exemplare und lose Krystalle
für die mineralogische Sammlung des Ungarischen National-Museums.
Den Pyrargyrit fand man am Hauptgang im Abbaumittel ober den
III. Horizont. Die Gangart ist ein mit Pyrit und Bothgültigerz einge-
1 Die diesbezüglichen Literatur-Angaben befinden sich auf pag. 251.
2 B. V. Cotta und E. v. Fallenberg : Die Erzlagerstätten Ungarns und Sieben¬
bürgens. Freiberg, 1862, p. 147.
3 Földtani Közlöny 1910. XL. p. 435.
4 Jahresbericht der kön. ungar. Geolog. Anstalt für 1889. pag. 159 — 185.
5 G. Szellemy: Die Erzlagerstätten von Nagybánya und seiner Umgebung
Nagybánya, 1894. p. 95 (ungarisch) und G. Szellemy: Die Erzlagerstätten von
Nagybánya in Ungarn. Zeitschrift f. prakt. Geologie 1894. II. p. 267.
6 J. Jónás: Ungerns Mineralreich. Pesth, 1820. p. 376.
17*
260
KARL ZIMÁNYI
sprengter, dichter Quarz ; in der Gangkluft waren die Begleitmineralien
folgende : winzige Pyrithexaëder, zuweilen kugelige Gruppen bildend
auf den Pyrargyritkry stallen selbst ; 1 — 2 mm. erreichende Tetraëdrit-
kry Ställchen mit zwar glänzenden aber unebenen Flächen von w{2 11}
und o{lll}; schwarze, kleine Sphaleritkry stalle, Quarz, Calcit in der
Form des stumpfen Bhomboëders e{0112}, Dolomit, dessen kleine
Krystalle zuweilen drüsig den Pyrargyrit bedecken ; schliesslich an man¬
chen Exemplaren Miargyrit.1
Herr J. Loczka hatte die Güte diesen Pyrargyrit auf mein Er¬
suchen einer chemischen Analyse zu unterziehen; neben den gewöhn¬
lichen Bestandteilen konnte er noch ein wenig As nachweisen ; das
spec. Gew. bestimmte er zu 5'852.2
Die kleinen (1 — 3 mm.) Krystalle haben glatte, sehr glänzende
Flächen, die grossen (2 — 4 cm.) hingegen oft starkgeriefte, infolge der
oscillatorischen oder treppenförmigen Wiederholungen ; die dominieren¬
den Terminalflächen tragen nicht selten Vertiefungen, welche meistens
von Vicinalflächen begrenzt sind. Auf den Wänden dieser Vertiefungen
sieht man zuweilen kleine Calcitrhomboeder. Das freie Ende der auf¬
gewachsenen Krystalle ist gut ausgebildet, hingegen trifft man an dem
entgegengesetzten nur selten einige Flächen.
Zuweilen finden sich grössere (2 — 3 cm.) Krystalle ohne End¬
flächen, sie sind an die Wände der kleineren Klüfte derart angewachsen,
dass sie diese sozusagen überbrücken. An diese grösseren Krystalle sind
häufig kleinere ganz regellos, oder in mehr-weniger paralleler Stellung
angewachsen. Der Pyrargyrit von Nagybánya ist nicht nur der formen¬
reichste unter den übrigen ungarischen Vorkommen, aber auch deshalb
bemerkenswert!!, da neben den kleinen Krystallen sich auch grössere
(1 — 2 cm.) finden mit nahezu vollkommener Durchsichtigkeit. Die ein¬
fachste Kombination ist: a {1120}, e {01l2} und r{lOll}, zu welchen
Formen gewöhnlich noch p{ 1123} mit einigen glatten, glänzenden
Flächen hinzutritt (Fig. 1, auf p. 253 des ungarischen Textes), häufiger
sind jedoch die flächenreichen Krystalle. Von den goniometrisch unter¬
suchten vier komplizierteren Krystallen war der erste 2 — 3 cm., die
übrigen nur 1 Va — 3 mm. gross ; am wenigsten vollkommen war der vierte
Krystall entwickelt. Die festgestellten Formen, von welchen die mit einem
* bezeichneten neu sind, zähle ich in der auf pag. 254 des ungarischen
Textes befindlichen Tabelle auf.
1 Földt. Közlöny 1910. XL. p. 674.
2 Josef Loczka: Chemische Analyse des Pyrargyrites von Nagybánya. I.
(Ann. Mus. Hung. 1911. IX. p. 318—323.)
PYRARGYRIT VON NAGYBÁNYA.
261
Toborffy gibt ausserdem auch noch *{9.2.11.0}, V>{3142} und
6r'{7189} an, hingegen waren an seinen Krystallen nicht . ausgebildet
*jR{5273}, w{ 3145}, v{l235}, *0(2.5.7.12} und d{ 1232}; so sind bisher
am Pyrargyrit von Nagybánya 20 Formen bekannt.
*jR {5273} war am grossen Krystall in den [a:e= 1 TT] Zonen
mit zwei breiten und zwei schmäleren sehr fein gerieften Flächen aus¬
gebildet, von den letzteren erhielt ich einheitliche, von den breiteren
zwei naheliegende, genügend scharfe Reflexe und folgende Winkelwerthe
(Fig. 2 auf pag. 254 des ungarischen Textes).
Beobachtet: Berechnet:
R : a = (7253) : (2ÏÏ0) = 29°41' und 30°50' 30°50'
: = (7523) : (2110) = — 30 30 30 50
: = (5723) : (12Ï0) = 29 30 und 30 28 30 50
*0 {2.5.7.12} gehört ebenfalls zur vielflächigen Zone [r: e= TU]
und ist tautozonal mit a {2573} ; nur an dem einen Krystall fand ich
an beiden Seiten von e(0112) eine schmale gut spiegelnde Fläche. Die
gemessenen Winkel sind (Fig. 3 auf pag. 255 des ungarischen Textes).
Beobachtet: Berechnet:
e : 0 = (01Ï2) : (2.5*7.12) = 6°37' 6°49Va'
= : (2.7.5.12) = 6 59 6 491/*
Alle Krystalle sind kurzprismatisch und es herrscht die Form
a {1120}; unter den terminalen Formen dominiert e{01l2} und noch
eine oder zwei ditetragonale Pyramiden aus der Zone [r:e==121]. Zu¬
weilen erscheinen die Krystalle nach zwei vorwaltenden Flächen des
Prismas zusammengedrückt. Die Flächen des Prismas sind gewöhnlich
nach zwei Richtungen gestreift und zwar nach • den Kanten [a : r =
1120:1011] und [a:q= 1120:1671] (Fig. 4 auf pag. 255 des ungari¬
schen Textes).
Die schmalen Flächen des Prismas m(lOlO} sind vollkommen
glatt, die breiten hingegen nach zwei Richtungen symmetrisch gestreift
parallel zu den Kanten [lOTO : TlO 1] und [lOlO: Olili (Fig. 4.). An dem
zweiten Krystall waren vier Flächen des Prismas der Symmetrie der
ditrigonal-pyramidalen Klasse entsprechend entwickelt, nämlich die zwei
abwechselnden gross und breit, die zwei anderen ganz schmal (Fig. 5
auf pag. 256 im ungarischen Texte). An dem zweiten und dritten
Krystall war nur je eine schmale, streifenförmige Fläche zur Entwicke¬
lung gekommen.
Die Flächen von r{lOTl} waren schmal oder von mittlerer Grösse,
aber immer glatt und von tadelloser Spiegelung, im Gegensätze zu den
gestreiften übrigen Flächen der Zone {Ï21}, aus welcher p{ll23} noch
262
KARL ZIMÁNYI.
die glattesten Flächen besitzt. Die kleineren, oder grösseren Flächen
von a (2573} sind glatt und spiegeln gut, an dem grossen Krystall
alternieren sie treppenförmig mit den dominierenden Flächen des
Bhomboëders d{01ï2}. Die Form d{ 1232} war an dem dritten Krystall
durch zwei kleine, glänzende Flächen vertreten, welche auch durch die
Zonen [221] und [2Ï2] sichergestellt wurden.
Abgesehen von der an den Flächen des Prismas II. Ordnung her¬
vorgerufenen Streifung ist q {1671} an dem zweiten und dritten Krystall
mit je zwei grösseren Flächen nur in den unteren Dodekanten vertreten
(Fig. 4), entsprechend der hemimorphen Ausbildung, ähnlich wie dies
Mauritz1 an dem Pyrargyrit von Hiendelæncina beobachtete.
Die übrigen Formen sind alle mit kleinen, unvollzähligen Flächen
vertreten.
Zur Bestimmung der Formen dienten die Winkelwerthe, welche
ich auf pag. 257 des ungarischen Textes mit den berechneten 2 zusammen¬
stellte ; n bezieht sich auf die Zahl der gemessenen Kanten.
In der Tabelle auf pag. 258 sind sämtliche Formen der bis jetzt
krystallographisch untersuchten ungarischen Pyrargyrite zusammen¬
gestellt; es sind zusammen 33 Einzelformen bekannt, von welchen 19
der flächenreichen Zone [ a.r.e = 1ÏT] angehören. Die Buchstaben¬
bezeichnung ist nach Dana3 gegeben.
1 Zeitschrift f. Krystallographie etc. 1908. XLIY. p. 346.
2 Ans den Elementen Miers’. Mineralog. Magazine 1888. VIII. p. 43.
3 J. D. Dana : The System of Mineralogy. 6-th. edition. New-York, 1892. p. 132.
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICI.
1911.
DESCRIPTIONS OF SOME NEW BRENTHIDAE.
By Dr. S. Bolkay.
(With 4 textfigures.)
Mr. L. Bibó collected in German New-Guinea a large series of
•species, belonging to the family Brenthidæ. I found in this collection
a new genus, nearest allied to the south-american genus Taphrocleres.
The new genus includes three new species, the third of which however
originates from Formosa.
The genera, characterized by a much shorter femur, than the
abdomen, may be easily distinguished as follows :
I. Head very long, cylindrical. Rostrum very short. Prothorax entirely
smooth. „„ „„ _ „„ „„ _ _ „„ „„ Anisognathus Lacord.
II. Head broader than long. Rostrum longer than head. Prothorax finely
canaliculate. _ „„ „„ „„ „„ _ Taphroderes Schoenh.
HI. Head somewhat longer than broad. Prothorax strongly canaliculate.
Pseudotaphroderes nov. gen.
Pseudotaphroderes nov. gen.
Male. — Head somewhat broader than long, broadest at the
posterior margin of the eyes, truncate posteriorly, with a small trian¬
gular incision. Rostrum as long, as the head, basal portion conical,
anterior portion as long as the basal one, not dilated anteriorly, a
little bent downwards, truncate at the end; between the antennæ a
short, longitudinal furrow is to be seen. Mandibles very small, not
at all visible from above. Antennæ rather short, inserted half-way of
the rostrum; basal joint large, 2—8 moniliform, 9 — 10 oval and enlarged,
the last pointed at the end. Eyes moderate, roundish, not very pro¬
minent, facettæ coarse.
Prothorax (fig. 1) pear-shaped, strongly canaliculate above, its
anterior portion compressed, with a cavity for the anterior femora, as
broad as the head behind the eyes ; posterior angles rounded.
Di L. BOLKAY
261
Elytra about twice as long as the prothorax,
lateral margin parallel, their width equal to that
of the prothorax. Interstices of the elytræ are pro¬
minent, and sharply projecting behind; the elytra
end in scissor-like appendages.
Metasternum with a longitudinal furrow, which
also overspreads on the abdominal plates; anterior
coxæ very large and close.
Legs short, compressed, femora strong, some¬
what surpassing the first and second united abdomi¬
nal plates.
Tibiæ short. First joint of the tarsi longer than
second or third. First joint of the fore-legs denticulate
Pseudotaphr öderes , n , , .... . ,
, ~ . beneath, boles sparsely ciliated.
forficatus n. sp. ^ J
Head and prothorax. Female. — Differs from the male chiefly by
the less developed scissor-like appendage at the end
of the elytra and by the average lighter coloration. First joint of
the tarsi smooth.
Pseudotaphroderes forficatus n. sp.
(Fig. 1-2.)
Male. — Head, prothorax and body beneath shining reddish-black,
elytra reddish-brown, extremities pale reddish-brown. Elytra with 4 stron-
Fig. 1.
Fig. 2. Pseudotaphroderes forficatus n. sp. Ends of the elytra: a = male, side
view, b = male, upper view, c == female.
ger, and 6 less developed interstices, the former ending in dentiform
prominences.
Length : 9*5 mm.
Female. — Smaller ; burnt ocker-yellow, in general lighter than
the male. Structure of the end of the elytra is as seen on fig. 2 c.
Length : 5*5 mm.
SOME NEW BRENTHIDÆ.
265
German New-Guinea : Erima, Astrolabe Bay ; Sattelberg, Huon-
Gulf; Frieclrich-Wilhelmshafen (Biró, 1896—99).
Pseudotaphroderes papuanus n. sp.
(Pig. 3.)
Male. — Closely allied to the preceding, but smaller; differing
from it by the structure of the appendages of the elytra.
Length : 7 mm.
a b
Fig. 3. Pseudotaphroderes papu¬
anus n. sp. Ends of the elytra :
a -= male, b = female.
a b
Fig. 4. Pseudotaphroderes formosanus
n. sp. Ends of the elytra : a=female,
upper view, ò = side view.
Female. — Smaller than the male, color like that of the female
of the preceding species. Appendages of the elytra as in fig. 3 b.
Length : 5*5 mm.
German New-Guinea : Erima, Astrolabe Bay, and Sattelberg, Huon-
Gulf (Biro, 1897—99).
Pseudotaphroderes formosanus n. sp.
(Fig. 4.)
Female. — Shining brownish-red; head broader, eyes more pro¬
minent, prothorax shorter than that of the former species ; the ends of
the interstices without dentiform prominences, interspaces punctured ;
the appendage at the end of the elytra broad and short, its apex bent
a little inwards.
Length: 6*5 mm. Only the female is known.
Formosa: Kosempo (Sauter, 1908).
All the types belong to the Hungarian National Museum.
IX.
ANNALES MUSEI NATION ALIS HUN GABIÜL
1911.
ÜBER DIE SEPEDON-ARTEN DER AETHIOPISCHEN UND
INDO-MALAYISCHEN REGION.
Von Friedrich Hendel.
Eine schöne Kollektion von Sepedon- Arten des Ungarischen
National-Museums aus obgenannten Regionen, die mir mein verehrter
Herr Kollege Dr. K. Kertész freundlichst zur Bearbeitung überliess,
bildete die Veranlassung zu dieser kleinen Abhandlung.
Da in derselben die bisher verkannten Wiedemann ’sehen Arten
S. plumbellus, senex und aenescens, erstere identisch mit der bisher
als S. javanensis R. D. bezeichneten Art, nach den Typen in Wien klar-
gestellt, eine Art von Macquart und zwei von Loew, die bisher unbe¬
kannt geblieben waren, wieder gedeutet und noch zwei neue Arten be¬
schrieben wurden, so wird sie doch das Interesse der Fachkollegen
einige rmassen erregen.
Uber die Arten des indo-malayischen Gebietes schrieben Brunetti
im Ree. Ind. Mus., Vol. 1, p. 211 (1907) und de Meijere in der
Tijdschr. v. Entom. Vol. 51. p. 105 (1908).
Südostasiatische Arten.
Axillarlappen von normaler Grösse, schmäler als der vordere Theil des
Flügels zwischen Analis und Kosta. Kleine Querader ungefähr in der Flügel¬
mitte. Immer eine Erontorbitalborste. „„ „„ _ „„ _ _ _ ** 2.
- — Axillarlappen aussergewöhnlich gross und basalwärts abstehend, viel breiter
als der davorliegende Flügeltheil. Kleine Querader deutlich jenseits der
Elügelmitte. „„ _ „„ „„ „ „„ A — — A_ ~~ ~~ ~~ „„ 1.
1. Keine Orbitalborste. Grundfarbe des Thorax schwarz.
8. S. lobiferus n. sp.
— Eine Orbitalborste. Grundfarbe des Thorax rostbraun.
9. S. ferruginosus Wied.
2. Stirne in der Mitte mit einer einfachen und ziemlich tiefen Längsmulde,
die vom Scheitel nicht ganz bis zum Stirnvorderrande reicht. Untergesicht
und Vorderhüften gelb oder vorherrschend gelb. Pleuren ganz mit heller
Bestäubung bedeckt. X _ _ „„ ™ _ 3.
— Stirne und Scheitel nicht so stark ausgehöhlt. Erstere in der Mitte mit zwei
SEPEDON-ARTEN.
267
durch drei Furchen getrennten Längsleisten, die im vorderen Stirndrittel
durch eine Querleiste begrenzt werden. Untergesicht und Yorderhüften
dunkel erzfarhen oder schwarz. Pleuren oben glänzend, unbestäubt. 6.
3. Stirne gelb, jederseits neben dem Augenrande mit einer samtschwarzen
Makel. Flügel rauchbraun, mit gelbem Saume längs der Kosta.
4. S. costalis Walk.
— Stirne ohne schwarze Makel. _ „„ JJ L. & „„ _ „„ „„ §L 4.
4. Flügel mit Ausnahme der Wurzel ziemlich gleichmässig rauchbraun ; eine
dunklere Säumung der Queradern ist nicht wahrnehmbar.
2. S. chalybeifrons de Meij.
— Flügel nur an der Spitze braun. Die Bräunung endet an der Kosta, un¬
gefähr der hinteren Querader gegenüber und zieht sich höchstens in der
ersten Hinterrandzelle bis an die kleine Querader heran. Queradern meist
deutlich dunkler gesäumt. „„ _ „„ _ _ _ _ _ _ _ 5.
,5. Zweites Fühlerglied länger als das doppelte dritte ; Vorderschienen des cf
am Ende erweitert, dort behaart und mit einer krummen Borste versehen.
1. S. plumbellus Wiedem.
— Zweites Fühlerglied kürzer als das doppelte dritte ; Vorderschienen des cf
am Ende nicht erweitert, mit gerader, kurzer Apikalborste.
, 2. S. senex Wiedem.
'6. Grundfarbe des Thorax schwarz, ohne Erzschimmer ; Bücken und Schild¬
chen matt bestäubt. 7. S. Sauteri n. sp.
— Thorax deutlich erzfarben ; der Glanz des Bückens und Schildchens durch
Bestäubung nie vollkommen verdeckt, immer erkennbar. 8 _ ~~ 7.
7. Stirn vorderrand, Backen, Humeralcallus und Schildchenrand rothgelb.
5. & aenescens Wied.
— Der ganze Körper dunkel erzfarben. 6. <S. violaceus Hend.
Anmerkung: Seped. Crishna Walk. List Dipt. Brit. Mus. Vol. IV.
p. 1079 aus Nepaul ist mir unbekannt geblieben. Desgleichen die zweite von
Walker mit dem Namen & costalis belegte Art, S. batjanensis Kert. nom.
nov. Erstere Art will J Brunetti, Bec. Ind. Mus., V. 1, p. 216 (1907) wieder
aufgefunden haben. Bei dem einzigen Stücke ist aber der Thorax oben ein-
färbig hell rostfarbig.
1. Sepedon plumbellus Wied.
Sep. plumbellus Wiedem. Aussereur. zweifl. Ins., V. II. p. 577l 2 (1830) ;
Sep. javanensis Bob.-Desv., Ess. sur les Myod. p. 677. 2 (1830); Macquart,
Walker, Osten-Sacken, V. d. Wulf, de Meijere.
Sep. sanguinipes, Brunetti, Bec. Ind. Mus., V. 1, p. 215 (1907).
Die WiEDEMANN’sche Type in Wien, ein cf, bestätigt obige ’Syno¬
nymie, die ja auch aus der Beschreibung erkannt weiden kann. Die
^Bemerkung, die Macquart in der Diptères exot., Voi. Vs p. 177 über
die Bildung der Vorderfüsse des cf macht, sowie dessen Abbildung auf
268
FRIEDEICH HENDEL
Taf. 24, Fig. 2 veranlassten Brunetti, Bec. Ind. Mus., Yol. 1, p. 215
Stücke dieser Art für verschieden von javanensis B. D. (j avanci Macqu.)
zu halten und sie mit einem neuen Namen zu belegen.
Die cf von S. plumbellus haben das Ende der Yorderschienen,
sowie alle fünf Yordertarsen stark erweitert, die Ç nur die Yorderfüsse
in geringerem Masse. Beim cf ist dieses Schienenende dorsal zottig be¬
haart und trägt posterodorsal eine lange, starke und gekrümmte Prae-
apikalborste. Diese Borste krümmt sich über eine in den breiten Meta¬
tarsus eingeprägte diagonale Längsrinne. Die Ferse ist oben mit feinen
abstehenden Haaren bedeckt, unten bürstenartig behaart.
Nach einem einzigen 5 aus Java beschreibt Brunetti 1. c. p. 215
seinen S. fuscinervis : «It varies by the wings being pale grey ; without
any yellowish colour on the anterior part ; with the 3 longit. veins
widely suffused from the discal vein to the wing border. In all other
respect it agrees with sanguiniceps .»
Ich glaube, dass keine eigene Art vorliegt, da manchmal das Braun
der Flügelspitze sich zu Säumen der Längsaderspitzen reduziert.
Bisher bekannt aus Java, Borneo, Sumatra, Celebes, Philippinen,
Neu-Guinea, Yorder-Indien und Hong-Kong.
2. Sepedon senex Wiedemann.
Sep. senex Wied., Ausser, zweifl. Ins., Yol. 2. p. 578. 3 (1830).
Das Wiener typische Stück Wiedemann’s ist auch ein cf und unter¬
scheidet sich von S. plumbellus in zwei Beziehungen. Die Yorderschie¬
nen sind am Ende nicht verbreitet und tragen nur eine kurze, grade
Præapicalborste. Die Yordertarsen sind wohl erweitert, aber weniger als
bei plumbellus und der Metatarsus hat gewöhnliche Gestalt. Das zweite
Fühlerglied ist kürzer als bei plumbellus , höchstens zweimal so lang
wie das dritte, bei letzterer aber deutlich etwas länger als das doppelte
dritte. Auch die Grösse ist geringer.
Aus dem Ungar. Nat. Museum liegen mir nun 4 cf 5 einer Sepedon-
Art aus Formosa (Takao, leg. Sauter) vor, die vollständig mit S. senex
Wied, übereinstimmen.
Weitere Unterschiede zwischen obigen zwei Arten kann ich aber
nicht herausfinden.
SEPEDON-ARTEN.
269
3. Sepedon chalybeifrons de Meijere.
Sep. chalybeifrons de Meijere, Tijdsclir. v. Ent., V. 51. p. 106 (1908).
Die Beschreibung Meijere’s von seinen sumatranischen Stücken
passt ganz auf Exemplare des Wiener Hof-Museums aus Samanga,
Celebes, die minder gut konserviert sind.
Die Art ist der vorhergehenden ausserordentlich ähnlich und viel¬
leicht nur eine Varietät derselben.
4. Sepedon costalis Walk.
Sep. costalis Walker, Proc. L. Soc. Lond., V. III. p. 110. 117 ç? (1859);
Kertész, Term. Füz. 1899, p. 180. 16. — de Meijere Tijdschr. o. Entom. V. 51.
p. 107 (1908).
Bekannt von den Aru-Inseln und von Neu-Guinea. Ein Stück von
den Fidschi-Inseln, das sonst vollkommen mit den Beschreibungen
stimmt, hat ein ganz einfärbig gelbes Untergesicht, ohne dunkle Flecken.
5. Sepedon ænescens Wied.
Sep. aenescens Wied., Aussereur. zweifl. Ins., V. 2. p. 579. 5 (1830).
In Wiedemann’s Sammlung befinden sich drei Exemplare dieser
Art, die als Typen anzusehen sind, darunter das Stück mit «Trentepohl,
China» am Zettel. An den anderen liest man Canton.
Der ganze Körper dunkel erzfarben, glänzend. Kopf und Hinter¬
leib dunkler, metallisch blau, Rücken und Schildchen grün schimmernd.
Erstes Fühlerglied, Wurzel des zweiten und des dritten an der Ober¬
seite, Stirnvorderrand, die weissschimmernden Backen, Humeralcallus
und ein breiter Rand des Schildchens rothgelb. Vorderer Stirnaugenrand
und Wangen weissschimmernd. Wangendreieck samtschwarz. Fühler
sonst dunkelbraun. Arista gelblich, mit kurzer, anliegender weisser
Pubescenz. Drittes Fühlerglied oben konkav, vorne stumpf. Bei S. plum-
bellus Wied, ist es oben konvex und vorne spitz; die Arista an der
Wurzel dunkler und die weisse Pubescenz der Spitze länger. Taster
schwärzlich.
Die zarte weisse Bestäubung des Rückens fehlt seitlich und vor
dem Schildchen und lässt in der Mitte zwei parallele, schmale Längs¬
linien der Grundfarbe frei.
Die Pleuren sind nur vorne und unten so stark weiss bestäubt,
dass der metallische Glanz fehlt.
Vorderhüften dunkel, weiss bereift.
270
FRIEDRICH HENDEL
Beine rothgelb. Vorder- und Hinterschienen gegen die Spitze hin
gebräunt. Füsse dunkler, Vorderfüsse dunkelbraun. Hinterschenkel ohne
Ring oder dunkle Spitze.
Flügel graulich hyalin, an der Spitze bis ungefähr gegenüber der
hinteren Querader schwach braun, mit verwaschener Grenze nach
innen hin, längs der Costa mehr gelb. Beide Queradern deutlich braun
gesäumt. Erste Hinterrandzelle vollkommen parallelrandig. Adern gelb¬
braun. Schwinger rothgelb.
Körper ohne Fühler 6 mm., Flügel 5 mm. lang.
6. Sepedon violaceus Hendel.
Sep. violaceus Hendel, Wien. Ent. Zeitg., V. 28. p. 86. 3 (1909), ans Hongkong.
Zwei Stücke des Wiener Museums von Brunetti als Sep. aenescens
Wied, und plumbellus Wied, bezettelt, gehören hieher. Sie stammen
aus Calcutta. Ferner liegt mir ein Stück <j> des Ungar. Nat. Museums
aus Formosa (Sauter leg.) vor.
Hie Art steht der vorigen sehr nahe, unterscheidet sich jedoch
durchwegs durch folgende Merkmale : Stirne, Schultern und Schildchen,
sowie Backen dunkel erzfarbig, nicht hell rothgelb, nicht einmal mit
röthlichem Schimmer. Arista vor der weissen Spitze dunkelbraun. Vorder¬
schenkel mit brauner Spitze. Vorder- und Hinterschienen in grösserer
Ausdehnung dunkel. Vorderfüsse schwarz.
7. Sepedon Sauteri n. sp.
Mehrere j aus Formosa (Takao, leg. Sauter) im Ung. Nat. Mus.
Kopf, Thorax und Hinterleib glänzend schwarz. Höchstens der
Kopf und der Hinterleib zeigen schwachen tief blauen oder violetten
Schimmer, nie der Thorax. Hie erzgrüne Farbe seheich bei keinem
Stücke. Vorderer Stirnaugenrand und Wangen weissscnimmernd. Wangen¬
dreieck samtschwarz. Fühler wie bei S. aenescens W. gefärbt und ge¬
formt; nur die Arista ist in der Mitte dunkler. Wangen, Humeralcallus
und Hinterrand des Schildchens rostroth. Taster schwärzlich.
Rücken in der Mitte matt weissgrau bestäubt, mit den zwei
schmalen dunklen Längslinien wie bei S. aenescens W. Hie weissliche
Bestäubung fehlt vor dem Schilde und an den Seiten und wird durch
ein zartes röthliches Toment ersetzt ; nur zwei weissliche Streifen setzen
sich nach hinten bis zum Schildchen fort. Hieselben sieht man jedoch
auch bei der Wiedemann’ sehen Art.
Pleuren nur vorne und unten dicht weiss bereift.
SEPEDON-ARTEN.
271
Yorderhüften schwarz, weissschimmernd. Beine wie bei S. violacens
Hend. gefärbt ; die Hinterschenkel sind jedoch in der Spitzenhälfte
gebräunt. Diese Bräunung ist gegen die Mitte der Schenkel hin allmäh¬
lich verwaschen.
Der Hinterleib ist wie bei den zwei anderen Arten dieser Gruppe,
S. aenescens und violaceus, schwach weisslich bereift. Dieser Reif er¬
scheint nur bei sehr schräger Ansicht von hinten dichter.
Flügel wie bei S. aenescens W., nur gesättigter gefärbt.
Körperlänge ohne Fühler 6 — 7 mm. ; Flügel 5 — 6 mm. lang.
8. Sepedon lobiferus n. sp.
5 Stücke, cf ? aus Formosa (Takao; leg. Sauter) im Ung. Nat.
Museum.
Kopf glänzend rothgelb ; Augenrand der Stirne schmal weiss¬
schimmernd ; auf den erhabenen Seitenteilen der Stirne vor deren Mitte
je ein samtschwarzer, ovaler Fleck neben dem Augenrande, der sich
nach oben spitz auszieht, den Stirnvorderrand aber noch auf ein Viertel
der Stirnlänge freilässt. Orbitalborste fehlt. Wangen mit längeren Haaren
als gewöhnlich besetzt. Fühlerwurzel, die Basis des dritten Gliedes und
der Arista rothgelb, der Rest der Fühler dunkel roth'braun. Das zweite
Fühlerglied ist deutlich länger als das doppelte dritte. Das dritte Glied
ist oben sehr schwach konkav, vorne sogar konvex, unten mässig konvex
und vorne scharf zugespitzt. Die weissliche Spitzenhälfte der Arista
ist deutlich pubescent. Untergesicht weissgelb, ziemlich matt. Backen
glänzend. Taster weissgelb.
Thorax von rothbrauner Grundfarbe. Zentralregion des Rückens,
untere Pleuren und Schildchen dunkel, ins Schwarze ziehend. Pleuren
dicht weissschimmernd, oben weniger bereift. Die Seitenteile des Rückens
von der Schulterbeule bis zur Flügelwurzel rothbraun, ziemlich matt.
Rückenmitte matt weisslich grau bestäubt, mit zwei hinten abgekürzten
dunkleren, aber auch matten Längslinien in der Mitte. Schildchen be¬
stäubt; vor demselben meist ein Teil des Rückens rothbraun, seitlich
von zwei dunklen Linien begrenzt, die wenig über die Quernaht nach
vorne reichen und dort die zwei mittleren flankieren.
Hinterleib glänzend schwarzbraun, wenig bereift, mit schwach blau¬
violettem Schimmer. Hypopyg dick, kugelig, teilweise roth.
Hüften und Beine rothgelb, Spitze der Hinterschenkel und -Schienen
braun, Schienen und Füsse sonst kaum dunkler, nur das 2. und 3. Fus s
glied der Vorderbeine schwärzlich. Alle Füsse platt gedrückt, auch beim j ;
namentlich aber die vier Endglieder des männlichen Vorderfusses ganz
272
FRIEDRICH HENDEL
auffallend verbreitert. Endglied roth. Deutlicher als bei anderen Arten
ist liier auch an den vorderen Schenkeln eine Spur von Bedornung an
der Unterseite wahrnehmbar. Hinterschenkel fast der ganzen Länge
nach unten bedornt, in der Spitzenhälfte roth, oft grellroth angelaufen.
Flügel gelblichgrau hyalin ; an der Spitze gelbbraun. Diese Bräu¬
nung zieht in der ersten Hinterrandzelle bis an die kleine Querader,
dort fleckenartig und längs der Kosta basalwärts bis zum Bandmale.
Innere Grenze allmählich verwaschen. Adern braungelb. Kleine Quer¬
ader deutlich jenseits der Flügelmitte und der Mitte der Discoïdalzelle.
Erstere Hinterrandzelle an der Mündung etwas verengt. Axillarlappen
ganz ausserordentlich gross und basalwärts abstehend. Hintere Basal¬
zelle distal viel breiter als gewöhnlich.
Schwinger gelb.
Körper ohne Fühler 9 mm., Flügel 7 mm. lang,
9. Sepedon ferruginosus Wiedem.
Sep. ferruginosus Wied., Anal, entomol. p. 56. 137 (1824). — Aussereur.
zweifl. Ins., V. 2. p. 577. 1 (1830) ; Brunetti, Ree. Ind. Record, V. 1. p. 215 (1907)*
Die mir vorliegende Type Wiedemann’s ist ein cf und stammt aus
Indien. Ein anderes cf, von Brunetti determiniert, stimmt damit.
Stirne glänzend, rothgelb, vorne am Augenrande weissschimmernd,
im vorderen Stirndrittel neben dem Augenrande auf den erhöhten Seiten¬
teilen der Stirne jederseits ein kleiner ovaler samtschwarzer Fleck.
Eine Orbitalborste. Fühler rostgelb, das zweite Glied und die Unterseite
des dritten dunkler braun. Form der Fühler wie bei Sep. lobiferùs Hend.,
das dritte Glied ist aber relativ etwas länger.
Untergesicht matt rostroth. Vom unteren Augenrande bis zum
Mundrand herab ein brauner Strich. Backen glänzend und hinten wie
gewöhnlich silberschimmernd.
Thorax rostfarbig, Pleuren dicht weiss bestäubt. Zentralregion des
Kückens weisslich bereift, mit vier dunkler braunen Längslinien, die
zwei mittleren hinten, die zwei seitlichen vorne abgekürzt.
Hinterleib rostbraun, an den Hinterrändern der Tergite und in der
Mittellinie verdunkelt. Wie die Stirne, so zeigt auch der Hinterleib
einen violetten Metallschimmer.
Beine wie bei S. lobiferus Hend. Die Vorderfüsse sind jedoch ganz
schwarzbraun, auch die Spitze der Yorderschienen ist gebräunt. Die
Tarsen sind nur etwas verbreitert.
Flügel gelblichgrau hyalin. Flügelspitze schwach gebräunt, unge¬
fähr bis gegenüber der hinteren Querader. Beide Queradern dunkel ge-
SEPEDON-ARTEN.
273
säumt. Adern gelb. Gestalt und Äderung wie bei Sep. lobiferus, jedoch
ist hier der Flügel schmäler und der Schulterlappen, wenn auch sehr
gross, nicht so auffallend. Schwinger rostgelb.
Körper 7 mm., Flügel 6 mm. lang.
Afrikanische Arten.
Thorax von schwarzer oder dunkel erzfarbiger Grundfarbe. _ _ 1)
— Thorax von rostfarbiger Grundfarbe. % „„ ___ 3)
1. Körper erzfarben. Stirnvorderrand, Fühlerwurzel und Hinterleibsspitze
rostroth. 5. S. pleuriticus Loew.
— Stirne gelb oder wenn nicht ganz gelb, so mit samtschwarzen Flecken
neben dem Augenrande. „„ „„ _ „„ _ 2)
2. Stirne einfarbig gelb. 2. S. senegalensis Macqu.
— Stirne mit samtschwarzen Flecken. 1. S. ornatifrons Adams.
3. Thoraxrücken in der Mitte schwarz, matt grau bestäubt ; Stirne seitlich
nur mit einem schwarzen Strichelchen. 4. S. testaceus Lw.
— Thoraxrücken rostfarbig ; Stirne seitlich mit einem eiförmigen samtschwar¬
zen Fleck. 3. S. convergens Lw.
1. Sepedon ornatifrons Adams.
Sep. ornatifrons Adams, Kans. Univ. Sei. Bull. V. 3. p. 166 (1905) ; Bezzi,
Bull. Soc. Ent. Ital. V. 39. p. 125 (1908).
Sep. trichooscelis Speiser, Sjöstedt’s Kilim.-Meru Exped. 10. p. 168 (1910).
4 Stücke, cf $ aus Ost-Afrika (Katona, Arusha-Ju) im Ungar. Nat.
Museum. Die Exemplare zeigen einige geringe Abweichungen von Adams’
Beschreibung, sind aber auch untereinander nicht ganz gleich.
Bei einem cf und £ ist die Stirne vorherrschend gelb. Nur
Ozellen- und Scheitelplatten sind schwarz. Cerebrale roth bis braun.
Die glänzend schwarzen Flecke neben den Fühlerwurzeln fehlen ganz
oder diese Stellen sind nur braun. Untergesicht einfärbig gelb. Erstes
Fühlerglied, Wurzelhälfte des zweiten und Basis des dritten rostgelb.
Arista an der Wurzel gelb. Schienen vorherrschend rostbraun, nur an
der Spitze dunkler. Yorderfüsse schwärzlich. Taster gelb.
Beim anderen Paare ist der ganze Scheitel mit dem Cerebrale
glänzend schwarz. Die glänzend schwarzen Flecke neben der Fühlerbasis
sind vorhanden. Das Untergesicht zeigt aber nur eine feine dunkle
Medianlinie. Zentralregion des Rückens matt graulich bestäubt, mit zwei
dunklen Mittellinien. Pleuren dicht weiss bestäubt. Beine nur wenig
mehr verdunkelt als beim Ç . Hinterschenkel weniger, die anderen in
der Spitzenhälfte geröthet, erstere mit ringförmiger schwarzer Spitze.
18
Annales Musti Nation alis Hungarici IX.
274
FRIEDRICH HENDEL
Queradern schwach dunkel gesäumt. Spitzenbräunung des Flügels basal“
wärts bis gegenüber der hinteren Querader intensiver. Erste Hinterrand¬
zelle an der Mündung ziemlich stark verengt.
Ich glaube die ADAMs’sche Art vor mir zu haben. Das zweite Paar
gehört sicher dazu, das erste mit grosser Wahrscheinlichkeit. Auch
Bezzi’s Stücke hatten hellere Beine als Adams angibt, dem entweder
intensiver gefärbte Thiere Vorlagen oder der kein besonderes Gewicht
darauf legte, die etwas helleren Schienenwurzeln besonders zu betonen.
Auch in der Färbung der glänzenden Stellen seitlich an der Vorder¬
stirne zeigt sich ein Übergang vom Gelb zum Braunen und Schwarzen.
Desgleichen ist die Mittelstrieme des Untergesichtes deutlich vorhanden
oder nur sehr schmal oder fehlt ganz.
Wie dam auch sei, jedenfalls hielt ich es für voreilig, das erste
Paar als n. sp. zu beschreiben.
Unterdessen hat aber Speiser auf ein einziges Ç ohne Fühler aus.
der Steppe am Kilimandjaro seinen Sepedon trichooscelis beschrieben.
Auch an diesem 5 sind die schwarzen Flecke neben den Fühlerwurzeln
und die Mittelstrieme des Untergesichts nicht vorhanden oder wegen
der «dunkel schildpattbraunen» Färbung der Stirne und des Gesichtes,
nicht erkennbar. In der übrigen Beschreibung finde ich keinen wesent¬
lichen Unterschied von meinen Stücken und von den Angaben Adams,
so dass ich schon mit Bücksicht auf das bisher vorliegende, höchst
mangelhafte Material eine künftige Bestätigung des Artrechtes dieser
Species erst abwarten möchte.
2. Sepedon senegalensis Macqu.
Sep. senegalensis Macquart, Dipt. exot. Y. 2/3. p. 177, PI. 24. 1 (1843).
? Sep. scapularis Adams, Kans. Univ. Sei. Bull. Y. 2. p. 46 (1903).
Sep. argyrostethus Speiser, Sjöstedt’s Kilimaud.-Meru Exped. 10. p. 169 (1910)..
3 Stücke aus Ost- Afrika (Katona, Mto-ja-Kifaru) im Ungar. Nat.
Museum.
Die MACQUART’sche Beschreibung passt vollkommen auf zwei Weib¬
chen, die ADAMs’sche genau auf das dritte. Ich glaube aber, dass nur
eine Art vorliegt, da die drei Thiere sonst in allen Stücken vollkommen
übereinstimmen und nur Färbungsverschiedenheiten vorliegen.
Stirne glänzend gelbroth, Cerebrale und ein Querband auf dem Schei¬
tel von einem Auge zum andern glänzend schwarz. Die Plastik der Stirne
wei bei S. ornatifrons Ad., d. h. die vertiefte Stirnmitte zeigt zwei durch
drei Längsrinnen getrennte flache Leisten. Erstes Fühlerglied rothgelb.
Wurzel des zweiten und dritten nur dunkelroth. Der Best schwärzlich.
SEPEDON-AETEN.
275
Zweites Fühlerglied stärker als bei anderen Arten, gegen das Ende hin
wenig schmäler als das dritte. Dieses oben vor der Spitze konvex,
unten fast gerade, vorne ziemlich spitzig. Arista an der Wurzel dun¬
kel, sonst weisslich und relativ lang pubescent.
Untergesicht gelblich, in der Mitte weisslich bereift, seitlich unter
den Augen streifenförmig glänzend rothbraun. Taster rothgelb.
Thorax von glänzend schwarzer Grundfarbe; Pleuren dicht silber-
weiss bestäubt. Zentralregion des Eückens schwach graulich bestäubt,
vorne mit zwei dunklere11 Mittellinien.
Hinterleib dunkelrothbrauù, hinten glänzend pechschwarz, mit
gelbliclrweissen, deutlichen Hinterrandsäumen.
Vorderhüften und Beine gelb. Schenkel an der Spitze schwarz,
vor derselben roth. Schienen dunkelrothbraun, Spitzen derselben und
Füsse noch dunkler, fast schwarz.
Flügel ziemlich stark gelblichgrau getrübt, längs der Kosta mehr
gelb, an der Spitze intensiver rauchbraun. Beide Quer adern etwas
dunkler gesäumt. Erste Hinterrandzelle an der Mündung nur etwas
verengt. Schwinger gelb.
Das j , das ich für Sep. scapularis Adams halte, hat nur einen
schwarzen Ozellenfleck, hellere Fühler, einen rothen Humeralcallus und
gleichgefärbte Vorderbrust, sowie einen mit Ausnahme dés ersten,
schwarzen Segmentes rostfarbigen Hinterleib. Die hellen Bandsäume
sind auch hier zu sehen.
Auch Sepedon argyrostethus Speis, vom Kilimandjaro ist nur auf
ein einziges und defektes Stück, ein cf begründet. «Das Abdomen ist
pechbraun, auf der Mitte des 2. und 3. Segmentes heller, fast röthlich,
die Hinterränder der einzelnen, namentlich der hinteren Segmente sind
am Bücken gelblich gerandet.»
Die Beschreibung, in der weder Seped. senegalensis Macqu., noch
Seped. scapularis Adams zum Vergleich herangezogen wird, stimmt auf
unsere Stücke im Wesentlichen.
3. Sepedon convergens Loew.
Sep. convergens Loew, Öfvers. K. Vet.-Ak. Förh. 1862. p. 12. 3.
5 cf und 5 aus Ost-Afrika (Katona, Arusha-Ju) im Ungar. Nat.
Museum.
Durchaus von rostgelber bis rostbrauner Grundfarbe. Kopf glänzend
rothgelb, manchmal mit schwachem bläulichen Schimmer; vor der
Stirnmitte seitlich neben dem Augenrande ein ovaler samtschwarzer
Fleck. Stirnmitte vertieft, ohne die zwei Mittellängsleisten der vorigen
• 18*
276
FRIEDRICH HENDEL
Arten. Vorderer Stirnaugenrand und Wangen schmal weisslich schim¬
mernd. Erstes Fühlerglied rostgelb, zweites dunkel rostbraun, drittes mit
Ausnahme der röthlichen Basis schwarzbraun, in der Form wie bei
S. senegalensis Macqu. beschrieben. Untergesicht in der Mitte und
Backen dicht weiss bereift. Der Streifen dazwischen unter dem Auge bis
zum Mundrande glänzend rothbraun, oft auch bläulich schimmernd.
Pleuren bis hinauf dicht weiss bereift. Zentralregion des Rückens
etwas grau bestäubt. Zwei hinten abgekürzte Mittellängslinien und die
Rückenseiten längs der Naht rostroth, letztere glänzend. Längsstriemung
manchmal aber sehr undeutlich. Schild oben deutlich behaart.
Hinterleib rostgelb bis rostbraun, an den Seiten dunkler und dort
oft mit metallisch blauem Glanze.
Hüften und Beine gelb. Schenkel in der Spitzenhälfte mehr-weni¬
ger roth, ohne schwarze Spitzen. Nur die hintersten am Knie schmal
schwarz. Schienen nur etwas dunkler, mit bräunlichen Enden der vor¬
dersten und hintersten. Füsse, besonders die vordersten, dunkler braun.
Flügel graugelblich hyalin. Längs der Kosta gelb, an der Spitze
gelbbraun. Queradern deutlich gesäumt. Erste Hinterrandzelle an der
Mündung ziemlich stark verengt. Schwinger gelb.
Körper ohne Fühler 6 — 7 mm., Flügel 5*5 — 6 mm. lang.
4. Sepedon testaceus Loew.
Seped. testaceus Loew, Öfvers. K. Vet.-Ak. Förh. 1862. p. 12. 4.
Seped. notambe Speiser, Sjöstedt’s Kilim.-Meru Exped. 10. p. 170 (1910).
2 Stücke, cf 2 aus Ost- Afrika (Katona, Arusha -Ju) im Ungar. Nat.
Museum.
Die kurze LoEw’sche Diagnose passt zwar vollkommen auf diese
Stücke, doch bin ich wegen der Rückenfärbung, die Loew nicht erwähnt,
nicht absolut sicher, ob meine Interpretation der LoEw’schen Art richtig ist.
Stirne glänzend rothgelb, in der Längsmulde mit schwach ent¬
wickelten zwei Längsleisten, in der Stirnmitte seitlich neben dem Augen¬
rande mit je einem samtschwarzen Strichelchen, Augenrand daneben
und vorne weissschimmernd. Fühler wie bei S. convergens Lw. gefärbt
und geformt. Das zweite Glied ist jedoch deutlich kürzer, nur lVa-mal,
nicht zweimal so lang wTie das dritte. Untergesicht gelb, in der Mitte
nur wTenig bereift.
Thorax glänzend rostbraun, Pleuren dicht weiss bereift. Zentral¬
region des Rückens von schwarzbrauner Grundfarbe, matt grau bestäubt,
in der Mitte mit zwei hinten abgekürzten, dunklen, matten Linien.
Raum vor dem Schild rostbraun. Seitenteile des Rückens von der
SEPEDON-ARTEN. 277
Schulter bis zur Flügelwurzel glänzend rostfarben. Dieselbe Farbe hat
der Hinterleib.
Beine wie bei S. convergens Lw. gefärbt.
Flügel von der Basis gegen die Spitze bin allmählich und fast
gleicbmässig graubraun getrübt. Queradern kaum merklich dunkler ge¬
säumt. Erste Hinterrandzelle an der Mündung deutlich, aber nicht so
stark wie bei S. convergens Lw. verengt. Schwinger gelb.
Grösse wie bei der vorigen Art.
Sepedon notambe Speiser aus der Steppe am Kilimandjaro ist
wahrscheinlich die gleiche Art, die meine Stücke darstellen. Sie hat am
Stirnaugenrande auch nur einen «kommaförmigen schwarzen Strich»
und keinen ovalen schwarzen Fleck wie convergens Loew.
Die Thoraxzeichnung beschreibt Speiser wie folgt : «Der Thorax
ist obenauf röthlich braungelb, mit folgenden dunklen Zeichnungen :
«Die Dorsopleuralnaht ist durch einen braunen Strich namentlich in
ihren hinteren zwei Dritteln betont. Ferner verlaufen vom Vorderrande
bis fast zur Naht vor dem Scutellum vier braune strichförmige Striemen,
deren beide mittelste nur durch eine ebenso dünne Strieme der Grund¬
farbe getrennt bleiben. Der Baum zwischen der mittleren und den seit¬
lichen Striemen ist schiefergrauschwarz ausgefüllt». Die 3. und 4. Längs¬
ader «konvergieren bei der Mehrzahl der Exemplare ziemlich deutlich,
doch sind wieder andere Exemplare mit fast ganz parallelen Adern und
andererseits auch solche mit recht stark konvergierenden vorhanden.»
Speiser schreibt p. 171 selbst: «Hätten die hier vorliegenden
Exemplare nicht trotz aller Variabilität die durchwegs einheitlich aus¬
gesprochenen dunklen Striemen über den Thoraxrücken, so würde ich
sie für Sepedr testaceus Loew gehalten haben.»
Ich meine aber, dass man die kurze Diagnose Loew’s, die in kei¬
nem Punkte unseren Thieren widerspricht, trotz der nicht besonders
erwähnten Bückenstriemung ganz wohl auf unsere Art beziehen und
diese Seped. testaceus Loew nennen kann. Wem dies zu gewagt er¬
scheint, der wähle den SpEisER’schen Namen.
4
5. Sepedon pleuriticus Loew.
!
Seped. pleuriticus Loew, Öfvers. K. Yet.-Ak. Förh. 1862. p. 11. 2.
« cf . — Aenescens, frontis margine antico, antennarum nigrarum
articulo basali abdominisque apice ex ferrugineo rufis ; alæ ex cinereo
subfuscæ, anteriore apicis parte saturatius infuscata. — Long. corp.
â1/® lin. — r Long. al. 2 Va— 2 Vs, lin. — Cap. Bon. Sp.»
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICL
1911.
A VASKŐI DIOPSIDOK KRISTÁLYTANI ÉS OPTIKAI
TEKINTETBEN.
-
Toboeffy GúzÁ-tól.
(VI. Tábla.)
A
LES ÉLÉMENTS CEYSTALLOGRAPHIQUES ET OPTIQUES
DES DIOPSIDES DE VASKŐ.
Par G. Toboeffy.
(Planche VI.)
Újabban igen szépen kifejlődött diopsid kristályok érkeztek a
krassószörénymegyei Vaskőről (azelőtt Moravicza), a Magyar Nemzeti
Múzeumba, melyeknek vizsgálatával dr. Keennee József osztályigazgató
úr engem volt szives megbízni.
Végzett vizsgálataim eredményét a következőkben adom.
A kristályok zöld színűek. A nagyobbak olaj zölden áttetszők, a
kisebbek sárgászöld színnel átlátszók s forma tekintetében az ismert
diopsid typust mutatják és ha nincsenek kémiailag megtámadva, jó üveg-
fényüek.
Elváltozott kristályoknál a b (010) szerinti elválást észleltem, mely
olykor szabálytalansága miatt inkább törésnek minősíthető. Annál job¬
ban hasadnak az m (110) prizma szerint, annyira, hogy kettévált egyé¬
neknél a hasadási lap határozott reflexet adott.
A mért kristályok habitusa többé-kevésbbé megnyúlt oszlop, mely¬
nek végét több lap zárja el. Mindkét végén kiképződött kristályt csak
egyet-kettőt találtam, mert legtöbbje az alappal teljesen össze volt nőve.
A prizniaövben valamennyin dominál az a (100) oldallap, míg
b (010) egyeseknél teljesen hiányzik, vagy csak kis mértékben van ki¬
képződve. Ez az oka, hogy némelyik kristály az a (100) szerint csak¬
nem táblás.
A ő(010) lap a nagyobb kristályoknál a c tengelylyel párhuzamo¬
san rostozott és nem fényes.
A VASKŐI DIOPSIDOK.
279
Három prizma volt kimutatható és pedig az m (110) minden egyé¬
nen jól kifejlődve, sőt néha méreteiben az a (100) lapot is fölülmúlva,
míg az co (120)-t és 0(21O)-t csakis egyszer és pedig ugyanazon kristá¬
lyon észleltem. Utóbbi vékony csíkocska alakjában mutatkozott, <y(120)
pedig b (010)- vei váltakozóan szaggatott lépcsőzetes fölül etet képezve.
A kristály végén a £(021) klinodóma egyszer sem hiányzott és a
szomszédos lapok felett uralkodó méretű.
Általában a meredekebb piramisok jutnak érvényre s ennek foly¬
tán a kristály vége kissé megnyúlt. Az w (11 1) és s (111) néha hiányzik,
míg a v(221) és o (221) minden egyes esetben ki vannak fejlődve és jó
reflexüek.
A pozitív hemipiramisok mindig kisebb lapokat tüntetnek fel, mint
a megfelelő negativ piramisok.
Számos esetben észleltem a (331) Ut, mely néhol igen kicsiny,
másutt pedig felületileg az o (221)- el vetekedő lapokat alkot, melyek
azonban fakók, fénytelenek.
Dana mint igen jó lapot említi a _p(T01)-et, mely nálam azonban
határozottan rossz kifejlődésű, a mennyiben hol kagylósán kimélyedt
vályút alkot, hol pedig a két forma, s (Il 1) és £(021) kombináczió élé¬
vel párhuzamosan lefutó és a lap közepe felé divergáló rovátkákból áll,
illetve ugyanezen irányban rostozott.
Indexét a keresztező zónákból számítottam ki.
Épen ilyen rovátkolt és a mellett fénytelen a csak egy ízben
észlelt cZ (131), a melynél a mért értékek helyességét a [zm] zónábap
való fekvése igazolta.
Csupán ezen a kristályon észleltem a #(061) klinodomát, mely
bár szaggatott, de nagy felületű és határozott tükrözésű lap.
A (501) pozitív hemidómát ugyancsak egy ízben találtam, nem
nagy, de tükörfényes felülettel. A c(001), ha ki van fejlődve, mint a
mért kristályok legtöbbjén, vagy közepes nagyságú* sokszögletű lapot,
vagy keskeny szalagot képez. Felülete igen fényes.
A kristályok 1*5 — 4 mm hosszúak és 1 — 3 mm vastagságúak.
A mintegy 30 mért kristály legtöbbje a táblában 3. alatt feltün¬
tetett típusú. Ez variálódik egy-egy ritkábban előforduló lappal.
Az 5-ik, illetőleg 6-ik és 7-ik ábra összefoglaló karakterű, mert
az összes talált formákat feltünteti, a három véglapra projicziálva.
A kristályok többnyire 7 — 8 formának kombinácziói, de olykor
csak 6 alakot észlelhetünk, míg a kombinált alakok maximuma egy
kristályon 13. Mindössze a következő 16 forma mutatható ki.
280
TOBORFFY GÉZA
a 100 )
b 010 1 véglapok
c 001 I
g 210 !
m 110 \ prizmák
co 120 I
ip 501 + hemidoma
p Ï01 — hemidóma
klinodómák
u i 111
V i 221 piramisok
d I 131
s i 111
o l 221 — piramisok
A J 331
z Ì 021
# J 061
Az alábbi táblázatban a számított és mért értékek vannak ösz-
szefoglalva, melyek 0° 1 '-tői kezdve 1° 5'-nyi pontossággal meg¬
egyeznek.
A számításoknál Gerhardt v. Rath ismert alapértékét vettem fel,
mely szerint a tengelyek aránya:
± 1
b:c =
= 1-09213:
1 : 0-58932 ; ß =
74° 10' 9"
Szög
Számított érték
Mért érték
am
100.110
46° 25'
46° 29'
mm"f
110.1Ï0
92° 50'
93° 15'
mb
110.010
co
o
co
43° 31'
av
100.221
47° 43W
48°
mv
110.221
29° 151//
29° 23'
a'o
Ï00.221
61° 32'
61° 51'
m'o
Ï10.221
35° 29W
36° 22'
ml
110.331
24° 27V*f
24° 15'
A o
331.221
11° 2'
12° 7'
OS
221.Ï11
23° 19'
23° 20'
oz
221.021
38° 51 3A'
38° 10'
zv
021.221
31° 523/4'
31° 24'
zz
021.021
97° 11'
96° 20'
zb
021.010
41° 241/*'
42° 5'
mm'
110.Ï10
87° 10'
87° 8'
a'z
Ï00.021
100° 233/4'
100° 22'
az
100.021
79° 3674'
79° 24'
„„a
zz
021.02Ï
82° 49'
83° 40'
ez
001.021
48° 3572'
48° 11'
cs
001. Ili
42° 2'
41° 52'
cv
001.221
49° 54'
49° 45'
cm
001.110
79° 972'
79° 6'
ca
001. Ï00
74° 10' 9"
74° 30'
ca'
001.Ï00
105° 50'
105° 30°
eb
001.010
90°
89° 587s'
co
001.221
65° 21'
65° 12'
cm'
001.Î10
100° 50V2'
101° 34'
cl
001.331
76° 23'
770 19/
A VASKŐI DIOPSIDOK. 281
Szög
Számított érték
Mért érték
99"'
210.210
55° 253/F
54° 45'
aco'
100.120
64° 34'
65° 3'
Cip
001.501
56° 137*'
56° 59'
cp
001.Î01
31° 20'
32° 5'
W
061.061
147° 17'
146° 46'
cd
001.131
57° IOV2'
57° 37'
A vaskői diopsid optikai tulajdonságaira nézve, a következőket
figyelhettem meg. Az optikai tengelysik párhuzamos b (OlO)-al.
Ezen a lapon a kioltást mérve, azt találtam, hogy az a tompa
oktánsba esik és hogy az elasticitási tengely a c tengelylyel c c 39° O'-es
hajlásszöget alkot.
A kellő irányban, ugyanazon kristálykából kimetszett két lemez¬
nek optikai tengelyszögeit mérve, polarizált nátron fénynél és cassia
olajban (törésmutatója = 1*6225, sárga fénynél, úgy hogy a tompa szö¬
get is minden akadály nélkül lemérhettem) a végzett mérések a követ¬
kező eredményeket szolgáltatták :
Ha = 30° 52'
Ho = 64° 18'
2 Va = 59° 18' vagyis a Des CLOiSEAUx-féle adattól,
mely szerint: 2 Fa = 58° 59' csak 19'-nyire tér el.
ß = 1*6788 Des Cloiseaux szerint.
ß = 1*6798 saját mérésem szerint,
cliff. Ö.001
Vizsgálataimat a budapesti m. kir. Tudományegyetem ásványkőzet¬
tani intézetében végeztem, miért is kedves kötelességemnek tartom az
intézet igazgatójának Krenner József egyetemi tanár úrnak, a ki mun¬
kámban nagybecsű tanácsaival és útbaigazításával támogatott, e helyen
is hálás köszönetemet kifejezni.
*
Les diopsides de Vaskő (autrefois : Moravicza, Hongrie méridio¬
nale, département de Krassó-Szörény) se présentent sous forme de cris¬
taux d’un vert olive, transparents ou translucides, longs de 1*5 mm et
larges de 1 à 3 mm. Ils n’offrent pas une grande richesse de faces,
mais ils sont bien conservés et représentent le type de diopside connu.
Ces cristaux montrent un clivage parfait selon m 110, et un clivage
imparfait selon b 010.
Les pyramides négatives ont des faces beaucoup mieux dévelop¬
pées que les formes positives correspondantes.
282
G. TOBOKFFY
Les résultats des observations et des calculs sont publiés sur les
pag. 280 et 281 du texte hongrois. Les échantillons qui ont servi
de base à cette étude appartiennent aux collections minéralogiques du
Musée National Hongrois. Parmi eux l’auteur a reconnu 16 formes
dont les plus fréquentes sont les suivantes: a 100, cOOl, ml 10, z 021,
p ÏOl, u 111, ^ 221, sill, o 221, A 831; plus rarement on observe les
formes b 010, $210, œ 120, ^501, #061, #131.
Les faces de la forme b 010 sont striées parallèlement à l’axe
principal.
Les constantes optiques, mesurées dans la lumière orthochroma¬
tique jaune et dans l’huile de quassie, sont les suivantes:
Ha = 30° 52'
Ho = 64° 18'
2 Va— 59° 18' qui diffère de l’observation de Des Cloiseaux
(2 Va = 58° 59') seulement de 19'.
ß 4 1*6788 (selon Des Cloiseaux 1*6798, la différence est de 0*001).
DL _ ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNG ARICI. 19 il
DEGENERATION AND PHAGOCYTOSIS OF THE EGG-CELLS
OF THE GASTROPODS.
By Dr. L. Soós.
(Plate VII and 1 textfigure.)
For a long time it has been known that the ovarian eggs of some _
animals enlarge themselves by incorporating other cells. Such cases are
known in the Coelenterates, Tunicates and Molluscs.
The eggs of the Coelenterates (Hydra, Tubulariidae, Codonidae,
Cladonemidae) are originally similar to the other cells of the germinal
tissue. Some of these cells, which are supposed to be in a more favor¬
able position, begin to increase at the expense of their brethren
[Tubularia larynx , Doflein (5)], and gradually transform themselves
into egg-cells. The egg-cells enlarge themselves further by ingesting
their neighbouring cells, which are visible in the cytoplasm for a long
time, and are known under the name pseudocells (Kleinenberg). Thus
too increase the egg- cells of Hydra [Kleinenberg, Brauer (B)], Tubularia
larynx [Doflein (5)], Tubularia coronata [Grönberg (9)}, Myriothela
phrygia (Labbé), Margeleopsis Haeckeli, Steenstrupia galanthus, Hybo-
codon prolifer [Müller (14)]. The observers agree as regards the process
itself, but differ in intei preting it. Some authors (Balfour, Metchnikoff,
Tichomiroff) are of the opinion that the egg- cells devour the nutritive
cells like Amoeba , the others (Doflein, Müller), however, maintain
that the egg-cells don’t ingest the cells in question, - but the, cytoplasm
of the nutritive cells fuse with that of the egg-cells, and only the
nuclei of the former become digested.
In a similar way the eggs of the Ascidians increase. They deVe-
lope in a follicle, some cells of which separate — according to Floderus
(8) — and form a nearly perfect layer along the inner side of the fol¬
licle wall. These are the so called testa cells, which later migrate into
the interior of the egg-cells, and serve as food for them.
The eggs of the Pulmonates — according to the literature —
enlarge by ingesting foreign cells. Balbiani seems to have been -the-
ffrst to observe foreign cells migrating into the interior of the egg
cells of Helix which were regarded by him as epithel cells. More detailed
284
Dl L. SOOS
contributions are to be found in a paper of Plainer (17), according to
whom the nutritive cells group themselves chiefly on the side of the
egg-cells turned towards the walls of the acini. The nutritive cells very
often lie in semicircular indentations of the cytoplasm of the egg-
cells, and later migrate into the interior of them where they become
digested.
Obst’s (15) investigations confirm Pcatner’s observations in every
respect. According to him the nutritive cells form a follicle about the
ovum. The follicle cells lying at the side of the egg turned towards
the wall of the acinus get into the interior of the egg-cell where they
degenerate and become absorbed.
So much is to be found in the literature as regards the supposed
nutritive cells of the ova of the Molluscs. These data together with
Obst’s figures got into such classic text-books as Wilson’s The Cell,
and Korschelt-Heider’s Embryology of Invertebrates, and thus they
become matters of common knowledge.
My own observations made on some Pulmonates (Helix arbusto¬
rum , Succinea putris, Planorbis corneus , Limnaea stagnali#) and a
Pro so.br anchiate (Neritina) led me, however, to the conclusion that in
the case of the Gastropods we have not to do with a nutritive process,
but on the contrary with a process of degeneration.
At the beginning of my researches I also believed that the cells
associated with the ovarian eggs were nutritive cells, but later it struck
me that the egg-cells associated with the supposed nutritive cells were
more or less degenerated: their outlines were uncertain, their cyto¬
plasm was decomposed, and not granular or filled with vitelline bodies,
but it formed a peculiar fibrous-granular reticulate mass, their nucleus
wrinkled, more or less dissolved, their chromatin disintegrated into
larger or smaller granules, their nucleus and nucleolus were very often
extremely large which, contrary to the nucleoli of the sound ones, had
no chromatin at all, or if they had, the same was concentrated in a small
part of the achromatic ground substance, and its quantity in compa¬
rison with the plastin (pyrenin) of the nucleolus was very small.
The consideration of other phenomena led me also to the con¬
clusion that the greatest part of the egg-cells must somehow perish.
The number of the egg-cells in the same stage of development — which
therefore with the greatest probability ripen synchronously — is al¬
ways greater than that of the deposited ones, and this observation is
in harmony with the other one, viz. that the degenerating egg-cells are
always more numerous than the sound ones.
I refer for further explication to fig. 1. Pl. YII which exhibits an
DEGENERATION OF THE EGG-CELLS OF THE GASTROPODS.
285
egg-cell of Helix arbustorum. The • cavity between the . wall of the geni¬
tal gland and the ^gg represents a part of the blood lacunes in which
amoebocytes are to be seen. The wall of the lacune turned toward the
egg-cell is broken through, therefore the amoebocytes are not closed
from the egg-cell, in consequence of which the amoebocytes can advance
till the cytoplasm of the egg-cell. When tracing further the fate of
the egg-cells and that of the amoebocytes associated with the former
it appears that the number of the amoebocytes, migrated into the
interior of the egg-cells, constantly increase, and in proportion to their
number, the mass of the egg-cells decreases, and signs of its dege¬
neration begin to manifest themselves, i. e. the amoebocytes become
transformed into phagocytes, and the process is a typical phago¬
cytosis.
The phagocytic process is more sharply to be seen on fig. 2,
PI. VII, which exhibits a group of egg-cells of Neritina danubialis
affected by phagocytes. The phagocytes penetrate into the cytoplasm of
the egg- cell from the cavities remaining between the ova (PL VII, fig. 2,
left), and some of them — as is to be seen on fig. 2 — penetrate
deeply into the interior of the cell-body. From the cytoplasms of the
affected egg-cells there remains only a granular-fibrous netlike structure
which is always a typical result of their phagocytosis. As is to be seen
on the figure, the formation of the fibrous structure coincides with the
limit of the advance of the phagocytes. But the egg-cells demonstrate
also other signs of degeneration : the cell membranes are dissolved at
the place of infection, which results in the flowing together of the cyto¬
plasm ; the nucleus of one of them (upper side, in the middle) becomes
decomposed, but also the symptoms of the degeneration of the cells
lying on the right side can be established from the fact of separation
of the chromatic and achromatic substance of the nucleolus.
Not only the amoebocyte-phagocytes but also the germ cells, i. e.
spermatocytes and spermatides (PI. VII, figs. 4 — 5), as well as the nearly
definitely developed spermatozoa (fig. 3) destroy the egg-cells. During
the growth period, as is well known, the spermatocytes and spermatids
need very much material for which purpose the substance of the egg-
cells furnishes very much, and easily utilisable matter. To nourish the
developing spermatozoa other cells are originally destined, i. e. the
basis cells which are equivalent to the SERTOLi-cells of the testes of
Mammals, but the degenerating egg-cells are in some respects more
important nourishers of the spermatozoa, partly since in some cases
( Succinea ) the basis cells are not sufficient to nourish the great num¬
bers of spermatozoa, and partly since the egg-cells have much more,
Dï L. SOÓS
286
/
and perhaps much easier assimilable substance. On fig. 3, PL YII a
group of nearly perfectly formed spermatozoa is to be seen which
attracted by a chemotactic stimulus arrange themselves on the surface
of an egg-cell. On the other side of the same figure are some sper¬
matids visible which are beginning to arrange and move toward the
egg-cell.
The egg-cells figured on figs. 4 and 5 PL YII, are affected partly
by young spermatocytes (fig. 4, left side, fig. 5. right side, below), partly by
amoebocytes (fig. 5, right side, above), and partly by spermatids (fig. 4, beiow).
In comparing the two figures some differences are to be seen as regards
the taking up the substance of the affected egg-cells. The spermatocytes
and amoebocytes shown on fig. 5 migrate into the interior of the egg¬
cell so that their outlines become obliterated, and the plasms of the
affected and affecting cells apparently unite, on the contrary, the sper¬
matocytes and spermatids figured on fig. 4 are separated from the egg¬
cell by a clear, sharply defined space. These two kinds of attachement
were observed — for the amoebocytes — by Obst (15) as well who
regarded the clear, area as corresponding to the cytoplasms of the «nu¬
tritive cells», but this wiew is certainly erroneous, es may be seen
from fig. 4 on which the cytoplasms of the affecting cells are clearly
visible. It is at the present impossible to explain the signification of
this difference, but it seems to be very probable that the clear area
represents the diosmoting substance of the egg-cells dissolved by the
enzymes produced by the phagocytes, and which is not colourable.
In this case the amoebocytes and spermatids must represent the
affecting cells, and that they devour the egg-cells, and not viceversa, is
shown by the fact that the egg-cells exhibit all the signs of degene¬
ration. The signs of degeneration of the egg-cell are to be seen on the
cell figured on fig. 5 as well, therefore it is quite indubitable that the
cells which are in its cytoplasm, and which are apparently devoured by
it, are phagocytes and not devoured nutritive cells.
There is by all means a very interesting phenomenon that germ-
cells may transform themselves into phagocytes, without changing their
germ-cell character, but their rôle is sufficiently explained by the fact
observed already by Platner, i. e. that the young germ-cells may
change their shapes and positions like amoebes, which capacity is
naturally very restricted, but by all means sufficient to move toward
the nourishment source.
Exceptionally even the case may occur that amoebocytes migra¬
ted too deeply into the interior of an egg-cell become digested, but this
is a quite exceptional phenomenon and has no particular importance.
DEGENERATION OF THE EGG-CELLS OF THE GASTROPODS.
287
The degeneration of the nucleus of the affected egg-cells begins,
as a rule, by hypertrophy, though the degeneration very often proceeds
without hypertrophic processes. Such hypertrophie nuclei are to be seen
on fig. 4, Pl. YII (left side, below). The nucleoli of the hypertrophic
nuclei are still more hypertrophied than the nuclei themselves. The
nucleoli of the sound nuclei are relatively very small, those of the hyper¬
trophic ones, on the contrary, sometimes so large that they fill nearly
the whole interior of the nucleus.
Degeneration begun with hypertrophy and followed by atrophy
was observed by other authors as well. R. Hertwig found in Adi-
nosphaerium enormous chromatic and achromatic nucleoli. Brasil (2)
observed such hypertrophic phenomena in the intestine cells of the
Poly cheta Lagis coreni, and Ehrlich (7) in ihose of Ascaris. Léger
and Dubosq (11) observed a similar process in the intestine epithelium
of Tracheates which case is all the more interesting, since the degene¬
ration was regarded by the authors as a reaction set free by an in¬
fection of Gregarians, thus this case is very similar to that of the egg-
cells of the Gastropods the degeneration of which was also caused by
the intervention of foreign cells.
The chromatic and achromatic substances of the nucleoli during
degeneration separate from one another. The separation begins in the
first stages of degeneration. The extremities are again represented by
the hypertiophic nucleoli the chromatin of which restricts itself into a
corner of the gigantic plasmosome (fig. 4, PI. YII). This pathologic
separation of chromatin and achromatin was also observed by Ehrlich (7)
in the degenerating intestinal epithelium cells of Ascaris. Together with
the separation of both substances begins the transmigration of the chro¬
matin into the interior of the nucleus where it forms irregular clumps
composed of small granules. During the later stages of degeneration the
nuclear membrane gradually dissolves, and then the nucleus is marked
only by a clear, more or less irregularly shaped spot in which some
chromatin granules are to be seen (PI. YII, fig. 2). Later even
this remnant of the nucleus becomes more and more restricted, its
chromatin granules disappear, and degenerates the plasmosome as
well dissolving in the cytoplasm which has also degenerated in the
mean-time.
The degeneration of the cytoplasm is characterized chiefly by two
processes. The first one is that the outlines of the affected parts of the
cytoplasm become indistinct, and thus the cytoplasms of the affected
and affecting cells eventually unite (PI. YII, fig. 5), or, if more egg-cells
L rm a group, they unite with one* another (PI. YII, figs. 2 and 4), the
288
D? L. SOÓS
second one is that its granular structure changes and it becomes re¬
placed by a particular granular-fibrous meshlike structure. The beginning
of the transformation is to be seen on PL VII, fig. 5 (right side below),
a more advanced stage is shown on figs. 4 and 2. The highest degree
of degeneration is exhibited on text-
figure 1 which represents such a case
in which the degeneration has become
complete without the intervention of
phagocytes what also is a very frequent
case.
During degeneration the cytoplasm
is generally the first to become decom¬
posed, the nucleus degenerating only
in exceptional cases before the cytop¬
lasm (PL VII, fig. 2). From the parts
of the nucleus first disappears the
nuclear membrane which is followed
by the decomposing of the chromatin,
and the plastin resists for the longest time the action of the destructing
agencies.
In the literature many cases are known about the fibrous dege¬
neration of the egg- cells. According to Knoche (10) the cytoplasm of
the egg-cells of Myelophilus piniperda transforms itself during degene¬
ration into a structure formed of wide meshes. Since Knoche has not
given any figures of the processes observed by him, I have not the
opportunity of comparing it precisely with that described in the pre¬
sent paper, but because some circumstances — to which I shall later
refer — point toward the fact that the degeneration of the egg cells of
Myelophilus piniperda is caused by the same factor as that of the
Gastropods, it seems to me very probable that also the result of
the process is the same. The degeneration of the egg-cells of Molge
marmorata and M. palmata — as is shown by the researches of Pérez
(16) — goes hand in hand with transforming of the cytoplasm into
a fibrous- structured mass. The case described by Pérez is the more
similar to that of the Gastropods, since the eggs of tritons are also
destroyed by phagocytes, viz. by follicle cells transformed into pha¬
gocytes.
According to my observations the nutrition of the egg-cells of the
Gastropods never takes place through nutritive cells, but by means of
diosmotic processes, as is seen on fig. 6, PL VII, which exhibits a nor¬
mal egg-cell of Planorbis corneus. ‘The granular substance visible in
Helix arbustorum. Degenerated
egg-cell.
DEGENERATION OF THE EGG-CELLS OF THE GASTROPODS.
289
the shaft-like part of the cell represents the nutritive substance which
may be regarded as the «raw substance» of the vitelline bodies.
In searching for the cause of degeneration, I have to refer to
some data of the literature. About Vertebrates it has long been known
that their eggs degenerate under normal conditions as well, which
means that the observations were made on animals examined shortly
after their capture, and thus their eggs could not have been .changed
pathologically in consequence of unnatural conditions of life. According
to Brünn (4) the eggs of the sparrow periodically atrophy which atrophy
coincides with the breeding period and the nourishing of the young
issue. A similar degeneration was observed by Dubuisson (6) in the
eggs of Triton. But as regards the degeneration described above, more
interesting are the researches referring to animals held a long time
in capture under unnatural circumstances. Such observations were made
by Mingazzini (IB), according to whom the degeneration of the egg-
cells is a very common appearance in Beptiles and Amphibians held
for a considerable time in capture and nourished insufficiently. Perez’s (16)
observations also fed to conclusion that the degeneration of the egg-
cells of Molge marmorata and M. palmata was the result of star¬
vation. The mesh-like structured eggs of Myelophilus piniperda, already
mentioned, occur — according to Knoche — in animals which have
starved for a considerable time.
The examples enumerated above are — as regards our case in
discussion — very important, since the sameness of the results
points toward this identity of the causing factor, though some circum¬
stances contradict the conclusion. The animals mentioned were held
captive for a considerable time which fact sufficiently explains the dege¬
neration of their ova; on the contrary the Gastropods investigated by
the author were collected in places which were most favorable for their
existence, and conserved immediately after their capture. In spite of
this I am of the opinion that the degeneration of their ova is a result
of insufficiency of nourishment. It is a very important circumstance
that the egg- cells begin to degenerate in the time when the genital
gland reaches the height of its function, i. e. when the growth of
the younger generations of the germ-cells, and particularly that of
the spermatozoa is in its fullest vigour. This increased function is
naturally connected with a great consumption of substance, and in the
struggle for the nourishment the smaller, more mobile and vigorous
male germ -cells are in great advantage in comparison with the less
agile larger female germ-cells, and take the food from them. The egg-
cells weakened in consequence of insufficiency of nourishment can-
19
Annales Musei Nation alis Hunt tarici IX.
290
Dì L. SOÓS
not resist the attack of the phagocytes which use their substance for
his own purposes.
At the beginning of this paper I made known the cases in which
the egg-cells grow by incorporating foreign cells. The example of the
Gastropods point to the necessity of our being very careful in our jud¬
gement of the mutual connection of two cells if they are in the relation
of attacker and attacked, because it is not always easy to decide which
part each of them plays. I am of the opinion that in the genital gland
of the Coelenterates and Ascidians — besides the growth by incorpo¬
rating foreign cells — well defined phagocytic processes are carried out,
which may be deduced from the figures of the authors. In some figures
of Müller (14) for instance the phenomena of hypertrophic degene¬
ration are dearly determinable, therefore I differ from Müller inasmuch
as I hold a great part of the cells visible in the interior of the cyto¬
plasm of the egg-cells for phagocytes, and not nutritive cells. That
similar processes take place also in Ascidians, is proved by the re¬
searches of Metcalf (12), according to whom in the sound remaining
genital glands of the animals undergoing the so called season degene¬
ration, great numbers of the degenerating egg-cells are to be found,
which — according to him — in spite of their degeneration take up
follicle, or testa cells. But according to all probability we have also in
this case to do with a phagocytic process. All these, however, are only
deductions based upon analogy, which can only be confirmed or refuted
by newer investigations, but the ovogenesis of Coelenterates and Asci¬
dians is by all means worthy of being newly investigated for the pur¬
pose of clearing up the phagocytic and nutritive processes taking place
in their genital glands.
EXPLANATION OF PLATE VII.
All figures were made with Abbe’s camera lucida. Enlargement: Figures 1 — 5
objective no. 9 and ocular no. 2, figure 6 objective no. 7 a and ocular no. 4 (Reichert).
Fig. 1. Helix arbustorum. Egg- cell, beneath it a blood lacune with amoebo-
cytes. Bouin’s picric-formol, Benda’s natrium sulphalizarinate-toluidin blue.
Fig. 2. Neritina danubialis. Egg- cells with phagocytes. Bouin’s picric-formol,
Apathy’s haematein I. A.
Fig. 3. Succinea putris. Egg-cell with spermatozoa and spermatids. Bouin’s
picric-formol, Heidenhain’s iron-haematoxylin.
Fig. 4. Helix arbustorum. Egg-cells with spermatocytes and spermatids acting
as phagocytes. Bouin’s picric-formol, Heidenhain’s iron-haematoxylin.
Fig. 5. Helix arbustorum. Egg-cell with spermatocytes and amoebocytes acting
as phagocytes. Bouin’s picric-formol, Heidenhain’s iron-haematoxylin.
Fig. 6. Planorbis corneus. Sound egg-cell. Bouin’s picric-formol, Apáthy’s
haematein I. A.
DEGENERATION OF THE EGG-CELLS OF THE GASTROPODS.
291
LITEEATUBE.
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Codoniden. — Zeitschr. wiss. Zool., 89. Bd., 1908.
15 Obst, P., Untersuchungen über das Verhalten der Nucleolen bei der
Eibildung einiger Mollusken und Arachnoiden. — Zeitschr. wiss. Zool., 66. Bd., 1899.
16. Pérez, Ch., Sur la resorption phagocytaire des ovules chez les Tritons.’ —
Annales de l’Institut Pasteur, 17me Année, 1903.
17. Platner, G., Zur Bildung der Geschlechtsprodukte bei den Pulmonaten. —
Arch. mikr. Anat., 26. Bd., 1886.
19*
IX.
ANNALES Al U SEI NATIONALES HüNGARICI.
1911.
EINE NEUE UNGARISCHE ANDRENA-ART.
Von J. D. Alfken.
Andrena setigera n. sp.
J. 8*25 — 9 mm. lang. Schwarz, schmutzig graugelb behaart; der
Kopf ist überall struppig graugelb, am Kopf etwas heller behaart. An¬
hang der Oberlippe vorn schwach ausgebuchtet. Clypeus sehr fein ge-
körnelt, ausserdem zerstreut und ziemlich stark punktiert, oben ein
wenig quergerieft. Stirn fein und dicht längsgerieft. Augenstreifen sammet¬
schwarz. Schläfen ziemlich breit, ausserordentlich fein gekörnelt und
zerstreut erhaben punktiert. Fühler schwarz, Geissei unten rothbraun.
Mesonotum und Schildchen matt, sehr dicht gekörnelt und ausser¬
dem mit flachen Punkten ziemlich dicht besetzt. Mittelfeld des Mittel¬
segments gekörnelt, in der Mitte mit schwacher Längslinie und am
Grunde äusserst schwach gerunzelt. Metathoraxlocke ziemlich gut ent¬
wickelt.
Hinterleibsringe an der Basis zerstreut erhaben punktiert, vom
ersten Drittel an fein lederartig gekörnelt oder gerunzelt, die Endränder
mehr oder weniger breit röthlichgelb gefärbt. Die Behaarung ist sehr
eigenartig : An der Basis der Ringe entspringen mehrere Reihen borsti¬
ger, bogenförmig nach hinten gerichteter Haare, welche den hinteren,
nicht behaarten Teil der Ringe überragen und dem Tier ein struppiges
Aussehen verleihen. Ring 3 und 4 sind seitlich, da wo die Borsten¬
haare entspringen, mit einer Kante versehen. Endfranse braunroth, seit¬
lich etwas heller. Analplatte matt, schwach umkantet, dicht gekörnelt.
Beine schwarz, die drei letzten Tarsenglieder braunroth.
Wegen der eigenthümlichen Hinterleibsbehaarung lässt sich die
vorliegende Art mit den mir nur aus der Beschreibung bekannten Arten
Andrena hystrix Schmied, und A. echinulata Pér. vergleichen. Erstere
hat aber rothgelbe Tarsen und Hinterschienen und eine goldgelbe End¬
franse des Hinterleibes ; letztere hat braune Fersen und Hinterschienen
und die drei letzten Eühlerglieder oben und unten roth.
cf. 7 — 8 mm. lang. Dem Weibchen sehr ähnlich und ebenfalls
an der Basis der Hinterleibsringe mit struppigen, borstigen Haaren be¬
setzt. Clypeus gelb gefärbt mit schwarzem Yörderrande und zwei
EINE NEUE UNGARISCHE ANDRENA-ART. 293
schwarzen Punkten seitlich auf der Scheibe, lang gelbgrau behaart, an
der Seite mit eingestreuten schwarzen Haaren. Oberkiefer nicht sehr lang.
Schläfen schwach entwickelt. Zweites Geisselglied der Fühler, wie beim
Weibchen, so lang wie die drei folgenden zusammengenommen.
Durch die Färbung des Clypeus erinnert das Männchen an die
Männchen von A. ventralis Imh. und A. serica! a Imh., die aber beide
breite Schläfen und lange, sichelförmige Oberkiefer haben; ausserdem
ist bei den letzteren der Clypeusfleck oben zweimal gebuchtet, er reicht
bis zum Vorderrand des Clypeus und hat keine schwarzen Punkte.
Ich verdanke diese eigenartige Andrena- Art Herrn. Bezirksarzt
Dr. Andr. Kiss in Bethlen in Ungarn. Die Weibchen wurden am 26. Apr.
1910 bei Bogsän, die Männchen vom 14 — 26. Apr. 1910 ebenfalls bei
Bogsän und in früheren Jahren bei Hadad gesammelt. Die Typen be¬
finden sich in Herrn Dr. Kiss’ und in meiner Sammlung, sowie im
Ungarischen National-Museum.
Die drei verwandten Weibchen dürften auf folgende Weise zu
unterscheiden sein :
1. Die niedergedrückten Endränder der Hinterleibsringe punktiert oder ge
körnelt, . .. „„ _ „„ „„ _ „„ _ 2.
- Die niedergedrückten Endränder der Hinterleibsringe glatt, breit rothgelb
gefärbt ; Tarsen und Hinterschienen rothgelb gefärbt ; Endfranse goldgelb.
8—10 mm. lang. Ungarn, Süd-Frankreich. _ A. hystrix Schmied.
2. Tarsen und Hinterschienen braun ; die drei letzten Fühlerglieder oben und
unten roth. 8 — 9 mm. lang. Lombardei. „„ „„ „„ A. echinulata Pér.
— Tarsen und Hinterschienen schwarz ; die drei letzten Fühlerglieder oben
schwarz. 8*25 — 9 mm. lang. Ungarn. _ A. setigera Alfk.
IX
ANNALES MUSEI NATI0NAL1S HUNG ARICI.
1911
ORTHOPTERA NOVA EXOTICA IN MUSEO NATIONALI
HUNOARICO ASSERVATA
descripsit Desid. Kuthy.
Eupromachns Mocsáryi n. sp. cf ÿ .
Dilute-ferrugineus, vel rarius fuscus. Corpus granulis maioribus
raris obsitum. Thorax tectiformis, depressus, carina subacuta usque ad'
abdomen perducta. Pronotum antice quadrispinosum. Femora et tibiæ
mutica. Segmenta abdominalia supra ante apicem in medio obtuse den-
ticulatim tuberculata.
Femina : corpore depresso, operculo lanceolato, carinato, apice
emarginato, apicem segmenti analis non attingente.
Mas : corpore cylindriformi, segmento anali lobis dentiformibus.
Lamina subgenitalis fornicata, apice rare granulosa, margine postico
rotundata.
Long. corp. cf 52
mm
?
81
mm
« meson. « 15
«
«
19
«
« met. c. s. m. « 4*05
«
«
5
«
« seg. m. « 3
«
«
4
«
« fern. ant. « i 4
«
«
18
«
« fém. int. « 12
«
«
16
«
« fern. post. « 14
«
«
18
«
Nova-Guinea : Ins. Cretin (Bíró).
Eupromacho acutangolo Brunner similis §t
affinis ;
sed
major,
magis dilute ferrugineus, segmentis abdominalibus
supra ante
apicem
in medio tuberculis multo majoribus et
operculo
longiore,
præsertim
distinctus.
Biróella Bolivari n. sp. cf.
Pallide testacea. Antennæ, articulis tribus primis exceptis, fuscæ.
Fastigium verticis superne bifossulatum. Occiput medio carinula angusta
instructum, utrinque callis nigris fastigium versus evanescentibus, lateri¬
bus nigro-maculatis. Elytra nigricantia, apice rotundata, venis pallide
ORTHOPTERA NOVA EXOTICA.
295
fuscis. Femora postica carinulis tenuibus brunnescentibus, subtus pal¬
lide ciliata, apice late subcœruleo-annulata. Tibiæ apice parum dilutius
annulatæ, superne pallide villosae, spinis nigris. Abdomen fusco-nigrum,
segmentis dorsalibus anticis margine apicali anguste pallide limbatis.
Lamina supraanalis triangulari ter elongata medioque impressa. Cerei
erecti, sat longi, cylindrici, apice intus denticulis duobus parvis nigris
armati.
Long. corp.
« pron.
« elytr.
<« fern. post.
Nova-Guinea : Simbang (Biró).
Biróellae dispari Bol. similis et affinis; sed colore magis pallido,
pronoto concolore, femoribus apice latius annulatis, et præsertim cer¬
eis cylindricis, apice intus denticulis parvis nigris; non vero ante api¬
cem intus sinuatis et dente unico acuto, pallido armatis, satis super -
que distincta.
Cephaloeoema fusca n. sp. j .
Kostrum capite reliquo L05 longius, inter oculos et apice levis¬
sime arcuatum, supra subtusque canaliculatum, costis lateralibus su¬
perne fere usque ad oculos productis, canalicula infera profundiore per
oculos tenuiter continuata, apice obtuse rotundatum. Femora antica
lævia, postica carinata. Tibiæ posticæ superne margine interno 20-,
margine externo 13-spinulosæ.
Long. corp.
?
95
mm
« capit.
«
7
«
« rostri
«
10
«
« pron.
«
13
«
« fern. ant.
«
12
«
« fern. post.
«
26
«
Bolivia : Yungas de la Paz.
Species : forma capitis et rostri faciliime cognoscenda.
Phlaeoba Horváthi n. sp. 5 .
Statura maxima. Colore fusco-testaceo, opaco. Fastigium verticis
medioque carinula oculos haud superante instructa. Antennae fulvidæ,
capite pronotoque unitis longiores. Pronotum antice posticeque leviter
cT 17 mm
(( 3 «
« 4 «
« 13 «
296
DESID. KUTHY
rotundatum, carinis tribus aequalibus instructum, infra carinas externas
lineola longitudinali nigra. Elytra abdomine longiora, linea sulphurea
scapularis partem tertiam superans, areæ discoidalis et ulnaris maculis
irregulariter infuscatae, area analis punctis biseriatis fusco-castaneis. Alæ
hyalinæ, fusconigro-venosæ. Femora supra fortiter ti icarinata, medio
punctis fusco-castaneis irregulariter obsita. Tibiae spinis apice nigris
armatae.
Long corp. £ 68 mm
« pron. « 10 «
« elytr. « 55 «
Africa orientalis: Assab, Gibdo (Katona).
Species : magnitudine egregia, in honorem illustris Hemipterologi
Dris G. Horváth denominata.
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARIC1.
1911.
ÚJABB ADATOK A ZSILVÖLGYI RÉTEGEK
ELTERJEDÉSÉHEZ.
Dr. Gaál IsTVÁN-tól.
(VIII. tábla.)
NEUERE BEITRÄGE ZUR VERBREITUNG DER
ZSILTALER SCHICHTEN.
Von Dr. St. Gaál.
(Tafel Vili.)
A Magyar- és Oláh-Zsil folyók völgye, valamint a szomszédos
teknők, medenczék, fennsíkok és hegyvonulatok a földtani tekintetben
érdekes és vitás területeknek valóságos «locus classicus» -ai. Hiszen elég
csak a Zsil áttörésének (Szurduk-szoros) kérdése körül kifejlett vitát
(Inkey, Lehmann, Martonne, Meazec, Nopcsa) említenem, és az aquitánkorú
rétegek hovatartozandóságának máig is nyílt kérdését (Depéret, Lappa-
rent, Blanckenhorn, Hauer, Sacco, Fuchs T. stb.) röviden érintenem.
Legyen szabad már itt is jeleznem, hogy rövid időn belül magam
is hozzá kívánok járulni az említett két kérdés tisztázásához.'1 Ez alka¬
lommal azonban csak egy szűkebb érdekű kérdést óhajtok eldönteni,
azt t. i., hogy vannak-e a baniczai hágótól E-ra a zsilvölgyi rétegekkel
egyidős képződmények ? ,
Hogy az irodalmi adatok fölsorolásában lehetőleg kerüljem a
hosszadalmasságot, kiindulópontul Hofmann Károly (6) alapvető érte¬
kezését veszem. S itt érdekes, hogy szerzőnk is már STUR-ra hivatkozik,
mint a ki a Zsilvölgyi és Erdélyi medenczék aquitánkorú vizeinek a
baniczai hágón keresztül való összeköttetése mellett nyilatkozott. Hofmann
is magáévá teszi ezt a fölfogást, miután a baniczai hágó E-i lejtőjén,
1 Itt csak mellékesen jegyzem meg, hogy ebben a dolgozatomban egyszerűen
aquitánkorúnak mondom a Potami des margaritaceus, Cyraena stb. -ve] jellemzett
komplexumot s ezúttal nem kívánok állást foglalni sem abban a tekintetben, hogy
vájjon valóban egységes képződmény-e Mayer-Eymar aquitanienje, sem abban,
vájjon az oligocénbe tartozik-e, vagy miocénbe ?
298
Di GA ÁL ISTVÁN
Rusestnél, közvetlenül a kristályos palára települt harmadkori rétegek¬
ből a következő faunát gyűjtötte :
Potamides margaritaceus Brocc.
Ccdyptraea chinensis L.
Corbula sp. ( subarata Sandb.)
Cyraena semistriata Desh.
Mytilus Haidingeri Hoern.
Dreissensia Brardii Brong.
Hofmann idézett munkájából s ezenkívül, részletes földtani térképei¬
ből is kitűnik, hogy úgy Merisor-Petrosz környékét, mint a puji és
hátszegi medenczék jó darabját részletesen átkutatta. Ez irányú vizsgá¬
latai eredményekép ki is jelenti, hogy az aquitánt a hátszegi medencze
belsejében fúrással el lehet érni (6, p. 32). Hofmann tehát a Sztrigyvölgy
egész területén föltételezi az aquitánt, illetve a hajdani összeköttetést az
Erdélyi medenczével.
Hofmann fölfogása általánossá vált. Még Lehmann sem mond
ellent, illetve nem módosítja ; munkájából pedig nyilvánvaló, hogy rend¬
kívül éles megfigyelései vannak, s e vidék geológiai történetét ő látja a
legtisztábban. Itt csak a következő mondatát idézem (10, p. 342): «Tek¬
tonikai eltolódások a Zsilvölgyet időnként a Sztrigyvölgy függelékévé
tették, majd ismét tökéletesen elkülönítették.»
A tulaj donképeni hátszegi medenczében, melyet én — alább ki¬
fejtendő okaim alapján — Nagy-Bártól E-ra számítok, Hofmann nem
talált aquitánra valló kövületet, sőt az ó-harmadkorúaknak tartott ú. n.
« Szentpéterfalvi rétegek»-et éppen meddőségükkel jellemezte ; tehát csak
okoskodás útján — • s bizonyosan fönntartással — helyezte azokat az
aquitánba.1 Kevésbbé érthető azonban Halaváts (5) tévedése, a ki ép
ezeket a «Szentpéterfalvi rétegek »-et vizsgálta behatóbban, s még azután
is, hogy Nopcsa F. báró megmutatta neki a szacsali dinosaurius-lelő-
helyet, s ebből maga is gyűjtött, jelentésében így ír: «Bár szerves ma¬
radványokat is rejtenek magukban e homokkövek s konglomerátok, de
nem olyanokat, melyek koruk meghatározására alkalmasak lennének, s
így akkor, a midőn aquitánkorúaknak mondom, Hofmann K. dr. adataira
támaszkodom, ki lapommal D-ről határos vidéken az ilyen rétegeket,
melyeknek az én területembeliek közvetlen folytatásai, aquitánkorúak¬
nak határozta.» Következő évi jelentésében is ezt a fölfogást vallja
Halaváts, sőt még azután is, hogy Nopcsa első czikkét (14) közölte.
(L. iNKEY-nél, 7, p. 343.)
1 így szerepel ez a Földtani Intézettől kiadott térképen is.
ÚJABB ADATOK A ZSILVÖLGYI BETEGEK ELTERJEDÉSÉHEZ.
299
Az időrendben következő — területünket érintő — czikkek,
Martonne E. (11) és Mrazec L. (Iá) dolgozatai jóformán kizárólag a
tektonikai viszonyokkal foglalkoznak. De mégis megemlítem, mert min¬
denesetre különös, hogy ezen a vidéken csak burdigaleni üledéket és
lignitet ösmernek. Vázlatos leírási módjuk mellett mindezekről az újdon¬
ságokról semmi részletesebb fölvilágosítást nem kapunk. Megjegyzem
még, hogy a baniczai hágót egyikük sem tekinti a felső-kréta óta létező
vízválasztónak.
Ebben az időben (1897 — 1902) teszi közzé Nopcsa a « Szentp éter¬
falvi rétegekben» talált dinosauriusokról szóló kisebb -nagyobb czikkeit,
s ezzel együtt megállapítja azoknak felső -krétakorát. Igen érdekes az a
kis czikke is (15), melyben a Halaváts-íóI aquitánba sorozott képződ¬
ményekről kimutatta, hogy azok részben szerion, illetve dániai , meg
felső-mediterrán-korúak.
De később Nopcsa is szinte megfoghatlan tévedésbe esik. 0 ugyanis
azon a réven, hogy a daniennek bizonyult « Szentpéterfalvi rétegek» a
földtani térképen aquitánnak voltak jelezve, a baniczai hágóig terjedő egész
vidék így jelzett képződményeit is a felső-krétába helyezte. Ily irányú
állásfoglalása a Petrozsényben tartott bányászati és kohászati kongresszus
alkalmával (1903-ban) történt. Előadása valamivel utóbb nyomtatásban
is megjelent (13). Ebben a czikkében a leghatározottabb formában kifejti,
hogy az aquitánkorban . a cenoman óta létező baniczai vízválasztón túl
szárazföld volt és így oligocénkorú szénréteg Hátszeg vidékén (Baniczától
számítva) nincs. Ugyanezt a nézetét későbbi nagyobb munkájában (16)
még részletesebben kifejti, sőt a vidék palæogeograüai és tektonikai jel¬
lemzésében igen nagy szerephez juttatja. Nem érthető azonban, hogy
a HoFMANN-tól Rusornál gyűjtött aquitánfaunát mikép mellőzhette,
illetve miért nem vizsgálta meg részletesen a merisori medenczét, mint
a melyre az addigi irodalom oly sűrűn hivatkozott? Az sem lehetett
titok, hogy Merisor — Krivádia környékén a salgótarjáni bányatársulat¬
nak sok zártkutatmánya van,1 s ezenkívül a közeli és távoli környék
számos amatőr bányásza is folyvást érdeklődik a terület iránt.
Végül még csak Kalecsinszky könyvét (8) akarom említeni, mely¬
ben (p. 36) a Merisor és Krivádia környékén levő szénkutatások a pan-
noniai emelethez tartozóknak vannak feltüntetve. Sőt utóbb még tetézi
is ezt a furcsaságot, így írván : «E zártkutatmányokkal födött területen
a neogénformáczió pliocénfoka (?) fordul elő, mely nagyon fiatal szenet
1 Andreics munkájában (1), mely az említett petrozsényi bányászati kongres¬
szus alkalmából íródott, szintén határozottan kifejezésre jutott, hogy a baniczai hágó¬
tól E-ra is megtalálhatók a zsilvölgyiekkel egyidős kövületek, illetve képződmények.
300
D? GAÁL ISTVÁN
tartalmaz» (p. 177). Arról pedig, hogy ezt a teljesen különálló véle¬
ményt mivel lehet támogatni, egy sort sem találunk ebben a munkában.
Ennyi — egymásnak ellentmondó — adat okvetlenül kihívja a
terület közelében megforduló geológus érdeklődését. S miután közben
szakértőnek is fölkérettem, többszöri kiszállásom alkalmával világos
képet nyertem az itteni sztratigrafiai viszonyokat illetőleg. A rövidség¬
gel együtt bizonynyal az érthetőséget is alkalmas módon szolgáltam
azzal, hogy a viszonyokat színezett földtani térképpel illusztrálom.
A kristályos palákról, valamint a mesozóos képződményekről
ezúttal nem emlékezem ,meg részletesebben. S miután ez utóbbiak is
meddők (?), csak petrografiai és tektonikai tekintetben nyújthatnak érde¬
keset. Még csak azt jegyzem meg, hogy a Peatra Zanoaghei É-i lejtőjé¬
nek liaszkorú (?) képződményét szándékosan nem tüntettem föl, légióként
azért, mert ezt a darabot magam nem jártam be kellő részletességgel.
A mi az aquitán üledéket illeti, a cenoman mészkő-breccsiára tele¬
pült vörös, agyagos homokot említem legelőbb, melyben a régibb kőze¬
tek diónyi szögletes darabjai is láthatók. Legjobban a Tiszuvölgynek (a
katonai térképen Tininerele) a Petroszivölgybe való betorkolása táján
szemlélhető. Ez a vörös homok tényleg nagyon hasonló a hátszegi me-
denczében több helyütt megfigyelhető dániai homokkőhöz ; s hogy én
ezúttal — bár csak föltételesen — az aquitánba sorozom, oka az, hogy
a merisori medencze szélének több pontján kibukkanó durva, fehér
kvarcz-homokot a vörös homok æquivalensének tételezem föl, jóllehet
az előbbi rendesen nagyobb abszolút magasságban van ; már pedig a
fehér homokról azt tapasztaltam, hogy csak az aquitán képződményekkel
kapcsolatban, a fekűben fordul elő (Petrosz, Merisor, Krivárdia, Nagy-
Bár, Gyalu-Babi), míg Livádiától lefelé (E-nak) már nyoma sincs.
Sajnos, hogy kövületet eddig nem találtam benne ; csak azt emlí¬
tem még, hogy itt-ott vékony kékes rétegek tarkítják.
A kétségtelenül aquitán képződmények rétegsorát az előbb említett
Tiszuvölgyben tanulmányozhatjuk. Igaz ugyan, hogy az EK-nek dűlő réte¬
gek csapásirányban vannak szelve, de a völgy tetemes esése (alig 4 km. -en
250 m.) következtében aránylag kis bevágódások révén is áttekinthetők.
Az előbb említett vörös homokkőre szürke homokos márga tele¬
pült, mely fölfelé mindinkább homokosabb. Betegei 3*1 felé 45° -kai dűl¬
nek. Szerves maradványok csak a közbetelepült szénrétegek kísérőiként
fordulnak elő. A látható két szénpad 30 — 40 cm. vastagságú.1 A kísérő
molluscumfaunából az alábbiakat említhetem :
1 Múlt év őszén még könnyen hozzáférhető volt ez a hely, de újabbi bejárá¬
som alkalmával mesterséges földhányással befödöttnek találtam. A kövületes rétegek
sem látszanak.
ÚJABB ADATOK A ZS1LVÖLGYI RÉTEGEK ELTERJEDÉSÉHEZ.
301
Potamides margaritaceus Brocc.
Potamid.es plicatus Lam.
Cyrena semistriata Desh.
Cytherea incrassata Sow.
Fedűjében durva szürke homok és kavics van (kb. 10 m. vastag¬
ságban), melyben szintén nagy mennyiségű, de igen rossz megtartásit
csiga- és kagylóhéj látható. A mennyire megállapítható, a fauna az előbb
fölsorolt fajokból áll.
Fölfelé haladva, sárga durva homokot (meddő), majd pedig szürke
homokos agyagot találunk. Ez utóbbiban
Potamides plicatus Lam.
Potamides margaritaceus Brocc.
Cerithium scabrum Olivi.
Neritina picta Fér.
Calyptraea sp. (búb.)
Melanopsis Hantkeni Hofm.
elég jó megtartású héjait gyűjthetjük.
Erre konkordánsan települt, jól rétegzett barna agyagos homok
következik ; benne nagymennyiségű, kitűnő megtartású levéllenyomatot
találunk. Miután fölötte már igen kevés aquitán föltárás van a patak¬
mederben, vastagsága pontosan meg nem állapítható. Fedűjében ismét
homokos, szürke márgára bukkanunk, melyben egy vékony szénzsinórt
láttam, közelében csiga- és kagylóhéjak apró cserepeivel.
Természetes feltárások híján jó szolgálatot tesz a további nyomo¬
zásban a Prislop-határrészben, aneroiddal mért 720 m. magasságban
levő két — egyébként igen kezdetleges — táró, melyek közt kb. 10 m.
szintkülönbség van. Az alsó táróban nem voltam, s így csak a hányon
levő anyagból következtethetem, hogy alig 6— -8 m.-nyire lehet hajtva.
A szürke agyagos homokban sötétebb agyagrétegek is vannak ; szén
azonban csak alig néhány cm.-nyi vastagságban. A kikerüld fauna igen
töredékes, még a kisebb fajok sem fordulnak elő sértetlen állapotban.
Futólag megtekintve
Potamides margaritaceus Brocc.
Potamides plicatus Lam.
jól fölismerhető töredékeit, valamint Cytherea, Cyraena, Ostrea, Mytilus
meghatározhatlan héj darabkáit láthattam.
Minden tekintetben sokkal tanulságosabb volt a felső tárónak meg¬
tekintése. A rétegek ugyan nem mutatnak egészen nyugodt, szabályos
302
Dí GAÁL ISTVÁN
települést, de ÉK felé való dülésök észrevehető. Ez a táró 14 m. hosszú,
melyet kezdetben dűlés, később csapásirányban hajtottak. A föltárt szén
0*3 — 0*5 m. vastagságú, a petrozsényivel azonos minőségű.
Ezen a helyen azonban a pnhatestű fauna érdekelhet leginkább.
Részint benn a táróban, részint a hányon gyűjtöttem. Miután az emlí¬
tett széntelep (illetve inkább lencse) az alsó tárónál jellemzett üledékben
van beágyazva, s a fedűt a fekűtől semmi tekintetben meg nem külön¬
böztethetjük, a pedánsabb gyűjtésmódot nem alkalmaztam.
A szén közelében igen nagy tömegben fordulnak elő a csiga- és
kagyló-héjak ; sok helyütt valóságos breccsiát alkotnak. Egyébként azon¬
ban jó megtartásúak, s kis fáradsággal a zsilvölgyi rétegek faunáját
csaknem egészében lehetne itt begyűjteni.
Ime a fauna :
1. Potamides margaritciceus Brocc. Igen nagy mennyiségben s
hatalmasan fejlett példányokban fordul elő. A típustól megkülönböz¬
tethető az az érdekes varietás (vagy tán inkább csak aberratio), melyet
2. Potamides margaritaceus var. calcaratus Grat, néven sorolnak
föl, mert az alsóbb kanyarulatok legfölső bütyök- sora feltűnően kifejlett,
valósággal tüskeképű ; olyanforma, mint a középeocén Cerithium cal¬
car atum Brong. A tőalaktól más, aprólékosabb jellegekben is külön¬
bözik. Csak két példányát gyűjtöttem.
3. Potamides plicatus Lam. nem mondható ugyan ritkának, de a
margaritaceus- szál szemben szinte jelentéktelen szerepe van a faunában.
4. Cerithium scabrum Olivi és a
5. Cerithium cf. moravicum Horn. a ritkább fajok közül valók.
6. Melanopsis Hantkeni Hofm., mint mindenütt e vidék aquitán-
jában, itt is közönséges. Teljesen ép példányokat is bőven gyűjthetünk.
7. Calyptraea striatella Nyst. két ép példánya került eddig gyűj¬
tésembe. Határozottan fölismerhető rajtuk a búb excentrikus fekvése,
valamint a kerülékforma, mely élesen elkülöníti a C. chinensis L.-től.
(Ez utóbbit eddig nem is találtam a felső táróban.)
8. Bu&inum sp. (ternodosum? Hilb.) Az egyetlen töredékes pél¬
dány nem volt pontosabban meghatározható.
9. Neritina picta Fér., valamint a
10. Neritina sp. ( Féfussaci ?) alig egy-két töredezett példányban
kerültek elő.
11. Murex conspicuus Braun, egy fiatal s egy fejlett példányát
gyűjtöttem. Annyiban is érdekes, mert eddig egyáltalán nem említettek
Murex- ci a zsilvölgyi rétegekből.
12. Cyrena sp. A C. gigas Hofm. esetleg C. magnidentata Blanck.
töredéke. Az egyetlen nagy héj darab pontosabb meghatározásra alkalmatlan.
ÚJABB ADATOK A ZSILVÖLGYI RÉ'J EGEK ELTERJEDÉSÉHEZ.
303
13. Cyrena semistriata Desh. csak egy példányát szabadítottam ki
egészben, de a csiga- és kagylóbreccsiát alkotó héjaknak bizonynyal nagy
százaléka ebből a fajból való.
14. Cyrena Brong niarti Bast, nem állapítható meg teljes bizonyos¬
sággal, de a héj cserepek közt előforduló erősebben bordázott, vastagabb
héjú fajra vallók nagy valószínűséggel vonatkoztathatók a C. Brongniarti-m,
annyival is inkább, miután ez a faj Blanckenhorn (2) szerint a zsil-
völgyi fajok legközönségesebbjei közül való.
15. Mytilus sp. Záró peremére nem akadtam, a fajt meg nem
határozhattam.
16. Ostrea cyathula Lám., valamint az
17. Ostrea fimbriata Grat, fajok szerepe nem állapítható meg
pontosan, miután vastag hójuk lemezekre hasadozva fordul elő, s ily-
formán látszólag igen gyakoriaknak tűnnek föl.
18. Cytherea incrassata Sow. Igen gyakori.
19. Corbula sp. Az egyetlen példány teljesen épnek mondható, s
így pontos meghatározása csak azon múlt, hogy eddig nem sikerült
egyetlen magyarországi ismert fajjal sem azonosítanom. Érdekes, hogy
a rusesti faunában Hofmann szintén akadt egy közelebbről meg nem
határozható fajra. Sajnos, eddig nem volt módomban ezt megtekinteni,
s így egyelőre azt sem állapíthatom meg, hogy a priszlopi példány a
rusesti C. sp. ( subarata SANDB.)-hez minő viszonyban van?1
Ezzel végét is értük az itteni aquitánkomplexumnak, mert a közel¬
ben levő harmadkorú képződmények atároz ottan fiatalabbak. De mielőtt
ezeket közelebbről megvizsgálnók, megemlítem még, hogy a Betyita felől
jövő patak medrében, közvetlen Merisor közelében, szintén kibukkan a
kövületes aquitán, egy — néhány cm. -es — szénpadot zárva magába.
Merisor községében pedig a legalsó (meddő?) homokos szürke márgát
láthatjuk a patak medrében.
A fauna gyönge megtartású — ottlétemkor nem is időzhettem hossza¬
sabban mellette / — s így csak annyit jegyzek meg röviden, hogy a Potami-
des margaritaceus, Cyrena- és Cytherea- fajok az uralkodók. A rétegek
kb. 30° alatt ÉNy-nak dűlnek, s így a medencze keleti szárnyát alkotják.
Az előbb érintett fiatalabb harmadkori képződményeket a Tiszu-
yölgyben — mely eléggé pontosan jelzi a hajdani partvonalat — lignit
képű növénytörmelék betelepülései jellemzik.2 Maga az üledék itt homo-
1 A puhatestűeken kívül Ostracoda és Foraminifera héjacskák is előfordulnak.
2 Az itteni bányakutatók szakértelmét jellemzi, hogy kezdetleges táróikat
nagy előszeretettel hajtották ebbe a lignitbe, bizonyosan azért, mert a külön széle¬
sebb fekete sávot mutatott, mint az aquitán barnaszén.
304
D? GAÁL ISTVÁN
kos sárga vagy barna agyag, melyben puhatestűek maradványai úgy
»látszik teljesen hiányoznak. A képződmény egyáltalán nem nyugodt
településű, dislocátiók nyomai kétségtelenek rajta. De hiszen már maga
az a körülmény, hogy a Tiszuvölgy alsó részében ép úgy, mint köze¬
pén és fejénél is megvan a lignites képződmény, szintén utólagos kéreg¬
mozgásra vall.1
A Branu (738 m.) gerinczének legdélibb nyúlványán két helyen is
föl van tárva ez a lignit. Ezt azért említem, mert topograíiailag is ma¬
gasabban fekszik a felső táró aquitanienjénél.
A medencze belsejében durva sárga és szürke homok meg konglo¬
merátum komplexum települt az aquitán rétegekre ; s hogy ezt a lignites
képződménynyel egyidősnek tartom, oka egyrészt egyforma rétegtani
fekvésük, másrészt pedig már Hofmann is úgy jellemezte a zsilvölgyi
«oligocén felső rétegcsoportját, » hogy szürkesárga konglomerátum, benne
«szénszakadékok» (6, p. 12). A mint ez idézetből kitűnik, Hofmann
eleintén ezt a képződményt is az oligocénbe sorozta ; később azonban
megváltoztatta nézetét, a mit — legalább a merisori medenczében —
az bizonyít, hogy a tőle fölvett részletes földtani térképen már külön¬
választotta, s az oligocénnek tekintett aquitán képződményekkel szemben
a miocénbe sorozta. Erre különben Suess (18) közleménye indíthatta,
a ki a petrosz-merisori medencze konglomerátumából
Aceratherium cf. Goldfussi Kaup.
Listnodon splendens H. Mey.
miocénkori emlősök maradványait említi. Kétségtelen tehát, hogy terü¬
letünknek ez a két harmadkori képződménye nem egyidejű, sőt minden
bizonynyal hosszabb eróziós időköz volt lerakodásuk között.
A térképen nem tüntettem föl a miocén üledéket, kizárólag azért,
mert ez alkalommal az aquitán medencze lehető éles beállítása volt a
czélom, teljes mértékben osztva Hofmann nézetét: «Ezen szénnek itteni
1 E dolgozatomban nem szándékozom a tektonikai viszonyokat behatóbban
tárgyalni, azért itt csak röviden utalok Sawicki munkájára (17, p. 107), melynek
következő két pontja területünkre nézve teljes érvényű:
«1. A közép-miocén emelkedés kis területen zavart el nem áruló, egytömegű
földomborodás (Emporwölbung), ennek magassága kb. 500 — 600 m.
2. A szarmatakorú emelkedés a Mehedinti fennsíkon oly intenzív, hogy a
miocén peneplén itt egészen eltűnt, míg a délmagyarországi hegyvidék D-i szélén
oly enyhe volt, hogy a Riu-Ses nivó megmaradhatott. A hátszegi medenczében
és a Fogarasi hegység É-i lejtőin hatalmas redőzést okozott, s öszegyűrte a petro-
zsényi és karánsebesi medencze miocénjét, míg a romániai fiatal miocént majdnem
érintetlenül hagyta.»
ÚJABB ADATOK A ZSILVÖLGYI BETEGEK ELTERJEDÉSÉHEZ. 305
előjötté nemzetgazdászati szempontból a legnagyobb figyelmet megér¬
demli ...» (6, p. 32.)
Hogyha ezek után a merisori medencze eddig föltárt széntartalmú
aquitán képződményeinek a sztratigrafiailag jól ösmert zsilvölgyi kom¬
plexum megfelelő rétegcsoportját keressük, Andreios (1) nyomán a
Potamides margaritaceus BRocc.-fajt tekintjük irányadónak, mely «az
Y. széntelep szomszédságát jelzi.» Blanckenhorn (2) szerint is a IY. telep
fedűjében jelenik meg a Cyrena Brougniarti, Natica crassatina , meg
a Pot amides, margaritaceus. Be ennél jóval többet mondó ezúttal az a
sorozat, melyet Blanckenhorn (p. 395) a YII. telep fedűjéből idéz. Ez a
fauna a következő fajokból áll:
Mytilus aquitanicus May., Ostrea cyathula Lám., Cyrena Brongniarti
Bast., Cyrena magnidentata Blanck., Tellina aíf. compressa Brocc., Calyp-
traea striatella Nyst., Potamides margaritaceus Brocc., Potamides plicatus
Lam., Melanopsis Hantkeni Hofm.
A mint megítélhető, ez a sorozat szinte teljesen megfelel annak,
melyet föntebb a felső táróból idéztem. S ha most a livazényi fúrás
adataival, vagy pedig az ANDREics-BLASCHEK-től (1, p. 17) közölt deák-
bányai szelvénynyel vetjük egybe a Tiszuvölgyben föltárt komplexumot,
azt találjuk, hogy ezt a zsilvölgyi rétegösszlet alsó harmadába, az
Y — YIII. , telepeket magába záró csoportjába illeszthetjük. Yaló ugyan,
hogy a merisori medenczében csaknem 200 m. vastagságú ez az üledék¬
csoport, míg a livazényi fúrólyukban csak 40 m.-nek találták, de viszont
a petrozsényi medencze D-i szárnyán 140 m. hosszú a Deák-bánya
csimpai tárójának az a részlete, mely' a szóbanlevő telepeket keresztezte.
S egyébként is régi tapasztalat, hogy ugyanazon kor üledékeinek vas¬
tagsága már kis távolságban is jelentékeny különbségeket mutathat.
A közeli szomszédságban levő helyek: Balta, Ponorele, Bahna
üledékeivel, illetőleg faunáikkal csak általánosságban tartott összehason¬
lításokat tehetünk. A bahnai aquitánt Fuchs T. (3) tanulmányozta be¬
hatóbban, faunájából arra az eredményre jutott, hogy az inkább, sőt
határozottan miocén, s nem pedig oligocén jellemű. A fölsorolt 1 1 faj
közül négy azonos a Tiszu völgyéivel. A ponorelei és haltai faunákról
csak annyi ezúttal a megjegyezni való, hogy a Potamides margaritaceus
mindkét helyen gyakori.
Az így részletesen leírt petrosz -merisori aquitán medencze K — Ny
irányú tengelye mintegy 10 km., átlagos szélessége pedig 1*5 km. Mint
már említettem, Petrosztól Ny-ra még nem kutattam, s így nem tartha¬
tom teljesen kizártnak az aquitán képződményeknek a puji medenczében
való előfordulását sem, de mégis úgy látszik, hogy a fehér kvarcz-homok
20
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX.
306
Di GAÁL ISTVÁN
jó tájékoztató, ez pedig csak Petrosztól K-re. illetve D-re fordul elő.
Másfelől pedig megállapítható, hogy a puji teknőben felsőmediterrán és
szarmata tengeri lerakodások is vannak, Merisor vidékén pedig kétség¬
telenül hiányoznak.
Mindezek alapján pedig nem hangsúlyozhatom eléggé a merisori
medencze alapos föltárásának szükségességét, s így valóban ellenkező
nézeten vagyok a salgótarjáni bányatársulat vezetőségével, a mely «a
közel jövőben csupán a kutatási stádiumot (tudjuk, mit jelent ez !)
szándékozik fönntartani és sem fúrások, sem pedig egyéb nagyobb szabású
föltárási munkálatok nincsenek tervbe véve, mert az eddigi eredmények (?)
nem jogosítanak arra a reményre, hogy a medencze valamikor produk¬
tiv bányászat tárgyát képezze.»1
Alkalmas helyen végzett mélyfúrás után bizonynyal más vélemé¬
nyen lesz a bányatársulat, melynek 1867 óta 86 zártkutatmánya van
ezen a vidéken.2
Míg a merisori medencze aquitánjának nagy irodalmi múltja van,
addig a Krivádiapatak völgyének egy kicsiny teknőforma kiszélesedése
teljesen elkerülte a geológusok figyelmét. Gyalu-Babi, néhány házat
számláló, valóban nyomorúságos kis oláh falu foglalja el ezt a kis
katlant. A petrozsényi vasút megnyílta előtt Merisortól a Gyalu-Babi
hegygerinczén át a hasonló nevű falucskán keresztül vitt a Sztrigy- és
Zsilvölgyeket Vulkán felé összekötő legrövidebb út ; ekkor tehát még
volt a helységnek némi forgalma. Újabban azonban teljesen kívül esik
a forgalmi vonalakon. Lakói faszén- égetéssel tengetik életüket.
Földtani viszonyairól Hofmann többször idézett munkájában talá¬
lunk némi megemlékezést, illetve annyit, hogy úgy a völgykatlan, mint
a Gyalu-Babi gerincze csupa kristályos palából áll. S hogy ezt a területet
már ekkor is tényleg bejárta, bizonyítja az is, hogy mellékletül egy föld¬
tani szelvényt közöl, mely Lupénytől É-nak éppen Gyalu-Babi községen
keresztül vont egyenes mentén szemlélteti a geológiai viszonyokat. Ez a
szelvény is csak kristályos palákról számol be. S miután HoFMANN-nak
későbbi térképén sem találunk egyéb adatokat, Nopcsa térképe sem árulja
el a tényleg ottlevő kicsiny aquitánfoltot.
A föntebb említett szakértői szemle alkalmával jutottam el Gyalu-
1 Egyenes idézet Róth Flóris bányaigazgató úrnak e tárgyban kérésemre
hozzám írt szíves leveléből.
2 Ma már 18 újabb bányakutató próbál itt jogosítványokat szerezni egymás
hegyin-hátán. Teljes tehát a zűr-zavar, annál is inkább, miután még mindég nem
áll rendelkezésre egy hivatalos kollektiv térkép.
ÚJABB ADATOK A ZSILVÖLGYI RÉTEGEK ELTERJEDÉSÉHEZ. 307
Babiba. S ámbár eleintén a leghatározottabban tamáskodtam abban,
hogy itt bármiféle szén is előfordulhasson, az előző napi merisori tapasz¬
talatok, illetve az eddigi térképek bebizonyult megbízhatlansága némi=-
kép előkészítették a meglepetést.
Minden esetre jellemző, hogy ezen a kicsiny — 3A km. hosszú,
Va km. széles — aquitán folton öt táró nyílását láthattam ; s ezek közül
három már több mint egy évtizede készült. Ezek állapota természetesen
lehetetlenné tette a behatolást, de a külső viszonyokból Ítélve amúgy
sem Ígértek semmi tanulságost. Ebben a tekintetben egyedül a legújabb
táró, s a mellette lévő mélyfúrás nyújthattak volna reménységet. A táró
előrehajtása folyamatban volt, de miután a külsőségek nem hagytak
fönn kétséget szerepemet illetőleg, nem csoda, hogy nem találhattam
módot a bejutásra. Némi körültekintés után és alkalmas egyén kikérde¬
zése révén mégis sikerült némi tájékozódást szereznem.
A 12h irányú reményvágatot mintegy 75 m.-nyire hajtották előre.
A hányon levő anyag tanúsága szerint ebből
törmelékre „„ . . _ _ „„ „„ mintegy 20 m
durva fehér kvarczhomokra .... .... ..„ « 8 «
szürke homokos agyagmárgára (Potami¬
des margaritaceus) ..„ .._ .... .... « 30 «
kövületben szegényebb palás agyagra
(Cyrena) ... . .... '..... .... « 17 «
»esik. Szénrétegre eddig még nem bukkantak.
A hányon levő anyagból hamarosan összegyűjtöttem néhány csiga-
ús kagylóhéjat.
Mint előbb is jeleztem, két fàcies tűnik föl: a mélyebb szintben
a Potamides margaritaceus , valamint a Nerüinák uralkodnak, míg a
felsőben a kagylók, főként Cyrenák.
De tekintsük meg a faunát közelebbről is.
1. Potamides margaritaceus Brocc. tömegesen van képviselve.
Egyetlen példányon a calcaratus- jellegek is megvannak.
2. Potamides plicatus LAM.-nak csak egyetlen, de biztosan meg¬
határozható töredéke került gyűjtésembe.
3. JSIeritina picta Fér. teljesen sértetlen, színes héjú példányai
igen gyakoriak.
4. Melanopsis Hantkeni Hofm. szintén igen gyakori.
5. Cyrena semistriata Desh. tömeges jelenléte határozottan kimu¬
tatható, míg a
6. Cyrena Brongniarti BAST.-fajt egyes töredékeiből inkább csak
gyanítani lehet.
20*
308
d; GAÁL ISTVÁN
Ezeken kívül azonban még számos fajra lehet ebből a rétegből
számítani, a mint azt a sok apró Cerithium , Buccinum, Mytilus ,
Ranella ? stb. héjtöredék bizonyítja.
A felső réteg már nincs annyira zsúfolva csiga- és kagylóbéjjal,
sőt itt-ott csak elszórtan fordul elő egy-egy példány. A fauna lényege¬
sen különbözik az előbbitől, a mint ezt a következő sorozat igazolja :
1. Cyrena semisíriaUi Desh. mondható az uralkodó fajnak, míg a
C. Brongni ar ti - n ak csak határozatlan nyomaira akadtam.
2. Tellina aff. compressa Brocc. szintén igen gyakorinak mond¬
ható, de vékonyabb héja miatt gyöngébb megtartású. Ezeken kívül a
3. Melanopsis Hantkeni Hofm.
4. Melania falcicostata Hofm.
5. Cerithium sp. (moravicum Horn. ?)
6. Prososthenia ? sp.
egy-két töredékes példánya és sok Ostracoda , meg F oramini]' er a van
gyűjtött anyagomban, a mely ilyformán kétségtelenné teszi, hogy a rész¬
letes gyűjtés elég nagyszámú és érdekes faunát ismertetne meg innen.
Sajnos, hogy a táró mellett látható fúrás, illetve akna szolgáltatta
adatoknak nem tudtam birtokába jutni, s csak hallomás után írom, hogy
a 40. méteren az abszolút fekűt ütötték meg. S tekintve a miniatür-
medencze arányait, ez az adat megbízhatónak látszik, jóllehet a leg¬
nagyobb mélység ennek kétszeresét is meghaladhatja. Ezt egy tektonikai
mozzanatból következtetem. Az új tárótól DNy-ra ugyanis egy 0*6 — 0*8 m.
vastag aquitán szénpad látható, melynek DDNy felé 60° -kai való dűlé-
sét csak áthajlással magyarázhatom, a mi a gyűrődés intenzív voltát
bizonyítja, s így a szinklinális ráncz valóságos hasadékformává torzul¬
hatott. Ez a körülmény pedig előrelátliatóvá teszi, hogy a gyalu-babii
aquitán sztratigrafiai és tektonikai viszonyait szintén csak mélyfúrások
útján ismerhetjük meg alaposan. Eléggé sajnálatos, hogy a nagyobb
arányú kutató és föltáró munkálatokat az' itteni aquitán semmikép sem
igazolhatja, mert az itt előforduló — egyébként jó minőségű — kevés
szenet egy-két oláh faszenes kocsis könnyedén elfuvarozhatja.
*
Sowohl die Täler des Ungarischen und Bumänischen Zsil, als
auch die Kessel, Becken, Plateaus und Bergketten der nächstliegenden
Umgebung sind wahre «loci classici» der in geologischer Hinsicht strit¬
tigen Gebiete. Es wird gewiss genügen die Diskussion über den Zsil-
durchbruch (Inkey, Lehmann. Martonne, Mrazec) oder die noch immer
VERBREITUNG DER ZSILTALER SCHICHTEN.
309
offene Streitfrage : wohin ist die sogenannte Aquitanische Stufe einzu¬
reihen ? — (Blanckenhorn, Fuchs etc.) zu erwähnen.
Es sei mir gestattet darauf hinzuweisen, dass ich seiner Zeit diese
Fragen zu erörtern beabsichtige. Diesmal will ich mich aber nur mit
der Frage beschäftigen, ob Aquitanische Schichten nördlich vom Banicza-
Pass vorhanden sind oder nicht ?
Ich möchte hier von der näheren Besprechung der gesamten
diesbezüglichen Literatur absehen und weise nur darauf hin, dass bereits
K. Hofmann sich auf Stur berief, dessen Beobachtungen, dass das Aqui¬
tanien sich auch in das Hátszegei’ Becken erstreckt, auch seinerseits be¬
kräftigt werden können.
Hofmann1 zählt übrigens die von ihm bei Busest gesammelten
folgenden Arten auf :
Potamides margaritae eus Brocc., Calyptraea chinensis L., Corbula sp.
(subarata Sandb.), Cyrena semistriata Desh., Mytilus Haiding eri Hörn.,
Dreissensia Brardii Brong.
Hofmann hat aber den Fehler begangen, dass er die bis dazumal
fossilleer aufgefassten Schichten (hauptsächlich Sandsteine) des Hátszegei’
Beckens auf seiner Karte als Aquitanien bezeichnet hatte. Diese Auffas¬
sung übernahm auch der die Detailaufnahme durchführende Geologe
J. Halaváts, obzwar ihm inzwischen Br. F. Nopcsa den Fundort der
oberkretazischen Dinosaurierreste zeigte. Halaváts änderte seine Auf¬
fassung nur später, als Nopcsa in mehreren Abhandlungen die geologi¬
schen Verhältnisse des Hátszegei’ Beckens klarlegte.
Jetzt aber auf Grund dessen, dass die oberkretazischen Ablagerun¬
gen der nächsten Umgebung von Hátszeg und Puj auf der geologischen
Karte als Aquitanien bezeichnet waren, erklärte Nopcsa auch die im
Petrosz-Merisorer Kessel befindlichen und bis zum Banicza-Pass sich
erstreckenden Bildungen für Danién. Diese Auffassung brachte er aus¬
fühl lieh in seinem Werke: «Zur Geologie der Gegend zwischen Gyula-
fehérvár, Déva, Buszkabánva und der rumänischen Landesgrenze » 2 zum
Ausdrucke.
Als Curiosität möchte ich das Werk Kalecsinszkys (8) erwähnen,
in welchem er die Gebilde von Merisor und Umgebung als pannonisch
bezeichnet, ohne aber diese alleinstehende Ansicht zu begründen.
Soviele, sich einander widersprechende Daten müssen unbedingt
1 K. Hofmann: Kohlenbecken des Zsilthales. Bpest, 1870.
2 Mit einer kolor. geol. Karte. (Mittheil, ans d. Jahrb. d. kgl. ung. Geol.
Anst. Bd. XIV. Heft 4.) Bpest, 1902—1906.
310
DE ST. GAÁL
die Aufmerksamkeit des auf diesem Gebiete beschäftigten Geologen er¬
regen. Nach wiederholten Ausflügen im Gebiete gewann ich über die
stratigrafischen Verhältnisse ein klares Bild. Ich glaube der Sache durch
die Beilegung der kolorierten geologischen Karte sowohl was Kürze der
Besprechung, als auch leichtere Verständlichkeit anbelangt, dienlich
gewesen zu sein.
Ich will diesmal die kry stalli nischen Schiefer und das Mesozoicum
nicht eingehender besprechen. Ich bemerke blos, dass ich die Lias¬
schichten (?) der Peatra Zanoaghei nicht angelegt habe, hauptsächlich,
weil ich sie nicht gründlich untersuchte.
Was nun das Aquitan anbelangt, erwähne ich allererst den sich
auf den Cenomankalkstein auflagernden rot.hen Sandstein, der am besten
beim Zusammenfluss des Tiszu- (auf der Karte «Tininerele») und Petrosz-
baches aufgeschlossen ist. Dieser rothe Sandstein ist zwar dem Danién
vom Hátszegei* Becken sehr ähnlich, ich möchte ihn aber vorläufig in
das Paläogen einreihen, auf Grund dessen, dass ich den weissen Grob¬
sand dieser Gegend als äquivalente Bildung des roten Sandsteines auf¬
zufassen geneigt bin. Dieser weisse Grobsand ist nämlich meinen
Erfahrungen nach streng an den Aquitan gebunden (Petrosz, Merisor,
Krivádia, Nagy-Bár, Gyalu-Babi). Er ist leider fossilleer.
Die hierauf folgenden unzweifelhaft aquitanischen Ablagerungen
sind am besten im Tiszutal aufgeschlossen. Der Komplex beginnt mit
einer grauen, mergelartigen Sandschichte, deren nur eine dünne Partie
in der Nähe der zwei Kohlenflötze fossilführend ist. Die Schichten fallen
gegen 3h mit 45° ein.
Die einander nahe kommenden Kohlenflötze sind 30 — 40 cm. stark.
Die begleitenden Mollusken sind:
Potamides margaritaceus Brocc.
Potamides plicatus Lam.
Cyrena semistriata Desh.
Cytherea incrassata Sow.
Im Hangenden stossen wir auf groben Sand und Konglomerat, mit
denselben (aber schlechter erhaltenen) Petrefakten. Darauf sehen wir
eine gelbe Sandschichte (fossilleer), in deren Hangendem aber sandiger
Ton auflagert, welcher die folgenden, ziemlich gut erhaltenen Arten führt :
Potamides margaritaceus Brocc.
Potamides plicatus Lam.
Cerithium scabrum Olivi.
Neritina picta Fér.
Calyptraea sp.
Melanopsis Hantkeni Hofm.
VERBREITUNG DER ZSILTALER SCHICHTEN.
311
Dann ist ein brauner, mergelartiger Sand mit zahlreichen, sehr
gut erhaltenen verkohlten Blattabdrücken zu erwähnen, dessen Hangendes
von grauem, sandigem Mergel — mit einem dünnen Kohlenflötz — ge¬
bildet wird.
Hier gehen uns aber die natürlichen Aufschlüsse aus und wir sind
auf die zwei Stollen des Riedes «Prislop» gewiesen. (Dieser Ort liegt in
einer mittelst Aneroid gemessenen 740 m. Höhe ü. d. M.)
Den unteren Stollen habe ich selbst nicht besichtigt und sammelte
nur auf der Halde desselben. Ich fand hier:
Potamides margaritaceus Brocc.
Potamides plicatus Lam.
und näher nicht bestimmbare Schalen von Cytherea -, Cyrena-, Ostrea- ,
Mytilus- Arten. Die Spuren der Steinkohle scheinen hier spärlich zu sein.
In jeder Hinsicht interessanter und ausgiebiger waren die Beobach¬
tungen und das Sammeln im oberen Stollen und auf dessen Halde.
Im Stollen (der damals nur 14 m. lang war), fand ich das Einfallen
wieder nach NE. Das Kohlenflötz ist 0'3 — 0*5 m. stark. Bei der Aus¬
beutung dieses Punktes stellte sich heraus, dass hier beinahe sämtliche
Arten des Zsiltales Vorkommen. Die Schalen der Mollusken sind gut
erhalten.
Die bis jetzt bestimmten Arten sind :
Potamides margaritaceus Brocc.
« « var. calcaratus Grat.
« plicatus Lam.
Cerithium scabrum Olivi.
« cf. moravicum Hörn.
Melanopsis Hantkeni Hofm.
Calyptraea striatella Nyst.
Buccinum sp. ( ternodosum Hilb. ?)
Neritina picta Fér.
« sp. (Férussaci?)
Murex conspicuus Braun.
Cyrena sp. (magnidentata Blance. ?)
« semistriata Desh.
« Brongniarti Bast.
Mytilus sp.
Ostrea cyathida Lam.
« fimbriata Grat.
Cytherea incrassatu Sow.
Corbula (an nov. sp.)
312
D? ST. GAAL
Ich kenne ausser den Aufschlüssen des Tiszutales nur noch einen
Fundort, der sich im Bette des von Retyita kommenden Baches in der
Nähe von Merisor befindet. Hier sehen wir graue, mergelartige Sand-
und Tonschichten, mit einem dünnen Kohlenflötz und den begleil enden,
ziemlich schlecht erhaltenen Arten von Potamides , Cyrena, Cytherea etc.
Die Schichten fallen gegen NW mit 30° ein.
Auf dieser Stelle kann auch der jüngere sich auf die Aquitan-
gebilde lagernde Komplex gut beobachtet werden. Er besteht auf diesem
Punkte aus Sand- und Konglomeratschichten, auf dem Bergrücken des
Brami (738 m.) aber und im Tiszutal enthält er auch lignitartige Ein¬
lagerungen. Molluskenreste gehen ihm völlig ab, wir finden aber in der
Arbeit Suess’ (18) die miozänen Säugetiere
Aceratherium cf. Goldfussi Kaup.
Listriodon splendens H. Mey.
mit den Fundorten Petrosz und Merisor (Konglomerat) zitiert.
Auf meiner beiliegenden Karte ist diese jüngere Ablagerung nicht
bezeichnet, da ich bestrebt war das Aquitanien dieser Gegend möglichst
scharf einzustellen.
Bezüglich der Vergleichung des Merisorer Aquitans mit dem des
Zsiltales, resp. was die Parallelisierung mit der entsprechenden Gruppe
der Zsiltaler Ablagerungen betrifft, so kann am meisten auf den Aufsatz
Blanckenhorns (2) und auf die Monographie von Andreics-Blaschek :
«Zsiltaler Gruben» (1) hingewiesen werden.
Es stellt sich heraus, dass die Schichtengruppe zwischen dem IV.
und VIII. Kohlenflötze dieselbe ist, welche sich durch Potamides mar-
garitaceus auszeichnet.
Die Sache näher betrachtet, finden wir, dass die Fauna des Han¬
genden des VII. Kohlenflötzes sozusagen genau mit der des oberen
Stollens übereinstimmt. Blanckenhorn führt nämlich vom genannten
Orte folgende Arten an :
Mytilus aquitanicus May., Ostrea cyathula Lam., Cyrena Brongniarti
Bast., Cyrena magnidentata Bl ance., Tellina aff. compressa Brocc., Calyptraea
striatella Nyst., Potamides margaritaceus Brocc.. Potamides plicatus Lam..
Melanopsxs Hantkeni Hofm.
Diese Ablagerungsgruppe ist im Merisorer Becken allerdings etwa
200 m. mächtig, während sie im Bohrloch von Livazény bloss 40 m.
beträgt, anderseits aber in dem südlichen Flügel des Petrozsényer Bassins
ein Bruchtheil des Csimpaer Stollens, der diese Schichten durchschnei¬
det, in der Deäk-Grube 140 m. beträgt. Übrigens ist es eine alte Erfah-
VERBREITUNG DER ZSÏLTALER SCHICHTEN.
313
rung, dass die Mächtigkeit der Ablagerungen ein und derselben Periode
schon in geringer Entfernung bedeutende Differenzen zeigen.
Die Achse (E — W) des so eingehend charakterisierten Petrosz-
Merisorer, durchschnittlich 1*5 km. breiten Aquitan-Beckens ist beiläufig
10 km. lang.
Wie schon erwähnt, habe ich das Gebiet W-lich von Petrosz noch
nicht erforscht, somit kann ich das Vorhandensein des Aquitans in der
Pujer Mulde nicht für ganz ausgeschlossen betrachten. Es scheint aber
der weisse Grobsand ein gutes Orientierungsmittel zu sein und dieser
kommt nur W-lich von Petrosz vor.
Auf Grund des oben gesagten kann ich die Notwendigkeit einer
gründlichen Aufschliessung des Merisorer Beckens nicht genug betonen.
Bohrungen auf geeigneten Stellen würden gewiss zu wertvollen Resulta¬
ten führen. _ _
Während das Aquitanien des Merisorer Beckens eine grosse lite¬
rarische Vergangenheit besitzt, entging eine kleine, kesselförmige Aus¬
breitung des Krivádiatales ganz der Aufmerksamkeit der Geologen.
Gyalu-Babi, ein kleines, kaum einige Häuser zählendes, elendes Dorf
liegt in diesem Tale. Über seine geologischen Verhältnisse findet man
in Hofmanns obenerwähnter Arbeit einige Angaben, resp. soviel, dass
sowohl der Talkessel, als auch der Gebirgsrücken von Gyalu-Babi aus
lauter krystallinischem Schiefer besteht. Das beleuchtet er auch durch
ein geologisches Profil. Da man auf Hofmanns späterer Karte auch
keine anderen Daten findet, so verrät auch Nopcs as Karte den hier
tatsächlich vorhandenen Aquitanflecken nicht.
Es gibt zwar hier 5 Stollen, deren 4 aber in solchem Zustande sind,
dass ihre nähere Besichtigung unmöglich ist. Der neueste Stollen w7äre
eine angenehme Ausnahme, es war aber hier der Eintritt — leider —
für mich unmöglich gemacht. Von Nachfragen und aus dem Materiale,
das sich auf der Halde befindet, konnte ich mir dennoch einen Begriff
von den bisherigen Ergebnissen verschaffen.
Dieser Stollen ist gegen 12h (in der Richtung des Einfallens) bis
auf 75 m vorgetrieben. (Diese letzte Angabe stimmt mit dem Materiale
der Halde gut überein.) Man kann
auf Gerolle . . . . . „„ „„ „„ cca. 20 m.
auf weissen Grobsand (das Liegende des Aquit.) « 8 «
auf grauen, sandigen Tonmergel (mit Pota¬
mides margaritaceus) « 30 «
auf Tonschiefer (mit Cyrena)„„ „„ „„ „„ « 17 «
Länge des Stollens rechnen.
314
D? ST. GAÁL
Steinkohle wurde noch nicht gefunden. (5. Okt. 1910.)
Als ich das Material der Halde noch genauer betrachtete, fiel mir
sofort die Verschiedenheit der Faunen der letztgenannten zwei Ablage¬
rungen auf.
Im sandigen Tonmergel sammelte ich :
Potamides margaritaceus Brocc.
Potamides 'plicatus Lam
Neritina picta Fér.
Melanopsis Hantkeni Hofm.
Cyrena semistriata Desh.
Cyrena Brongniarti Bast.
sowie auch Fragmente von Cerithium , Buccinum, Mytilus , Ranella ? etc.
Im Tonschiefer kamen folgende Arten vor :
Cyrena semistriata Desh.
Tellina aff. compressa Brocc.
Melanopsis Hantkeni Hofm.
Melania falcicostata Hofm.
Cerithium sp. ( moravicum Hörn. ?)
Prososthenia ? sp.
Es muss aber betont werden, dass die Schnecken nur sehr spär¬
lich Vorkommen, während die zwei Muschel- Arten dominieren.
Es ist eigentlich zu bedauern, dass die intensiveren Schürfungen
und sonstigen Arbeiten in Gyalu-Babi nicht gerechtfertigt sind, weil
das dortige Aquitanien — infolge seiner Winzigkeit - — nur sehr wenig
Steinkohlen enthält.
ERKLÄRUNG VON TAFEL VIH.
Farbensc hl üssél: gelb = aquitanische Stufe ; grün — obere Kreide ;
blau — Kalkstein (Titlion-Neocom) ; rosa — Phyllite ; rot — kristall. Schiefer.
Zeichenerklärung: Die Zeichen sind dieselben wie auf den Karten
des militär-geographischen Institutes.
Kohlenbecken: I. Zsiltal ; IL Gyalu-Babi; III. Merisor.
IRODALOM. — LITERATUR.
1. Andreics J. és Blaschek A. : A Salgótarjáni Kőszénbánya R.-T. zsilvölgyi
bányáinak monográfiája. Budapest, 1903.
2. Blanckenhorn, M. : Das Alter der Schyltalschichten in Siebenbürgen und
die Grenze zwischen Oligozän und Miozän. (Zeitschr. d. Deutsch, geol. Gesellsch.)
Berlin, 1900.
VERBREITUNG DER ZSILTALER SCHICHTEN.
315
3. Fuchs, T. : Tertiär-Fossilien aus dem Becken von Bahna. (Verhandl. d.
k. k. geol. Beichsanst.) Wien, 1885.
4. Fcchs T. : Harmadkori kövületek Krapina és Badoboj környékének szén¬
tartalmú miocénképződményeiből és az úgynevezett «aquitaniai emelet» geológiai
helyzetéről. (Földt. Int. Évk. X. köt.) Budapest, 1892 — 94.
5. Halaváts Gy. : Adatok a hátszegi medencze földtani viszonyainak ismere¬
téhez. (Földt. Int. évi jel. 1896-ról.)
6. Hofmann K. : A zsilvölgyi szénteknő. (Magyarhoni Földt. Társul. Munká¬
latai. V. köt.) Pest, 1870.
7. Inkey B. : A szentp éterfalvi rétegek korának megállapításáról. (Földt. Közi.
XXXIV. köt.) Budapest, 1904.
8. Kalecsinszky S. : A magyar korona országainak ás vány szenei. (A m. kir.
Földt. Int. kiadv.) Budapest, 1901.
9. Koch A. : Az erdélyrészi medencze harmadkori képződményei. I. rész.
(Földt. Int. Évk. X. k.) Budapest, 1892—94.
10. Lehmann, P. : Die Südkarpathen zwischen Betyezát und Königstein.
(Zeitschr. d. Gesellsch. f. Erdkunde.) Berlin, 1885.
11. Martonne, E. : Sur l’histoire de la vallée du Jiu. (Compt. rend. d. l’Acad
d. scienc. CXXIX.) Paris, 1899.
12. Mrasec, L. : Contributions à l’histoire de la vallée du Jiu. (Buletinul
societ, d. sciint. din Bucuresti. VIII.) Bucuresti, 1899.
13. Nopcsa F. br. : Adatok a Zsilvölgy geológiájához. (Bányász, és Koh. Lapok.)
Budapest, 1903.
14. Nopcsa, F. br. : Vorläufiger Bericht über das Auftreten von oberer Kreide
im Hátszeger Thaïe in Siebenbürgen. (Verhandl. der k. k. geol. Beichsanst.) Wien, 1897.
15. Nopcsa F. br. : Jegyzetek Hátszeg vidékének geológiájához. (Földt. j^özl.
XXXIX. k.) Budapest, 1899.
16. Nopcsa F. br. : A Gyulafehérvár, Déva, Buszkabánya és a romániai határ
közé eső vidék geológiája. (Földt. Int. Évk. XIV. köt.) Budapest, 1905.
17. Sawicky, L. : Die jüngeren Krustenbewegungen in den Karpathen. (Mit¬
teil. d. geol. Ges.) Wien, 1909.
18. Suess, E. : Neue Säugethiere aus Österreich. (Verhandl. d. k. k. geol.
Beichsanst.) Wien, 1870.
IX.
ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNGARICl.
1911.
INSECTORUM MESSIS IN INSULA CRETA A LUD. BIRO
CONGREGATA.
IL HYMENOPTERA : CHRYSIDIDAE.1
Recensuit A. Mocsárt.
Ex insula Creta hucusque 8 tantum species Chrysi didarum erant
cognitae (W. A. Schulz : Spolia Hymenopterologica, pag. 33 — 34), nempe :
Philoctetes deflexus Ab., Hedychrum luculentum Forst., Chrysis varii-
cornis Spin., Taczanovskii Rad., analis Spin,, scutellaris F., ignita L.
et Fertoni Buyss. Dom. Bíró Hedychrum, luculentum, , Chrysidem scutel-
larem et Fertoni non reinvenit; sed 18 alias — unam novam — ex
insula Creta hucusque non memoratas species collegit.
1. Ellampus auratus L. var. maculatus Buyss. — Canea YII (1 ex.).
2. « Bogdanovii Rad. — Canea VII (28), Omalos 18/ Vili
(2), Antrum Jovis, Mons Ida (4).
3. « (Philoctetes) deflexus Ab. — Herakleion 2/VI (1),
Antrum Jovis, Mons Ida (1).
4. Holopyga chrysonota Forst. — Herakleion (1).
5. Hedychrum longicolle Ab. — Herakleion (2).g
6. Chrysogona pumila Kl. — Canea (1), Herakleion (1).
7. Chrysis Humboldti Dhlb. — Anoya 2/VII, Ins. Dia 6/V (2).
8. « variicornis Spin. — Herakleion (1), Antrum Jovis,
Mons Ida (1).
9. « ignifrons Brulle. — Antrum Jovis, Mons Ida (1).
10. « auropicta Mocs. — Amari 4/ VI (2).
11. Chrysis (Holochrysis) cretica n. sp. — Submediocris, sat
robusta, cyanescenti-viridis, longius cinereo-alboque pilosa ; vertice meso-
pleurisque concinne auratis, metathoracis area mediana magis cyane-
scente ; fronte, pro- et mesonoto scutelloque et abdominis segmentis
dorsalibus igneo-auratis cupreoque lavatis ; capite pronoto latiore, cavi¬
tate faciali lata, minus profunda, dense punctato-coriacea parciusque
1 I. Orthoptera, ree. D. Kuthy. (Ann. Mus. Hung. V. 1907. p. 551 — 555. )
INSECTORUM MESSIS IN INSULA CRETA CONGREGATA.
317
albo-pilosa, superne convexa, non marginata ; antennis longiusculis,
minus crassis, fuscis, cano -puberali s, articulis tribus primis viridi-sub-
auratis, tertio longo, quarto duplo longiore; genis longis, articulo anten¬
narum tertio æquilongis, subtus convergentibus; vertice thoracisque
dorso dense, minus crasse ac profunde, irregulariter punctato -reticulatis ;
pronoto haud longo, metanoti dentibus postico lateralibus proporciona-
liter validis, su bobtus is ; abdominis segmentis dorsalibus valde dense
subtiliter rugosiuscule punctatis, secundo carinula mediana non satis
distincta, angulis postico-lateralibus subrotundatis, tertio convexo, supra
seriem leniter incrassato, foveolis minutis rotundatis circiter 12, mar¬
gine apicali sat lato, dense punctulato, arcuato-integro ; ventris segmentis
duobus primis igneo -auratis, secundo utrinque macula magna fusco-nigra,
tertio fusco-nigro, centro indistincte purpurascenti ; pedibus aurato -
viridibus, tarsis fuscis ; alis parum sordide hyalinis, iridescentibus, venis
fuscis, cellula radiali triangulariter lanceolata penitus completa, tegulis
aurato-viridibus. j . Long. 6 mm.
Ganea, mense Julio ; specimen unicum.
Chrysidi smyrnensi Mocs. similis et affinis ; sed paullo maior,
capite thoraceque supra non nigro-, sed cinereo-pilosis, fronte igneo -
aurata, abdominis segmento dorsali primo basi superne viridi-aureo non
limbato, nec ventrali tertio medio longitudinaliter subtilius sulcato,
præsertim distincta. — Etiam exemplaribus minoribus Chrysidis dichroae
Dhlb. similis ; sed capite thoraceque ex parte non cyaneis et non
nigro-pilosis, punctatura multo subtiliore, foveolis haud numerosis,
minutis, ventris segmentis : secundo utrinque macula magna nigro-
fusca, tertio fusco-nigro centro purpurascenti, optime distinguenda.
12. Chrysis variegata Curt. (Leachii Shuck.) — Ins. Dia 25 /Y (2).
13. « t aurica Mocs. — Ins. Dia 25/Y (1).
14. « viridula L. var. cingulicornis Eörst. — Herakleion (3).
15. « « var. pyrrhina Dhlb. — Canea YII (1).
16. « analis Spin. — Antrum Jovis, Mons Ida (1).
17. « Grohmanni Dhlb. — Herakleion (1).
18. « ignita L. — Herakleion (1).
19. « cerastes Ab. — Herakleion, Ins. Dia 25/ Y, Amari
4/YI (15).
20. « Tüczanovskii Rad. — Amari 4/Y (4).
21. « inaequalis Dhlb. — Antrum Jovis, Mons Ida (1).
IX.
ANNALES MUSEI NATION ALIS H UNGARICI.
1911.
A NAGYBÁNYAI PYRARGYRIT CHEMIA! ELEMZÉSE.
LoCZKA JÓZSEF-tŐl.
I. közlemény.
CHEMISCHE ANALYSE DES PYBABGYBITES
YON NAGYBÁNYA.
Yon Josef Loczka.
I. Mittheilung.
Z imán y i Kákoly in. nemz. múzeumi őr chemiai megvizsgálás czéL
jából a sötétvörös színű, kagylós törésű ásványból két darabkát bocsá¬
tott rendelkezésemre. A kisebb darabkán kévés calciton kívül más ásvány
nem volt, a nagyobbik darabkán calcit, kevés pyrit, valamint több helyen
apró kristálykákból álló feketének látszó anyag ült, melynek minemű-
ségét csekélységénél fogva megállapítani nem lehetett.
A kristálytani adatokat, valamint az előfordulás körülményeit
Zimányi külön dolgozatban közölte.4
A chemiai vizsgálathoz kikeresett egészen tiszta anyag az egyik
végén zárt üvegcsövecskében hevítve szétpattog, azutan feketének látszó
cseppé olvad meg, mialatt igen gyenge fehér lepedék rakódik le a csö¬
vecske falaira ; erősebb hevítésnél a lepedék is erősebb lesz, melynek
közepén gyenge vöröses lepedék jelenik meg; vörös izzásnál a fehér
lepedék apró cseppecskékből álló gyűrűt képez, utána egy hosszabb
téglavörös gyűrű következik.
Nyílt csövecskében hevítve szintén fehér és téglavörös lepedék
keletkezik, valamint erős kéndioxydszag lép föl.
A porrá tört ásvány meleg konczentrált kénsavban megfeketedik,
erősebb melegítésnél kéndioxydfejlődés mellett teljesen feloldódik.
Natriumhydroxyd-, valamint natriumszulfidoldatban a porrá tört
ásvány megfeketedik, mindkét leszűrt oldatból savak antimonszulfidot
választanak le.
1 Zimányi Károly: Újabb adatok a nagybányai pyrargyrit kristálytani isme¬
retéhez. (Ann. Mus. Hung. IX. 1911. p. 251 — 262, öt ábrával.)
A NAGYBÁNYAI PYRARGYRIT CHEMIAI ELEMZÉSE.
310
Ha az ásvány porát konczentrált foszforsavval forraljuk, kénhyd-
rogengáz fejlődik.
Ha az ásvány porát füstölgő sósavval leöntjük, akkor kénhydrogen-
gáz fejlődik, az ásvány színe világosabb lesz s a gázfejlődés is alább¬
hagy, mert a keletkezett ezüstchlorid a még meg nem támadott ásvány¬
port bevonja s így a sav további hatását megakadályozza; ha azonban
elegendő sav jelenlétében az egészet melegítjük, az ásvány teljesen föl-
bontatik, sőt az ezüstchlorid legnagyobb része is feloldódik, mely a kén-
hydrogen eltávolítása és borkősav hozzáadása után vízzel való hígítás¬
kor ismét leválik.
Az ásvány ként, antimont, csekély mennyiségű arsent, igen kevés
rezet és vasat tartalmaz.
I. fs. 17*5 C°— 20*7 C°-on 1*23405 gr. anyaggal = 5*851.
Ezen meghatározásnál a pyknometer bedugaszolásakor az ásvány¬
ból nyomok elvesztek.
II. fs. 19 C° — 19*9 C°-on 1*23295 gr. anyaggal = 5*853
A két kísérlet középértéke „„ „„ _ „„ — 5*852.
Az elemzésre kikeresett s porra tört tiszta anyagot 100 — 105C°-on
megszárítva lemértem s az I. és II. adagot száraz chlorgázzal, a III-ikat
királyvizzel felbontottam.
Az antimont és arsent Bunsen módszere szerint elválasztottam, az
ezen elválasztásból származó antimont mint pentaszulfidot határoz¬
tam meg.
Az arsenpentaszulfid azonban még láthatólag kevés antimont tartal¬
mazott, azért még egyszer Bunsen módszere szerint kezeltem, de a le¬
választott arsenszulfid még most is antimont tartalmazott, azért a csekély
arsen- és antimonszulfidból a szűrőn az antimonszulíidot erős sósavval
kioldottam. Az ezen kezelésből, valamint a második BuNSEN-féle elválasz¬
tásból származó oldatokból az antimont kénhydrogennel leválasztottam
s mint antimontetroxydot meghatároztam.
Lehet, hogy az antimon egy csekély része azért maradt vissza az
arsennél, mert az antimont és arsent tartalmazó oldathoz öntött telített
kénhydrogenvizet csak 2 3 perczig engedtem hatni s azután erős lég¬
árammal azonnal eltávolítottam a folyadékból.
A sósavval való kezelésből a szűrőn maradt arsensulfidot ammo-
niumhydroxydban oldottam és szárazra pároltam a maradékot füstölgő
salétromsavval kezeltem s az arsent mint pyroarsen savas magnesiát
meghatároztam.
Ezeknél az elválasztásoknál igen kevés arsen maradhatott vissza
320
LOCZKA JÓZSEF
az antimonnál s ez a rész így a meghatározást elkerülte. Azért egy
második rövid közlemény az arsen s ezzel együtt az antimon új meg¬
határozását fogja tartalmazni.
Az ásvány többi alkatrészeit is ismert módszerek szerint határoz¬
tam meg.
I. 0*5522 gr. anyag adott: 0*71599 gr. bariumszulfátot.
II. 0*5145 gr. anyag adott: 0*0009 gr. vasoxydot, 0*00046 gr. réz-
oxydot, 0*1869 gr. antimonpentaszulfidot, 0*00153 gr. antimontetroxydot,
0 0009 gr. pyroarsensavas magnesiát.
III. 0*51589 gr. anyag adott: 0*41002 gr. ezüstchloridot.
Az ásvány százalékos összetétele a következő :
£ .... ... .... ....
.... „„ . 17*82
%
Ag
.. .... .... .... 59*82
«
Cu .... .... ....
.... _ .... „ 0*07
«
Fe . . _ ..
. . 0*12
«
Sb ... . .
..„ .„. .... 22*00
«
As •...; . y ...
9 .... .... 0*08
«
99*91
%
Ebből az összetételből a következő képlet adódott ki :
3 Ag„S . Sbç>S3 .
Talált :
Számított :
S %
.„ 17*82%
17*82%
Ag , .... __
.... 59*82 «
69*97 «
Cu .... .... .... .
„ .... _ .... 0*07 «
—
Fe . .
^ .... 0*12«
—
Sb . . .... .
.... .... _ .... 22*00 «
22*21 «•
As .... ... .... ....
.... .... 0*08 «
—
99-91 %
100-00%
*
Herr K. Zimányi stellte mir behufs chemischer Untersuchung von
diesem Mineral zwei Stückchen zur Verfügung. Das Mineral ist von
dunkelrother Farbe und muscheligem Bruch. Am kleineren Stückchen
war ausser wenig Calcit kein anderes Mineral bemerkbar, am grösseren
Stückchen sass Calcit, wenig Pyrit und ausserdem an mehreren Stellen
eine aus kleinen Kryställchen bestehende, scheinbar schwarze Substanz,
deren Identität der kleinen Menge wegen nicht bestimmt werden konnte.
Die krystallographischen Daten wie auch die näheren Umstände
. CHEMISCHE ANALYSE DES PYRARGYR1TES VON NAGYBÁNYA.
321
des Vorkommens wurden von Zimányi bereits an anderer Stelle be¬
schrieben.1
Die für die chemische Untersuchung ausgesuchte ganz reine Sub¬
stanz dekrepitiert in an einem Ende geschlossenen Glasröhrchen er¬
hitzt und schmilzt dann zu einem scheinbar schwarzen Tropfen, während
dessen sich an den Wänden des Röhrchens ein schwacher weisser An¬
flug ansetzt ; erhitzt man stärker, so wird auch der Anflug strärker, in
dessen Mitte ein schwach röthlicher Anflug erscheint; bei Rothgluth
bildet der weisse Anflug einen aus kleinen Tröpfchen bestehenden Ring,
worauf ein längerer ziegel r other Ring folgt.
Wird das Mineral im offenen Glasröhrchen erhitzt, so entsteht
auch ein weisser und ziegelrother Anflug, zugleich tritt ein starker
Schwefeldioxydgeruch auf.
Das pulverisierte Mineral schwärzt sich in conc. warmer Schwefel¬
säure, stärker erhitzt löst es sich unter Schwefeldioxydentwickelung
gänzlich auf.
Das pulverisierte Mineral wird so durch eine Natriumhydroxyd-,
wie auch durch eine Natriumsulfidlösung geschwärzt, aus den abfiltrier¬
ten Lösungen scheiden Säuren Antimonsulfid ab.
Wird das Mineralpulver mit conc. Phosphorsäure gekocht, so ent¬
wickelt sich Schwefelwasserstoffgas.
Wird das pulverisierte Mineral mit rauchender Salzsäure über¬
gossen, so entsteht eine Schwefelwasserstoffgas-Entwickelung, die Farbe
des Minerals wird heller und die Gasentwickelung schwächer, da das
gebildete Silberchlorid das noch unangegriffene Pulver umhüllt und so
die weitere Einwirkung der Säure verhindert; erhitzt man aber das
Ganze bei Gegenwart von genügender Säure, so wird es gänzlich zer¬
setzt, sogar der grösste Theil des Silberchlorids löst sich, welches nach
Entfernung des Schwefelwasserstoffgases und nach Hinzufügung von
Weinsäure, durch Verdünnung mit Wasser wieder ausfällt.
Das Mineral enthält Schwefel, Antimon, wenig Arsen, sehr wenig
Kupfer und Eisen.
I. Sp. G. bei 17*5°C — 20*7°C mit 1*23405 gr. Substanz = 5*851
Bei dieser Bestimmung gingen beim Zustopfen des Pyknometers
Spuren vom Mineral verloren.
1 Karl Zimányi: Nene Beiträge zur krystallographischen Kenntniss des
Pyrargyrites von Nagybánya. (Ann. Mus. Hung. IX. 1911. p. 251—262, mit 5 Text¬
figuren.)
Annales Musei Nationalis Hungarici. IX.
21
322
JOSEF LOCZKA
IL Sp. G. bei 19°C — 19*9°C mit 1 ’23295 gr. Substanz = 5’853
Mittelwerth . „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ = 5*852.
Die zur Analyse ausgesuchte und pulverisierte reine Substanz
wurde bei 100 — 105°C getrocknet und abgewogen. Die I. und II. Por¬
tion wurde mittelst trockenem Chlorgas, die III. durch Königswasser
zersetzt.
Das Antimon und Arsen wuide nach Bunsen’s Methode getrennt,
und das von dieser Trennung stammende Antimon als Pentasulfid be¬
stimmt.
Das Arsenpentasulfid enthielt aber noch sichtbar wenig Antimon,
darum wurde es noch einmal nach Bunsen’s Methode behandelt, das
Arsensulfid enthielt aber auch jetzt noch Antimon, darum wurde von
dem geringen Arsen- und Antimonsulfidniederschlag auf dem Filter das
Antimonsulfid mit starker Salzsäure aufgelöst. Aus der von dieser Be¬
handlung wie auch aus der von der zweiten Trennung nach Bunsen’s
Methode stammenden Flüssigkeit wurde das Antimon durch Schwefel¬
wasserstoffgas gefällt und als Antimontetroxyd bestimmt.
Es ist möglich, dass ein geringer Theil vom Antimon darum beim
Arsen zurückblieb, weil ich das zu der das Antimon und Arsen ent¬
haltenden Lösung hinzugefügte gesättigte Schwefelwasserstoffwasser nur
2 — 3 Minuten einwirken liess, worauf dasselbe durch einen starken Luft¬
strom aus der Flüssigkeit sogleich entfernt wurde.
Das von der Behandlung mit Salzsäure am Filter gebliebene
Arsensulfid wurde in Ammoniumhydroxyd gelöst und zur Trockene
verdampft, der Kückstand wuide mit rauchender Salpetersäure behandelt
und das Arsen als pyroarsensaure Magnesia bestimmt.
Bei diesen Trennungen kann sehr wenig Arsen beim Antimon
zurückgeblieben sein und dieser Theil entging so der Bestimmung.
Daher wird eine zweite kurze Mittheilung eine Neubestimmung des
Arsens nebst der des Antimons enthalten.
Die übrigen Bestandtheile des Minerals wurden auch nach bekann¬
ten Methoden bestimmt.
I. 0*5522 gr. Substanz gab: 0*71599 gr. Baryumsulfat.
II. 0*5145 gr. Substanz gab: 0*0009 gr. Eisenoxyd, 0*00046 gr.
Kupferoxyd, 0*1869 gr. Antim onpentasulfid, 0*00153 gr. Antimontetroxyd,
0*0009 gr. pyroarsensaure Magnesia.
III. 0*51589 gr. Substanz gab: 0*41002 gr. Silberchlorid.
CHEMISCHE ANALYSE DES PYRARGYRITES VON NAGYBÁNYA.
Die prozentische Zusammensetzung des Minerals ist folgende :
S . . _ „„ _ 17*82%
Ag . „„ „„ 59*82 «
Cu . . . „... 0*07 «
Fe „. . . „„ . 0*12 «
Sb . . 22*00 «
As . . . . 0*08 «
99*91%
Aus dieser Zusammensetzung ergab sich nachstehende Formel
. 3 Agß . Sbßs .
Gefunden : Berechnet :
S . 17-82% 17-82%
Ag „ . . .... .... _ 59-82 « 59'97 «
Cu ... . . ... _ ' ... „■ 0-07 «
Fe . . .... ... ... .... 0-12 «
Sb . L . . 22-00 « 22-21 «
As ... . . 0-08 « _ _
99-91% 100-00%
(Aus dem Chemischen Laboratorium des Ungarischen National-Museums.)
IX.
ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICI.
1911.
INSECTORUM MESSIS IN INSULA CRETA
A LUD. BIRO CONGREGATA.
III. PSEUDONEUROPTERA ET NEUROPTERA1
recensuit Alex. Pongrácz.
(Cum figura una.)
A) Pseudoneuroptera.
Termitidae.
1. Leucotermes lucifugus Rossi. — Heracleion.
JEmMidae.
2. Haploembia Solieri Ramb. — Ins. Dtiia.
Odonata .
3. Sympetrum meridionale Sélys. — Canea.
4. « Fonscolombei Sélys. — Canea.
5. Crocothemis erythraea Brulle. — Canea.
6. Orthetrum brunneum Fonsc. — Canea.
7. « albistylum Sélys. — Canea.
8. « coerulescens Eabr. — Heracleion.
9. Boy evia Irene Fonsc. — Amari.
10. Calopteryx splendens Harr. var. Cretensis nov. — A typo
differt: capite validiore, oculis majoribus, abdomine latiore.
Femina : Pterostigmate multo, fere duplo latiore, abdominis late¬
ribus late ochraceis. Mas : Alis parum angustioribus, fascia transversa
virescenti-ænea et nonnihil violacea.
Heracleion, Knossos (specimina sex).
1 I. Orthoptera, ree. D. Kuthy. (Ann. Mus. Hung. Y. 1907. p. 551—555.)
IL Hymenoptera : Chrysididæ, ree. A. Mocsáry. (Ann. Mus. Hung. IX. 1911.
p. 316—317.)
INSECTORUM MESSIS IN INSULA CRETA CONGREGATA.
325
11. Anapetes barbara Fabr. — Ganea.
12. Lestes viridis Vanderl. — Canea.
13. « sponsa Hans. — Canea.
14. Ischnura elegans Vanderl. — Heracleion, Knossos.
15. Ischnura pumilio Charp. — Heracleion, Canea.
16. Sympycna fusca Vanderl. — Knossos.
B) Neuroptera.
Ascalaphidae .
17. Bubopsis agrionoides Ramb. — Heracleion. *
Myrmeleonidae .
18. Myrmecaelurus trigrammus Pall. — Specimina cretensia:
corpore minore, maculis striisque longitudinalibus capitis et thoracis
multo pallidioribus, alis nitidioribus, latioribus brevioribusque, venis
dilutioribus et abdomine infuscato distinguenda sunt. — Canea.
Exemplaria 6 conformia examinavi.
19. Creagris plumbeus Oliv. — Heracleion, Amari.
20. Myrmeleon distinguendum Ramb. ( cinereum Klug). — \ Color
capitis thoracisque testaceus. Caput longitudine duplo latius. Vertice
inter oculos tumide elevato medioque
brunneo-maculato, occipite maculis tribus
simillibus, fronte plaga magna brunnea.
Clypeo bimaculato, orbitis oculorum in¬
ternis anguste et antennarum scapo tes¬
taceis, hoc apice brunneo-marginato, fla¬
gello brunneo. Antennis meso- et meta-
thoracis longitudine. Maxillis et lobis ma¬
xillaribus palporumque maxillarium arti- -
culis ultimis brunneis, horum articulo
ultimo articulo penultimo duplo longiore.
Pronotum medio fusco-brunneo-vitta-
tum, margine postico et utrinque macula,
colore simili, notatis, mesoet metanotum fusca, lobo mediano illius
late flavo, maculis duabus metanoti scutelloque apice rufis.
Pedes postici capite thoraceque simul sumptis longiores, testacei ;
femoribus, tibiarum tarsorumque apice infuscatis, nigro-spinosis ; arti-
Caput Myrmeleonis distinguendi
Ramb.
326
ALEX. PONGRÁCZ
culo primo seu metatarso tarsorum posticorum articulis tribus sequen¬
tibus longitudine æquali.
Alæ hyalinæ, iridescentes, posticæ anticis breviores, sed abdomine
paulo longiores, venis pallidis.
Abdomen fusco-nigrum, dense albo-setosum, segmentis anticis pos¬
tice anguste rufo-marginatis, tribus ultimis apice latius flavis.
Long. corp. 20 — 23 mm.
Long, alarum 45 — 50 mm.
Canea, Heracleion. Specimina quatuor reperta vidi.
IX.
ANNALES MÜSEI NATIONALIS HUNGABICL
1911.
MISCELLANEA HEMIPTEEOLOGICA.
I— Y.
*
Scripsit Dr. G, Horváth.
(Tab. IX.)
I. SPECIES AFRICANAE GENERIS PHYLLONTOCHEILA FIEB.
Jam anno 1909 (Ann. Mns. Hung. VII. p. 632) exposui, quod genus
Tingitidarum Ammianus Dist. ad genus Phyllontocheila Fieb. referen¬
dum sit. Porro in tractatu meo de Tingitidis a Dom. Yngve Sjöstedt
in Africa orientali repertis (Wissenschaftliche Ergebnisse der Schwedi¬
schen Zoologischen Expedition nach dem Kilimandjaro, dem Meru und
den umliegenden Massaisteppen Deutsch-Ostafrikas. II. 12. p. 62. [1910])
hanc synonymiam j^denuo confirmavi et præterea etiam demonstravi
Monanthiam erosam Fieb. sine ullo dubio speciem typicam generis
Phyllontocheila esse. Dom. W. L. Distant (Faun. Brit. Ind. Rhynch.
Y. 1910. p. 115) opinionem suam manifeste erroneam nihilominus im¬
pavide sustinet et genus suum Ammianus a Phyllontocheila distinctum
esse censet.
Nomen hujus generis verumtamen justo jure sic exhibitur :
Phyllontocheila Fieb.
Monanthia subg. Phyllontocheila Fieb. Ent. Mon. p. 59. (1844).
Phyllontochila Stal Ennm. Hem. III. p. 120. (1878) ; Horv. Sjöstedt’s Kili-
mandjaro-Meru Exped. II. 12. p. 62. (1910).
Species huc pertinentes Asiam meridionalem et regionem æthiopi-
cam inhabitant. Asiæ incolæ sunt: Phyllontocheila ; erosa Fieb. et pera-
kensis Dist. Species africanas mihi cognitas hoc modo dispono :
1 (14). Lobis lateralibus pronoti valde explanatis, margine eorum postico
sinuato, angulo externo postico distincto et spinula terminato, margine
antico spinulis duabus vel tribus armato ; elytris pone medium ple¬
rumque valde dilatatis, membrana costæ ad sinum costalem parte
328
Dì G. HORVÁTH
reliqua adjacente elytri sæpissime multo latiore. — Subg. Phyllonto-
cheila s. str.
2 (11). Margine antico loborum lateralium pronoti arcuato, spinis marginali¬
bus ejus a basi lobi parum remotis, vel magis remotis, in hoc casu
autem margine antico jam a basi fortiter antrorsum vergente ; mem¬
brana costæ ad sinum costalem parte reliqua elytri saltem duplo latiore.
3(6). Lobis lateralibus explanatis pronoti etiam dimidio basali fere totis
fuscis vel fusco-nigris, tantum marginibus antico et postico anguste
vitreis, margine antico leviter antrorsum vergente, spina interna (prima)
hujus marginis a basi lobi et a spina secunda fere æque longe remota ;
membrana costae ad sinum costalem parte reliqua elytri minus quam
duplo et dimidio latiore.
4 ( 5). Membrana costae pone medium fere tota fusca, macula magna vitrea
destituta, ante medium spinulis marginalibus tribus minutis armata,
ad sinum costalem parte reliqua elytri vix plus quam duplo latiore ;
lobis lateralibus explanatis pronoti margine antico basin versus serie
unica areolarum vitrearum instructis, extus antice obtuse angulatis.
1. P. corticina n. sp.
5 ( 4). Membrana costæ pone medium macula magna vitrea instructa, ante
medium spinulis marginalibus distinctis destituta, ad sinum costalem
parte reliqua elytri duplo et latiore ; lobis lateralibus explanatis
pronoti margine antico basin versus areolis vitreis biseriatis instructis,
extus antice haud angulatis. 2. P. laminata n. sp.
6 ( 3). Lobis lateralibus explanatis pronoti dimidio basali vitreis, fusco -reti¬
culatis, margine antico usque a basi fortiter antrorsum vergente, spina
interna (prima) hujus marginis a basi lobi quam a spina secunda
magis remota ; membrana costæ ad sinum costalem parte reliqua
adjacente elytri saltem duplo et 2/s latiore.
7 (10). Corpore, antennis pedibusque glabris ; elytris apice oblique rotundato-
truncatis, membrana costæ mox ante medium fascia transversa fusco-
nigra notata.
8 ( 9). Lobis lateralibus explanatis pronoti extus antice distincte angulatis ;
membrana costæ ante medium spinulis marginalibus tribus parvis
armata, ad sinum costalem parte reliqua elytri duplo et 2/s latiore.
3. P. Mayri Hagl.
9 ( 8). Lobis lateralibus explanatis pronoti extus antice rotundatis ; membrana
costæ spinulis marginalibus destituta, ad sinum costalem parte reliqua
elytri triplo latiore. 4. P. dilatata Guér.
10 ( 7). Corpore, antennis pedibusque pilosulis ; elytris apice oblique late
rotundatis, membrana costæ fere tota areolis fusco-nigris et vitreis
variegata, ad sinum costalem parte reliqua elytri triplo latiore.
5. P. Wahlbergi St al.
1 1 ( 2). Margine antico loborum lateralium pronoti leviter sinuato, haud vel
parum antrorsum vergente, magnam ad partem inermi et tantum
MISCELLANEA HEMIPTEROLOGICA.
329
versus angulum anticum externum spinulis nonnullis armato ; mem¬
brana costæ ad sinum costalem parte reliqua adjacente elytri minus
quam duplo latiore.
12 (13). Lobis lateralibus pronoti magis explanatis, extrorsum distincte lon¬
gioribus quam diametro eorum basali ; carina mediana pronoti carinis
duabus lateralibus vix altiore ; elytris pone medium parallelis, spatio
laterali spatio discoidali distincte angustiore, membrana costae ad
sinum costalem parte reliqua elytri Vs latiore. 6. P. alaticollis St al.
13 (12). Lobis lateralibus pronoti minus explanatis, extrorsum haud vel vix
longioribus quam diametro eorum basali ; carina mediana pronoti
carinis duabus lateralibus distincte altiore ; elytris pone medium
retrorsum nonnihil angustatis, spatio laterali spatio discoidali æquilato
vel vix angustiore, membrana costae ad sinum costalem parti reliquae
elytri fere aequilata. 7. P. Junodi Dist.
14 ( 1). Lobis lateralibus pronoti modice explanatis, margine eorum postico
rotundato et cum margine externo arcuato sensim confluente, angulo
externo postico nullo, margine antico extus spinula singula armato ;
elytris pone medium minus dilatatis, membrana costae ad sinum cos¬
talem parte reliqua adjacente elytri vix latiore. — Subg. Sinuessa Horv.
15 (16). Vesicula antica pronoti conico - elevata ; processu postico pronoti apice
subacuto ; spatio laterali elytrorum triseriatim areolato, areolis, his
quam areolis spatii discoidalis minoribus. 8. P. subinermis Horv.
16 (15). Vesicula antica pronoti a latere visa parum elevata, superne arcuata;
processu postico pronoti apice obtuse rotundato ; spatio laterali elytro¬
rum seriebus duabus areolarum instructo, areolis his areolis spatii
discoidalis magnitudine aequalibus. 9. P. Waelbroecki Schout.
Subg. Phyllontocheila s. str.
Ammianus Dist. Faun. Brit. Ind. Rhynch. IL p. 136. (1903).
Subg. Phy Ilont ochila Horv. Sjöstedt’s Kilimandjaro -Meru Exped. II. 12. p. 63.
(1910).
Lobi laterales pronoti valde explanati, margine eorum postico
sinuato, angulo externo postico distincto et spinula terminato, margine
antico spinulis duabus vel tribus armato. Elytra pone medium plerumque
valde dilatata, membrana costæ ad sinum costalem parte reliqua